Livre d'Or d'

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hestin jean claude 1940 (thonon les bains)

20/02/2006 11:53

Pierre Viré (à suivre). Vous aurez tous compris que c'était à titre posthume bien sur!!
Pierre viré a étè un ardent propagandiste, non seulement pour les Ailes Françaises, mais pour le rapprochement fraternel des Français de Souche et des Musulmans d'Algerie au sein de l'Organisme "Les Solidarités Franco- Algeriennes" dont les présidents d'honneurs étaient l'Emir Sehel, petit fils d'Abd ElDER et le Baron d'Ortes, petit neveu du Maréchal Bugeaud. fin de citation
J'ai rapidement pris tous ces renseignements tirés de la biographie de Pierre Viré sur Google... Pour répondre a notre ami Georges Lévy qui je n'en doute pas doit étre dans ses starrings boxs pour prendre le relai! Il y a encore beaucoup de choses à dire sur le monde Aéronautique et de ce transport aérien qui a tissé sa toile à travers les magnifiques contrées agricoles et les deserts, aprés l'immédiat aprés-guerre les richesses pétroliéres nécessitérent des liaisons nouvelles et rapides entre la côte et le coeur du Sahara.. La compagnie Air Algérie a tenu une place de choix par le dynamisme de ses créateurs et l'enthousiasme de son personnel. On évoquera plus tard l'epopée de l'Escadrille Mercure, Aérotec et bien d'autres encore. Amitiés jean claude

 

Jacqueline (1948) (ROME ALGER)

20/02/2006 10:06

Puisque nous parlons voyage, comment ne pas se souvenir des traversées que nous faisions lors de nos voyages vers la “Métropole”, en vacance bien sur. Nous, nous débarquions à Port Vendre.Quelle joie de pouvoir aller d’un pont à l’autre .. un sentiment d’aventure pour nous les petits ! Descendre et monter sur ces escaliers étroits On nous organisait bien des jeux, exprès pour nous. Un genre de cricket si je ne m’abuse. Mais le spectacle de la mer , du bruit sur la coque, de la mousse blanche que son sillon laissait derrière.. le vent du large, cela restera à jamais dans nos mémoires. On nous appelait : « Venez voir les marsouins !! » qui suivaient notre bateau en faisant des bonds dans l’eau. Quelle merveille ! « C’est parce qu’ils mangent nos déchets « disait quelqu’un … « mais non c’est parce qu’ils viennent nous saluer. » disais-je... allez savoir !. Et la cabine, hein ? vous vous souvenez de son odeur ? de peinture fraîche, sûrement, qui donnait déjà le mal de mer à maman dès qu’elle posait le pied sur le paquebot. Voir la mer depuis le hublot ..cela aussi c’était quelque chose pour nous. Et puis la salle de restaurant. Mon Dieu , comme c’était chic.. nos maman revêtaient leur plus belles robes. Que du bonheur ces traversées.. Et lorsqu’au petit matin nous voyions les îles se profiler à l’horizon , on avait l’impression d’être Christophe Colomb !!! Le Kairouan, le Ville d’Alger, le Cazalet.. allez y , complétez !!

 

Hestin Jean claude 1940 (Thonon les Bains)

20/02/2006 09:31

Quand je suis arrivé avec mes parents dans le quartier de la rue Duc des Cars au début du mois novembre 1949, mon premier souvenir de gosse a etè celui d'assister à un rassemblement silencieux et impréssionnant de personnes portant l'uniforme bleu foncé des personnels aéronautiques... Civils et Militaires. Ils s'étaient tous donnés rendez vous au pied de l'immeuble du 28... pour rendre un dernier hommage à un de leur camarade aviateur (comme on disait a l'époque). Il s'agissait de Pierre Viré né le 15 Octobre 1903 à El Kolea. Officier radio d'une exceptionnelle valeur professionnelle qui s'est manifestée sur la ligne Marseille Alger mais également au cours de plusieurs dépannages et recherches d'avions perdus dans le Sahara. Entré à la cie France Algérie le 1er Décembre 1925 en qualité de chef de poste radio de vedettes de dépannage des Hydravions. Titulaire du Brevet de 1ére classe des P Titulaire de la médaille de sauvetage de 1 ére classe en récompense de plusieurs sauvetages auxquels il a participé au péril de sa vie et la plupart d'entre eux à titre individuel en plongeant dans les épaves d'hydravions accidentés au décollage pour sauver les survivants. A parrticipé à des recherches, secours, sauvetage effectués collectivement en service commandé. Officier de la Légion d'honneur et du Nichamn Iftikar. Aprés la constitution de la cie Air France en 1933 a volé sur toutes les lignes, notamment celle d'extréme Orient. Il était titulaire de la Médaille de sauvetage de la marine Marchande, et médaille vermeil de l'Aéro club de France. Ecrivain dont le talent a étè appréciè par plusieurs jury littéraires pour plusieurs ouvrages consacrés a l'aviation et à la marine. T.V.B (Gallimard) Au Peril de l'Espace, Figures de Proue(Flammarion) Pierre Viré a trouvé la mort en service commandé le 29 Novembre 1949 à Lyon il avait inscrit à son carnet de vol 8.500 heures en qualité de radionavigant. La médaille de l'Aéronautique lui avait etè attribuée à
A SUIVRE

 

ginette castellano nee grimalt 1945 (vancouver bc canada)

19/02/2006 23:54

Hello un petit mot pour vous dire qu'il ne faut jamais désesperer apràs 40 ans j'ai pu retrouver ma cousine germaine et mes voisins c'est formidable je remercie ce site du fond du coeur j'espère retrouver peut-être d'autres personnes bye bye

 

AULIO René 1945-1962 (près de TOULOUSE)

19/02/2006 21:14

Pour continuer le récit aérien de Mr Lévy, c'est vrai, j'y pense parfois, j'avais "appris" jeune à avoir peur de l'avion et, de loin, je préférais la traversée par le Ville d'Alger ou le Ville d'Oran sur le pont, allongé sur une chaise longue, en plein courant d'air marin. A cette époque, je ne pensais pas du tout qu'un jour, le hasard m'amènerait à devenir mécanicien avion sur ce fameux Dakota ; à un moment donné, suite à un manque d'effectif, on me proposa même d'entrer en école de pilotage! offre que je déclinai tant j'avais été traumatisé par les voyages et ces fameux trous d'air! je regretterai plus tard ce refus car, au fil de mes 40 années de carrière aéronautique, et très rapidement, j'appris à ne plus avoir cette appréhension! Mais, c'était quand même trop tard pour envisager d'exercer un des plus beaux métiers.

 

Bougenier Claude 1940 (Alger - Liege (Belgique))

19/02/2006 20:50

Pour Anne Marie qui a donné la recette des oreillettes : je ne me souviens pas du cognac dans la recette,chez nous on mettait de la fleur d'oranger.
Pour répondre à Danielle Ferra, je suis allée à l'école Denise Ferrier et j'envois une photo qui doit dater de 1951/52. Amicalement à tous et toutes

 

Fatiha1952 (Alger-Paris)

19/02/2006 15:03

"Sur la place du Gouvernement - que les enfants appelaient "place du cheval" - se dressait la célèbre statue équestre du fils de Louis Philippe, duc d'Orléans, fondue avec le métal des canons pris aux Turcs au moment de la conquête de la ville." Ce sont quelques lignes de la page 21 du livre trés attachant (en tout cas pour les natifs de la Casbah d'Alger dans tout ce qu'il y avait de chaleureux !) d'ALEXANDRE ARCADY, "LE PETIT BLOND DE LA CASBAH ", réalisateur du film " La-bàs mon pays " , sorti en avril 2000, ce petit détail, simple petite information sur l'origine du métal qui se trouve aujourd'hui non loin de l'hôpital américain. Il pleut sur Paris , mais le printemps est à nos portes! j'en profite pour remercier Arnold pour son indulgence et l'Esmmanien de garde (Gérald ?) pour la chanson printanière que je découvre. BON DIMANCHE A TOUS !

 

Lévy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006)

19/02/2006 11:40

Pour ceux qui aiment se souvenir des choses de l'air, un beau site :

vous y verrez les avions de la Compagnie Air-Algérie qui peut-etre vous ont transportés en vacances d'été en Métropole. (Les vraies, avec retour, bien sur..). Moi, j'ai traversé la mer, d'Alger à Marseille, à la fin de la guerre. Cette compagnie volait avec des.. C47 (Dakota), convertis en avions de passagers. Peu se souviennent du décollage d'un avion à deux roues, plus la roulette de queue, penchés en arrière, avant que l'avion ne se redresse avec la vitesse. Les sièges étaient du style militaire. Je ne me souviens pas d'un plafond rembouré, et curiosité, les hublots comportaient en leur centre une petite fenêtretransparente, circulaire, mais ouvrable.. Pendant ces plus de 3h de vol, les jeunes s'ennuyaient, et il vint à l'idée d'un turbulent, d'ouvrir ce hublot. A 250 km/h, l'air s'engouffrait dans la carlingue comme dans un sifflet, avec un bruit effroyable. Pas assez satisfait, il porta sa main serrant une bouteille vide de jus d'orange, hors du hublot, et alerta le poste de pilotage par ce hurlement strident. La bouteille en peu de temps, fut arrachée de ses doigts, alla se perdre entre Majorque et Minorque. Heureusement, le temps devint méchant. Les trous d'air impressionants m'auraient collé au plafond, si je n'avais pas été protégé par la ceinture de sécurité. Cet avion ne pouvait monter assez haut pour éviter l'orage. Le trou d'air, c'est quand l'avion brusquement perd sa portance, sans préavis, des dizaines de mètres, et que les entrailles ne suivant pas l'intendance, ont elles, tendances à rester au niveau précédent. Un supplice qui remplit des sacs en papier kraft.. Adieu les jeux, les diableries, nous devenions des pionniers de l'aviation... Tous assis, ligotés comme l'hotesse, et les pilotes. Et lorsque la porte liberatrice s'ouvrit enfin, si je l'avais pu, je serais retourné... à pieds à la maison.

 

salessy paul (1941) (bubry france)

19/02/2006 10:30

pour répondre à arnold et ferra danièle. Je possède une photo de l'école maternelle laplace année 1945-46 ou 46-47 sur laquelle il y a mde laborda....que j'ai revue un soir à rennes en octobre ou novembre 1961. Un de ses fils a été tué peu avant la fin de sa période militaire.
Je transmettrai la photo un peu plus tard. J'ai retrouvé lucien sarret (qui n'a pas internet) grâce à une de ses nièces. C'est le fils de la gardienne de l'école de filles de la rue Tirman. L'épouse de Mr Deville, notre professeur d'histoire-géo au collège du champ de manoeuvres, enseignait dans cette école primaire.
Et qui se souvient de la possibilité d'acheter des bananes jaunes (une par élève) après le débarquement des américains, quand j'étais en maternelle.
Je me souviens avoir assisté à la distribution de coca-cola depuis un camion quelques années plus tard dans le même quartier.

 

Levy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006.)

19/02/2006 09:00

Le Duc d'Orléans a eu plus de chance que le Monument aux Morts d'Alger: "Le Pavois", cette oeuvre superbe de Landowski, ainsi nommée est maintenant noyée sous une chappe de béton. A Paris,au musée-jardin de Landowski, Porte de Billancourt, est conservée la maquette en plâtre de ce monument. À Abou-Simbel, des oeuvres monumentales Egyptiennes ont été découpées et reconstruites sur les hauteurs pour échapper à l'engloutissement lors de la mise en eau du célèbre barrage. Je pense même que des architectes Francais ont participé à cette sauvegarde. Ce n'est donc pas l'expérience qui fit défaut... Sur une vieille carte postale, j'ai pu admirer ce Monument aux Morts, avec à ses pieds dans la perspective centrale, une immense croix de guerre florale. Celle de la Première Guerre mondiale. A ses enfants, la Patrie reconnaissante. Ce devait etre le jour de l'inauguration de ce monument,vu la foule qui l'entourait. Cette carte, trouvée sur internet, je l'enverrai à qui le désirera. Bien plus belle et symbolique que l'horloge florale moderne, située à l'entrée. De toutes les facons elle ne marque plus l'heure aux passants. Figée, comme nos souvenirs.

 

ARNOLD (COURBEVOIE)

18/02/2006 23:59

L'école maternelle rue Laplace a remué les souvenirs chez G. LEVY et D. FERRA (je suis votre ainé de 19 ans) les miens sont beaucoup plus anciens. Je crois que Mme Laborda habitait aussi rue clauzel. A titre d'information la statue équestre du duc D'Orléans qui était place du gouvernement est actuellement à Neuilly(92) angle des boulevards Inkermann et Victor Hugo... Pour FATIHA qu'importe une petite faute de frappe l'essentiel est d'être aussi ESMMAIENS.....

 

Levy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006)

18/02/2006 09:05

Ce chemin Picard, presque chaque dimanche nous l'empruntions pour redescendre d'une visite familiale,chemin Bucknal,à El-Biar. Mais avant de l'emprunter, nous dévalions un chemin de traverse,coupé d'escaliers,qui était un raccourci de la grande boucle du Bd Galieni. Il bordait un petit wadi sur les flancs duquel étaient accrochées quelques maisons. Des haies de mûres, noires et juteuses, s'offraient aux rares promeneurs et faisaient nos délices. Les baies sauvages, les feuilles d'acanthe et les orties, les pissenlits que nous mâchions, et les liserons bleus, attiraient des papillons
luxueux dans cet endroit solitaire, une frontière, un havre de paix, entre les bruits de la grande cité et les villas d'El-Biar, mais paysage trompeur: Une fois que nous profitions de cette halte merveilleuse, je distinguais deux petits enfants, courant sur la crête, en criant et gesticulant. Je levais les yeux attiré par ce manège bizarre, et vis un enfant se baisser, mais sans me hâter, continuais à rêver dans cette campagne presque citadine. Je ne vis la pierre que lorsque elle rebondit devant moi et vint me frapper en plein visage. En plein jour, je vis des étoiles sorties avant l'heure. Un mouchoir sur ma blessure, je finis cette promenade en pleurant sur les épaules de mon père, le chemin Picard au pas de course, continuons par le chemin Edith Cavell, et de là, la rue Michelet, la rue Hoche, et notre rue Sadi-Carnot où je me sentis en sureté. J'étais sauvé... Mais le lendemain matin, mon hématome vert, rouge et violet, ne m'empêcha pas d'aller à l'école, et j'en étais même fier, racontant mon Roncevaux, illustré et personnel, à mes petits camarades. C'était ma première rencontre avec les Sarasins....

 

Fatiha (Alger-Paris)

17/02/2006 22:23

Mme Ortéga ne serait pas contente de lire "la vie reprends toujours ses droits et continuent" , elle me mettrait comme appréciation "voilà ce que c'est que de ne pas se relire !". Bien entendu , je voulais dire , la vie reprend toujours ses droits et continue.

 

AULIO rené (1945) 31 (près Toulouse)

17/02/2006 21:53

Bonjour à tous. Est ce que quelqu'un habitant en région toulousaine connaitrait un endroit où on peut trouver de la bonne soubressade? merci par avance

 

albert altarac (oubangui( je charie))

17/02/2006 20:27

"SANS PREJUDICE" Selon le savant erudit Moa, les Mahonais sont les descendants des partisans du duc de Magenta, comte de Mac Mahon, gouverneur de l'Algerie avant 70 marechal puis president de la rep......j adorais les oeufs mimosa.....mais le cholesterol......

 

Ferra Danielle (Paris /ALger)

17/02/2006 20:01

Bonjour à toutes et tous. Je me souviens également de l'école Maternelle Laplace, et pour cause, c'est là où j'ai eu l'honneur et la joie (sauf le premier jour où j'ai pleuré comme une madeleine quand maman m'a déposée dans la cour et est partie) d'y avoir été. Je me souviens en premier de Madame Laborda, qui était la dame de service et que nous aimions tous beaucoup, elle habitait mon immeuble, 21 bis rue Clauzel. Je me souviens également de la première classe qui se trouvait juste en face de l'entrée un peu à droite, de l'harmonium que nous devons faire marcher avec une sorte de "pompe", c’était Madame Laborda qui le faisait, le plus souvent. De ces jeux en couleur, et de la sieste que l'on nous obligeait à faire en posant notre tête sur nos bras croisés sur le bureau/. C'est également là que j'ai vu pour la première fois CENDRILLON. Et sa belle robe bleue (à l’époque). Je suis depuis ce jour fana des Walt Disney, il fallait payer 2 pièces de 20cts pour ce film, et ça se passait dans la classe des "grands". à gauche en entrant dans la cour de l’école. Ce jour là j'avais oublié ces deux fameuses pièces, et j'ai bien cru jusqu'au dernier moment que je ne verrais pas ce film.. J'ai une très grande nostalgie de cette école, ensuite ce fut Denise Ferrier, rue Tirman. Merci Georges de tes compliments sur celles-ci. Merci à Arnold également d’avoir évoqué cette maternelle, je ne me souviens pas de Madame Léa, tout dépend peut-être de la date à laquelle nous y avons été .Je suis née en 51. Quant aux oreillettes, maman en faisait de délicieuses, je suis moins douée qu’elle pour les faire, mais j'essaierai la recette qui a été mise sur le livre d'or. Bon je commence à avoir une ‘petite faim,’ je vais de ce pas vers les kemia que je n'ai pas encore lues et qui m’ont l’air bien appétissantes d’après ce que je viens de lire.. Bises à toutes et tous

 

Jacques CAMPS (Couiza. 11190 France)

17/02/2006 19:57

Merci à tous, pour les renseignements fournis au sujet des Mahonnais... et puisque l'on parle d'eux j'aimerais connaître la recette de succulents produits mahonnais que me faisaient mes grands parents et parents, il s'agit des fromadjades et de la coca.......ecrivez moi vite, pour que très bientôt je puisse déguster ces délicieuses choses ! merci d'avance

 

Balaguer - 1935 - (neuf deux)

17/02/2006 19:27

Merci ES'MMA, avec toi au moins on se marre et on se "restaure" comme disent les pointus et nivôse vaut le voyage. Pour Jacques Camps, que fais-tu de la soubressade "mahonnaise" elle fait partie de notre patrimoine, c'est pas bien de l'avoir oubliée. Pour ne pas changer de registre, Betty, les oreillettes, on les appelaient aussi Oreilles de Cadi. Salut à tous, Lucien

 

Marie-Christine DAVERIO/DEVAUX (ALGER/ISERE)

17/02/2006 15:55

Rebonjour et salut grande soeur. Je vous sollicite tous car je suis à la recherche de ma meilleure amie d'Alger qui habitait l'immeuble à côté du nôtre (L'Algéria, 139 bis bd du Télémly), elle se nomme CORBIN Martine et a un frère Phillipe.
Si certains d'entre vous sont de Guyotville, j'ai un livre photocopié "CHEZ NOUS A GUYOTVILLE" ancien (année ?) avec beaucoup d'illustrations de la vie de tous les jours ainsi que des textes s'y rapportant... m'écrire si cela vous interresse.... A bientôt...

REPONSE : pour le bouquin c'est sympa, mais on se limite à Alger. Par contre vous pourriez le proposer à Marc Cassus qui a créé un excellent site dédié à Guyoville, à cette adresse :

allez-y de notre part, ça lui fera plaisir

 

Marie-Christine DAVERIO/DEVAUX (ALGER/ISERE)

17/02/2006 15:41

Bonjour à tous, je vous rejoins car ma grande soeur, que vous connaissez, Anny Marcelli/Daverio, me parle assez souvent de ce site.... elle en est fan. J'ai parcouru, hier, un peu votre site (car il est très important) et effectivement ce que j'en ai vu me plait assez : pas de polémique, pas de rabachage, pas de tristesse même s'il y a de la nostalgie et surtout beaucoup d'humour et d'échanges. Je vais être obligée de passer un autre message car je n'est plus de place. A+

REPONSE : non, non, Marie-Christine, vous auriez pu continuer à ecrire même ayant dépassé le cadre, le texte se serait déroulé tout seul comme un grand, mais... si vous aviez dépassé les 2000 caractères autorisés, là il aurait fallu que vous passiez un second message
Bonne tchatche

 

Danièle COEURET IOTTI 1946 ALGER NICE

17/02/2006 13:47

Un grand merci Gérald pour cette bouffée nostalgique et printanière à l'écoute de Willie "lion" Smith, un très bon moment!

 

Jacqueline (1948) (ROME ALGER)

17/02/2006 13:28

Betty, tu oublies les "bugie" (mensonges)... pourquoi donc devrait on mentir lorsque l'on savoure ces merveilles (encore!). A moins que leur friabilité soit trompeuse... puisqu'elle sont frites et donc... un peu lourdes à digérer....

 

Levy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006.)

17/02/2006 11:30

Arnold, impossible d'oublier cette petite classe de l'Ecole maternelle de la rue Laplace. Bien sûr, tout est un peu flou, mais je me revois jouant avec de petits cubes de bois, assis sur un banc, mais surtout me souviens d'une injuste punition (à mon avis d'alors), lorsque la maitresse soudain m'envoya au piquet.. Mais comble d'infamie, me coiffa, comme c'était l'usage à l'époque, d'un immense bonnet d'âne, avec des oreilles aussi grandes que moi. J'en fus pétrifié, le dos tourné à la classe, accompagné des rires de mes petits camarades. Coutume barbare. C'était le temps de l'éducation par la terreur de la punition. Aujourd'hui, on nous coifferait d'écouteurs pour apprendre les langues et la musique. Autre temps, autre moeurs. Mais maintenant, c'est plutot l'éléve qui coifferait la maitresse terrorisée, d'un bonnet d'ane !! Pourtant, bien d'années après, je faisais un détour, pour écouter sous le mur qui longeait les classes les anonnements des bambins, musique enfantine qui me rappelait ma jeunesse. Ecole Laplace, Aspirante Denise Ferrier, ou Ecole Clauzel, un haut lieu de notre éducation civique.

 

Betty (Florence)

17/02/2006 11:07

A propos d'immigrants et d'oreillettes: ces délices légers et croquants (en forme de losanges comme les faisait ma mère...) nous viennent sans doute d'Italie où elles ont une très ancienne tradition. Leur nom varie selon les régions et aussi leur forme même si les ingrédients sont les mêmes: farine, oeufs, sucre, zeste de citron, et huile d'olive qui remplace souvent le beurre avec un bonne dose de "vin santo" un vin à dessert utilisé durant les messes... Leur forme est quelquefois bizarre: nouées, tressées, croisées, repliées, fendues ou pas, avec en général les bords découpés à l'aide d'une roulette à patisserie aux bords dentelés. A Florence, on les appelle "cenci" (morceaux de tissu), on trouve aussi selon les régions "chiacchiere" (bavardages) ou "nastrini di monache" (rubans de religieuses) ou encore "frangette" "donzellini" "fiocchi" "fiocchetti" etc...Beaucoup de ces dénominations dérivent du lieu où on les faisait alors: les couvents qui les distribuaient le jeudi gras pour "Berlingaccio". Le nom le plus ancien semble être "guanti" (gants) probablement à cause de leur aspect en forme de main... Alors les gourmands et les gourmandes, vous voyez que nous avons emmagasiné tout ce qu'il y avait de meilleur aussi en Europe...

 

PIVON Jean-Robert 1938

17/02/2006 10:55

Ne pas oublier que les Mahonnais nous ont apporté la mayonnaise (mot dérivé de Mahòn) et surtout les oeufs mimosas, le régal du repas dominical dans les familles P.N.

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

17/02/2006 09:28

Hello, concernant les Mahonais. Il y a quelques années maintenant, j'ai organisé un voyage à Mahon, Ile de Minorque, avec l'amicale des enfants de Rouiba, Reghaia, et environs.. Nous étions une 40taine. A l'époque, la majorité des imigrants étaient originaires de Ciutadella, c'est eux qui ont fondé Fort de l'Eau. Lors de notre visite dans cette commune du nord de l'ile, nous avons été reçu officiellement par l'Alcade (maire) de Ciutadella, qui a tenu à rendre un chaleureux et émouvant hommage aux descendants de ces pionniers et enfants du village parti loin de chez eux pour échapper à la misère. L'Alcade nous a présenté les registres ou sont consignés les noms des migrants avec les dates de départs, visite riche en émotion et en souvenirs, une mine pour les généalogistes. Ma GM paternelle est originaire de cette ile. A votre dispo. Salut. Yves

 

LAZARO Henri (1951) (ALGER/MEUDON LA FORÊT (FRANCE))

17/02/2006 09:15

Encore une fois bravo pour les kémias de janvier, tout il est bô. Je viens d'aller sur un site, qui est peut-être connu de certain mais je l'ai trouvé magnifique tant les photos et les prises sont superbes il s'agit de allez-y régalez-vous. Amitiés et à bientôt. Henri

 

Fatiha (Alger-Paris)

17/02/2006 08:51

Anne Marie, c'est aussi devant l'église Ste Anne, à l'arrêt du bus du Clos Salembier, "le K barré", que pendant tout le cycle secondaire, j'attendais le transport scolaire pour aller au lycée Franco-Musulman de jeunes filles de Kouba devenu lycée Hasiba Ben Bouali. Le marchand de beignets connaissait tous les habitués matinaux de cet arrêt du chemin des Crêtes !
Après la" Mouna" qui me rappellera toujours les Esposito de la rue Marat, les oreillettes , les cornes de gazelles (tcharek lem'seker!) , la tcoutchouka (Anne Marie, en algérien, c'est la tchektchouka !), et autre, si on évoquait le printemps à Alger? Alors, question : à quoi reconnait on le printemps à Alger ? (et ...tant pis si je me répète rien que pour prononcer et lire ce mot MAGIQUE :ALGER !)
Eh bien, on sait que le printemps est là dès que notre prunier est en fleurs, il a traversé le temps, mais, il est toujours là pour nous rappeler que malgrè tout (...je suis tentée de fredonner le refrain d'une trés belle chanson "malgrè tout bladi nabrik " = malgrè tout, mon pays je t'aime!), la vie reprends toujours ses droits et continuent !
Sur cette note printannière aux couleurs méditérranéennes, bonne journée à toutes et à tous!

RÉPONSE : merci Fatiha. Puisque tu es la première à faire venir jusqu'à nous les rayons et les notes du printemps, on va tous écouter les "Echoes of Springtime" de Willie"lion"Smith en pensant à toi... et à notre Alger.

 

Yves SENDRA 1942 ( Alger/Nice )

17/02/2006 08:38

Merci Anne-Marie pour ton évocation de ces plats aux saveurs uniques et ces pâtisseries, évocation dont nous te remercions, tu as réveillé en nous des souvenirs d'enfance et sans doute fait monter le taux de Cholestérol ou de Glycémie de beaucoup d'entre nous. Merci à l'Aqua-fortain aux ancestres mahonnais, à l'odeur des brochettes... à la fête de Fort de l'eau... et que l'on sentait jusqu'à la Verte-Rive !!!
C'est vrai ça quid de l'arrivée des mahonnais autour d'Alger ? Allez, il faut reprendre le boulot... A bientôt Amicalement à Toutes et à Tous Y.S

 

denise porteilla (montpellier)

17/02/2006 07:38

à Jacques , les mahonais sont allés en Algérie, en général chassés par la misère, mais aussi pour rejoindre des cousins etc. il existe des ouvrages pas toujours très "historiques" (du genre hagiographique), mais intéressants notament le récit de TUDURI : en quelques années près de la moitié de la population de Minorque serait partie en Algérie, ils ont créé des villages, se déplaçant peu à peu vers l'est d'Alger:hussein dey, fort de l'eau, aïn-taya. La particularité de l'émigration minorquine est que les migrants devaient connaitre un métier et partir avec leurs outils.

 

albert altarac 1932

17/02/2006 03:15

nous autres a birmondress on disait :des callenoli

 

albert altarac 1932 (alger montreal)

17/02/2006 03:07

C'est vrai qu'on en avait des bonnes choses dans le temps mais ca ne vaut pas les bonnes fèves au lard arrosées d une can de bon sirop d erable d icite, sti!!!

ESMMAien de garde : salut Albert, content de te lire à nouveau, tu te faisais rare ces temps-ci. Bloqué par les neiges ?

 

Geneviève Gehin (Marseille)

16/02/2006 23:43

Pour Jacques Camps - Vous trouverez sans doute la réponse à votre question sur le site très documenté de Francine et Pierre Jean Cardona.

Bonne lecture !

 

Anne Marie Schneider/1947 (la "Redoutable")

16/02/2006 20:50

Eh, oui c'est tout à fait exact, nous étions plus gâtés et plus riches que les autres, en Algérie nous avons pu collectionner toutes les recettes de toutes les origines...arabes, espagnoles, italiennes, françaises, alsaciennes... Et aussi bien avec les bons plats comme le couscous, la paêlla, la loubia, les callelonis, la choucroute etc...en gâteaux, kif-kif ! les cornes de gazelle, les makrouds, les montécaos, les doigts de fée, les pets de nones, les merveilles ou oreillettes, les beignets Algériens, , les couronnes à l'anis etc... Il y avait même dans le cahier de recettes de maman, le gâteau Réus, tout simplement une recette ( biscuit avec de l'huile) donnée par notre gardienne d'immeuble... le gâteau portait son nom! Je me souviens qu'à midi les odeurs de cuisine se répandaient dans la cage d'escaliers, et cela sentait bon... Les poivrons grillés, la tchouchouka, la coka, les épices, il y avait un mélange de culture...Nous pouvions deviner l'origine des parfums et des odeurs. Rue des Frères Martel, nous habitions un petit immeuble, il y avait un bon échange. Il y a eu également Touma, Tassadite qui ont initié maman à la cuisine orientale, à la maison les contacts ne manquaient pas. Pour nous garder, plusieurs personnes sont venues seconder maman. Au magasin et au garage de mon père, bien des personnes se croisaient, c'était très enrichissant. Voilà, La cuisine Pieds Noirs, c'est tout çà!.....et avec plein de monde autour de la table.....Bonsoir à tous. Amitiés - A.M

 

Jacques CAMPS (1938) (Couiza - 11190 - France)

16/02/2006 20:08

Mon père me disait toujours : "tu es mahonnais, tes ancètres habitaient Mahon, capitale de Minorque, la plus petite des îles Baléares"............. Quelqu'un pourrait - il me dire à quelle occasion ou pour quelle raison les mahonnais sont venus s'installer en Algérie ? N'oublions pas que nous leur devons les délicieuses merguèzes que l'on dégustait à Fort-de-l'Eau, avec du pain espagnol et un petit vin rosé gouleyant...........

 

Anny Marcelli-Daverio (ALGER-MARSEILLE)

16/02/2006 17:54

Je vous abandonne un petit moment.........les kémias viennent d'arriver.......... à + à tous.......................régalons-nous!!

 

ARNOLD (Courbevoie ( 92 ))

16/02/2006 17:19

Derriere l'école CLAUZEL RUE LAPLACE IL Y AVAIT UNE PETITE ECOLE MATERNELLE OU UNE CERTAINE MADAME LEA A PRODIGUE AVEC AMOUR ET DEVOUEMENT TOUS LES SOINS NECESSAIRES AUX TOUS PETITS. QUELQU UN S EN SOUVIENT-IL.... C'EST SI VIEUX....

 

ES'MMA

16/02/2006 17:00

Elles sont là, les kémias nouvelles, toutes chaudes, et toutes essouflées d'avoir tant couru, tellement elles étaient en retard ! Du rire, de l'émotion, du souvenir, des images qui bougent et des images qui bougent pas, la petite caravane est dans notre ville ! Avec des attractions inédites ! Le spectacle il est gratuit... Mais que chacun apporte sa chaise! Oui? Elle est déjà devant votre écran? Mais tant mieux! C'était un message de votre garde-champetre !

 

marie-claude leloup-colonna (luray 28500)

16/02/2006 16:20

Souvenirs d'une toubiba - Algérie 1957-1963 - Marie-Claude Leloup-Colonna - publié chez l'Harmattan - 11.50 euros - 112 pages - élève de Delacroix de la seconde à la philo puis études de médecine à la fac. d'Alger- Année de naissance:1928

 

Levy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006.)

16/02/2006 15:05

En ce qui concerne la Mouna,lisez le site impressionnant du cercle algérianiste. La célébration de la mouna,cette brioche d'origine espagnole, était en Algerie, une fete familiale et campagnarde, célébrée le lundi de Paques, déjà dès les années 1850-60.

La Mimouna, elle d'origine marocaine, a des origines variées. Mais l'essentiel est la porte ouverte à l'étranger dans chaque foyer. et l'abondance des sucreries qui y sont offertes. 1) Fete du père du célèbre philosophe Maimonide. 2) Rapport avec le mot "mamon", l'aisance,après les privations de Paques. 3) Origine paienne, la fete du Printemps. 4) Réjouissance après la sortie d'Egypte et traversée de la mer Rouge.
Mais la fete de la Mouna et de la Mimouna, ont en commun, comme l'écrit Ferdinand Duchene, le désir de fêter à Paques, la vie de famille et le sacre du Printemps, le renouveau de la vie dans une fraternité de langues. Les Forets de Bainem, St Ferdinand, les plages étaient prises d'assaut par les campeurs, pour oublier, un jour, les difficultés de la vie.

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

16/02/2006 13:00

Salut à vous, salut Jaqueline la Romaine et vous toutes et tous. Ah!! les oreillettes ou merveilles, de quelle origine?? manahaf?? On en trouve en France dans le midi, en Italie, puisque Jaqueline nous le confirme. Ma mère faisait traditionellement les oreillettes pour Noël ainsi que des "pets de nones", sortes de beignets ronds quelle faisaient cuire dans de la friture, elle faisait également pour cette fête les montécao. Aujourd'hui elle frôle les 90 ans, elle a arrêté depuis peu de nous faire ces friandises de Nöel. On va essayer de prendre la relève. A plus Yves

 

Jean-Pierre SCOTTO (marseille)

16/02/2006 12:26

Bonjour ! Quelqu'un peut-il me dire si les voyages organisés a ALGER par l'agence NOUVEAU DEPART se passent sans probleme, aussi bien au niveau agence de voyage qu'à ALGER. Merci

 

Jacqueline (1948) (ALGER ROME)

16/02/2006 11:50

Musique et douceurs: le menu d’aujourd’hui. Qui a le souvenir , qui parmi vous a fréquenté l’Ecole Libre de Musique du 14 Boulevard Victor Hugo ? Elle était animée, gérée par le frère et la sœur. Cette dernière nous enseignait le piano, son frère le solfège et je crois bien le violon aussi. Nous étions des petits (moi j’avais 6 ans quand j’ai commencé !!) et nous suions sur les dictées musicales et autres merveilles de l’harmonie !! Qui parmi vous a eu la patience de m’entendre massacrer une sonate de Beethoven, puisque les cours étaient communs ? S’il vous plait rappelez moi le nom de ces deux malheureux professeurs !
Les oreillettes..oh oui nous nous en souvenons. Maman aussi en confectionnait et c’était là le plaisir du Carnaval. Mais ne seraient elles pas d’origine italienne ? En effet pour avoir vécu à Turin et aujourd’hui à Rome , j’ai retrouvé les mêmes , avec un nom différent : « meraviglie » (merveilles) au Nord « frappe » (franges) au Sud..Allez savoir !!! les mystères de l’art culinaire…
Une autre curiosité. Dans la tradition berbéro juive , à la fin de Pessah, pour fêter le renouveau, les gens se rendaient dans les près, dans les forêts avoisinantes et faisaient ce que nous appelons aujourd’hui un pique-nique. Le nom de cette fête était la Mimouna. Assonance, avec notre si chère Mouna ? Héritage d’un si long passé? Georges, qu’en pensez vous ? Nous sommes bien le produit de tant de cultures…et c’est pour cela que nous sommes plus beaux ( !) et plus riches ( !!)que les autres, non ?
Bon Carnaval à vous tous.

 

Mercier Jack (cap d'Agde france)

16/02/2006 10:11

Je viens de relire le texte de Jl Jacquemin : " Couillous le magnifique" et je voudrais rajouter deux souvenirs :
d'abord les affirmations titanesques de Couillous, qui à la suite du célèbre " je suis fort comme un boeuf" avec le zézaiement caractéristique ajoutait volontiers " les petits je les casse et les grands je les plie" - on peut imaginer l'ambiance dans une classe de 4ème ou de 3ème à Gautier à cette époque;
Ensuite, les beaux parents de Couillous étaient les propriétaires de la librairie qui se trouvait Chemin Abd El kader à La Redoute ( nous y revoila) Il m'est arrivé souvent de renconter notre hercule de prof dans cette vénérable institution.
par ailleurs qui se souvient encore de l'autre prof mythique de Gautier, l'inracontable Popeye, alias Schaeffer, prof d'anglais devant l'éternel et fan inconditionnel de "Alice au Pays des Merveilles" Nous faire çà à nous autres !

 

christian Ripoll (La Redoute) 1936

16/02/2006 09:45

Voilà, Anne Marie, il ne m'a fallu que 60 ans pour savoir d'où venaient ces excellentes oreillettes de la kermesse de Ste Anne ! Suivez bien la recette, je vous le confirme, elles sont délicieuses !

 

Françoise Leroy Vendevelle (1952) (Alger / Clermont-Ferrand)

15/02/2006 23:39

A l'évocation de la rue Sadi-Carnot (message de Georges Lévy), et toute imprégnée du climat de nos écoles que Margaret Verfaillie-Shore a fait revivre avec tant de bonheur, une rengaine d'écolière me revient à l'esprit . Nous les gamines qui avions 10 ans en 1962 nous partagions nos récréations dans ces jeux collectifs dont le but est tout bête: se courir après, s'attraper, se percher en criant... Invariablement ces jeux débutaient par de tonitruants "c'est moi qui plouf!" "non c'est moi!..." Alors un cercle fébrile se formait autour de la meneuse de jeu, son rôle étant d'aider le destin à décider: à laquelle d'entre nous sera conféré le pouvoir de courir après la meute des copines? en toucher une, même du bout des doigts, lui transmettre à son tour le pouvoir du loup...! Quel enjeu! Invariablement, un pied en avant, l'autre loin en arrière pour se propulser au plus vite vers le repère salutaire, les filles en cercle attendaient le verdict du sort. Invariablement, la meneuse de jeu, jetant solennellement sa main deux fois en avant vers le sol, annonçait d'une voix ferme et rythmée "plouf, plouf, uneeee peeeetite auto qui passeeee rue Sadi Carnot... de quelle couleur est-elle?" Alors les réponses fusaient en tous sens, une couleur était retenue, la fille qui l'avait criée s'entendait ordonner, dans un concert de hurlements, "c'est toi le loup!" ou "c'est toi le chat!". Mais déjà il n'y avait plus personne autour d'elle. Telle la nuée des criquets, les gamines excitées envahissaient tous les abris de la cour. Se tassant derrière l'arbre, derrière le banc, elles croyaient échapper, le temps d'une seconde, à l'oeil de lynx de la "plouffeuse". "U-neu-peu-tiiite auauauto, qui-pa-ssait rue Saaaadiii Caaarnoooot! deueueu queeeeelle couououleur est-elle?"... A vous de plouffer!

 

Anne Marie Pautet-Schneider/1947 ("les Redoutables ")

15/02/2006 21:37

Bonsoir, J'avais oublié que les "bébés"pouvaient à ce point nous occuper, et lorsque nous sommes des mamies.... qui bavent... devant leur 1er petit fils...cela demande encore plus de temps... Et c'est bien connu, pour les femmes d'Afrique du Nord les enfants sont des trésors! Mais me revoilà, les "Redoutables" sont bien là! pour Jean Robert, les oreillettes...!!! c'est trop bon... Même que je peux donner la recette de maman, elle nous en a fait des montagnes (c'est une P.N qui parle...) lorsque nous étions enfants (nous étions 9) et à la kermesse de Saint Anne, je me vois encore les vendre pour la paroisse. Devant l'église avec de grandes corbeilles remplies d'oreillettes, nous nous installions, elles avaient du succès....super craquantes, bien sucrées... un régal! Il m'arrive d'en faire encore pour carnaval à mes "grands enfants".... Allez, la voilà la recette :
400 g de farine
3 oeufs
100 g de beurre
50 g de sucre
citron rapé
sel
1 petit verre de cognac
1 sachet de levure
Farine en premier, y casser les oeufs, ajouter le sucre , le sel, le zest, le cognac et le beurre, mélanger, pétrir la pâte et la laisser reposer, puis étaler la pâte, assez fine, tailler des triangles, faire une fente, nouer et faire frire, mettre dans un plat avec un papier absorbant et soupoudrer de sucre fin. Et même pas mal... la crise de foie... car les oreillettes de chez nous, elles sont toujours préparées avec amour... c'est un des merveilleux souvenirs de notre enfance. A bientôt, amitiés à tous les grands gourmands et les petites gourmandes , car j'ai pu me rendre compte que sur notre site, les messieurs aiment bien .......les pâtisseries !!!!!!! A.M

 

gerbi alain (Rouen)

15/02/2006 12:00

Je viens de lire que J. BUREL qui a été aussi mon professeur de dessin à Gautier avait légué ses dessins au Musée de l'éducation de Rouen.... Quel dommage pour moi de l'apprendre si tard et surtout après son décés... J BUREL était né à OISSEL une commune voisine de ROUEN...Ceci peut expliquer cela... Je profite de ce message pour demander à ceux ou celles qui reconnaissent les techniciens de Radio-Alger sur la photo de notre rubrique avec J. Blanc sur la Saga de FRANCE V de se manifester... Cela me ferait très plaisir et puis cela enrichirait notre Histoire commune de la place Hoche.. .Et puisque j'en suis aux messages j'aimerais si quelqu'un ou quelqu'une se souvient de Marie-Noelle REY connue au Cours Michelet d'Alger me dise ce qu'elle est devenue .... Merci à vous .

 

Georges Busson (Lannion (Bretagne))

15/02/2006 10:14

A Yves et aux autres: Bubu parle de Bubu. Reprenez les messages du 11/12/05 18h08 et 30/01/06 12h05. Les visites guidées de l'expo, à venir, sont les dimanches 26/02 12/03 26/03 et 16/04 à 15h00. Et je vous conseille l'ouvrage édité à cette occasion. J'apporterai une précision importante: Jacques Burel avait fait don au Musée national de l'Education à Mont Saint Aignan en Seine Maritime de tous les dessins de ses élèves d'Alger et de Paris. Si un de nos amis d'Esmma est dans le coin...
Perso à Yves: Etais tu Alligator ? Alors, tu as retrouvé Jean Mi ?

 

Yves SENDRA (Alger/Nice)

14/02/2006 23:50

Ce 14 février, j'étais à Paris pour la journée pour raisons professionelles. Sur le coup de 13 h, un collègue et moi décidons d'aller manger léger , non dénichons à deux pas de Denfert-Rochereau un " restaurant -crêperie non fumeur" . Accueil sympa, crêpes au sarrasin bien faites, bon cidre, pas de quoi envoyer un message à ES'MMA me direz-vous, et bien oui, car tout d'un coup mon regard est attiré par une affichette :
"Jacques Burel 1922-2000" témoin de la vie paysanne bretonne, exposition au musée de Quimper du 2 décembre 2005 au 16 avril 2006. J'interroge la serveuse qui m'apprend que le patron (hélas absent) a bien connu Jacques Burel et sa compagne est, "croit-elle", une cousine (à la mode de Bretagne ??) du patron. Peut-être que des es'mmaniens-bretons pourront nous en dire plus sur cette expo de "Bu-bu"? Hasard ? Non, Clin d'oeil sans doute...

 

mahfoud (kitchener/canada)

14/02/2006 19:58

je n'ai pas frequenté le lycée Delacroix et je ne suis pas une fille mais l'article de Margaret m'a profondement touché. On peut changer le nom des lieux et le nom des profs mais les souvenirs garderaient leur caractère universel pour ceux d'entre-nous qui ont vécu l'epoque.
merci.

 

Philippe Jollivet ( 1940 )

14/02/2006 19:45

Georges Lévy est un puits de science dont la nappe phréatique ne tarira jamais.
Bravo et MERCI Georges, pour nous, et pour nos enfants.

 

Jacqueline (1948) (ROME)

14/02/2006 13:07

J’ai lu avec plaisir les souvenirs de Margaret… J’attendais avec impatience des nouvelles des filles de Delacroix et voilà ils arrivent… Souvenirs communs, à jamais dans nos cœurs, de ces professeurs que nous avons côtoyées, celles qui nous ont fait frémir, celles qui nous ont fait plaisir, celles qui nous ont fait dormir… je ne ferai pas de rapport direct de ces trois verbes avec les profs dont je citerai le nom… Melle Corcelet qui a appris tant bien que mal, aux «littéraires» que nous étions, la géométrie dans l’espace, et qui nous a donné le goût de l’algèbre… presque un plaisir. Melle Cordier, le Prof de Français latin qui nous a donné les bases qui serviront plus tard… là bas loin.. à Paris. Mme Simon, mon homonyme, avec qui j’avais de bonnes notes en allemand (c’était la première année… après.. ce fut nettement moins bien.). Mme Fillioux qui prenait ces petites filles de 10-11 ans pour des petites mains de grands ateliers de couture et qui nous faisaient faire des «ourlets cocottes» !!! Des «ourlets ajourés» des poignets de chemises d’homme… l’enfer !! Il fallait enfiler du fil d’alsace (demander aux techniciennes de la couture) dans des aiguilles minuscules (n°10..je m’en souviens encore). Je me souviens de la confection d’une brassière qui nous occupa l’année entière !!! C’est vrai qu’elle était impitoyable envers les nulles, comme moi !! J’ai souri en lisant le nom de Melle Goujon, prof de musique. Elle le fut aussi à Barnave et ainsi enseigna la musique à ma maman 30 ans avant moi. Je me souviens de la Marseillaise qu’elle nous faisait chanter. « Entendez vous dans les campagnes muuuuuuuuuugir les féroces soldats… ». J’ai partagé aussi les bonbons ou autres «cochonneries» que nous achetions sous le tunnel des Facultés... l’étape était obligatoire avant de se rendre au LYCEE. Par amour pour lui je me suis inscrite à l’ALYDFA qui rassemble les anciennes élèves. On a ainsi l’impression de rester au chaud, dans notre famille !! Jacqueline

 

PIVON Jean-Robert 1938

14/02/2006 13:05

On à parlé du "créponné", de la "mouna", mais à cette époque nos mamans nous préparaient les "oreillettes". Qui s'en souvient?

 

Geneviève Gehin (Marseille)

14/02/2006 10:54

Pour Georges Lévy, des nouvelles de Catherine CHARLES reçues récemment :
"Ma thèse n'est pas terminée, comme je l'avais préalablement pensé, et a pris une dimension extraordinaire grâce aux pistes de recherches que les témoignages m'ont apporté. Je crois que je vais écrire une "anthologie" tellement le sujet est passionnant, vaste, et que tout me semble primordial à dire !"
Alors, rassuré ?
Bien amicalement à vous.

 

Levy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006)

14/02/2006 10:27

A propos de l'émigration Alsacienne en Algérie, j'avais fourni à Catherine Charles des copies de documents familiaux, à sa requete pour sa thèse. Beaucoup d'eau a coulé déjè sous les ponts de nos souvenirs, mais du travail de Catherine, point d'écho. J'espère qu'elle le ménera à bon port,et en attendant, tous nos voeux de succés.
chercher la page 1. C'est le site de l'Observatoire Météorologique construit à "Mustapha-Supérieur", et à ne pas confondre avec l'observatoire de la Bouzaréah. Une très belle gravure du site et son histoire, témoignage de l'activite scientifique en Algérie, à une époque pionnière. A l'époque, le ciel devait encore etre dépourvu de poussières, et je pense que l'industralisation de la ville a chassé définitivement la station à la Bouzaréah par la suite. Un site cinq étoiles.

 

DEANGELI (NICE)

14/02/2006 09:57

Merci, Margaret,de faire revivre ainsi notre cher lycée et nos souvenirs. Merci à toutes les Delacroisiennes qui nous procurent avec ces pages tant de bonheur et de nostalgie.

 

Philippe Jollivet ( 1940 )

14/02/2006 08:38

Grands mercis à Esmma et à Jacques Abbonato : grâce à l'annuaire de ce-dernier, dont l'équipe d'Esmma fait les éloges, j'ai pu remettre en contact deux anciennes amies du cours de danse d'Aline Plateau. L'une d'elle venait tout juste de mettre ses coordonnées sur l'annuaire. repertoirepn.net
C'est pourquoi je trouve aussi dommage que regrettable que si peu aient l'initiative d'y faire figurer leurs coordonnées. Le monde qu'on aurait pu retrouver depuis, si les 7.000 visiteurs s'étaient enregistrer ! On peut même y mettre la photo de la tête qu'on avait à l'époque, histoire de forcer la mémoire............. Merci Gérald, Merci Jacques. Philippe.

 

jean claude Hestin 1940 (thonon les bains)

14/02/2006 07:39

C'est la Saint Valentin, Juste un message d'amour éternel à celle que nous avons aimée comme des fous, et que nous continuons à aimer comme des malades. Bonne féte d'amour à notre chère et belle Algérie, à l'Algérie de notre enfance. Amitiés a vous tous. Et bon féte aux petites cailles...

 

Claude Prat-Da Prato (1937) (Alger/Aix en Provence)

13/02/2006 21:53

Je souhaite longue vie à "Esmma", notre site préféré. Si Gérald et Raphaël n'avaient pas eu la lumineuse idée de le créer, comment aurait-on fait ? Ah! quel chaleur dans ce site, quel dynamisme et quelle tchach !! Il paraît que ce sont les femmes qui parlent beaucoup, mais pas ici ...ma parole. Les hommes se rattrapent. Ah ! Cà fait du bien pour le moral. Esmma c'est mon bain de jeunesse. Quelquefois je suis en retard, alors je capte tout ce que je n'ai pas lu et j'imprime, après je lis dans mon fauteuil. Génial! Justement, j'ai une excellent nouvelle. Si vous cherchez d'anciens copains ou copines, Esmma c'est le bon endroit. J'ai encore pour la deuxième fois tapé dans le mille. Par chance, par Esmma, et par mon intermédiaire mon époux a trouvé un ancien copain qu'il n'avait plus revu depuis plus de 50 ans! C'est pas beau ?. Je vous souhaite la même chose. Allez, bonne nuit à tous et à toutes. Rendez-vous demain dans notre "maison à tous" comme dit Gérald.

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

13/02/2006 16:42

Pour Yves Sendra : Lysel Conte est dans l'annuaire... (cf. l'adresse en haut de la page).

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

13/02/2006 14:02

Bonjour, un petit rappel. Il reste quelques places pour Le voyage à Alger du 12 au 17 avril. Prochains départs en mai, voyage en bateau et en septembre. A votre disposition pour tous renseignements. Salut. Yves

 

mouillot (CAGNES SUR MER (06))

13/02/2006 13:48

Destiné à Yves SENDRA... Il semble que l'on peut joindre Jean-michel CONTE à l'adresse suivante : contejm_mh@wanadoo.fr ( le _ est le 8 en minuscule) c'est bien du Jean-Michel!!! Bien amicalement.

 

Betty (Florence)

13/02/2006 12:43

Oui, Margaret, sous nos airs frondeurs et nos attitudes rebelles, nous (les filles de Delacroix) avons absorbé non seulement des savoirs et des comportements mais aussi beaucoup de fierté pour cette formation sévère que nous contestions discrètement. Ton texte confirme, encore une fois s’il en était besoin, combien est importante ( et le sera toujours) la formation par l’école et la nécessité d’avoir de Bons profs….. avec en aparté le rappel que, nous , alors, nous ne songions pas à “lever la main” sur eux.....

 

Yves SENDRA 1942 ( Alger Nice) (France)

13/02/2006 10:49

Bonjour, quelqu'un de notre grande et belle communauté aurait-il les coordonnées de Jean-Michel Conte (Gautier) et/ou de sa soeur Lysel (Fromentin) Après Alger, ils ont vécu un temps à Nice avant de partir sur Vaucresson... Et là, leurs traces se sont perdues dans les brouillards nordico-parisiens? Par avance, merci

 

Jean-Louis Féménias (1945) (Alger/Nice)

13/02/2006 10:28

Merci à toute l'équipe d'Es'mma! Merci aussi à ce remarquable surfeur qu'est Georges Lévy et ses superbes adresses (mais il n'est pas le seul à donner de bon sites!). En réponse à Maurice Léandri: il existait un Haussonvillers (avec un "s" selon une carte de 1948) sur la route d'Alger à Tizi-ouzou, à peu près à égale distance de Ménerville et de Tizi-ouzou, plus précisément à 11 km à l'est de Bordj-Menaiel et à 6 à l'ouest de Camp du Maréchal (ou 23 à l'ouest de Tizi-Ouzou).

 

JACK AZOULAY 1945 (senlis 60)

13/02/2006 00:12

Je crois que j'ai ouvert un debat fort interessant en parlant des ALSACIENS et LORRAINS en Algeri. Je remerçie tous les esmmaiens pour leurs informations et rends hommage à mes voisins d'Alger Mr et Mme BECKER qui faisaient partie de cette communauté

 

Odile Schneider (Lyon)

12/02/2006 20:33

Merci à J.P. FOLLACI, je viens de prendre connaissance de "DOM BALA BOUM" et bravo pour les silhouettes croquées par Jean Brua, c'est très bien observé, plein de vie.

 

Fatiha 1952 (Alger-Paris!)

12/02/2006 20:32

ODILE , n'est ce pas que LA REDOUTE revient en force ! La "troupe de musiciens en question est " BABA SALEM" , quand on arrivait à les rattraper pour leur donner la ou les pièce(s), on revenait avec la sensation d'avoir accompli un devoir en plus d'avoir été bénis! Arnold, Hélène, je suis heureuse que vous ayez pu pu faire le beau voyage sur le site, je pense du coup à Christian Ripoll qui peut y trouver plusieurs photos des chevaux de Diar-el-Mahçoul (je m'incline !) en allant sur "photos" puis " centre algérien" , puis "Qesr errayes" ( le Palais du RAÏS ) .

 

Lévy Georges (Alger (1938-1962) Israel 2006.)

12/02/2006 19:37

Moi je m'ennuyais ce matin, alors j'ai décidé de prendre un bol d'air salé
et suis allé sur la presqu'ile de l'Amirauté, vous vous souvenez, sur la face Nord. Et je suis entré à la "Station Zoologique d'Alger", du Dr Camille Viguier. Sur le web,tapez:

et feuilletez les pages 327 à 330. Une vue superbe de la jetée sur Alger. Continuez en entrant sur la plante des pieds dans la salle de "Photographie microscopique", page 389 à 391. Je vous souhaite une visite enchanteresse, comme elle le fut pour moi.
Alger, quand tu nous tiens !!!

 

Luc DEMARCHI (Lyon, jadis de belcourt à Alger)

12/02/2006 19:04

Remerciements à Odile SCHNEIDER pour le petit clin d"oeil qu'elle a fait à la bibliothèque du Cercle Algérianiste de Lyon. L'équipe qui en assure la gestion y sera très sensible.
J'en profite pour signaler aux lyonnais qui fréquentent ce forum qu'effectivement nous avons, dans le centre de Lyon, une bibliothèque de 1500 livres (dont certains sont rares et précieux) consacrés à l'afrique du Nord et plus particulièrement à l'Algérie.Pour en savoir plus, voyez la rubrique bibliothèque sur notre site : www.cerclealgerianiste-lyon.org
Merci à tous. Luc DEMARCHI.

 

Levy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006.)

12/02/2006 19:03

Si vous êtes intéressé(e) par la pose du cable sous-marin entre Marseille et Alger, pendant l'année...1880, allez sur: 4KY28.15 et cherchez la page 402 de la revue "La Nature". Vous assisterez à la pose de 905 km de cable téléphonique entre Marseille et Hussein-dey. Détails et gravures sont un régal. Une pensée à ces génies qui sans Calculateur, Gsp, Avion, ou autres instruments de guidage, réussissent ce tour de force.
Allo ? ici le 348-68 à Alger, le fils de René Lévy à l'appareil.... oui, j'habitais 20 rue Sadi-Carnot à Alger..ne quittez pas... Yves Jalabert le confirmera sur son annuaire de 1961!!..

 

Arnold (novice sur ordi) (Courbevoie)

12/02/2006 17:55

C'est dimanche il fait froid on peut se régaler devant NOTRE esmma dixit Anny... Fatiha merci pour algeria color SUPER.... J'ai la honte d'avoir oublié ce 8 novembre j'étais ce jour là à Mahelma dans une ferme(Suavet) et nous avons vu arriver les premiers GI ...... ALzeimer commence peut être à me jouer des tours...... Lu dans les kémias l'affaire LEBLOIS avec un L j'en suis sur car je l'ai déjà ecrit dans un message son frère demeurait au 16 rue Egar quinet... Melle Leblois avait cessé son commerce son neveu Alain ayant été tué dans cette stupide guerre........ Mon admiration à Gérald pour sa précieuse présence..... Allez tchao j'y resterais des heures.......

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

12/02/2006 17:24

Bonjour, et BON ANNIVERSAIRE, déja 5 ans.... j'ai raté 4 ans.. mais ça se rattrape..!
RAMSA.. est un chiffre porte bonheur, donc bonheur et longue vie, à ESMMA et tous les Esmmaniennes et Esmmaniens. A bientot pour une future rencontre. Salut. Yves

 

Odile Schneider (Lyon)

12/02/2006 16:01

LES REDOUTABLES SONT LA ?
Quelques uns se souviennent-ils d'un groupe de 3 musiciens, dont un était sans doute issu d'Afrique Noire, qui venant de je ne sais où, faisait irruption et emplissait soudain toute la rue d'une musique tonitruante et lancinante, l'un jouait du bendir ou derbouka, le second des crotales, le troisième de la flûte. Ils tenaient en laisse une chèvre ou un bouc ?
Maman nous donnait quelques petites pièces que nous allions jeter, timidement et craintivement, du haut du balcon car la musique était impressionnante de puissance et de rythme : elle résonne encore dans ma tête à l'instant où je l'évoque.
J'ai entendu dire plus tard qu'il s'agissait de demandeurs de pluie venant du Sud. Quelqu'un peut-il me le confirmer ? Merci et bon dimanche à tous.

REPONSE : mais oui Odile nous confirmons et ça a même déjà donné de longs échanges sur le Livre d'Or, qui ont suggéré à Jean Brua son texte "Dom-Bala-Boum" et son dessin évocateur du 2/12/05 vous le trouverez à l'adresse

 

Maurice Leandri (1937 ALGER/Marseille) (Marseille)

12/02/2006 16:01

N'y avait il pas ,au delà de fortes concentrations d'originaires d'Alsace ou de Lorraine , des villages aux noms caractéristiques : Je pense qu'il existait un village au nom de HAUSSONVILLER ou - si ma mémoire flanche - en tout cas un village à la même consonnance finale et ressemblant à un nom de ville mosellanne. A vos mémoires.. (pourtant il ne devait pas y avoir de toit ouvrant dans ces villages!) Ne serait pas en Kabilye? Nous devons etre nombreux à surfer presque quotidiennement sur Essma... sans rien écrire, mais en se contentant de se régaler de la belle chronique que tisse de plus courageux que nous qui tchatchent sur Essma pour notre plus grand plaisir. Oui Essma nous est indispensable!

 

Geneviève Gehin (Marseille)

12/02/2006 14:37

"L'Algérie, en 1871, n'était pas pour les Alsaciens une terre inconnue. Beaucoup d'entre eux avaient fait partie des troupes de la conquête, et quelques-uns étaient revenus en Algérie après leur libération.
Le 27 avril 1853, le ministre de la Guerre écrivait au préfet du Haut-Rhin : "Il faut grouper ensemble les familles que la similitude du langage et des habitudes porte naturellement à se réunir". Aïn-Sultane fut en grande partie un village alsacien ; Cheraga fut peuplé de paysans du Var ; Aïn-Benian, d'immigrants de la Haute-Saône."
Georges Delahache. "Alsaciens d'Algérie" - La REVUE DE PARIS N°24 - 15 décembre 1913.
Bien cordialement à tous et à Hélène, à Odile et à Jack en particulier.

 

esmma boitahouty

12/02/2006 14:22

Nous informons nos aimables visiteurs que les kémias des mois de novembre et décembre derniers sont à nouveau accessibles à partir du menu "Archives, les kémias" en colonne de gauche. Merci de nous l'avoir fait remarquer... Voilà, aussitôt repéré aussitôt réparé.

 

Hélène Deslions-Ponti (1949) (Alger / Ollioules)

12/02/2006 09:51

Un grand merci à Fatiha pour le site "Algeriacolor" il est super. Les photos, la musique... Toute ma famille l'a mis dans les favoris et une de mes filles qui n'a rien connu de l'Algérie (elle a trente ans...) m'a dit qu'elle avait eu les larmes aux yeux devant tant de beauté et de ce qui semble de ...... paix !

 

Philippe Jollivet

12/02/2006 08:26

Grand merci à Jacqueline Berto-Marlin et Jean Brua pour ces précisions qui confortent pour une partie seulement le lien de parenté) de Lionel Faivre, qui venait souvent à la maison, avec Marcello Fabri. Quant à son accident gravissime, nous pensions qu'il n'en avait pas réchappé. La confusion vient du fait que mon frère a quitté Alger à la même époque pour poursuivre ses études à Paris, et que de ce fait tous contacts ont été coupés. Mon frère sera heureux d'apprendre qu'il a survécu à cet accident .

 

Anny Marcelli-Daverio (Alger/Marseille)

12/02/2006 08:16

Bon Anniversaire à vous les créateurs d'ES'MMA......... Le matin, en allumant mon ordi..........je file direct sur notre site..... en buvant mon café........si je suis chez les enfants, dans le Tarn, idem................... j'ai attrapé le virus ES'MMA qui me fait passer qui me fait passer de très bons moments dans notre Pays en votre compagnie........Merci à vous et longue vie à notre ES'MMA!!

REPONSE : Anny, bonjour, votre message est la plus belle de nos récompenses. Plus encore, ce qui nous va droit au coeur, c'est le NOUS que vous employez. Es'mma a été pensé pour être notre "maison" à tous, que chacun s'y sente chez lui, dans ce Alger virtuel qui fut notre ville. C'est aussi la raison pour laquelle Es'mma n'est pas une association (j'en profite pour répéter encore : "non, il n'y a pas d'adhésions, pas de "bureau", pas d'Assemblées Générales; être "esmmaïen" c'est être ensemble, écrire, raconter, perpétuer notre mémoire et celle de nos parents, et c'est tout). Bonne journée, le ciel ici en Rhône-Alpes est ce matin magnifiquement bleu. C'était le bulletin "Es'mma meteo". Gérald.

 

VERDIER GUY ( 1941 ) (LA SEYNE SUR MER)

11/02/2006 19:21

Salut à vous Amis d'Alger. J'avais repéré un article concernant le Cours Pouyanne, Rue Voinot.. J'aurais aimé entrer en contact avec l'auteur car j'ai fréquenté la
seconde de ce cours ,fort sympathique par la mixité que je découvrais... Mon passage dans cet établissement s'est effectué de Janvier à Juin 1959... J'y avais, entre autres, comme condisciples Jean-Philippe Delahaie, Gérard Tendron, les deux soeurs Grima , Genevieve Baye, Anne marie Chaix, Azzopardi Frère et soeur... Peut -être liront ils ce message...? Toujours est-il que j'en garde un excellent souvenir... Guy Verdier

 

LAZARO Henri (1951) (Alger/Meudon la Forêt - France)

11/02/2006 19:08

Bon anniversaire au site qui pour 5 ans est bien grand c'est un adulte maintenant, j'espère qu'il vivra encore de belles années, afin de nous faire vibrer chaque jour, car c'est mon cas. Chaque jour dès que j'allume mon ordi je plonge sur le site afin de consulter les dernières nouveautés et les derniers messages. Je profite de ce mot, pour te remercier Gérald des photocopies des pages que je t'ai demandées de l'annuaire d'Alger. Au fait il date de quand? Amitiés à tous à bientôt, n'abusez pas trop du champagne, buvez plutôt du Selecto..........Amitiés pied-noir. Henri
REPONSE : bonsoir Henri. Cet annuaire date de 1961. Merci de tes voeux pour Es'mma, je forme les mêmes ! A propos d'annuaire, je renouvelle ma proposition de faire des photocopies des habitants des communes d'Algérie en 1922, puisque j'ai la chance de posséder aussi un annuaire Fontana de cette année-là. (voir la kémia "Dely-Ibrahim dans les dernières kémias). Bonne nuit à tous et à toutes !

 

Jacqueline Berto-Marlin (Franois France)

11/02/2006 18:46

Lionel Faivre était lé fils de Marcello Fabri, le frère de Monique et Mario Faivre, tous trois petits enfants, du côtè maternel de Mr. et Me Germain. Comme, presque chaque jour, je viens sur ce site respirer l'air de ma jeunesse, grand merci aux réalisateurs et participants d'Esmma.

 

Jean Brua (1934) (Nice)

11/02/2006 18:06

Réponse à Philippe Jollivet. Lionel Faivre était en effet un des fils de Marcello Fabri et le plus jeune frère de Mario. Mais il est mort il y a deux ans à Narbonne, où il était président du Cercle algérianiste local. Je tiens de Mario lui-même, que j'ai contacté il y a un instant, que Lionel avait été effecivement victime d'un accident de voiture en Algérie, mais qu'il en avait réchappé, malgré de sérieuses blessures. Celles-ci avaient notamment nécessité une greffe osseuse pratiquée à Paris par le célèbre professeur Merle d'Aubigné.

 

Hélène DESLIONS-PONTI (1949) (Alger / Ollioules)

11/02/2006 18:01

Des Alsaciens et des Lorrains étaient présents en nombre, dés 1830 en Algérie. Certains d'entre eux avaient été enrôlés dans les troupes de Bugeaud. Le village de Ouled Fayet (berceau de la famille Camus) près d'Alger a été créé par des alsaciens-lorrains vers 1835. Mon arrière grand-mère (de parents alsaciens) y est née en 1842.

 

Geneviève Gehin (Marseille)

11/02/2006 15:15

C'est à BELLE-FONTAINE, dans le département d'Alger, à 48 km à l'est d'Alger, que s'installèrent les premiers immigrants d'Alsace et de Lorraine en 1871. Puis dans le département de Constantine, il y eut Strasbourg, Metz, Colmar, Belfort, Chèvremont, Horbourg, Sainte-Marie-aux-Mines, Marsal, Landser, Bitche, Eguisheim, Altkirch, Ribeauvillé, Obernai, Rouffach et La Robertsau. Mais des confins de Maroc à ceux de Tunisie, il y eut au total près de cent villages où les familles alsaciennes-lorraines furent, suivant la formule administrative, "admises au peuplement" dont Aïn-Fekan, Bou-Khanefis, Oued-Fodda, L'Alma, Corso, Ménerville, Zaatra, Souk-el-Haad, Rebeval, Mirabeau, Dra-el-Mizan, Zemmorah... Amicalement à tous et BON ANNIVERSAIRE à ES'MMA !
REPONSE : effectivement, le site Esmma a vu le jour en février 2001 sous les doigts experts, pleins de talent et de bonne volonté, de mon fils Raphaël. Auparavant, le bulletin papier avait été édité en février 2000. Merci, Geneviève, de cette longue et fidèle mémoire. Et de votre bienveillance. Gérald

 

Mercier Jack (cap d'Agde france)

11/02/2006 09:44

J'ai fréquenté l'école de Garçons de La Redoute de 1946 à 1952. Directeur : M. Roux, Instit M. & Mme Crété, Mme Bonnafous. Y a t'il des anciens qui s'en souviennent ?

 

Philippe Jollivet ( 1940 )

11/02/2006 09:34

Marcello Fabri : alors, qui était Lionel Faivre par rapport à Marcello Fabri. On m'a toujours dit que c'était son fils ! Lionel Faivre, né aux alentours de 1930, qui s'est tué en Frégate noire aux alent-ours de 1957, et qui était un ami de mon frère Alain (même année de naissance).

 

FATIHA (Alger-Paris)

11/02/2006 00:40

M.CARDONA ( message du 21/01/06 , page 6 !), les REDOUTABLES sont de retour!Bonsoir à toutes et à tous, il y a de superbes photos de TOUTE l'Algérie sur le site "www.algeriacolor.com", il suffit de cliquer sur "photos" , puis de voyager du nord au sud, de l'est à l'ouest sur un fond de musique superbement bien choisi, celui qui accompagne les photos de la rubrique "Notre Dame" est sublime!

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

10/02/2006 20:57

Bonjour, simplement pour apporter mon petit grain de sel à ces passionants récits du 8 nov. 44 raconté par nos amis, je voulais vous dire que le buste qui trônait à l'entrée du Parc Mont Riant ou parc St. Saëns, était le buste de Marcel Louis Faivre connu sous le nom de Marcello Fabri, peintre et poète. Il était le père de Mario Faivre. Bye. Yves

 

Jean-Francois Giuliani (38) (new york, USA)

10/02/2006 20:53

Le rappel de Georges Lévy au devoir de mémoire fait renaitre un des plus pénibles souvenirs de mon enfance. Une collègue de ma mère au lycée Fromentin, Laure Lazare, avait ete frappée par les lois anti-sémites de Vichy, forcée de porter l'étoile jaune et interdite d'enseignement. Ma mère allait lui rendre visite tous les jeudis après-midi pour témoigner contre ce traitement inique qui m'a donné tres jeune un sens maladif de l'injustice. Melle lazare est ensuite retournée a Fromentin ou elle enseignait , je crois, l'histoire. Jean-Francois Giuliani

 

Jean BRUA (1934) (Nice)

10/02/2006 18:10

À propos des événements du 8 nov 42 évoqués par JR Pivon et G Lévy : il convient d'ajouter aux noms des résistant cités, celui du compositeur de musique et écrivain Marcel-Henri (dit « Mario ») Faivre, qui avait occupé avec son groupe le central téléphonique militaire de la rue Mogador et se trouvait au côté du capitaine Pillafort quand celui-ci a été tué devant le commissariat central. Fils du poète Marcello Fabri, Mario Faivre s'était signalé par des actions de résistance avant même le débarquement allié en AFN. Il a ensuite fait partie des parachutistes de la France libre qui ont mené des actions derrière les lignes allemandes au cours de la campagne de libération. Il vit aujourd'hui à Cannes avec son épouse Denise et compose et édite toujours de la musique contemporaine.

 

Odile SCHNEIDER (Lyon)

10/02/2006 14:03

Odile SCHNEIDER- LYON - A PROPOS DES VILLAGES CREES PAR LES ALSACIENS EN ALGERIE - Ayant, à présent, les éléments en main, je viens essayer de répondre à un message paru il y a quelques temps. J'ai entamé une démarche identique après un pélerinage au pays de mes ancêtres : l'Alsace. En effet, je me suis rendue à ROUFFACH il y a plusieurs années et avant de quitter le berceau de ma famille, j'ai eu l'occasion de signer le livre d'or de l'office de tourisme. Surprise : juste avant moi, un compatriote disait toute l'émotion qu'il éprouvait à découvrir le ROUFFACH de ses ancêtres venant lui-même d'un village d'Algérie dénommé ROUFFACH ! Le sujet me tenant à coeur, je me suis mise en quête de savoir où se situait ce village. C'est à la bibliothèque du Cercle Algérianiste de Lyon que j'ai eu la réponse, grâce à l'amabilité et la gentillesse d'une de ses adhérentes. Les renseignements obtenus (j'en possède la photocopie) ont été relevés dans un ouvrage intitulé, apparemment, "Guide en Algérie" édité par Hachette Paris en 1888 et dont l'auteur est un dénommé "PIESSE".
il est fait mention des villages suivants : ROUFFACH, BELFORT, ALTKIRCH, RIBEAUVILLE, EGUISHEIM, OBERNAI. Un petit commentaire rapporte que: "Tous ces nouveaux villages, dont les noms rappellent aux émigrants Alsaciens-Lorrains la patrie absente, sont situés dans une région où les terres sont bonnes, l'eau abondante et le climat salubre. L'aspect actuel de ces villages, leur développement rapide, la prospérité des vignobles ..." Ces villages étaient implantés au nord et à l'ouest du "Chattâba" dans le Constantinois. Voici un petit "éclairage" apporté sur ce thème. Cordialement.

 

Levy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006.)

10/02/2006 11:33

Chers amis, il est impensable d'oublier ce 8 Novembre 1942. Si ce débarquement avait tardé, il est fort probable que j'aurai écrit à Es'mma, mais d'un autre monde.Pour ceux qui veulent lire des témoignages de la résistance en Algerie:

voir chapitre 009 de Georges Le Nen. Non moins célèbres, les textes de Jean l'Hostis, et aussi de Germaine Desmoulins, que vous pourrez lire et imprimer de l'Internet.
Pour les plus jeunes d'après-guerre, apprenez le sacrifice du Capitaine Pillafort et du Lieutenant Dreyfus, assassinés par les forces de Vichy, le jour même du Débarquement des Alliés. En bref, 400 hommes sous la direction de José Aboulker (Compagnon de la Resistance), neutralisèrent les points vitaux de la Ville, pour faciliter l'arrivée des Américains, et éviter les effusions de sang. Voir sur les listes de participants les noms à consonnance juive (90%). Pourtant, il fallu attendre presque 1 an, 1943, pour que soient abrogées les infâmes Lois de Vichy, et libérés de camps de concentration du Sud-Algérien, les résistants authentiques aux forces fascistes. Le buste du Capitaine Pillafort était dressé rue Jean-Rameau, proche du Bd Baudin où il était tombé. Une plaque commémorative au Lieutenant Dreyfus fut apposée au coin de la Gande Poste, dont il avait défendu le Central Téléphonique. Cette poignée d'hommes courageux, nous a délivrés ainsi de l'oppression allemande, et elle fu t le catalyseur de l'Armée d'Afrique. Passant,souviens-toi.

 

PIVON Jean-Robert (38)

10/02/2006 00:30

Un complément pour ARNOLD: voir le site WIKIPEDIA opération TORCH et vous aurez tout l'historique de ce "putsch" réalisé par la résistance Algéroise dirigé par le Professeur H. ALBOUKER à partir du 26 rue Michelet et d'autres personnes. Appelé: "Le Coup du 8 Novembre"

 

Martine LEGROS/VAQUER Vve ODE (1944) (JOUE LES TOURS/FRANCE)

09/02/2006 23:49

Bonjour à tous, je recherche pour mon frère Roger VAQUER, un ami d'enfance du quartier de la Robertsau qui s'appelle Roger DALMAU (ORTOGRAPHE ?) Si quelqu'un sait dans quelle région, il se trouve, merci de me le faire savoir. Amitiés Pn

 

PIVON Jean-Robert (38)

09/02/2006 17:38

Réponse pour ARNOLD (Courbevoie 92400) concernant le 8 novembre: débarquement des Alliés en Algerie en 1942

 

Philippe Jollivet ( 1940 )

09/02/2006 14:34

Merci les chefs ! Avec un peu de chance .......... Comme dit Jacques, bientôt il va être obligé d'ouvrir une rubrique nécrologique s'ils tardent trop à s'inscrire sur l'annuaire.
Duc-des-Cars 40, promis, la prochaine fois que je monte à Tresserve, je m'arrête chez toi.

 

Jacques Prat (1941) (Aix en Pce)

09/02/2006 11:30

Salut Yves Sendra: Content de te lire. Merci d'en avoir rajouté une couche à propos de Jean Bogliolo. Je n'avais pas souvenir de l'épisode Camus-Télé Alger. Ils étaient effectivement condisciples. Et pour ceux qui n'ont pas du manqué de lire le livre posthume de Camus, "le premier homme", on y retrouve l'atmosphère de la nouvelle de Bogliolo que nous avons publiée ("le concours des bourses"). Notamment dans l'hommage que rend Camus à son instit "Mr Bernard" (chap 6bis "l'école"), y compris même son évocation de ce fameux "concours", qui visiblement les a marqué tous les deux. Qui a influencé l'autre ? Vraisemblablement aucun car les dates d'écriture et de publication de l'un et de l'autre ne concordent pas. Je pense, qu'issus du même milieu, ils ont été coulés dans le même moule, celui de l'école de la République de l'époque qui chez nous également, et peut-être plus qu'ailleurs, savait faire coexister en bonne harmonie des catégories sociales différentes et surtout des cultures différentes. L'examen de nos photos de classe, les différents témoignages de nos textes, et la teneur de vos messages sur ce Livre d'Or, montrent sans ambiguïté, aux esprits chagrins (qui voulant nous en faire accroire, prétendent aujourd'hui le contraire) que dire que nous y vivions en bonne harmonie, n'est pas une affabulation, et qu'une certaine présence là-bas (ne serait-ce que de ce corps enseignant remarquable) fut une oeuvre largement positive... jusqu'à ce que certains en décident autrement, pour notre désespoir à tous, des deux côtés de la Grande Bleue... Bon ! ne nous égarons pas... restons dans l'"esmma-étiquette", oublions les périodes sombres, continuons à nous souvenir des moments heureux et à en témoigner. Il ne s'agit pas uniquement d'une thérapie pour le microcosme E'smmaien, c'est aussi, n'en doutons pas, un sujet de réflexion pour tous ceux qui nous observent et nous lisent (ils sont plus de 500 chaque jour... ma parole !..).
PS : Pour Philippe : main'nant, plus gros que ça tu meurs.. c'est en gras et en vert... après, je jette l'éponge

 

ARNOLD (Courbevoie 92400)

09/02/2006 10:50

Mci Gérald pr les rensgts sur la policlinique du 8 Nov. mon fils ainé a vu le jour un 22 Janv.1962 .....Who is Gérald ??? Cé quoi le 8 nov ???? Excusez ignorance à mon âge je débute sur PC.... Peux savoir si une mouna est prévue sur la région parisienne car bcp + de choses ont lieu dans le sud...
REPONSE : bonjour Arnold. Un petit coup d'oeil en rubrique "nouzautres" devrait vous permettre de faire connaissance avec quelques uns d'entre nous... Notez que depuis le temps qu'on se dit qu'on va la mettre à jour, elle est toujours scandaleusement incomplète... N'y figurent pas des esmmaiens devenus entretemps aussi essentiels que Jacques (Prat) ou Jacqueline (Blanc), entre autres. Mais il est vrai, aussi que, depuis, ce sont tous les esmmaiens qui sont devenus indispensables...
2 : Oui, une mouna est prévue vers la fin avril en région parisienne, date et lieu à préciser... Gérald.

 

Gérald Dupeyrot (1946) (Alger - Dauphiné)

09/02/2006 08:47

Jean-Claude, voilà une ininiative qu'elle est bonne ! En tant que résidant dans l'Ain, si vous acceptez de me considérer comme un lointain satellite du Lac Leman, c'est avec un grand plaisir que je serai des vôtres. Gérald
PS : Philippe, bonjour, content de te lire. T'y as vu ? Je fais comme tu dis, 1946, eh oui... Bientôt 60... (soupir)

 

Philippe Jollivet ( 1940 )

09/02/2006 08:46

Eh oui ! Il semble que nombreux(ses) semblent ne pas lire ce qui précède les messages.
Un : ne pas oublier de mentionner l'année de naissance ( Gérald, je crois que tu vas être obligé de le mettre en dros caractères, en gras et en rouge ........ ). Deux : Oublier de s'inscrire sur l'annuaire de Jacques Abbonato (et pourtant, il a permis déjà à certains de se retrouver). Oh ! vous êtes des tchoutches ou quoi !

 

Levy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006)

09/02/2006 07:49

J-P Follacci,non,il ne m'en reste pas le souvenir de cette inscription idiote "Burel négropole". Par contre il me semble que l'auteur de ce graffiti a du avoir un examen de passage en Francais. Négropole est la traduction allemande de Nécropole. La salle de dessin de notre cher Burel, au contraire d'une nécropole, etait vivante, colorée, et vibrante de l'ardeur de tous les éléves à coucher sur la feuille de papier Canson tout leur amour pour le dessin, inculqué par notre Maitre.

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

08/02/2006 23:30

Hello, encourageons les initiatives en répondant favorablement, à l'appel de J.C. de Thonon.. (zarma, c'est un nôble..), ça peut être sympa une fondue ou une raclette avec de la soubressade.. et puis les voyages forment la jeunesse.. le tout c'est de savoir à quelle date, parcequ'en ce qui me concerne mon "carnet de voyage" est déja bien rempli.. Voila J.C. on atend de tes nouvelles. Salut à vous. Yves

 

jc hestin 1940 (thonon les bains)

08/02/2006 17:40

Etoile des neiges, chanson bien connue de tous et des Savoyards en particulier..
voilà le théme de mon message d'aujourd'hui. En Haute Savoie on sait vivre aussi et je propose a tous les esmmaiens de la région du Lac Léman de se manifester pour que l'on puisse mettre en musique une rencontre amicale, sous le parrainage de nos amis Yves et Gérald. Donc amis Pieds Noirs du pays de Gex, de l'Ain, du Genevois, du bassin Lémanique et des 2 Savoie, faites vous connaitre. Ce jour là nos parrains donneront le La. pour chanter tous ensemble dans la joie et la bonne humeur,
Etoile des neiges, nos coeurs amoureux( air connu)
Amitiés a tous. Jean Claude de Thonon les Bains.

 

Sendra Yves (Nice)

08/02/2006 17:01

Message à Jacques Prat et tous ceux qui ont eu l'honneur d'avoir un jour "Bogli" comme Prof.Dabord merci Jacques, tu nous as remis en mémoire " Buck Bogli" et son blouson... " Bogli" et son carnet, "Bogli" et la tragédie de Budapest. Je voudrais dire un mot de " Bogli" et la mort de Camus. Bogli était passé à télé Alger pour parler d'Albert Camus, il avait modifié son cours pour nous dire qui était Camus avec extraits de l'étranger à l'appui. Je crois qu'à l'issue de son cours grand nombre de ses élèves pour ne pas dire tous, avons envahi la librairie de la rue Michelet (Chaix, je crois) pour acheter l'Etranger. Je dois dire que l'éloge de "Bogli " à Albert Camus a fait de moi un lecteur assidu de CAMUS et Camus reste parmi mes auteurs préférés.
Merci Monsieur Jean Bogliolo. Par la suite, par je ne sais quel hasard, il me contacta au moment de la sortie de sa saga " L'Algérie de Papa " que j'ai ainsi pu offrir à mon regretté Père au fil des parutions. Si je n'avais qu'un nom de prof à retenir de ma scolarité, c'est bien celui de Jean Bogliolo. Merci à Toi, l' ami Jacques.

 

serre (Maison-Carrée/Paris 95)

08/02/2006 14:46

Bonjour Maison-Carrée et plus présicément l'école Laverdet, bonjour aussi à Fort de l'eau/Verte Rive avec ses :qui veut de mes "z'oublis" , Josette Castronovo, Cité Boisse, Monique Simo, Jackie son frére, cours de France êtes- vs ds le coin ? et les ballades en scooter !! Raymond Lubrano fils du bijoutier de MC : j'ai tjrs la chevalière offerte par ton pére à ma communion. Guy du cours Michelet à Alger "chanteur de groupe" ???!!J'attends de vos nouvelles impatiemment

 

J.-P. Follacci (Nice)

08/02/2006 14:28

À propos de Monsieur Burel, qui élucidera le sens, qui continue de m’intriguer, de l’inscription «BUREL NEGROPOLE» qui se maintint plusieurs années sur le mur de l’escalier conduisant à la salle de dessin ? Si le coupable lit Es’mma, il peut se dévoiler et expliquer : il y a prescription. Peut-être que Georges Lévy qui, après Georges Busson, a pieusement illustré la mémoire de notre professeur pourra nous éclairer.

 

jack azoulay (SENLIS 60)

08/02/2006 08:31

JE VOUDRAIS SAVOIR DANS QUELS VILLAGES D ALGER LES ALSACIENS LORRAINS ETAIENT LES PLUS IMPLANTES OU QUELS VILLAGES ILS ONT CREE MERCI

 

lucienne pons (ALGER HYDRA)

08/02/2006 06:24

Bonjour chers amis. J'étais des les pétroles en ALGERIE AVANT l'indépendance . J'ai écrit une étude sur les pétroles d'aumale qui ont précédé la SN REPAL au Siège à HYDRA; (Mme PONS-CANAVAGGIO). J'ai écrit une étude sur les premières découvertes de pétrole en Algérie, précédant celles de la REPAL; JE VOUDRAIS MAINTENANT ECRIRE SUR LA SN REPAL et ses découvertes pétrole d'hassi-Messaoud et Gaz d'Hassi R'mel. Je manque de documentation - LA REPAL éditait intérieurement un journal d'entreprise "LE REPALIEN"
SI PAR MIRACLE CERTAINS D'ENTRE VOUS CHERS AMIS DETENAIENT CETTE COLLECTION POURRIEZ VOUS ME LA FAIRE PARVENIR EN COMMUNICATION POUR CINQ OU SIX MOIS OU MËME QUELQUES SEMAINES POUR LES PHOTOCOPIER PAR EXEMPLE,
Je vous rembourserai les frais d'EXPEDITION ET BIEN ENTENDU VOUS LES RESTITUERAI APRES AVOIR PRIS LES NOTES NECESSAIRES (dates des découvertes, trombinoscope etc...)

MERCI DE ME CONTACTER PAR E.MAIL OU PAR TELEPHONE EN LAISSANT UN MESSAGE AU 01.43.7O.68.55 AFIN QUE JE PUISSE VOUS COMMUNIQUER MON ADRESSE;

 

lucienne Pons (Paris)

08/02/2006 06:09

Je porte le même patronyme que vous - mes ancêtres sont arrivés en Algérie en 1830 -région Bou hamédi-fondouk fort de l'eau - Les noms des familles anciennement apparentés PONS GORNES TUDURI VIDAL TORRENTZ MAUGEZ . Je ne sais pas si nos ancêtres étaient cousin le premier arrivé en algérie en 1830 était Juan PONS femme nom de jeune fille TUDURI et la première femme GONALONS VEUVE gornes) avec ses 7 fils - était de la famille de Juan PONS
FELICITATIONS POUR VOTRE SITE DE GRANDE QUALITE
Cordialement

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

07/02/2006 17:51

Oyez, oyez! Pour les ceusses qui zont toublié le nom de famille de leurs copains-copines, y a métenant une liste par prénoms dans l'annuaire (cf. l'adresse en tête de cette page). Ca se manipule comme les deux zôtres sauf qu'y en a pas des xxx née yyy mais seulement des yyy épouse xxx, histoire d'aérer un peu la présentation. Qu'on se le dise!

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

07/02/2006 16:36

Rectification votre Honneur, je parle à Gérald, le téléphérique qui monte aujourd'hui à Notre Dame d'Afrique... c'est pas 75 mais plutot 85 ou 86. Lors de notre premier voyage de retour en 84 ce téléphérique n'existait pas encore.. Volia, à plus pour les suites... Yves

REPONSE : on vient d'en parler au téléphone, Yves, je te confirmes que j'étais à Alger en septembre 1984 (mon voyage de retour, moi aussi), et j'ai pris ce téléphérique pour monter à Notre Dame d'Afrique. Depuis la cabine j'avais même pris des photos (assez loupées) du cimetière de Saint-Eugène en contrebas. On va mieux chercher...

 

bennett (ALGER)

07/02/2006 13:57

Je cherche à joindre les amis de ST BONAVENTURE Champ de Manoeuvre ALGER
1961-1962

 

battaglia né en 1937 (lomme nord 59)

07/02/2006 10:31

Je recherche des copains d'Alger qui ont connu le jardin d'essai et qui sont allés a l'école Vauban entre 48 et 50. SVP écrivez-moi sur ce site merci et à bientot j'espère

 

Jacques CAMPS (Couiza- 11190 - France)

07/02/2006 09:38

Remercie à Gérald. Effectivement je viens de retrouver ce téléphérique sur la carte d'Alger que je viens de commander chez Gandini. Mais j'avoue que je l'avais complètement occulté. J'arrêterai donc de poser des questions car j'aimerais bien, que toi Gérald, tu arrives en finale !

 

Jacques CAMPS (Alger 38-61) (Couiza - 11190 - France)

06/02/2006 23:22

Merci, à Gerald d'avoir répondu si rapidement et de m'avoir fait connaître le site vieilalger qui est superbe et très instructif. J'en profite pour vous demander une précision: j'ai compulsé des photos dans le site photos-algérie.com, on parle d'un téléphérique à Alger, l'avez vous connu ? Où était-il ? j'avoue que je n'en ai aucun souvenir. Merci à celui qui me renseignera. J.C.

REPONSE : Bonjour Jacques. Ça va, pour l'instant tes questions ne sont pas trop difficiles, je peux revenir en deuxièm semaine : le téléphérique joignait la cité de Diar-el-Mahçoul à la rue de Lyon, à la hauteur du cimetière musulman du Marabout. Il y aura à Alger un second téléphérique, après l'indépendance (vers 1975), entre Saint-Eugène et Notre-Dame d'Afrique. Si je te dis tout ça c'est que j'ai comme souffleur le Génie dfe La Lampe De Bureau,et qu'il en connait un rayon sur notre bonne ville... Gérald

 

d'Acunto Gilberte (alger)

06/02/2006 21:29

Bonjour, et un énorme merci aux concepteurs de ce site qu'une amie m'a fait découvrir... Il ne s'agit pas pour moi de nostalgie, mais d'un retour aux sources par l'image et comme ces images font du bien... J'ai découvert des photos d'hamma-marine mon école, et je pense y rajouter une photo, mais surtout j'aimerais tant entrer en contact avec toutes mes amies d'enfance. Pour un grand moment de retrouvailles. Voilà, si je pouvais obtenir qu'elles me joignent. Gilberte d'Acunto

 

Jacques Camps (Alger 38-61) (Couiza - 11190 - France)

06/02/2006 19:26

J'aimerais qu'on me dise comment était Alger en 1830 (importance de la ville- nombre d'habbitants.............) J'aime ma ville et je suis émerveillé de voir ce qu'elle était devenue en 130 ans, de beaux immeubles des rues larges, de beaux monuments, des hopitaux, des églises, des lycées, des écoles, une Fac.......... Tout cela en 130 ans, cela me paraît incroyable ! Mais c'est vrai qu'elle était belle notre ville...............

REPONSE : en page d'accueil d'Esmma, quand on avait fait ce 1er écran, il y a 5 ans (comme le temps passe!), nous avions déjà recommandé le site
qui traite comme son nom l'indique, du Vieil Alger. La recommandation vaut depuis 5 ans et tient toujours ! Je viens d'aller y voir, il semblerait que rien n'y ait été mis à jour depuis le 15 septembre 2005, et c'est bien dommage. Encourageons le talent et le travail, rendons lui visite... Gérald

 

Nicole Soler-Libera (Aix-en-Provence)

06/02/2006 18:17

Nous sommes 5 de Fromentin : Martine Neveux, Marie-France Pétus, Annie Bilard, Danielle Wallimann et Nicole Soler. Nous habitons toutes Aix et aimerions retrouver des anciennes camarades de lycée. Contactez-nous au plus vite. A bientôt pour les retrouvailles !!!!

 

battaglia georges (nord 59(lomme))

06/02/2006 16:11

recherche copains quartier jardin d essai annee de 1937à1962 rue du docteur roux faire passer un message svp merci

 

Anny Marcelli-Daverio (Alger/Marseille)

06/02/2006 07:41

À Marseille, je ne connais qu'une seule pâtisserie où l'on trouve des toupies (roses ou Chocolat) c'est au début du Bd Baille côté rond point Castellane.........voilà pour les PN de Marseille............ qui montent voir Paris et Danielle! Pour les "coups de soleil", ma mémé les enlevait , bien sùr, avec la serviette et le verre d'eau, en récitant une prière!! et .......miracle, plus rien........malheureusement, il y a longtemps qu'elle n'est plus auprès de moi........

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

05/02/2006 23:59

Salut... oui Anny, l'épicerie face aux escaliers qui menaient à Volta et aux rues Dupin et Ampére, j'ai acheté mes premiers fils de scoubidou dans cette boutique. Voila... à bientot pour la suite. Yves

 

Ferra Danielle (Paris)

05/02/2006 21:48

Bonjour à toutes et tous

Pour Gabriel Goumis et les zôoootres, les coups de soleil (aie aie aie) on me les enlevaient.........par l'intermédiaire d'une dame qui marmonnait des prières tout en manipulant un foulard qu'elle mesurait avec ses avant bras......
en trois jours le coup de soleil était parti, mais je n'ai jamais compris comment avec le même foulard et les mêmes bras, la hauteur de celui ci changeait tous les jours....le premier jour il était au-dessus de la tête,le deuxième il était descendu vers les épaules, et le troisième jour, la main entouré du foulard arrivait à hauteur de la taille... ça a toujours été un grand mystère pour moi. On allait toujours voir la même dame, je ne me souviens plus ni de son nom, ni où elle habitait......une seule image me vient en tête, la compagnie de Gaz... on devait surment passer par là. Mais contrairement à toi il n'avait pas d'eau.. Je suis sure que nous ne sommes pas les seuls à avoir bénéficié de ce genre de service, si d’autres ont connu la même chose, ou ont des renseignements sur ce sujet, je suis preneuse.
Depuis Alger après je ne sais combien de coup de soleil (je suis blanche comme un cachet d’aspirine comme on disait chez nous) je fais comme le type des bronzés, je prend un chapeau ou une casquette, je mets de la crème protectrice, 32 degrés, et … j’attrape quand même des coups de soleil et je vire à la couleur écrevisse… alors……. je vais à l'ombre!!!!!
Ps Celui ou celle des Esmmaiens de Paris qui vont à Marseille et qui ne nous ramènent pas des ‘Toupies» pour notre prochaine réunion d’Esmma, JE NE L UI CÔOOOSE PLUS !!!!!!!!!!!!!

 

Anny Marcelli-Daverio (Marseille)

05/02/2006 19:34

Coucou! pour répondre à Jean-François (NY/USA) le coiffeur, face aux escaliers de Volta, était Mr Marquès (mon père y allait tous les mois)........si ma mémoire est toujours bonne,Yves!! il y avait aussi une épicerie où, régulièrement, ma copine et moi achetions une tablette de chocolat au lait (papier rouge) en nous rendant à Dujonchay. Amicalement à tous et à +

 

Levy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006.)

05/02/2006 19:30

Ce Kaddour qui a si bien récrit en sabir les fables de La Fontaine, illustrées par Drakoub, était-il le même personnage que Kaddour Ben Nitram ? Ce dernier, en fait du nom d'Edmond Martin, né a Tunis, en avait fait un anagramme (Vous lirez Martin à l'envers). Quant à Kaddour, c'était son parrain arabe, ancien tirailleur qui fréquentait à Tunis, un cafe-maure célèbre. Tunis de l'entre-deux guerres était une ville cosmopolite, aux langues mélangées, qui lui ont inspiré ses célèbres "Sabirs", écrits vers 1927. Martin était professeur de Francais. Sur le site d'Alger-roi.com, vous y trouverez dans la rubrique "Humour", les fables célèbres (ces précisions sont tirées de Harissa.com.). Jean Brua corrigera mes erreurs, car il y a peu de renseignements sur internet quant à la biographie de Kaddour.

 

Georges SALESSY (Boulogne Billancourt)

05/02/2006 16:53

Georges Salessy (1937) Constantine- Alger- Boulogne 92100. Merci à Jean LEROUX pour son message du 1-02, ainsi qu'à Georges De Jaegher auquel j'ai déjà répondu... Depuis mai dernier, j' ai cru, pendant longtemps, être, avec deux de mes frères, les derniers représentants d'une peuplade en voie d'extinction: les anciens élèves de ces chers vieux profs du champ de Manoeuvres... Grâce à Es'mma, il n'en est rien , l'extinction sera pour plus tard!! J'ai même repris contact récemment, avec trois de mes amis de l'époque! Merci à toute l'équipe pour ce magnifique outil de mémoire et de lien.
PS: en ce qui concerne Mr Lucien CAMOU notre prof de fançais en 2nde et 1ère, je suis quasi certain qu'il est mort entre fin 57 et 59, son suicide avait fait l'objet d'une page dans France Soir, page que j'avais montrée à des copains, élèves ingénieurs à Paris, qui ne comprenaient pas bien ce qui se passait "là-bas"!!

 

Jean Brua (1934) (nice)

04/02/2006 21:49

À Georges Lévy : il y a confusion entre sabir et pataouète. « La Lion y la Petite Moche » est bien une fable en sabir, mais de Kaddour, pas de Brua. Il y a parfois du sabir dans les fables bônoises de ce dernier, mais la langue employée se partage surtout entre pataouète et... français du XVIIe. Autres fables de Kaddour mettant en scène un lion : « La lion y li do Marocanes », « La lion, li Chacail y li Rinard », « Li Zouave, li Torco, li Sassor d'Afrique, li Grancapote y la Lion » (Ed. Balland)

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

04/02/2006 15:57

Bonjour, et merci Georges, d'évoquer le message d'Amina. Un petit rappel pour ceux qui ne connaissent pas l'historique. En sept. 2005, nous avons été reçu, à Alger, par Amina Fellous, responsable du développement du jardin d'essai. L'équipe quelle dirige se bat depuis longtemps, becs et ongles pour, d'une part, sauvegarder ce jardin qui a failli disparaitre en totalité pour faire place à une autoroute et des immeubles et d'autre part pour redonner à ce jardin sa spendeur d'antan avec tout l'historique qui lui est attaché, emplacement des sculptures avec histoire du sculpteur un dénommé Gaudissard, faire revivre le zoo, totalement deserté de ses occupants, recherche sur la flore, les arbres à sauvegarder, les plantes médicinales à étudier.. Le jardin est en bon état général, j'ai toute une série de photos pour ceux que ça interesse Aujourd'hui Amina nous demande des renseignements sur le lion de l'Atlas, à quelle date ce dernier roi des animaux a disparu? dans quelle région... ? et tous renseignements se rapportant à ce bel animal. Pour l'heure le jardin est fermé au public, pour remise en état et c'est en privilégiés que nous l'avons visité et rencontré des gens formidables de toutes formations, botanistes, jardiniers, agronomes, zoologues, etc.. tous passionnés et passionnants, il faut les encourager à poursuivre leur tache et les aider dans leur mission. N'hesitez pas à me contacter, je vous mettrai en relation avec Amina. Merci d'avance. Salut. Yves

 

Lévy George (Alger(1938-1962)Israel 2006.)

04/02/2006 13:11

Comme dans la fable, ce lion a eu peur de la souris..du calculateur.

c'est l'adresse du Journal La Nature. Sur la "page de titre", dans la marge de droite, dans le petit rectangle, tapez 238.
C'est la page de la troisième année 1875, deuxième semestre, du Journal (numéros 105 à 130).
En bas de page, "la Chasse au Lion en Algérie". Mais il y a quantité d'autres articles pour ceux qui aiment chiner les vieilles choses.

 

Lévy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006.)

04/02/2006 10:34

Cette fois, puisque le Chemin de La Solidarité est retrouvé, je me permets de vous demander une précision, qui à mon humble avis, doit faire travailler vos neurones, les miens étant emberlificotés. Il s'agit du magasin de tissus, sis rue Michelet, en son centre, sur le trottoir de Ferraris, à l'enseigne :"A La Ville de Lyon". Magasin trés achalandé, tenu par Madame Louisette Amar, qui vient de décéder à Paris. Une lointaine parente. Je crois me souvenir, mais est-ce bien là-bas, ou dans un autre, d'un .... Lion empaillé qui tronait en haut des étagères.... Non, je ne rêve pas, c'était toujours pour moi un sujet de curiosité, parmi les rames de tweed à la dernière mode de chez nous.... Et pourquoi cette recherche léonine ? Parce qu'à Alger, on s'intéresse au dernier "Panthera Leo", ce dernier étant mort en prison, au Jardin d'Essai d'Alger: Je m'en souviens parfaitement, et il était le point central d'interêt de mes fréquentes visites. Il était bien vieux, le pauvre, et restait longtemps assoupi.. Gsell prétend que le dernier lion fut assassiné en 1923. Jules Gérard, Bombonnel s'en donnèrent à coeur joie. D'autre parle de la dernière dépouille, à Batna, 1893. Tous dans la région des Aurès. Dans les Cahiers du Centenaire, Livret X, note de Garcia. Un Lion aurait été vu d'avion. Mais sur le site

la revue La Nature, décrit en 1875, deuxième semestre, une chasse précise au lion. (En feuilletant internet, j'ai appris ,que l'ours brun fut aussi un habitant des montagnes d'Algérie, mais disparu, chassé, avant le lion. Le lion algérien, n'est pas semblable au lion marocain, don du Roi du Maroc à l'Algérie en 1913. Dixit Amina qui essaye de faire revivre le Jardin d'Essai et son Zoo. Je viens de jeter une grosse pierre dans l'eau, et en attend avec plaisir les nombreux remous et rugissements. Mais à coup sur, la Fable en Sabir de Brua, le Lion et la Mouche, est elle, indiscutable... et bien réelle.

REPONSE : Georges, vérifie l'adresse que tu nous donnes (serveur du CNAM) car elle ne pointe sur rien...

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

03/02/2006 23:19

Quelle mémoire Anny, c'est ça Mr. Abrar... et merci à J.F. qui depuis Nouille Orque, nous confirme que Vallin et Solidarité c'est KIF KIF. Tout à fait en haut de la rue Charles Vallin, presqu'arrivé au Bd. St. Saëns, il y avait la fabrique du charcutier Gomis, j'allais à l'école avec le fils. Concernant Monique Baroli, elle vient de temps en temps faire un tour sur Esmma, j'ai ses coordonnées, elle est venue avec sa mère et son frère, décédé le lendemain de son son retour, en voyage a Alger en septembre. Bye. Yves

 

jean francois giuliani (new york, U.S.A.)

03/02/2006 22:45

J'ajoute mon (très petit) grain de sel dans la controverse Chemin de la Solidarite/Rue Charles Vallin. Ayant successivement emprunté les deux, je peux vous garantir que c'etait la même "voie de passage" dont le nom depend uniquement de nos âges respectifs! Kifkif bourricot. La solidarité est devenue Vallin. Se souvient-on du coiffeur au haut des escaliers qui allaient de La Solidarité à l'Ecole Volta? C'est là que j'ai entendu pour la première fois, à 6 ans: " Si tu bouges, je te coupe les oreilles." Il faisait aussi "la coupe à la Titus" qui a eu son heure de gloire dans les années 50 avec le T shirt à raies bleues sur blanc, soit disant de marin américain. Jean-Francois Giuliani

 

christian Ripoll 1936

03/02/2006 19:05

Le pétrolier que je suis n’ignore pas Conrad Kilian. C’est vrai, il n’a jamais été pris au sérieux par les autorités. Mais c’était un personnage étrange, doté d’une bonne dose de mythomanie. Sa première mission au Sahara n’était pour chercher du pétrole, et on ne sait pas trop si ses convictions viennent de ses propres découvertes ou de ce qu’il a pu entendre de la bouche d’autres ! Il était convaincu que la région du Fezzan regorgeait de pétrole. Mais même s’il avait été pris au sérieux 40 ans plus tôt, ça n’aurait rien changé, car les énormes découvertes ne l’ont pas été au Fezzan, qui est toujours sec… Je prépare un papier sur ma propre expérience pétrolière, du moins mes premiers pas, justement à Hassi Messaoud. Ceci n'enléve rien aux conséquences évoquées par Georges...

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

03/02/2006 18:29

Pour Anny Marcelli (et les autres...) : en faisant une recherche dans l'annuaire, j'en ai retrouvé trois, des oiseaux rares de Dujonchay: Monique Baroli (1948), Elisabeth Boukabza (1946) et Marie-Claire Colinet (1948). Si tous ceux qui passent par ici faisaient l'effort de s'inscrire... Allez! un bon geste et après y'a plus ka... L'adresse de cet annuaire? C'est écrit en gros en tête du livre d'or...

 

Anny Marcelli (Alger-Marseille)

03/02/2006 17:51

Me voilà de retour! vous discutez de l'avenue Dujonchay/rue charles Vallin et de la fameuse pente pour aller acheter des bonbons à 1ct, au bas de mon école dujonchay......... c'était la boutique de Mr Abrar pendant de longues années...... puis vers 1959-60 (je crois!) c'est la maman d'une camarade de classe qui a acheté le petit magasin -Mme Gasq- (je ne garantis pas l'orthographe). On y trouvait également cahiers, crayons et autres besoins scolaires... tous les jours nous y faisions un petit tour... la remontée était dure... nous avions de bons mollets!!! mais nous grimpions en degustant 'mistral', boite de coco, pastilles vertes... mais les filles de Dujonchay où sont-elles? je les recherche en vain... mais vous les filles de la Redoute, bravo! je vous envie! allez, salut à vous tous les esmmaiens (nes) et à +

 

Levy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006.)

03/02/2006 15:32

Rectficatif sur la date du décés de Kilian, il faut lire bien sur: 29 Avril 1950. Force de frappe, et faute de frappe...

 

DROUHARD Jean Claude(1947)Alger-Chenove (21300-Chenove)

03/02/2006 15:10

Rebonjour à vous tous !!! Pour faire suite à mon message de ce matin (9h31') et pour répondre à l'interrogation d'Yves me concernant (JC quelle précision veux tu ?) je voulais tout simplement dire que sur la photo référencée (en question) le terme "Ambert" ne correspond à "rien" puisqu'il s'agit d'une vue en enfilade "montante" de l'intersection Vallin-chemin de la solidarité... avec, juste sur la droite, en premier plan le départ de la rue de Nimes (dans le sens Vallin-Burdeau); quand à la rue Ampère (à laquelle je ne pensais vraiment pas ...en rédigeant mon message... pardonnes moi Yves!!!.. je n'avais pas fait le "rapprochement" entre ces 2 orthographes si approximatives ! ... C'est le moins que l'on puisse dire !!) tu as bien évidemment parfaitement raison, mon cher Yves puisque celle-ci, lorsqu'on se trouvait rue Michelet et qu'on "prenait" à droite ("cyrnos") on "tombait" sur "l'embranchement-fourche" Vallin-Ampère" séparé , au milieu, par ce qui je crois devait être un "Transformateur"........ voila donc !!!... tout est dit !!! et encore mille excuses !!!! Et à très bientot très Amicalement à tous !! Jean Claude

 

Lévy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006)

03/02/2006 14:31

Le beau reportage de Jacques Varlot sur son séjour pétrolier au Sahara, infailliblement nous rappele le nom de Conrad Kilian, ce jeune géologue alsacien qui déjà en 1920, à la recherche des émeraudes des garamantes, sentit que sous ce sol désolé, un trésor noir était caché dedans.. Il essaya , mais en vain, (Grace à Dieu, cela nous donna un sursis de 40ans avant de prendre la valise), de persuader les autorités de sa trouvaille. Les années passèrent, et le 29 Avril 1920, il fut découvert dans une chambre d'hotel, mort d'une facon mystérieuse, peut-etre assassiné par des puissances intéressées par ses découvertes. A l'époque aucun écho spécial à sa disparition. La suite est connue, et nous en portons encore les traces dans notre chair et dans notre coeur.

informera les plus jeunes, qu'il ne faut pas jouer avec les matières inflammables, même quand elles sont des milliers de mètres sous terre....

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

03/02/2006 12:46

Précisions: mille excuses, dans ma précipitation à vous répondre j'ai confondu ave. Dujonchay et la rue Charles Vallin. Sur le plan d'Alger de 1961, le chemin de la Soldarité n'apparait plus, pourtant cette portion de rue, en pente et piétonne, s'appelait bien chemin de la Solidarité, peut ête débaptisé, sans que l'on nous ai informé!!!!. Pour le reste j'ai des photos récente (2005) de la façade du café Cyrnos, ou j'allais joué au flipper. Pour J.C. Drouhard, quelle précision veux tu ?, entre la rue Volta et la rue Michelet se trouve la rue Ampère. Ouala!! à +++ Yves

 

ARNOLD COURBE (92400 Courbevoie)

03/02/2006 11:52

Quelqu'un saurait il le nom de la clinique qui était Ave du 8 novembre à ALGER ou opéraient les dr Cohen-Solal et Bacri ?? A la place HOCHE il y avait une papeterie tenue par Melle Leblois et sa mère pendant une certaine epoque on y vendait du lait au détail; le frère de cette demoiselle habitait 16 rue Edgar quinet... En face au 15 de la place le photographe Félicien Lannes... SOUVENIRS souvenirs

RÉPONSE : Bonjour. D'après l'annuaire des Postes 1961, cette clinique s'appelait simplement "Policlinique du 8 Novembre", elle était au 10 de cette avenue. Pour ceux qui auraient oublié où se trouvait cette avenue, elle était entre la Place du Gouvernement et la rue Borely la Sapie (vers le lycée Lazerges), parallèle à la rue Bab-el-Oued... On peut se référer au plan publié dans les kémias de décembre. Auriez-vous des souvenirs particuliers de cette clinique ? A plus, Gérald.

 

CAMPS Jacques (Couiza - 11190)

03/02/2006 11:35

On parle actuellement beaucoup de la rue Vallin.... pour moi cela évoque deux lieux (années 52-53): la café "Cyrnos" où nous nous rendions lorsque nous "séchions" un cours, car il y avait en sous-sol une table de ping-pong et des babby-foot et que nous passions là des moments peut être moins instructifs mais sûrement plus attrayants qu'au lycée!!! Le second lieu est le cinéma ABC ... Je me souviens qu'à l'époque de Noël, nous allions mon frère et moi, à 5h du matin faire la queue pour réserver des places pour la soirée du Réveillon... et lorsque nous arrivions, nous n'étions pas les premiers. Une année, mes parents nous avaient envoyé retenir les places pour un film dont le titre évoquait le monde du music-hall... en réalité la presque totalité du film montrait des filles très dénudés (pour l'époque) et mes parents ne savaient pas où se mettre.............en revanche, nous cela ne nous avait pas déplu !!!!!

 

Drouhard Jean Claude(1947)Alger-Chenove (21300-Chenove)

03/02/2006 09:31

Bonjour à tous !!! En lisant vos derniers messages concernant la rue Charles Vallin- Chemin de la solidarité (Christian, Georges, Yves).... je viens confirmer (si j'ose dire... !! ) les précisions apportées par Yves : situation géographique du chemin de la solidarité - "marchand de bonbons" - situation de l'école dujonchay - ilot du milieu )... à cet effet il est d'ailleurs facile, en vous reportant au site Volta50 de l'ami Marc MORELL - menu : photos de l'école - sous-menu : photos de pierre ASSUS / Oct 2002 -

photo légendée (je ne sais pas d'ailleurs pourquoi ?!! éclairez moi à ce sujet !! ): rue Ambert... et l'on y découvre... tout ce qui est énoncé plus haut: l'embranchement Charles Vallin-Chemin de la solidarité, l'école dujonchay... au Milieu ... et à gauche de la photo.. Juste après l'immeuble que l'on voit se trouvait... le fameux magasin ... des cochonneries Buccales (Cf. Yves !!.. ). À bientot à tous .... attendant impatiemment d'autres infos et rubriques : rues du Languedoc, Burdeau, de Nimes, Volta, Gautier ETc.. ETC.... Très amicalement à tous (tes) Jean Claude

 

Hebert Jean (Aix en Provence)

02/02/2006 22:09

A l'angle de la rue Michelet et la rue Charles Vallin , il y avait un bar " le cyrnos" tenu par mrs Dieta pére et fils plus tard, de la famille du côté de ma mère plus haut dans la rue Charles Vallin à droite le cinéma A B C en continuant on rencontre la rue de Nîmes , à l'angle de cette rue, la cie Bull ou j'ai bossé quelques temps et on aboutissait sur le Télemly, c'est tellement vieux que je ne suis pas sûr de l'orthographe. Voilà quelques precisions qui peuvent être utiles. Amitiés à tous les connus et inconnus de là-bas

REPONSE : t'inquiète, Jean, pour l'ortaugraffe on corrige quand on peut... et quand on a le temps; Mais rassure toi, tu n'a pas battu le record

 

Christian Ripoll 1936

02/02/2006 20:49

Hello Yves, tu vois, Georges me donne raison !! Moi aussi j'ai en tête le mot "Chemin". Il me semble encore l'entendre dans la bouche de ma mère. Quant à la rue Vallin, elle était interdite à toute circulation sur une section très courte à hauteur de l'école Dujonchay, car la pente était très forte. C'est cette portion qu'on peut considerer comme piétonnier. Mais franchement pas agréable pour la promenade ! C'est l'av Dujonchay qui contournait l'école par l'autre côté et l'école était en effet sur un ilot. Moi aussi je connais bien le quartier, j'ai habité pendant 3 ans la rue Vallin, juste à l'embranchement de l'av Dujonchay... alors, tu parles, toi et tes bonbons !!! Mais je n'ai pas connu le magasin en question, je pense qu'il était fermé. A trés bientôt ...

 

Denise (Montpellier)

02/02/2006 19:12

En novembre les toupies étaient encore fabriquées à Marseille, la "vraie" toupie est constituée d'une meringue "à l'italienne", donc assez molle, montée en tourbillon et recouverte d'un glaçage en sucre rose, le tout reposant sur une tartelette ; l'adhérence meringue molle-pâte à tarte est obtenue avec de la gelée de fruits en très fine couche. Avec une esmaienne de Salon de Provence nous devons prochainement nous rejoindre à Marseille pour une orgie de toupies, nous vous écrirons !!

 

Lévy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006)

02/02/2006 19:12

Merci Christian.Je suis allé aussi sur le texte de Gérald,"Rue de Nimes",où il y a un plan,et précise effectivement que la rue Charles Vallin était précédement la "Rue de la Solidarité". Pourtant j'ai le souvenir du mot "Chemin", peut-etre parce que celà me semblait plus poétique. Qui était Charles Vallin? Sa fille Thérèse lui a consacré un livre,"Charles Vallin,mon père". Son parcours politique fut étrange: "Croix de Feu" passionné, il fut pourtant entrainé en 1943 par le grand Résistant Pierre Brosolette, à Londres, et devint Gaulliste.Il eut une vie brève puisque décédé à 45 ans.

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

02/02/2006 18:36

hellotatousse, Christian!!!, le chemein de la Solidarité, et la rue Charles Vallin c'est 2 choses différentes. L'école Dujonchey faisait comme un ilot entre cette rue et ce chemin, c'est du chemin de la Solidarité que sortaient les enfants des petites classe. Le chemin était pietonnier, tout à en bas à droite en descendant se trouvait une minuscule boutique tenue par un monsieur, qui ne vendait que des bonbons, des réglisses, des caramels et autres cochonneries bucales... tu parles que je connait le quartier... le cinéma ABC? etait effectivement en bas de la rue Charles Vallin. Voila, à +++ Yves

 

christian Ripoll (La Redoute) 1936

02/02/2006 17:14

Chemin de la Solidarité : je crois que c'est l'ancien nom de la rue Charles Valin. Je pense qu'il n'est pas utile de préciser où était cette rue ! (je dirai quand même : celle du cinéma ABC...)

 

Christine (Salon)

02/02/2006 17:10

Je lis un message de Jean-Caude AMAR parlant de ST Bonnaventure, paroisse de mon quartier, cela me fait penser à mon voisin le gentil Docteur AMAR qui a soigné tant de mes méchants bobos, j'aimerais savoir ce qu'il est devenu, nous habitions chemin Fontaine-bleue, il avait une fille Suzanne qui allait à l'école Chazot avec nous. Quelqu'un se rappelle de lui ? Les frères Manchon, j'avais une petite parenté avec eux et je peux dire que c'étaient des hommes très généreux qui ont fait du bien autour d'eux.

 

Levy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006.)

02/02/2006 16:09

Dans la mine dor qu'est Internet, j'ai frappé à la porte du site:

Il s'agit de la rubrique sur le pays de "Barbarie", où sont évoqués en bref l'état et les lieux de l'époque,avec des précisions sur le sort des esclaves. Et meme résume les conditions d'une Paix signé en 1801. Mais ce site traite de beaucoup d'autres faits historiques qui marquèrent le règne de Napoleon 1er. En particulier, un article sur le célèbre Henry Grégoire, abbé de son état et qui fut, entre autres positions, député à la Convention Nationale. Le 28 septembre 1791, après avoir plaidé pour la cause des Israélites maltraités en Alsace, fit reconnaitre leurs droits de citoyens. Le 4 Février 1794, il fut l'un des principaux auteurs de l'abolition de l'esclavage en général et des Noirs en particulier. Mais le but de ce message est de retrouver, enfoui dans ma mémoire, ce "Chemin de la Solidarité", qui était très pentu et menait aux nouvelles hauteurs d'Alger, si je ne me trompe. Rappelez moi sa situation exacte que je ne trouve pas sur le plan dAlger. Du coté du chemin de Gascogne (?). Cette Solidarité n'avait droit qu'à un chemin bien étroit. Cette appelation controlée devait bien avoir une origine précise. On ne brade pas ainsi ce mot gratuitement! Remarque banale: ce nom n'est généralement pas attribué à une impasse, et pour cause !! Ni à une avenue, ce serait du gachis, il y a si peu d'offres et tant de postulants!! Je ne pense pas non plus que ce nom fut donné pour rappeler aux bonnes âmes d'aider à monter les paniers des anciens, ou pour commémorer une solidarité avec qui (?) et de quoi, mais bientot vous me le dévoilerez, alors gracias pour votre... solidarité essmaienne.

 

Francois Pons (Chaponost)

02/02/2006 14:22

Je pourrais faire fabriquer des TOUPIES à LYON, mais il me faudrait la recette... DIEULOUFET n'est plus en activité à MARSEILLE Merci pour tous !

RÉPONSE : Dieuloufet n'existe plus sous ce nom, mais son successeur au 15 bis Bd Baille continuait, il ya 1 an exactement, à fabriquer des toupies. Un peu moins bonnes que les originales, il faut bien le dire. Ce qui compte, c'est la technique pour construire la nef de sucre rose sur un intérieur aussi evanescent que possible. Après, on peut ajuster ! Ce qui est sûr, c'est que l'intérieur ne doit pas s'apparenter à de la crème au beurre, ah ça non ! Si un Marseillais ou une Marseillaise voulait bien aller jeter un oeil... et qq papilles... Gérald.

 

LEROUX JEAN (VELIZY)

01/02/2006 19:05

Je viens de " tomber " sur l'article de Georges Salessy et j'en suis ému. Depuis mon arrivée en France , fin juin 62, je n'avais plus entendu parler du Collège du Champ de Manoeuvre malgré mes recherches. Entré en sixième en 1954 et resté jusqu'en terminale en 62 j'ai eu le plaisir d'avoir comme professeurs, entre autres, Messieurs Thomas, Deville, Grosborgne, Roque, Rizzo, Santamaria. Je n'ai pas eu Camou mais je n'ai pas oublié son visage. Je crois qu'il est mort après 62 si mes souvenirs sont exacts. Mes "préférés" étaient Grosborgne, Thomas et surtout Deville qui pourtant m'avait terrorisé en me confiant le cahier de texte de la classe après avoir déchiré plusieurs pages rédigées par mes prédécesseurs ! Ces Professeurs exceptionnels m'ont donné la vocation et je suis devenu à mon tour prof de math m'inspirant bien souvent de leur exemple.

 

Françoise LEROY VENDEVELLE (ALGER/CLERMONT-FERRAND)

01/02/2006 18:55

La neige de 1956 ? La 1ère que nous voyions, la 1ère que nous touchions, mais aussi celle qu'il avait fallu aller chercher jusqu'à La Bouzaréa pour pouvoir en profiter un peu; glissades, boules de neige au soleil. Il y avait ce jour-là sur le bord de la route plus de monde que sur le forum du Gouvernement Général ! Nous avions fièrement élaboré un sympathique bonhomme de neige d'une vingtaine de centimètres de haut. Et bien sûr, pas question de le laisser "au froid pour la nuit". Alors avec toutes les précautions utiles, nous l'avons hissé sur le capot de la Peugeot 203. Rassurés: le trophée ne nous quittera pas! Pas question d'entendre les prophéties rabat-joie des adultes. Allez, maintenant on peut démarrer, on redescend vers la capitale.... Mais, ô , devinez dans quel état était notre copain le bonhomme de neige en arrivant au Télemly!!!!... Pas une seule goutte de la figure de proue ne subsistait sur le capot de notre Titine... Et comme j'avais 4 ans, voici quelle fut ma conclusion: "Donc en Algérie, la neige c'est peut-être pas de l'eau!" Pays magique! Qu'en pensez-vous?

 

A.M Schneider (la Redoute/Montceau)

01/02/2006 11:46

Bonjour, la neige à Alger en 1956, je m'en souviens comme si c'était hier! Nos parents nous parlaient de Chréa, station de ski, ils y allaient lorsqu"ils étaient jeunes, nous avions nous enfant, du mal à imaginer la neige... A 9 ans pour la première fois, je voyais la Redoute sous la neige, c'était triste, lugubre pour moi, mais quel évènement! Nous étions derrière les carreaux , le nez collé à la vitre, pas équipés pour ce temps, donc pas question d'être dehors. Je me souviens d'une coupure d'électrtricité, nous avions froid dans l'appartement. Un petit "Godin" dans la salle à manger donnait une chaleur douce. Mais papa avait trouvé une astuce .. une plaque de métal sur le feu de la "gazinière", la plaque rougie donnait un peu de chaleur ! Les hivers à Alger, nous n'avions pas besoin de gants, de bonnet.. je me souviens plus de grands vents frisquets et lorsqu'il faisait froid, une bonne cape longue avec capuche, en drap de laine, bleu marine faisait l'affaire. Maman nous tricotait des petites vestes de laine en série... puisque comme les "triplés" de Lambert au contraire du petit poucet..., ils ne pouvaient pas nous perdre! Nous n'avions pas de pantalon nous les filles! la dernière année peut être avec le pantalon "fuseau" et encore !!! pourtant ma meilleure amie était toujours en pantalon, mais elle avait l'air d'un "garçon manqué"... alors que nous avions des petites robes, des jupes et des petites guimpes brodées. On commençait à voir des collants de couleur. Je me souviens d'en avoir mis un, il était bleu, mais vexée, je ne l'ai pas gardé longtemps, les petites copines m'avait appelée "Barbe Bleu", sans doute un peu de jalousie, les filles sont chipies! Pour la neige, depuis notre premier hiver en France 62-63, nous avons été mis au parfum tout de suite, atroce , quel cauchemar, tout était gelé! Voilà 44 ans et les hivers en S et L ne sont toujours pas appréciés!... Donc quel bonheur de resentir en ce moment.. notre soleil de lâ-bas!

 

marie-paule(1947) (gard)

01/02/2006 08:19

Après enquête auprès de ma soeur et une amie, je confirme que l'endroit où l'on voyait l'âne du père noel, était LA ROYALE. Je me souviens très bien que nous passions devant pour le faire admirer à mon neveu.

 

MICHEL PUISSEGUR (ANTIBES 06600)

31/01/2006 20:58

Pour Jacques PRAT. Merci Jacques pour ton témoignage sur Bogliolo. Il m'impressionnait; le petit carnet je m'en souviens très bien. J'étais en 6ème A4. Il se gaussait, du moins selon moi à l'époque, de la baisse Pinay. Par ton message j'apprends qu'il était très brillant tant sur le plan enseignant que celui d'écrivain recompensé par de nombreux prix. Je ne me souviens plus si en 5ème A4 je l'ai eu ; j'ai été vidé de Gautier à l'issue de la 4ème B3 surtout à cause du latin et j'ai redoublé la 4ème au Cours Complémentaire Molbert, ce qui me convenait mieux. Sans doute était-il agrégé...Je me suis remis au latin en 1981 à New York pour faire réviser les leçons de mon fils éléve en 6ème du Lycée Français de NY où le latin était obligatoire pendant les 2 premières années de secondaire. Ce qui impressionna une passagère d'un bus de la ville et voyant mon fils réviser ses déclinaisons : "we should learn latin, because english is coming from french" ajouta-t-elle avec un raisonnement que des millions d'anglophones ignorent avec superbe... Encore merci Jacques ; ton intervention est émouvante. Amitiés

 

denise porteilla (1950) (montpellier)

31/01/2006 20:40

La neige à Alger -suite- :début 1961, il a neigé, j'étais en CM2 rue de la liberté, la directrice a fait sortir toutes les classes dans la cour de récréation pour voir ce rare spectacle que nous ne devions pas, en principe, revoir de sitôt (en fait dès décembre 1962, nous avons, pour la plupart d'entre nous, eu droit a beaucoup de neige, beaucoup trop...) donc ce jour de neige, et de froid, ma mère m'a acheté un pantalon en lainage, genre fuseau de ski, j'en rêvais... je rappelle qu'à cette époque, les filles ne mettaient pas de pantalon au quotidien. Ce pantalon nous sommes allées l'acheter près de l'opéra, entre midi et deux, pour rien car la neige n'a pas tenu !! mais je dis quand même, tant d'années après "merci maman d'avoir répondu à mon caprice"

 

Serge Trani (Robertsau-1945) (Modène-Italie)

31/01/2006 20:36

Après plusieurs jours d'absence je reviens à Esmma et je constate que les messages sur le Livre d'or vont bon train. Un remerciement aux "Redoutables" qui m'ont indiqué la rue des Bougainvilliers où j'ai passé de bons moments. Le chateau d'eau était un des lieux préférés où passer l'après-midi. Mais un jour, un groupe de "Redoutables" de nom et de fait m'en a éloigné, le considérant certainement comme un propre territoire à ne pas envahir.
J'ai un autre souvenir à propos de la caserne de l'Armée de l'air. Un jour je faisais un brin de conversation avec la sentinelle qui devait s'ennuyer ferme dans sa guéritte, mais un officier s'est précipité en criant comme un fou et lui a passé un savon mémorable.
Un remerciement tout particulier va à Georges Lévy que j'avais interpellé pour la recherche d'un ami de la Robertsau, Gérard Azan, dont je souhaiterais avoir des nouvelles. Georges prends l'initiative et relance la recherche sur Esmma. De ma part je fais appel surtout aux copains de la Robertsau qui sont susceptibles d'avoir des traces de la Famille Azan. Un salut amical à tous

 

Gabriel Gomis (1934) (Alicante.Espagne.)

31/01/2006 20:03

Bonsoir a ttes, tous. Anne Marie, Christian, j'aurais été un "tarugo" de ne pas connaitre l'existence de la 5º Région Aérienne,ayant fait presque 30 mois de service militaire dans l'aviation, au service de santé des armées avec long stage au CFIA a Arnaud de Vitrolle, a cette époque c'était le Gal FRANDON qui commandait la 5ºR.A. Mon propos était simplement de remettre la réalité a sa place. Il n'y avait pas de Bases Aériennes a la Redoute, des casernes, des états Majors certes, mais pas de B.A. Une base Aérienne cela comporte,du moins je le pense,pistes d'atterrissages, avions ou Hélicos. les B.A.pour le dpt d'Alger étaient. la Régahaia, Maison Blanche, Boufarik et la B.A 140 Blida où j'avais été incorpré. La Caserne après le cinéma était le Quartier HELENE BOUCHER, puisqu'on se trouve dans ce coin de la Redoute qui se souviens du Bal "Musicaux"avec l'orchestre MIckey Gesney, autre nom de Michel Gesina, très connu alors dans Alger? DANIÈLE la patisserie après les Galeries de France était la "ROYALE". ANNE MARIE serais-tu de la famille avec ClAUDE SCHNEIDER, dit petit Claude,qui habitait au Chemin des Sablières, au Clos Salembier? chez QUILÈS on achetait les espadrilles pour passer les grandes vacances a braconner dans la ferme JUAN a l'endroit même ou a été batie la cité de Diar es Saada. Bien Amicalement. GG

 

René Drevot (1943) (Fontvieille (13))

31/01/2006 19:18

Bravo à Jacques Prat pour sa très belle évocation de Jean BOGLIOLO, professeur que j'ai beaucoup apprécié. Lorsque j'étais en seconde (2èmeC2) à Gautier au cours de l'année 1958/59, il fut mon professeur, mais uniquement en Latin, car cette année là, pour une raison que j'ignore, nous avions un professeur de Français (dont j'ai oublié le nom) et Mr Bogliolo en Latin. Le portrait qu'en fait J. Prat est tout à fait conforme à ce que j'avais en mémoire. Son regard clair, franc,son humour, son autorité naturelle, sa pédagogie et sa rigueur renforçaient, la sympathie spontanée que j'éprouvais pour lui. Je me souviens d'avoir entendu parler de sa réaction violente à l'invasion russe de 1956 en Hongrie. Je revois encore son blouson de cuir à col mouton , qu'il portait toujours en 1959. Merci jacques d'avoir ravivé ces souvnirs. Amitiés à tous. René

 

christian Ripoll 1936

31/01/2006 19:09

La neige sur Alger : il a neigé aussi en decembre 1943. Oui, c'est loin, vous n'étiez pas nés... Je n'étais pas grand, mais je m'en souviens bien. Elle a tenu toute une matinée !

 

Dominique Renucci (Alger 1949/Bordeaux)

31/01/2006 16:08

Et oui, à Alger, il a neigé. En 1956, pour être plus précis ; pour ce qui est du jour et du mois... appel aux mémoires plus aiguisées que la mienne ; mais je crois que c'était aux alentours d'un dimanche, puisque j'étais allée chez ma mère (que je voyais deux dimanche par mois) ; il restait encore un peu de neige dans les coins sombres ; avec ma soeurette, nous voulions absolument confectionner un bonhomme comme ceux que nous voyions sur les images hivernales de nos livres de lecture. Le pauvre, il n'a pas pu atteindre les dimensions dont nous rêvions ; tout au plus avons-nous "érigé" une statue informe d'une vingtaine de cm ! Et encore n'a t'elle pas tenu longtemps, la relative douceur l'ayant vite fait fondre. Je suis sûre que vous aussi, avez voulu profiter de cette neige. Racontez-nous.

 

Betty (Florence)

31/01/2006 10:30

On s'associe tous (... sont ces serpents qui sifflent sur....heu! hem bon!..)aux compliments faits à nos Zoteurs mais n'oublions pas l'extraordinaire illustrateur qui dans l'ombre travaille à donner de la verve et de la couleur à ces textes avec son humour de fin observateur. Allez! pour Jean Brua! HIP HIP HIP Hourra!!

 

Anglade Pierre 28 04 1929

31/01/2006 09:05

Je souhaite entrer en relations avec Marcel SOLER qui vous a adressée la photo de l'école d'Hydra années 1936-1937. Merci de votre confirmation de bonne réception de ce message.

 

Jean-Claude AMAR (Alger)

31/01/2006 03:09

Je fais un petit rapprochement pour les personnes qui ont fréquenté le cinéma BONAVENTURE tenu par le curé de l'église, et tout en étant d'une autre religion que catholique, j'ai été Coeur Vaillant, avec les frères Cardi, Klein et autres, et ce fut une jeunesse des plus heureuses que j'ai pu avoir car le curé était un copain et un grand frère pour nous tous ; puis, plus grand, je suis allé un peu plus haut pour aller danser au foyer civique. Salut et à bientot.

 

Danièle Coeuret Iotti 1946 Alger Nice (Nice)

30/01/2006 20:20

Bonjour Yves JALABERT . Une rectification s'impose. Après consultation familiale, il s'agit non pas de la Marquise de Sévigné mais d'une autre pâtisserie confiserie située rue d'Isly , à la devanture bleue après les Galeries de FRANCE ... mais maitenant le doûte s'installe quant à l' étable du bourricot! Danièle Coeuret Iotti

 

René Poirel (1943) (Alger/Banlieue de Lyon)

30/01/2006 19:08

Les photos de classes sont riches d'enseignement, cela permet de revoir la bobine que nous avions à l'époque et aussi celle des autres.Ayant fait toute ma scolarité primaire à l'école VOLTA de 1949 à 1954 j'ignorais que, pendant la même période, les frères Jacques et Bernard ATTALI avaient fait le même parcours. Une bonne raison, nous n'avons jamais été dans la même classe. Ils sont aussi sur la photo 6éme A 1954/1955 au lycée Gautier. Est-ce que leur présence à ALGER s'est arrêtée là ?? Peut être que ceux qui les ont cotoyés de près pouront répondre à mes interrogations:
- sont ils algérois? - sont ils jumeaux? ( puisque même classe et toujours la même tenue vestimentaire, soignée sans doute par maman ATTALI) - lieu d'habitation?
Quant à moi je me pose une vraie question, n'ont ils pas dévalisé, au cours d'une récréation, l'intégralité de mon sac de noyaux??
Pour mémo Bernard a été président D'AIR FRANCE et Jacques, entre autres, conseiller de François MITTERAND; vous pouvez découvrir son site www.attali.com (Major de la promotion 1963 de l'école Polytechnique, auteur de 33 livres, des actions humanitaires...). Il y a eu du beau monde à l'école VOLTA !!

RÉPONSE : Jacques Attali a bien voulu confier à Es'mma - voilà déjà deux ou trois ans - de superbes photos de l'une des deux boutiques de parfum de ses parents (voir "Etre Belle" dans "rue Michelet", l'autre boutique étant la célèbrissime "Bib et Bab").

 

Pierre Anglade (Toulouse)

30/01/2006 19:06

Tout jeune(?) internaute je viens de découvrir une photo de l'école d'Hydra 1936/37. Je souhaiterais entrer en relation avec Josette PRAX-SOLER. Merci de vos bons soins.

 

Anne Marie Schneider (La Redoute /Montceau)

30/01/2006 18:53

Re-bonjour... Merci Christian, d'avoir apporté ces précisions, Gabriel nous parlait du marchand de limonade au Golf, c'était peut-être Monsieur Exposito, le marchand de vin, nous y allions pour faire remplir les bouteilles, il y avait de grosses pompes à vin.... C'etait un magasin tout en longueur juste avant la boulangerie Clapès. Avant Péto Béringuer, il y avait Mme Fournaris, charcutière, on y trouvait des petits pâtés à la soubressade.... La maison de la presse ( tabacs, journaux), rue Jonnart, c'était Monsieur Hervé , on montait deux , trois marches . Mais qui était Debastos? Mme Alliaga ( orthographe?) vendait des gâteaux (genre biscuit à la cuillère) au chemin des Crêtes vers les chaussures Quiès. Mme Sévenne (orth ??) avait la mercerie rue des frères Martel un peu avant le commisariat. qui est devenue par la suite une épicerie, Christian doit s'en souvenir.... Et je me souviens vers La Redoute, après le cinéma, il y avait des militaires, y avait'il également une caserne? Chemin des Crêtes , on passait devant une villa , il y avait des paras postés sur le trottoir, je passais devant pour aller à Saint Anne. A bientôt , Amitiés à tous. A.M

 

Lévy Georges (Alger (1938-1962) Israel 2006.)

30/01/2006 18:51

Un internaute d'Italie recherche Gérard Azan, qui étudia à l'école Daguerre, et habita au 106 Bd du Telemly, 2ième etage. Il remporta au Violon un Grand Prix du Conservatoire d'Alger, en 1961-62. Il parait qu'il fut Chef d'Orchestre par la suite, mais aucune trace sur le Net. Ceux qui l'ont connu, seraient aimables de bien vouloir nous donner le début de ce fil d'Ariane.

 

Aucour (Blois-Centre)

30/01/2006 18:42

A Philippe (son courrier du 29/01/06) - N'ayez plus honte d'habiter le haut de la rue Michelet, j'en suis, au n° 134 et cela de 1936 à 1963, devenue la rue Franklin Roosevelt (n° 8). Me voilà parmi vous dans l'annuaire indiqué, en attente de contact, avec impatience. Cordialement

 

Azoulay Jack 1945 (Senlis 60)

30/01/2006 18:22

pour Yves. Le père Noël n'était pas aux Galeries de France mais au premier étage de la Confiserie Royale au 17 rue d'Isly ma grand mère habitait le même immeuble . En ce moment cela fait deux fois que je parle de confiseries je suis un grand gourmand

 

Lévy Georges (Alger (1938-1962) Israel 2006)

30/01/2006 17:04

Vous avez du lire l'hommage remarquable de Jacques Prat sur Jean Bogliolo, professeur de Lettres. Un témoignage passionnant, même pour ceux qui n'ont pas eu la chance d'etre un de ses éléves. En superbe cadeau, nous reçevons cette courte nouvelle,(autobiographique), le "Concours de Bourses". En lisant ce texte émouvant de vérité, on croit lire un de ces contes d'Alphonse Daudet. Jacot est un petit algérois, mais sous cette description il devient universel: Ainsi naquit un des beaux fleurons de l'éducation laïque en Algérie. Une chance égale pour tout ceux qui voulurent saisirent les richesses intellectuelles de la France.
Sur internet, quelques longues pages que Jean Bogliolo a écrites au Cercle Algérianiste sur Robert Randau, (1873-1950), l'homme et son oeuvre immense. Nom de plume d'Arnaud, écrivain courageux

Pour les plus jeunes essmaiens, une occasion de découvrir, avec ce nom
une vie très prolixe qui a touché à tous les domaines.

 

Marie-José Rachou (née Lopez)46 (Alger/Gard)

30/01/2006 16:58

Salut et merci Lucien (Balaguer) pour ton message. Eh oui, il était plus opportun de dire ombrelle plutôt que parapluie, en référence au climat d'Alger. Brassens aurait dit "ces pays imbéciles où jamais il ne pleut". Et pourtant!... Il semble que la météo sur Alger n'a pas toujours été au beau fixe ! André, mon frère, me disait toujours qu'il avait neigé deux fois sur Alger: le jour de sa naissance en 1934 et le jour de ses 20 ans.
Te souviens-tu de cette singularité algéroise? Amitiés. Marie-José.

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

30/01/2006 16:35

Bonjour, hello, Danielle Coeuret Iotti.. le bourricot qui bougeait la tête, à l'èpoque de noël, c'est pas plutôt aux Galeries de France, rue d'isly, que tu as vu ça....!! c'était dans une des vitrines du premier étage, j'ai plusieurs photos des G.F., pris en 2005, lors d'un de mes voyages, et puis rappelez vous, à la sortie des G.F., il y avait le marchant de ZOUBLI, avec son tchaktchack qui interpelait le chaland et son gros cylindre peint en vert dans lequel étaient rangés ces précieux cornets qui faisaient notre régal. Bonne continuation, Yves

 

Christian Ripoll 1936

30/01/2006 14:44

Anne Marie, Gabriel, vous avez raison tous les deux : il y avait bien un établissement militaire, la 5éme Région Aérienne, Av Gaston Doumergue, face (presque) à l’école du Golf ; et il y avait aussi, chemin Shakespeare le quartier Arnaud de Vitrolles, en bordure du Bois de Boulogne. Après 1962, le premier a été remis aux autorités algériennes qui ont en fait un établissement de haute importance, tandis que le second est resté français pendant encore au moins une dizaine d’années. C’était en qq sorte une annexe de l’ambassade de France. On y trouvait notamment la paierie générale et l’école primaire française.

 

Georges Busson (Lannion ( Bretagne ))

30/01/2006 12:05

Merci à Georges Lévy d'avoir apporté un autre témoignage sur notre cher Jacques Burel et ses compliments me vont droit au coeur. Pour répondre à Raphaël, cette magnifique photo est dans le nouveau livre édité à l'occasion de l'expo de Quimper (jusqu'au 16 avril ). Il est plus complet que le précédent - de son vivant - et reprend d'ailleurs ses textes. L'éditeur est Coop Breizh, Kerangwenn 29540 Spezet. (je ne peux pas vous le faire plus breton ! )
et

Il n'y a rien sur Alger mais cette photo de lui en 1956 !!! Si on insiste un peu, nous de Gautier, Jacques pourra peut être nous la mettre sur le site...
Petit message aux Alligators: ça y est, on est presqu'au complet avec notre ami Gérard Mouillot à fréquenter ES'MMA. Mais on n'a que les matous; on a perdu les p'tites cailles. Ou sont elles ???

 

Anne Marie Schneider ("La redoutable" /Montceau)

30/01/2006 10:56

Oh! Gabi.... La caserne aérienne - 5 ème région aérienne - était bien au Golf, rue Gaston Doumergue . à côté du château d'eau où nous arrivions à monter et nous jouions sur la plate forme. J'avais des amis " Mr et Mme Cornet et leus enfants" qui habitaient juste en face, nous assistions à la descente du drapeau.... L'école des garçons était un peu plus bas, école de Christian, Jean Jacques, Jean Philippe , René et combien d'autres....
Le café au golf, il appartenait à Mr Marcel... et oui, nous avons vécu dans le même quartier, nous avions les mêmes commerçants... Nous avions oublié le limonadier... le même médecin Dr Guelpa , presque les mêmes souvenirs.... ! A nous tous, "redoutable" nous arrivons à combler ce grand "puzzle"... Certains sont arrivés à "engranger" beaucoup plus que d'autres, normal... c'est suivant l'âge, nous le constatons aussi pour nous ... les 'trois frangines". Nous connaissions aussi " Alger-Centre" ma grand-mére a habité l'immeuble juste en face du Parc de Galland, l'entrée du bas, et au 57,rue Michelet , ma tante Mme Gévaudan (et sa maman) avait la librairie -Maroquinerie qui faisait l'angle. Elle a choisi le soleil, la "grande Bleue" , elle est à la retraite dans le midi. "Quelques "petits" détails font rejaillir d'autres souvenirs... d'où l'enchaînement et le succès d'Esmma... Chacun a beaucoup de plaisir à lire tous ces messages, et comme on dit : "c'est mieux qu'une séance chez le "PSY" ...Ces messages ...." tous vont dans le même sens"... que de bons moments à partager.
Amicalement à tous

 

Danièle Coeuret-Iotti 1946 Alger-Nice (Nice)

30/01/2006 09:32

A Gabriel GOMIS Alicante: Je transmettrai à Claude Bonvalot qui est mon beau- frère...Amicalement
Qui se souvient de la magnifique vitrine de Noël de la Marquise de Sévigné avec tout en haut , l'âne de la crêche qui remuait la tête , en saluant les enfants réunis sur le trottoir d'en face , non loin de la parfumerie Lorenzy-Palanca?

 

ES'MMAn-ten-tion

30/01/2006 09:18

An-ten-tion 'vec la diffusion de vos adresses mél... Christian tu m'écoute ?
Si vous la donnez à l'endroit prévu ("votre adresse mél") dans le formulaire qui vous est présenté dans l'option "écrire un message", c'est suffisant. Elle apparaitra "implicitement" à l'affichage de votre message, cachée derrière l'icone de la petite enveloppe juste après votre nom. Ce qui permettra à ceux qui veulent rentrer en contact avec vous d'avoir directement, en cliquant sur cette icone, votre adresse électronique dans leur outil interne de messagerie (OutLook, Eudora... ou autre).
Mieux vaut cette précaution car des petits malins ont conçu (avec une cédille c'est plus un gros mot...) des "programmes automates" qui sont à la recherche de tout ce qui peut ressembler à une adresse electronique (facilement identifiable au caractère @, qui ressemble à un petit zlabbiah...). Ils se constituent ainsi des listes d'adresses electroniques qu'il peuvent utiliser à des fins ... va t-en sa'oir pourquoi.. ou les vendre à des ceusses qui nous bombardent de SPAM, ces espèces de saloperies de prospectus plus ou moins propres qui encombrent nos boites aux lettres et qui font croire à vos femmes, vous messieurs, que vous passez votre temps à consulter des sites pas propres, et à vos hommes, vous mesdames, que vous leur bouffez le forfait à faire du web-vitrine...
Alors AN-TEN-TION quand vous donnez une adresse electronique en clair,
pour ES'MMA, c'est SGDG (Sans la Garantie Dupeyrot Gérald...)
à+ JP

 

Christian Laville-Noël 1937 (Tournon (Savoie) / Alger/Oran)

29/01/2006 22:42

A Lucien Balaguer. J'espère que la valise poussiéreuse contient le précieux disque. Merci, en tous cas, pour le message. Je peux rêver un peu. Voici, à tout hasard, mon adresse mail :
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P'tit break esmma : AN-TEN-TION aux adresses electroniques en clair... cf message ci-dessus
-----
A bientôt!

 

Gabriel Gomis (1934) (Alicante.Espagne.)

29/01/2006 19:35

Bonsoir à ttes et à tous. Je pourrais dire comme bcp que je suis un redoutable, puisque sur mon acte de naissance est mentionné, né et domicilié a "BIRMANDREIS REDOUTE" 72 Chemin du Ravin, acte signé par Paul CHEVALIER maire d'alors. C'est le dr GUELPA (déja cité par une redoutable je crois) qui m'avait mis au monde, mais j'ai toujours préféré dire que j'étais d'Alger tous quartiers confondus, et encore aujourd'hui 70 ans après, mes souvenirs rodent intacts dans tout Alger. Le père Jean alors curé de Ste Anne, combien des fois nous a-t-il couru après dans la rue des Paquerettes en se relevant sa soutane, brave curé.
ANNIE ASCOLA est-ce que tu es la fille de notre ami Titi ASCOLA qui avait habité 3 villas après la nôtre dans cette même rue des Paquerettes au Clos Salembier? Qui se rappelle de la Limonaderie de la Redoute, juste à coté du charcutier Bérenguer, du Cycliste CHIBANE où l'on pouvait louer une bici à l'heure, les gabelouses du marchand de beignets, la brasserie du Tennis à l'angle de la rampe Zaatcha ou la brasserie du Golf ?
Geneviève il n'y avait pas de Base Aérienne à la Redoute, mais la CA 2/210 en montant la rue shakespeare, quartier Arnaud de Vitrolle, avec la musique de l'AIR et le CFIA ou Centre de Formation des Infirmiers de L'Air (j'y avais fait un stage lors de mon Service militaire).
A CLAUDE BONVALOT (les ZOTEURS, en bas du bvd St SAENS) si tu es toujours sur la toile, j'ai travaillé avec ton père à FAMPA (Fonderies et Ateliers Mécaniques du Port d'Alger) au Service Achats, de très bons souvenirs.
Pour quitter les "insolations"effectivement il n'y avait aucun remède aussi efficace que celui de nos grand'mères il fonctionne très bien encore, mes amies Francette et Suzette me quittent "le coup de Soleil" de suite quand il m'arrive d'en choper un. La base est une prière qui se transmet de mère en fille un vendredi saint, une cuvette avec un peu d'eau et une petite marmite en terre (qui souvent explose) et la date de naissance du patient.
Amitiés à tous. Gabrie

 

Jocelyne Mas Alger 1944 (Nice France)

29/01/2006 19:29

J'adore lire les messages sur les sites Pieds-Noirs que je consulte souvent. J'y retrouve des faits et des souvenirs que je croyais perdus.
Si vous avez l'occasion de lire mes livres ( eh oui j'écris pour ne pas oublier !) vous pourrez constater que ma grand-mère "enlevait le soleil". " Chez nous en Algérie" vient d'obtenir le "Prix Méditerranée 2005". Je dédie tous ces prix littéraires à tout mon peuple et surtout à tous nos parents et grands-parents car sans eux nous n'aurions jamais connu ce magnifique pays qu'était notre Algérie.
Amitiés à tous. Jocelyne MAS

 

Raphael Navarro (1944) (Nimes (gard))

29/01/2006 19:23

Merci à Georges Lévy pour son nouvel hommage à notre cher prof Jacques Burel.
Ce nouveau témoignage touchera beaucoup , j'en suis certain la directrice de l'école Jacques Burel d'Ouessant.
Je dois demain lui communiquer l'adresse d'Esmma.
Par ailleurs, je trouve la photo choisie en fond d'écran, très belle. Serait-il possible de pouvoir la télécharger?
Amitiés à tous et merci encore à nos talentueux George's (Lévy et Busson of course).

 

Balaguer - 1935 - (HdeS)

29/01/2006 18:59

Destiné à Christian Laville "Noël, Sabir et Pataouete", ainsi qu'un ou 2 45 tours doivent peut-être se trouver dans une cantine ou valise (en carton) assez poussiéreuse, au fond de ma cave. Sans anticiper du résultat.... j'irai à la pêche. Salut à tous, Lucien.

 

Balaguer - 1935 - (HdeS)

29/01/2006 18:51

Coucou, salut et honneur aux dames. Marie-José, enfin quelqu'un qui parle enfin des confiseries et chocolats de la Marquise de Sévigné. Quel délice que ces marquises avec une ombrelle, Marie-José, une ombrelle et non un parapluie, guère apprécié chez nous et qui portaient la chkoumoune (peut être un nouveau sujet pour les Tchatcheurs) Pour revenir aux confiseries, ma mère les ramenait lorsqu'elle voulait récompenser ses têtes frisées et brunes de ses trois garçons. Souvenirs, souvenirs, merci Marie -Josée et amitiés, Lucien.

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

29/01/2006 18:31

Pour Monique Cardona (et aussi pour les autres) : allez de temps en temps sur l'annuaire et lancez une recherche, par exemple avec le mot : galland pour savoir qui fréquentait ce lieu, ou bien avec habitat, pour retrouver ceux qui y ont habité. Postez également un ou plusieurs guetteurs pour surveiller les inscriptions : cela vous dispensera de parcourir l'ensemble des noms. Jetez itou un oeil à la liste des derniers inscrits. Pour mémoire :

 

tessonneau (france 17)

29/01/2006 17:59

Bonjour, le père de ma fille, Alain Sperius est né à Alger avenue de la Marne, le 19/3/1950, il a été adopté sans doute dès sa naissance et souhaiterait retrouver la trace de sa veritable mère (ses parents adoptifs sont décédés). On m'a dit qu'une clinique Nelson se trouvait avenue de la marne, si quelqu'un peut m'aider dans cette recherche. Il n'est pas tres grand, a les yeux bleus, les cheveux chatains, selon sa mère adoptive sa "vraie" mère aurait eu 16 ans, blonde... Légende? TOUS renseignements sur les dirigeants ou ceux travaillant dans cette clinique seraient bienvenus. Merci beaucoup

 

christian Laville-Noël 1937 (Alger/Oran/Tournon (Savoi))

29/01/2006 15:28

Rebonjour amis Esmaïens! Je reviens rapidement sur le site pour une demande : Qui possèderait un disque intitulé "Sabir et Pataouette" dans lequel il est conté, avec l'accent de Bab el oued, de petites histoires de B e O ? Il y en avait une désopilante qui se passait dans les Tramways Algériens (entre Marinette et un Francaoui), une autre mettait en scène mme Cazul et Pépette. C'était un 45 tours ! Je donnerais cher pour en avoir une copie. Merci!

 

cardona monique (49) (ALGER/Le Télemly)

29/01/2006 14:44

Bonjour, Merci à chacun de ceux qui font travailler leur mémoire pour nous rappeller des souvenirs gourmands ou pittoresques comme le marchand "d'zzhabits" ou autres marchands ambulants qui rassemblaient autour d'eux les enfants que nous étions. Et les musiciens de rues, vous vous souvenez, quel spectacle !! on ne s'en lassait pas!!
A Philippe l'inconnu : comme toi et plusieurs Esmmaïens, je suis inscrite aussi sur le site de Jacques. Je n'ai pas encore eu la chance de retrouver mes copains et copines d'école du Parc de Galland et de l'Aéro-habitat. Dans mon esprit, nous sommes tous des enfants d'Alger qui essayons de renouer avec les moments heureux de notre enfance en oubliant les autres. Voilà! Amitié ensoleillée à tous, par ce temps neigeux!!

 

Laville-Noël Christian 1937 (Alger/Oran / Tournon (Savoie))

29/01/2006 11:01

Bonjour à tous les Esmaîens! Après quelques jours d'absence pour cause d'hospitalisation, je reviens bien vite vous rejoindre. En relisant les messages, je vois que plusieurs ont évoqué la guérison mystérieuse des coups de chaleur avec le fameux verre d'eau. J'ai, bien sûr , eu l'occasion d'être efficacement soigné de cette façon. Mais je me souviens aussi, me semble-t-il, d'une autre façon qui consistait à appliquer sur le front une large pièce (de 5 francs ?). C'est, dans mon souvenir, une femme algérienne (arabe) ( ou peut-être une gitane)qui était intervenue. Et ça avait été très efficace également. Je pense que la pièce avait dû être maintenue sur mon front pendant un certain temps à l'aide d'un foulard. Je viens de prendre connaissance du message de Geneviève Bordier du 11/01 dans lequel elle propose de réunir les Esmaïens du Sud, le 30 avril 2006, dans un grand pique-nique partagé. Je trouve cette proposition très séduisante et serais prêt à participer si mon état de santé me le permet. A bientôt !

 

Odile SCHNEIDER - LA REDOUTE (LYON)

29/01/2006 09:25

Bonjour à toutes et à tous! Etant une relative "petite nouvelle" sur le site, j'ai parouru l'ensemble des messages depui 2001. FATIHA évoque, à un moment, le marchand d'habits et son appel "marchand des Zhhhaaaabiiii....", je me le rappelle bien, il devait toujours suivre le même itinéraire. En effet, chaque fois que nous l'entendions, il descendait les escaliers face à notre immeuble, si mes souvenirs sont bons, sa silhouette était longue et fine, il était coiffé d'une petite calotte en coton blanc, portait un genre de blouse "cache-poussière" grise et un pantalon dans les tons de brun assez bouffant dans la partie basse (peut-on dire sarouel ?). Sur son épaule était jeté un grand sac kaki fermé par une grosse ficelle. Lorsqu'il nous arrivait (rarement, mais quand même...) de faire un caprice, Maman nous menaçait de nous vendre au marchand des "Z"habits... nous nous imaginions mal transportés au fond du sac sombre mélangés aux vêtements usagés, morceaux de tuyaux en plomb et autres !!!
Voilà encore un souvenir d'enfance d'une REDOUTABLE... Bon dimanche à toutes et à tous !

 

Philippe

29/01/2006 09:11

J'en arrive à avoir presque honte d'avoir habité le haut de la rue Michelet !.........
Je m'y suis toujours posé la question de savoir si vraie camaraderie, amitié sincère et solidarité réelle y avait son siège ? Pour certains d'entre nous, la réponse est oui ! Et pour ceux-là, qui se reconnaîtront, une véritable chaîne de solidarité s'est nouée au fil des temps. Et je les en remercie autant que je les félicite, bien que la chose soit en principe naturelle, mais devenue tellement rare qu'il convient désormais de le souligner ..... Pour d'autres, seule curiosité des souvenirs, mêlée d'indifférence pour l'autre, semble subsiter. J'en ai pour preuve l'annuaire de notre ami Jacques Abbonato. Eh oui ! Lui, il est né à Bab-El-Oued......... Alors! Des milliers d'entre nous sont allé le "visiter". "Vous, qui passez sans me voir........." (Georges Ulmer.) et si peu s'y sont inscrits ! Et voilà que Jacques tombe par hasard sur un site "d'un de Bab-el-oued" ....... Il y laisse l'adresse de son annuaire (dont le seul but est de permettre des retrouvailles avec des amis perdus) et voilà qu'une avalanche d'inscriptions se fait !!!!!!!!...Vous me direz peut-être " Ah, Bab-el-oued".......... Je vous répondrai que pour nous tous la galère a été la même, et sûrement plus dure pour eux que pour nous. Au cas où certains d'entre nous voudraient "se mélanger" ..........

Qui sait, avec un peu de chance, on retrouvera peut-être des copains de la rue Michelet, du Parc de Galland, d'El-Biar, d'Hydra ou de La Redoute ................

 

TOSCANO CHANTAL (la redoute)

28/01/2006 20:06

Bonjour à tous. "le foulard" ma grand-mère le pratiquait et j'avoue que plus d'une fois elle m'a guerri de gros maux d'estomac. elle me faisait tenir le bout d'un foulard sur mon estomac et je me souviens qu'elle marmonait des choses tout bas et elle avançait vers mon estomac en prenant ce foulard du coude vers le poignet. je n'ai jamais compris pourquoi après avoir recommencé plusieurs fois, elle n'arrivait jamais au même endroit sur mon estomac ???? Elle devait réciter des prières je pense. Cela se passait à la Redoute et bien longtemps après en métropole elle a continué jusqu'à ce qu'elle nous quitte sans oublier de passer le message à ma maman qui a pris la relève. À bientôt. Chantal

 

PARACCHINI JOSE (CAZAUX 33)

28/01/2006 15:08

- JE SUIS NE A CAP MATIFOU EN 1942 - JE ME SOUVIENS DE TOUS LES NOMS DES HABITANTS DE "JEAN BART", POUR Y AVOIR VECU - MON PERE ETAIT ENTREPRENEUR - JE N'AI PLUS AUCUN CONTACT - JE VOUDRAIS TELLEMENT QUE QUELQU'UN ME FASSE SIGNE - J'AI ENCORE PLEIN DE SOUVENIRS A PARTAGER - ON S'APPELLE -

 

Jean-Paul VERGINE (MONTPELLIER)

28/01/2006 11:26

On dit que "le monde est petit"c'est à ne pas y croire. En efet pour moi, les ventouses, le verre d'eau ou les frictions à l'essence de thérebentine, me rappellent, tenez vous bien, le Dr CHEVAUX, qui a toujours été le "Docteur de la famille" et aprés notre Chirurgien; je ne pense pas qu'il fut Rhumato, mais pourquoi pas. A une prochaine et bonne journée.

 

Betty (Florence)

28/01/2006 10:20

à Marie josé: tous les esmmaiens (iennes) se souviennent du verre d'eau renversé sur la tête pour "enlever le soleil" et des ventouse (pots de yaourt) appliquées sur le dos et enlevées avec un bruit de succion (aie.aie!!..) suivies de frictions énergiques à l'essence de térébenthine. Mais qui se souvient des chambres drapées de rideaux rouges de nos rougeoles où les parents et les amis entraient comme dans une église pour vous apporter un peu de réconfort? À Jacqueline: pas de nouvelles bonnes nouvelles ?

 

Anne-Marie Lafon (née Jory) 1944 (Alger/Lyon)

27/01/2006 16:22

A propos des remèdes, Joëlle Hureau dans son livre "La mémoire des Pieds-noirs" mentionne le remède du "foulard" pour les maux d'estomac et le remède pour "enlever le soleil" à l'aide d'un verre d'eau posé sur la tête et d'une marmite d'eau salée (paragraphe" Des mythes qui sortent de l'ordinaire").

 

ESMMA

27/01/2006 15:26


B R E A K ! !

 

Jean Louis 46 (92 France)

27/01/2006 15:02

à jacques Azoulay: Si je me remenber bien, à cette époque Paris avait sa Coccinelle, et Alger ses Frères Manchon. (que j'ai eu l'honneur de ne pas connaitre) Entre mômes, c'etait plutot un sujet de plaisanterie, et je n'en dirais pas plus. Bon W.E à tous. J.L

 

Jean Brua (1934) (Nice)

27/01/2006 14:37

La question sur les frères Manchon est-elle naïve ou à double tiroir ? Les anciens savent bien qu'on ne pourrait donner aujourd'hui de précisions sur les activités parallèles de ces célèbres fourreurs algérois sans encourir les foudres de la législation sur la diffamation à caractère sexuel.
Mais il et vrai que « Manchon au pouvoir ! » retentissait souvent dans les rues d'Alger, surtout sous les fenêtres des ateliers des deux frères, Tonio et Fredo, par ailleurs assez belliqueux. Quand un seau d'eau tombait de leurs fenêtres sur les « manifestants », ces derniers répliquaient, toujours sur l'air des lampions : « Coule, eau ! Coule, eau ! »

 

Marie-José Rachou (née Lopez)46 (Alger/Gard)

27/01/2006 14:23

Je n'avais pas encore l'âge de m'intéresser aux fourrures des frères MANCHON, par contre non loin de Delacroix la confiserie de La Marquise de Sévigné m'était autrement plus attractive. Notamment ces chocolats en forme de parapluie fermé, enveloppé chacun de papier de différentes couleurs d'où émergeait un petit batonnet recourbé translucide.

 

christian Ripoll 1936

27/01/2006 13:34

Oui Jacqueline, c'est exactement la version qu'on m'a donné de... comment l'appeler ? tour de magie ? pour enlever le coup de soleil. Et je n'étais pas rue Barnave, ce n'était donc pas la même. La dame qui le faisait nous a même dit que pour une forte insolation la marmite s'était fendue !

 

AZOULAY JACK1945 (SENLIS 60)

27/01/2006 12:12

Je voudrais savoir qui se souvient des frères MANCHON, qui étaient fourreurs rue CHARLES PEGUY et angle rue BALLAY, en haut de la confiserie la MARQUISE DE SEVIGNÉ? À chaque fois qu il y avait une manifestation on criait MANCHON au pouvoir et pleins d'autres choses...................

 

Gérard MOUILLOT (1944) (CA)

27/01/2006 11:53

Bonjour à toutes et à tous, Je suis un petit nouveau sur ce site grâce à mon ami Ralphy NAVARRO, fidèle de tous les fidèles!!!! J'espère pouvoir apporter une pierre de plus à votre édifice. J'aimerais avoir des nouvelles de Michèle SIMIAN (Bd du Telemly à ALGER) J'ai des excuses à lui faire pour mon départ précipité d'Alger (c'était hier en avril 1962....). Amitiés à tous. Gérard

 

Marie-José Rachou (née Lopez)46Alger (Alger/Gard)

27/01/2006 11:07

A Christian Ripoll, j'ai pu bénéficier du remède contre le coup de soleil. Je devais avoir aux alentours de 8-9 ans et avais attrapé un sacré coup de chaleur qui m'a clouée au lit pendant 3 jours. Dès que je me levais, je voyais tout tourner. Aussi on a fait appel à la soeur de ma Grand-Mère qui nous a dit connaître le remède. Donc verre d'eau retourné sur une soucoupe, au-dessus de ma tête et prières dont la teneur nous a été tenue secrète. Toujours est-il que j'étais sur pied rapidement... Mais je n'ai jamais su si c'était le résultat de 3 jours de lit ou de la "science" de ma Grand Tante!... Y a-t'il d'autres témoins?

 

Schneider (La Redoute)

27/01/2006 10:44

Dans la rubrique "à quoi vous jouiez". Nous jouions aussi à la marelle avec une petite boite, ronde & plate, de poudre de coco ? (c'était une poudre ocre) que nous remplissions de sable. Et les osselets ? les vrais, en os, ceux que nous allions demander, avec mes soeurs, au boucher du chemin des Cretes. Puis nous les mettions à bouillir pour les nettoyer ! A bientot !

RÉPONSE : voir à ce sujet le joli texte de Betty Reybaud, "le temps des récrés", encore affiché en colonne de droite.

 

Elyette Bagnuls (Courthezon)

27/01/2006 09:48

Un supplément au ''modeste'' texte envoyé précédemment : je suis d'octobre 1946, née au 107 boulevard Bru et y ayant vécu jusqu'en1962
et assumer l'âge est normal..... bon pour vos stat et non en message supplémentaire..... FAMILLE DE 6 ENFANTS et père instituteur à l'école primaire de garçons du bd Bru

 

Bagnuls Elyette (Courthezon Vaucluse)

27/01/2006 09:38

Merci à Anne Marie Brochard - J'apporte un rectificatif à l'orthographe de mon nom. Emotion en revoyant les photos de l'école du BD BRU, du lycée Fromentin et le lycée Gautier fréquenté par un de mes frères et par tout ce qui est proposé par ce site superbe.
Bonne année à tous et toutes

 

Jacqueline (ROME)

27/01/2006 09:28

Notre voisine de la Rue Barnave avait ce pouvoir “magique” de nous “enlever le soleil”. C'est-à-dire qu’elle faisait des incantations au dessus d’une marmite remplie d’eau salée (il parait) et lorsque les effets d’une telle opération arrivaient , l’eau disparaissait brusquement aspirée dans un tourbillon bruyant (dixit maman) ..Au même moment la victime du coup de soleil était guérie.

 

Anne Marie Pautet -Schneider (La "Redoutable" /Montceau)

26/01/2006 22:01

Oh! Oh! Je lis et je m'aperçois que la gourmandise n'est pas uniquement féminine... elle se conjugue bien au masculin.....! Je vais en remettre une couche... adieu le régime... et cela nous fait tant saliver...!
"que l'eau, elle monte à la bouche, ma parole"....
Qui se souvient des petits gâteaux individuels forme conique en sucre coloré rose sur un fond de tartelette, l'intérieur était du blanc d'oeuf monté en neige. Un peu écoeurant si mes souvenirs sont bons, mais je crois qu'ils avaient un nom très particulier? Nous les trouvions chez Mr et Mme Calveau (patissier-boulanger), rue des frères Martell. En fait, nous avions plus l'habitude d'apprécier les entremets que notre mère nous faisait, normal avec 9 enfants! Son cahier de recettes est précieux et nous sert encore... bien ! Amicalement... Anne Marie

RÉPONSE : Anne-Marie, Anne-Marie, mais c'est des toupies qu tu nous parles là, dis ! Allez, va dans la rubrique "le coin des bonnes choses", et tu verras une photo de ce gâteau, conique comme tu dis, entre les mains de ma mère, un des meilleurs gateaux du monde (quoiqu'en disent certains, suivez mon regard, qui ne savent pas apprécier la subtilité des délices tout simples)... Et tu trouveras avec l'adresse de peut-être la dernière patisserie qui en fasse encore (bien que ça ne soit plus tout à fait pareil...) Quant aux Calveau, j'ai jamais goûté leurs toupies, mais les meilleures c'étaient quand même celles de Joseph Aloy à El-Biar. On ne peut plus organiser de concours de dégustation, mais c'est tout vu. Continuons à nous faire saliver... Gérald.

 

christian Ripoll 1936

26/01/2006 20:52

A propos de remèdes, qui a bénéficié de ces thérapies mystérieuses qui permettaient d’ "enlever" le coup de soleil à distance grâce à une manipulation de marmite d'eau, le soir au coucher du soleil ? ou d'un verre d'eau posé sur le crane ??

 

Jean Brua (1934) (Nice)

26/01/2006 17:45

Suite pâtissière pour Alain Gerbi. La pâtisserie Fille était exploitée par Pierre Portelli, plus (ou moins) connu comme directeur de l'Opéra d'Alger. On y trouvait les plus grosses meringues de la ville, fourrées de chantilly. J'ai souvent été chargé d'en approvisionner la table du dimanche par un aller-retour pedibus cum jambis, depuis les hauteurs du Forum jusqu'à la rue bab Azoun, en passant par Dupuch, tournant Rovigo, Dumont-d'Urville et square Bresson. En été, la chantilly transpirait encore plus que moi, et ma mère pouvait évaluer mon degré de lambinage à la taille des taches sombres qui maculaient la boîte en carton.

 

Layani André 46 (Charenton le Pont 97220)

26/01/2006 16:56

En parlant de remèdes de l'époque, je me souviens avoir été soigné à l'aide de ventouses (pots de yaourt dans lesquels on faisait le vide à l'aide d'un batonnet entouré de coton imbibé d'alcool qui était alors enflammé...OUUF!!! Reliefs et guerison asssurés. Il y avait aussi les fameux buvards "Rigolot".-- ma parôôôle, ou ce qu'ils ont trouvé un nom pareil-- Pas si marrant que çà les séances, ces buvards ayant de la moutarde dans leur composition parait-il, çà brulait dure dure. Dos rouge et decongestion assurés. Depuis ya les antibiotiques, mais En-ten-tion à l'estomac. Amicalement A.l

 

Anne Marie Schneider (La "Redoutable" /Montceau)

26/01/2006 11:20

Nous pieds-noirs, nous avons ramené c'est sûr le couscous, les merguez, la soubressade, la mouna Etc... mais quelques produits de là-bas : L'essence Algérienne... ils ont volé notre recette... elle a vu le jour dans le pas de Calais. Léon Touhladjan, pharmacien, a élaboré la composition et a guéri sa fille. Mais la formule est un mélange bien de chez nous :extraits d'eucalyptus, menthe, et de gaïac. Essence qui guérissait la coqueluche la bronchite. L'Algérie riche en Eucalyptus en a fourni des tonnes....un remède de grand-mère qui ne se démode pas!

L'orangina est bien né à Boufarik, au coeur de la Mitidja. Cela vient d'un soda espagnol, mais Leon Beton, natif de Boufarik a voulu promouvoir l'orange du cru... En 1936 il rachète Naranjina, gaziéïfie le mélange, rajoute de l'eau sucrée et Orangina est né! La célèbre affiche plubicitaire la petite bouteille ronde et le parasol. En 1956, les évènements contraignent la famille Beton à l'installation de la société à Marseille et vingt huit ans plus tard, la société est rachetée par Pernod-Ricard. Orangina connait un succés mondial!
La bougie est née à... Bougie, "Bejaia" tribu berbère; Production de cire de grande qualité, la chandelle apparait au début du 11e millénaire. L'éclairage ne progresse qu'à partir du Moyen Age, lampe à huile, cierge de suif. Trois siècles plus tard la bougie traverse la Méditerranée. Et devient un produit de luxe!
La clémentine de L'abbé Clément : en 1892 le père blanc dans le verger de l'horphelinat de Misserghine découvre un arbre étrange.Il fait une greffe " mandarinier et bigaradier". Frère Clément devient le père de la clémentine, appellation approuvée dès 1902 par la Société algéroise d'agriculture. La clémentine sera introduite en Corse par les pieds noirs, et hélas la production algérienne très florissante périclite peu à peu.
La liste doit être certainement plus riche... cherchez S.V.P...merci.
* Information lue dans Géo
Amitiés à tous. Anne Marie

 

Henri Schmitz (Alger/Genève)

26/01/2006 11:18

Bonjour à tous et à toutes, je ne suis pas un Redoutable mais j'ai habité Diar es Saâda de 1954 à 1962, et j'allais au cathéchisme à l'église Ste.Anne, au cinéma de la paroisse le dimanche après-midi et à la kermesse chaque année, j'étais aussi client du coiffeur qui avait son salon près de l'église. De plus je faisais la route à pieds soit par le Ch. des Crêtes ou en passant par l'école de D-E-S, et je sais que les habitants de cette cité en faisaient de même, donc nous aussi nous faisions un peu partie de ce quartier. Pour parler d'autre chose maintenant, mon fère a travaillé en 1962 à la Pâtisserie Walter TILBURG et moi-même j'allais donner un coup de main les samedis et dimanches et je ne me souviens pas de ce gâteau (Russe) mais je poserai la question à mon frère qui s'en souvient peut être. Je vais arrêter là mon bavardage. J'allais oublier (mais il est encore temps) de souhaiter à tous les P.N. une très bonne année 2006. A bientôt les amis. Henri.

 

GERBI ALAIN (rouen)

26/01/2006 11:14

Je voudrais dire, car je ne pense pas l'avoir lu, que le gateau "Russe" que j'adorais aussi, était acheté par mon père chez "FILLE" qui était un patissier rue Bab AZOUN... c'était dans les années 46, 47...50... je profite de ce message pour remercier pour l'invitation, l'organisation, et la rencontre de dimanche dernier Danielle, Jacqueline et Gérald..... C'était très chaleureux... Merci encore. ALAIN GERBI

 

Jacqueline (ROME)

26/01/2006 11:14

Je suis heureuse que Georges Lévy ait abordé le sujet des juifs d’Algérie et cela pour deux raisons. La première me concerne personnellement car je suis une de leur descendante et je me passionne pour leur histoire ; la seconde pour l’importance de leur présence sur le sol algérien, qui remonte pour certains à la nuit des temps, pour d’autres au moins au 14ème siècle . Ce qui signifie que l’appartenance à cette terre natale est encore plus profonde, et que leur départ a été une déchirure encore plus vive. Un simple hommage à une partie de notre population. Un autre sujet : j’ai «dégoté» un appel à la population algéroise après le débarquement des Alliés, et cela sur une couverture de cahier pieusement conservée par ma maman. Bonne journée à vous tous.

 

Schneider Elisabeth (La Redoute)

26/01/2006 11:07

Bonjour ! Mais non, je pense que personne a oublié les marchands de beignets, à la pate à pain, où nous régalions pour pas cher. Mais moi, je me rappelle surtout de celui qui était le plus prés de chez nous, rue des Frères Martel. Lorsque je vais à Lyon dans la rue Paul Bert, j'ai l'impression d'etre là-bas. Ils sont tous là, avec leur musique, leur montagne de gateaux, et ça sent le beignet ! A bientot !

 

Anne Marie Schneider (la Redoutable/ Montceau)

26/01/2006 10:28

Jean-Paul, le marchand de beignets au chemin des Crêtes... qui faisait l'angle, si je m'en souviens... évidemment! Enfant, le dimanche après midi, pour nous faire plaisir maman nous envoyait acheter les gâteaux pour notre goûter: les cornes de gazelle, makroudes aux dattes, une galette à la semoule dans un grand plat rond. Les zalabias craquants gorgés de miel d'une jolie couleur orangé et le large beignet un peu plat "le beignet algérien"....! Juste à côté le café, la patisserie Clapès, le cordonnier Pétrus, le marchand de cycles, le marchand de fleurs, une droguerie il me semble, Ouazan, au coin de la rue Péto Béringuer charcuterie fine (nous avions été le voir à Moissac, acheter de la "bonne " soubressade et du Boutifar). En face, sous l'immeuble qui faisait l'angle du chemin des Crêtes et de la rue Zaatcha' (on descendait au boulevard Bru), le mzabite qui faisait des cornets avec le journal, pas de sacs en plastique à l'époque... derrière le comptoir sur des clous les notes attendaient..., une boucherie, et à l'angle opposé une épicerie.
Je viens de prendre connaissance... le super cinéma du Golf rue Shakespeare construit en 1956, a été démoli ainsi que les Tennis Roland Garros et pourtant..... Celui de La Redoute (Codinno) vers la placette, l'ouvreuse avait un bras ou une main avec un handicap, Mme Odette.
Au Golf Le café Marcel n'existe plus... Jean Paul a rectifié mon erreur, le photographe du Golf rue Jonnart était Mr Noël et non Moll, celui-ci était à "Alger-centre". Un autre photographe chemin des Crêtes vers Saint Anne : Leucas-Zeumann (orthographe à corriger...)
Je laisse la place... il ne faut pas que les "redoutables" envahissent... mais bon...cela prouve que notre quartier était très vivant... sur les hauteurs d'Alger, nous respirions bien.. il y avait de belles ballades, le bois de Boulogne, et au-delà Birmandreïs... les "redoutables" à vos claviers... Amitiés à tous. Anne Marie

 

VERGINE Jean-Paul (MONTPELLIER)

25/01/2006 23:25

Bonsoir à tous.Depuis quelques jours je reviens sur ce site formidable,et je decouvre les messages des "Redoutables"dont je suis. J'aurai beaucoup à dire sur vos descriptions et parfois je bondis car je suis étonné par votre mémoire. En ce qui me concerne, j'yai vécu toute ma jeunesse, étant parti le 20 Juin 1962 et fait un court séjour en 1974. Je me souviens des commerces du chemin des Crêtes et du Golf, des cafés où chaque groupe se réunissait; mais surtout de Ste Anne avec son magnifique parc et sa grande cour etc etc... Cependant personne ne parle des marchands de beignets du chemin des Crêtes, il y en avait 2; un presque devant l'eglise, à l'arrêt du K; et l'autre à l'angle, avant les escaliers, vers la rue Arago et aprés le Café Maure; ne me dites pas qu'aucun n'est jamais allé se gaver pour "cent sous". Bon je me calme pour ce soir et par au DODO. Bonne nuit à tous les Esmmaiens, Redoutables ou autres. A bientôt.

 

layani andré 1946 (94220 charenton le pont)

25/01/2006 19:18

Recentrons le debat (Alger centre), en parlant de z'abri, il y en avait un situé au bout de ma rue Edmond Adam, en descendant les escaliers vers le bd Victor Hugo. On passait devant le numero 1, où résidait notre Papa national (de Clauzel) Pour nous zotres, nés apres guerre, il a servi de lieu de découvertes et apres deux ou trois visites tous ses mystères étant élucidés je n'y ai plus trouvé intérêt à m'y rendre. Je me souviens que l'on arrivait sous les escaliers qui donnaient sur la rue Sadi-Carnot, et des cafards qui se trouvaient sur le grillage de ses escaliers, ce qui a fini par annuler ma curiosité. A Jean-François de New-York, Jean, n'aie pas honte: je lis les messages d'Esmma... Je suis devant les Galeries de France... j'ai 13 ans ...et je me tape UN RUSSE. Miaaaaam! que c'est bon! J'en ai jamais retouvé à ce jour. Imité,mais jamais égalé. Amicalement, André Layani.

 

andre layani (94220)

25/01/2006 18:13

Un bravo aux organisateurs de la réunion d'Es'mma, la galette, elle etait boooonne!!! Le champagne aussi, alors les montécaos de Danielle, j'te dis pas, même avec le champagne, hein Gerald. Y avait pas de russes, mais çà fait rien on a bien apprecié ce moment de retrouvaille. Donc touts mes felicitations à toute l'èquipe, en espérant que nous serons plus nombreux encore pour la prochaine reunion. Amitiées à tous, André Layani

 

Matarèse (Orchamps/france)

25/01/2006 17:39

recherche photos concernant mm matarese jeanine nom de jeune fille chanaud,de mr matarèse gilbert, de mr matarèse philippe à Alger.Jeanine Chanaud épouse matarèse recherche mm Arlette Seynar connue au cours complémentaire du champs de manoeuvre à Alger , celle-ci étant marraine de mon fils philippe.

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

25/01/2006 17:15

Salut. M6 prépare plusieurs émissions sur l'Algérie, j'ai renseigné un journaliste pour l'émission "ZONE INTERDITE", la chaine recherche tous les films amateurs tournés avant 62, pour un témoignage. Si vous avez ça, vous pouvez contacter le journaliste: Serge de Sampigny, au 0663572943 ou 0141926771. Voila. Je vous prépare un autre message, sur des remboursements d'indemnités????? je vous fais une synthèse. Yves

 

Lévy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006.)

25/01/2006 11:21

Suite au "Coup d'Eventail", une légende qui nous a longtemps accompagné, il est intéressant de lire cet article sur le livre de Péan, bien connu: qui éclairerait un vol du Trésor de la Casbah, sous le règne de Charles X, pour alimenter le trésor royal en déficit et maintes conspirations.
J'ai recu, d'Amérique, un e-mail d'un descendant de la famille Bacri, qui se souvient de l'évocation de cette affaire dans sa famille.

 

Jack Azoulay 45 (Senlis 60)

25/01/2006 07:37

Quelle érudition mr Georges Lévy, c est notre Jean Dutourd d'ESMMA. J'ai toujours plaisir à vous lire.

 

Jean-Francois Giuliani (New York, USA)

25/01/2006 03:23

Christian.. la renommée de la patisserie d'Oloron est arrivée à New York parceque j'ai cherché sur l'internet "russe" et hop, la patisserie d'Oloron(et de Pau) a surgi avec un très joli site et tout un baratin... ceci dit je commence à avoir honte d'avoir lancé tout un debat sur les"russes" d'Alger... ca fait frivole, non? Jean-Francois

 

Christian Ripoll 1936

24/01/2006 20:04

En effet, Jean François, j'ai eu l'occasion de gouter un "russe" à Oloron Ste Marie. Mais ce qui me bluffe le plus, est que la renommée de la patisserie ait atteint New York ! Jusqu'où se loge la gourmandise ... A ce qu'on m'a dit, c'est Tilburg qui l'aurait inventé, et les autres ne seraient que copies...

 

Lévy Georges (Alger (1938-1962) Israel 2006.)

24/01/2006 18:33

Vous connaissez peut-être le Roland Bacri satirique "du Point Comme", le "Journal satirique paressant le samedi" sur: Roland n'est qu'un autre maillon brillant de cette branche. Mais ce qui est moins connu, c'est la saga extraordinaire de cette grande tribu à découvrir dans:
"Une famille dans l'histoire", c'est le titre de ce reportage dans le temps d'avant la conquête et d'après, de cette descendance marane* chassée d'Espagne, qui atterrit à Livourne et à Alger. Ses démêlés avec les Turcs, son ambassade de bonne volonté avec Napoléon, et même son aide au Général Washington, et ses relations avec la France libératrice, ne sont que les mille facettes qui vous passionneront comme dans un film d'action. On y vit avec elle, dans les demeures anciennes, les complications et les réceptions historiques. En temps modernes, la guerre de 14-18, les déportations de 39-45, ne les ont pas épargnés. En 1962, tous regagneront la France. Pierre Cohen-Bacrie, un fin lettré qui est l'auteur de ce site, termine par un autre écran consacré à la Philosophie, l'Education, la Culture. Et il cite Montaigne, qui écrivit dans ses Essais "A propos du prétexte de la religion": "Il ne se peut imaginer un pire visage de choses qu'où la meschanceté vient à être légitime". (Phrase écrite en vieux français.) Et en arrivant à notre décennie, parlant de l'Internet, Cohen-Bacrie* ajoute: "Les écrans deviennent des prolongements de nous-même , les claviers sont les viatiques de nos âmes". Ce site est un vrai feu d'artifices.
N.B. 1) Les Maranes étaient des juifs persécutés du temps de l'Inquisition qui durent se convertir, mais, en secret, préservèrent leur religion d'origine.
2)*Les diverses orthographes devaient dépendre de la plume de l'état civil.

 

Jean-Manuel Richier (Soustons (Landes))

24/01/2006 15:26

J'ai beaucoup apprécié votre site, ayant en particulier usé mes fonds de culotte tant à Notre Dame d'Afrique qu'au Lycée Gautier de 1945 à 1957. J'ai donc trouvé avec plaisir une mine de renseignements d'autant plus que je fréquentais assidument aussi le RUA section aviron, dont mon père était le Président.

 

Marie-José Rachou (née Lopez)46Alger (Alger/Gard)

24/01/2006 14:01

Oui c'était un fameux "russe". Pour notre régal nous le prenions chez la Princière. Mais j'ai souvenir aussi de ces couronnes de roi toutes simples, sans ces substituts de fruits, mais recouvertes uniquement de petits morceaux d'amandes. Je n'ai pas retrouvé l'équivalent.

 

Denis Perchenet (1944) (alger)

24/01/2006 12:21

Quelle belle chose que la gourmandise! Merci à Jean Brua de m'avoir rappelé les "russes" de la "princière" où nous achetions nos gateaux le dimanche (à mon avis, patisserie aussi bonne que "tilburg";attention aux querelles de gastronomes..) leurs éclats de noisettes me font penser à ceux d'amandes pilées des "hérissons" de chez Grosoli. Amitiés.

 

une redoutable gourmande (la Redoute)

24/01/2006 12:02

Je n'ai pas souvenir de ce gateau, mais qu'il devait être bon!! c'est vrai que je n'habitais pas la rue d'Ysly...

 

Jean-François Vinaccio

24/01/2006 10:57

Je recherche Nicole Génova qui travaillait aux assurances Garcia rue de Joinville à Alger en 1961 avec Marinette et Clairette. Jean-François Vinaccio

 

Ruis Michel 1944 (Alger champs de manoeuvre)

24/01/2006 08:21

Salut à tous. Dans mes souvenirs j'ai celui d'un ensemble qui etait je crois le mandoline club de Mustapha qui repéte à l' ASPTT rue Ernestre RENAND . Qui en a le souvenir????? A bientot et amitiée P.N. Michel Ruis
Hé, le champs de manoeuvre on se reveille !

 

Jean Brua (1934) (Nice)

23/01/2006 23:36

On cite à juste titre le Trianon et Tilburg pour les « russes » (La « Princière » devait être aussi dans le coup, je pense). Mais il faudrait parler aussi des « boules de chez Zorn ». Zorn était un pâtissier de la rue d'Isly (tout près du cinéma « Le Club ») spécialiste de ce délice à peu près gros comme une balle de tennis : un noyau de crème pralinée, entouré d'un doigt de meringue elle-même recouverte d'une croûte de chocolat piquée d'éclats de noisette. Il fallait les commander avant le dimanche, pour le plaisir cruel d'emporter sa boîte enrubannée au nez et à la barbe d'une file d'imprévoyants angoissés.

 

Jean-Louis Gas 1939 (Alger Lyon)

23/01/2006 19:22

Bonjour à tous. A propos de "russes", pour ce qui me concerne, je les achetais chez Prat, avenue de la Marne, que j'ai retrouvé à Nice des années après notre arrivée en métropole. Mais il est vrai que je n'habitais pas le centre ville. J'ai bien sûr connu aussi Tilburg, fameuse maison. Je m'avance sans crainte sur Es'mma, bien que n'étant pas d'Alger-Centre, parce qu'une partie de ma famille était du Plateau Saulière, de la rue Meyssonnier, du Boulevard Beauprêtre, du Brd Saint-Saëns. Et j'ai pas mal, comme beaucoup d'entre nous, fréquenté l'Otomatic, à l'heureux temps de la Fac. Souvenirs souvenirs. Amitiés à tous. Jean-Louis

 

Jean-Francois Giuliani (New York, USA)

23/01/2006 19:08

Merci Yves, Christian, Jean-Claude.. j'en passe et des meilleurs! oui la pâtisserie que je recherchais était bien le Trianon, rue Debussy. Et oui, la spécialité de Tilburg , rue Michelet, était bien aussi le Russe. Il y avait débat dans ma famille: quel était le meilleur.?(chez moi, le Trianon, sans aucun doute.) Le Russe est un gâteau à la crème au beurre semé de copeaux d'amandes grillées. On ne le trouve en France parait il- qu a la maison Artigarrede à Oloron Ste Marie et a Pau . J'ai trouve sur l'internet un site très marrant ou nos frères PN de Didjelli affirment que ce gâteau est originaire d'chez eux, de "Chez Amar." Ils poussent un peu mais enfin..A lire aussi un article d'un journaliste algérien, Akram Belkaid, publie en 2005 dans le quotidien d'Oran:" Zlabias, Croquet et Russe." Il y écrit que le Russe avait fait " la célébrité de cette boulangerie algéroise au patronyme helvétique" , donc Tilburg, si je ne m'abuse! Si quelqu'un possède la recette.. Belkaid , outre quelques remarques désagréables sur la colonisation affirme aussi que l'on trouve toujours en Algérie aujourd'hui toutes sortes de gâteaux chers aux PN et par contre inconnus en France. Alors, tous a Alger pour un Russe. Amitiés, Jean-Francois

 

Christian Ripoll 1936

23/01/2006 17:17

Merci Jean Claude, du coup, je me demande si seulement j'ai su un jour que c'était la rue Drouilet....

 

Jean Claude Drouhard (1947) Alger-Chenov (21300 / Chenove)

23/01/2006 15:49

Bonjour à tous !!!!... de retour après une courte interruption sur les écrans "ES'MMA"... pour répondre à Christian RIPOLL .... La patisserie "TILBURG" faisait l'angle de la rue Michelet et de la rue DROUILLET ( à gauche effectivement en descendant la rue Michelet !!)- La rue DROUILLET (perpendiculaire à la rue michelet... donc dans le sens descendant..) était le "pendant" de la rue BURDEAU à l'autre extrémité de la rue du Languedoc : rue Burdeau-rue du languedoc-rue Drouillet.
... à propos de la rue du Languedoc je "recherche" toujours des "autochtones" de la rue en question pour "éclairer"et "raviver" nos souvenirs en la matière... (Jacques Marty , en l'occurence vient "tout juste" de me contacter à cet effet... J'attends avec impatience que d'autres voisins se manifestent !!!... ainsi , comme je le rappelais dans un de mes récents messages que tous les "Anciens" de "Burdeau-du Languedoc- de Nimes- Charles Vallin " etc!!.. Les anciens de Volta... sont depuis quelques temps un peu "muets" sur le site de l'ami Marc MORELL .... s'ils pouvaient (et j'espère de tout coeur qu'ils "fréquentent" aussi assidument "ES'MMA" !!!) se manifester également ...: ce serait un vrai bonheur !! A très bientot.... et à vous lire !!!! **** Pierre (Montiel ) j'attends impatiemment de tes nouvelles !!!! très amicalement à tous !!!Jean Claude

REPONSE : pour la patisserie Tillburg, voir aussi en rubrique "le coin des bonnes choses"! J'avais un ami, Claude Vitielo, qui habitait rue du Languedoc, il fait partie de ceux avec qui nous ne nous sommes pas encore retrouvés.. il était triste sans dicontinuer, il avait perdu un très proche parent, son père je crois. Et le macaron de satin noir qu'il porta longtemps à la boutonnière nous impressionnait beaucoup... Pareil : toute nouvelle sur lui est la bienvenue. Je me souviens aussi être allé plusieurs fois avec l'ami Frédéric Martinet voir les judokas s'affronter sure leurs tatamis dans leur local du Judo Club de la rue du Languedoc (dans le renfoncement du trottoir en montant à gauche, si je me souviens bien). Qui nous en dirait davantage sur ce club, dont faisaient partie pas mal de Gautierains ? A bientôt, Gérald

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

23/01/2006 15:11

Salut, Salut... allo, Nouille Orque!! Ici paris.. Pour répondre à ta question cher J.F Giulliani, je pense que tu dois évoquer la patisserie "le Trianon" tenu par les époux Hoguet, qui se trouvait en descendant à droite de l'avenue aprés la clinique Solal. Tu peux retrouver le détail de cette avenue dans le texte "Lettre à Claude" sur la première page du site Esmma, bien sur.. Voila. Concernant l'aérohabitat, toujours debout, l'ascenceur qui nous conduit au 10éme étage est toujours aussi rapide, et là, de la terrase du 10éme la vue est spendide et .... panoramique... j'ai des preuves... oui, oui... Aller tchao et continuons à tchatcher de tous les coins du monde. Yves

 

Bernadette Moll (Toulouse)

23/01/2006 14:55

Je recherche la famille MALARET qui se trouvait à Alger dans les années 50. Je suis née le 13 février 1960 à Alger dans le 4éme arrondissement et je portais ce nom à ma naissance avant d'être adoptée. Merci de m'envoyer tout renseignement susceptible de me permettre de retrouver ma famille d'origine.

REPONSE : vous avez du penser aux sites PN de généalogie ?
à tout hasard en voici quelques-uns :
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mais il y en a d'autres. Google vous donnera plus d'infos

 

Christian Ripoll 1936

23/01/2006 12:51

Jean François, permets qu'un "redoutable" mette son petit grain de sel sur le Télemly ! L'immeuble de l'Algéria a en effet été construit pour le centenaire de l'Algérie, donc en 1930. Il était destiné à être un hôtel.
La patisserie qui faisait le "russe" était la patisserie Tilgurg, rue Michelet, à gauche en descendant, elle faisait l'angle avec une rue dont j'ai oublié le nom, à peu près en face de "Nostre Dame"

 

Philippe Jollivet

23/01/2006 10:28

Merci à Jacques ( Prat ) d'encourager nos Esmaïens à s'inscrire en masse sur l'annuaire de Jacques ( Abbonato )
S'il en est qui mérite des encouragements, c'est bien lui.
Dévoué à nos souvenirs, il est une "mémoire" intacte, tout comme Georges Lévy, tout comme vous tous qui nous faites souvent essuyer une larme en nous faisant revivre nos années de bonheur.


REPONSE : Salut Philippe. Gérald est en vadrouille... c'est moi qui suis de garde en ce moment. On t'a moins lu ces derniers temps... Merci pour ton message. Nous sommes tous des maillons de cette longue chaine qu'est devenue ESMMA et qui grandit de jour en jour, et de si loin comme Georges, Jean-François, Jacqueline, Betty... et d'autres, depuis Tel-Aviv, New-York, Rome, Florence... et d'ailleurs. Ha ! si tous les Es'maiens du monde pouvaient se donner la main... (purée ! arrête ! tu m'arraches les larmes !) ... Amitiés. Jacques Prat

 

Jean-Francois Giuliani (New York, U.S.A)

23/01/2006 03:09

Excellent, voici les Telemliens qui passent en première page.. Yves Jalabert, Imene, M.Cardona, salut. Yves a raison en ce qui concerne l'aero-habitat et sa date de construction. Tout ce que je sais, c'est qu'il était construit et habité quand j'ai quitté Alger en 1955 et qu'il nous bouchait la vue du village Laperlier!. L'Algéria par contre date des années 30. J'y ai vécu dès ma naissance, août 1938, ma mère y habitait lors de son mariage (1936), donc minimum construction en 1934/5. Je crois me souvenir que selon ma mère, le bâtiment avait été construit pour marquer le centenaire de la conquête de l'Algérie en 1930 d'où ce nom glorieux et téméraire. Yves, te souviens tu (car nous avons été voisins pendant des années) du nom de la pâtisserie Rue Debussy en descendant vers Michelet, à peu près en face des escaliers Laperinne? J'ai oublié le nom du pâtisser mais pas son gâteau, un "Russe" spectaculaire, crème au beurre et noisettes pilées! Amitiés a tous, Jean-Francois

 

Khalfa Norbert

22/01/2006 21:18

Je suis de 1951 mon père était proprietaire de l'Hotel des Négociants rue d'Isly. Notre habitation était 1 place Bresson.

 

Camps Jacques (Couiza Aude - France)

22/01/2006 19:33

Je recherche mes copains Puig Robert et Ruby Charles qui étaient avec Moi au Lycée Gautier dans les années 51, 52, 53. Où pourrais-je trouver un plan net et lisible, du centre ville d'Alger des années 50à 60 ? Merci pour tout. J.C.

REPONSE : les éditions Gandini (adresse par moteur de recherche) en vendent de fort beaux, à des prix plutot doux.

 

Anny Ascola (la Redoute/Perpignan)

22/01/2006 18:50

Encore une... Redoutable... née en 1947 au 38 de la rue Guy Mocquet, et ayant habité à cette adresse jusqu'en 1962. mes voisins se nommaient Ahuir, Merouani... Je me souviens du cordonnier "Omar" de l'epiciere "Mme Reyes", de mon institutrice Mme Ould Aoudia (classe de CE1 à Birmandreis).. et j'étais inséparable de ces fameuses jumelles: Marie-Paule et Marie-Hélene Taran, éleves, tout comme moi, du lycée Fromentin..

 

Lévy Georges (Alger (1938-1962) Israel 2006.)

22/01/2006 18:47

Jacques Ibert est né en 1890, et décédé en1962. Grand Prix de Rome de musique, il reste pour nous l'inoubliable indicatif de Radio-Alger, qui lui emprunta un extrait de son orchestration de sa partition "Escales", crée en 1924. Cet indicatif, vous l'entendrez en entrant sur le site-annuaire de Jacques Abbonato (), accompagnant un vol de mouette dans le port . Cette musique colorée et nostalgique au possible, qui semble venir du fond de l'orient, illustrait si bien la mise en onde de Radio-Alger. Mais, prémonition, ou humour pied-noir, ce ne fut qu'une escale de 130 ans.... Sur le Net, peu de renseignements sur ce compositeur qui vécut beaucoup à Rome, à l'Académie. Des trois partitions qui constituèrent "Escales", une avait pour titre... Tunis. Des musicologues d'Esmma pourraient éclairer notre lanterne, ainsi que les historiens de Radio-Alger, sur le choix judicieux de cette musique languissante et mystérieuse.

 

Denise Porteilla 1950 (Montpellier)

22/01/2006 18:10

Le 15 décembre j'avais envoyé, sans trop y croire, un message sur la "colonie d' la ville d'Alger " (centre aéré municipal situé à Maison Carrée) et voilà que j'ai reçu une réponse, une Christine de mon âge, qui a le même souvenir de sieste sous les arbres, de goûter, de chansons; c'est formidable ce site, quel incroyable et rafraichissant travail dans nos mémoires. Amitiés à tous.

 

Lévy Georges (Alger (1938-1962) Israel 2006.)

22/01/2006 14:57

En retouvant dans Internet un Guide Bleu complet de 1938, j'avais été charmé par la description de la riche collection du Musée des Beaux-Arts d'Alger. Et je m'étais demandé ce qu'il en était advenu. En effet, en 1962, la statue de Bourdelle*, "La France", avait été plastiquée, et comme le rez-de- chaussée du Musée en avait été légerement atteint, la France rapatria la plus grande partie de la Collection. Mais en 1969, je cite "après des années d'absence, les chefs-d'oeuvre retrouvèrent leurs cimaises, suite à un protocole d'accord intervenu entre l'Algérie et la France, qui prévoyait le retour des oeuvres acquises sur le "budget" (??) de l'Algérie" ...Voir le site:

De longues pages passionnantes sur ces trésors classiques, mais aussi modernes, de ce musée exceptionnel sous la direction érudite de Jean Alazard, jusqu'a son décés en 1960. Vous qui voyagerez peut-etre à Alger allez rendre visite à ces galeries, si vous ne l'aviez pas fait avant 1962, pour leur apporter un peu de l'air de France....
*"La France", statue endommagée de Bourdelle, a été rapatriée par ses descendants, et à leur frais, réparée. Elle dominait le Jardin d'Essai, face à la perspective de l'allée centrale, avec en fond la Méditerranée. En fait, c'était un exemple à échelle réduite, d'une immense statue qui devait s'élever sur les cotes de l'Atlantique, et ne vit jamais le jour, et devait glorifier les Anglais et Américains qui aidèrent la France en 14-18. Pendant la guerre de 39-45, elle devint le symbole de la France Libre, et "d'Alger, Capitale de la France en Guerre". Triste sort que cette statue mal-aimée qui ne trouvait pas sa place,trimballée, .....un peu comme nous !!

 

ARNOLDr (CourbevoieC)

21/01/2006 21:56

comment faire parvenir des docs souvenirs a esmma?

REPONSE : les scanner ou les faire scanner et les joindre en "fichiers attachés" dans un courriel à notre adresse que vous trouverez sur la page d'accueil, tout en bas du menu de gauche à la rubique "Ecrivez-nous ! ". Merci d'avance

 

M.Cardona (Alger)

21/01/2006 21:14

Bonsoir, Bon, les "Redoutables" se calment et on parle de mon quartier le Télemly L'Aéro-Habitat construit en 1955 dont l'immeuble "2" était à cette époque le plus haut d'Algérie avec ces 22 étages. Les quatre batiments se trouvaient en effet sur l'emplacement de la propriété "Malgleve", dont il restait des ruines et qui était notre terrain de jeu de 1955 à 1962. Il y avait pleins d'amandiers, de figuiers, de caroubiers ; un jardin sauvage merveilleux. On y passait tout notre temps libre et nous en avions beaucoup les 2 dernières années !! Ces ruines étaient (pour les enfants de 10 à 14 ans que nous étions) source d'imagination et recherche d'un hypothétique trésor etc... A +

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

21/01/2006 15:31

Salut à vous... le temps me manque pour écrire, pas pour vous lire... Alors à Imene que je salue et à J.F. Giuliani, que je salue également, concernant le Telemly et plus particulièrement l'Aérohabitat, ce dernier, conçu par Le Corbusier, fut édifié en 1955, dans les année 40 c'est surement l'Algeria qui fut construit. J'ai de belles photos du quartier, prises lors de mes voyages de mai et septembre dernier, l'aérohabitat, des vues générales prises du 10éme étage de l'immeuble, l'Algeria, le Parc Mont Riand ou parc St. Saëns (bien que situé sur le Bd. du Telemly), j'habitait ave. Claude Debussy, et mes terrains de jeux étaient soit le Parc de Galland soit le Mont Riand. A votre dispo. pour toutes info., poser des questions, on essayera d'y répondre. Voila à bientot et bon dimanche. Yves

 

Levy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006.)

21/01/2006 09:55

Picoti,picota, c'est ma gorge qui me fait mal. Alors, en me levant, et grace a un croisement de neurones, je me suis soudain souvenu d'une opération des amygdales, qui était alors à la mode de chez nous, un peu comme de couper chez une jeune chien tout ce qui dépasse (!!??). Pour me rassurer, on m'expliqua que je ne sentirai rien,car je serai endormi. Ce mot éveilla au contraire en moi une angoisse profonde, car à mon jeune âge, je ne m'étais pas encore débarassé de la manie de sucer mon pouce en m'endormant, comme la chanson de Salvador, et je craignais d'etre ainsi dévoilé. Dévoilé je le fus, à la Clinique de l'Oriental et en un clin d'oeil, et revetu d'une camisole (de force?), je me retrouvais en un instant ficelé à un fauteil qui me rappelait celui du coiffeur. Ils étaient trois contre un, sans demander mon avis, et profitant de ma bouche ouverte pour protester, le docteur me glissa un appareil qui, comme un vérin m'écarta les machoires au maximum, me laissant bouche bée, et je ne me souviens que du masque appliqué sur ma figure. Je m'éveillais, assis sur un lit dans le couloir de la clinique, le Docteur Schebat, le cousin de ma mère, vint vérifier mon état cotonneux, juste à temps pour recueillir dans un drap, ce que j'avais avalé pendant cette charcuterie. Retourné à la maison, je pus savourer la récompense de mon supplice: le docteur avait conseillé la meilleure des ordonnances de ma vie: des Créponés du Milk-Bar, des parfaits de chez Grosoli, ou des Esquimaux Gervais, les seuls, les vrais. Mais ma mère faisait mieux avec sa sorbetière: 2/3 de glace pilée, 1/3 de gros sel,abaissait la température du récipient, empli de sa recette crémeuse, à moins 10 degrés. Cette sorbetière était la devancière du congélateur, comme la gargoulette celle du réfrigerateur! Ce n'était qu'une question de patience. Elle nous aida à passer bien des étés, rafraichissante et saine, sans produits chimiques, colorant, préservatif ou gélatine, mais avec beaucoup d'amour maternel.

 

Jacques Prat (1941) (Aix en Pce)

21/01/2006 04:18

Pour ceux d'entre vous qui cherchent à retrouver des anciennes connaissances c'est vrai qu'un message sur le Livre d'Or peut être la bonne "bouteille à la mer" (notre site est consulté par plus de 500 internautes par jour... et pas uniquement de France, cf message précédent... alors t'ia qu'à voir...) (un jour où on aura un peu de temps ;-) et si Gérald est OK, on vous donnera des stats plus détaillées, entre autre sur la provenance, vous verrez que c'est étonnant et encourageant...)
mais sachez qu'il existe aussi d'excellents annuaires PN dont notamment celui de notre excellent ami Jacques Abbonato

alors, n'hésitez pas à vous y inscrire... ça commence comme ça

 

Jean-Francois Giuliani (new york, USA)

20/01/2006 21:43

Imene, vous habitez au Telemly et voulez en savoir davantage. Bon, voici ma petite contribution sous forme de souvenirs tres personnels. J'ai habite a l'immeuble Algeria, 139 ter Chemin du telemly entre 1938 et 1955, 3eme etage , escalier A! C'est a dire tout a fait au depart du chemin, du cote du chemin Laperlier et de l"Aero Habitat qui s'est construit la vers la fin des annees 40. A l'epoque, c'etait le "chemin" devenu par la suite Bvd a la demande de residents en mal de statut social! De l'autre cote du dit chemin, c'etait assez campagnard, avec une grande villa blanche autrefois privee et devenue residence militaire entouree d'un parc, le parc de Malgleve. Apres la guerre ont ete installes dans le parc quelques petits baraquements militaires. Le Telemly continuait sa promenade vers la Place de la Robertsau, en longeant le Parc Mont Riant ou residait en detention politique plutot luxueuse, le Prince d'Annam, vrai parc tres sauvage propice aux jeux de gendarmes et voleurs et indiens et cowboys.. Apres le debarquement americain pendant la 2eme guerre, L'armee avait installe des fumigenes tous les 300 metres environ. et des tentes pour le tour de garde des hommes. En cas d'attaques aeriennes je suppose. Les enfants et leurs jeunes accompagnatrices adoraient rendre visite aux soldats qui, loin de leurs familles, trouvaient grand plaisir a distribuer bonbons aux uns et mamours aux autres. J'ai encore sur mon bureau un eclat d'obus recupere sur mon balcon apres une alerte et, je crois bien, une attaque de l'aviation italienne! Au dela de la Robertsau, connais pas ou mal. En amont, quartier calme de petite bourgeoisie encore qu' on decouvrit un jour dans mon immeuble un "espion" iranien avec grand deploiement de police militaire et chasse a l'homme dans les divers escaliers! Habitaient la a cette epoque Jean et Philippe Bissonet, Gerard et Michele Bon, Daniele, Francoise (dite Soussou) et Catherine Rattel, Jacques Winter. Ce furent mes prem
DESOLE, NOMBRE MAXI DE CARACTERES ATTEINT... LA SUITE, LA SUITE, LA SUITE...

 

TITTERI (MEDEA / ALGERIE)

20/01/2006 19:17

JE CHERCHE DES ANCIENNES PHOTOS DE LA VILLE DE MEDEA
A TOUTE PERSONNE POSSEDANT DES PHOTOS. MERCI A L'AVANCE DE M ENVOYER OU BIEN LES FAIRE PUBLIER SUR CE SITE TRES MERVEILLEUX ET TRES UTILES POUR NOUS TOUS ALGERIENS

 

TITTERI (MEDEA)

20/01/2006 19:00

Je recherche tout camarade de classe de l'école maternelle, primaire à MEDEA, écoles WICHARD, RICHARD et échange de photos prises durant l'année 1955, nb, le directeur s'appelait CONSTANCE, il avait toujours un cravache dans le bureau, pour les retardataires, les prof si mes souvenirs sont bons, LANGLIER, MEDJADJI, JVERLIN, etc,,,

 

Anissa (Paris)

20/01/2006 18:41

Je recherche une ancienne camarade de classe de l'école Caussemille. Son nom est Moll mais je n'ai pas de souvenir de son prénom. Je crois qu'elle habitait la rue Amiral Guepratte. Merci d'avance à toute personne qui pourrait me communiquer des infos.

 

nicuret J Pierre (marseille)

20/01/2006 16:06

Je suis né en 37 et j'ai fréquenté le collège moderne du champ de manoeuvres de la 6 è à la 3è. Les photos de profs que je viens de voir m'ont donné envie de retrouver des anciens camarades. Que sont-ils devenus?

 

ESMMA photos

20/01/2006 10:10

A Renée Pistoresi
votre photo nous est bien parvenue,.... mais votre adresse mél ne paraît pas bonne, les messages nous reviennent "adresse inconnue", il est vrai qu'avec AOL, on a souvent des problèmes...
Merci de nous la redonner ou de nous en donner une autre, car j'ai des précisions à vous demander
A+
Jacques Prat

 

imene (algerie alger)

19/01/2006 14:53

J'habite au Telemly et j'ai voulu savoir plus sur mon quartier et j'ai decouvert votre site... Il est genial mais j'aimerais savoir plus sur mon quartier, alors si vous pouvez m'envoyer quelque reponse, se serait... genial. Merci bcp

 

Pierre HEGEDUS (Marseille)

19/01/2006 11:10

Bonjour à ceux de la classe de 4ème de l'année 1962 et avant ( rue Clauzel)! Louis Sauvage a conservé une photo de classe que je peux compléter de quelques noms supplémentaires. Amicalement et j'espère un contact de quelqu'un. Pierre Hégédus (né en 1946)

 

Betty (Florence)

19/01/2006 10:41

Nos souvenirs se télescopent! On ne peut pas s'absenter un peu, pour des centaines de raisons, de la lecture du livre d'or que l'on retrouve l'écran plein de descriptions et évocations qui s'encastrent avec les nôtres sans effort... Depuis Geneviève B avec ses petites cailles que j'ai finalement pu lire!, adorable!! Merci à tous! Et que dire de Georges L qui m'a rappelé les bombardements ( je suis si vieille que ça ?!!) et nos descentes en catastrophe à la cave ( du noir, du froid et de la peur...) et Jacqueline Blanc dont l'enquête approfondie m'a mis les larmes aux yeux en pensant à notre poste, une vieille T.S.F restée là-bas....

 

Huguette Chatain ep Segui (Le Cailar 30740)

19/01/2006 09:27

Message adressé à Anne-Marie Delmas - Pouvez-vous me contacter à l'adresse suivante shuguette30@aol.com nous faisons la même recherche à savoir les amies de classe de la rue Franklin à Alger de 1950 à 1955. Merci - Bien cordialement Huguette
Je recherche aussi Liliane Rispoli. Je remercie toutes les personnes qui pourraient m'aider dans cette recherche. Amicalement - A+ - Huguette

 

Geneviève Bordier 1942

19/01/2006 07:30

Pour Arnold, Alfred, Anne-Marie, sauf homonymie, le docteur CHEVAU que je connaissais, habitait comme le dit Arnold : rue Edgar Quinet, après l'entrée de l'EGA qui faisait l'angle rue Denfert-Rochereau. A ma connaissance il était généraliste. Je me souviens d'un grand monsieur ( étais-je si petite ?) grisonnant, de son épouse toujours très souriante, et peut-être d'un certain nombre d'enfants. Comme nous étions "voisins", (j'habitais en face de l'EGA rue Denfert-Rochereau), les occasions de le croiser, seul ou en famille, à la messe le dimanche à St-Charles ne manquaient pas. C'était une famille toujours souriante, et pourtant nous n'étions pas clients. Mon médecin à moi était une femme : Mme Germain-Delfaut, homéopathe, près du Parc de Galland. A sa retraite, elle fut ensuite remplacée par le Docteur Sorel. Pour Noel-Christian Laville : un voyage à Alger se prépare pour avril. Regarde dans le livre d'or un message d'Yves Jalabert, clique, et écris lui. On s'active pour les préparatifs, passeport et tout..et tout...

 

Montiel Pierre 1947 (Cannes 06400)

19/01/2006 02:05

De retour d'alicante ou j'ai passé de superbes fêtes de fin d'année
je souhaite à vous tous une bonne et heureuse année 2006 ainsi qu'à tous vos proches. Tout spécialement à Yasmina Laadjel et jc Drouhart avec qui j'espère avoir plus de contacts. Je suis toujours à la recherche des anciens de (la bande à Devesa). Merci de prendre contact avec moi.
et toi Jackie je pense souvent à toi une bonne et heureuse année pour toi et les tiens. Bises. Pierre

 

Marie-José Rachou (née Lopez)46Alger (Alger/Gard)

18/01/2006 15:51

Georges, j'ai du rater un ou plusieurs épisodes, mais je ne vois pas comment accéder à cette fameuse kémia de radio-alger.

RÉPONSE : Georges a donné au dernier écran de Jacqueline l'appellation de "kémia", peut-être parce qu'il est un avant-goût (fort savoureux) d'une enquête plus vaste que Jacqueline nous concocte sur Radio Alger. Il suffit d'aller dans le menu de la colonne de droite :- Radio Alger - Petits instantanés radiophoniques, par Jacqueline Blanc (17/01/06). Oilà...

 

AUCOUR Alfred (27) (BLOIS-CENTRE)

18/01/2006 15:09

A Anne-Marie Schneider. Je ne pense pas que le docteur CHEVAU ait été professeur. Mes souvenirs d'enfance se résument à des séances de rayons UV, dans son salon, et il se déplaçait aussi à domicile. Cordialement

 

AUCOUR Alfred (BLOIS-CENTRE)

18/01/2006 15:04

Merci Arnold, pour votre réponse. Tout à fait d'accord avec vous. Peut-être aviez-vous le même pharmacien faisant l'angle rue Hoche, rue Michelet, un nommé LESAGE, qui nous a évité bien des visites chez le toubib (non remboursé à l'époque). Cordialement.

 

Jean-Louis Jacquemin (Poitiers)

18/01/2006 14:31

Georges Lévy : j'ai moi-aussi dans les oreilles le Pom-pom-pom impressionnant et lent des Bofors, doublé, sous le Fort l'Empereur du déchirement aigü des "Rockets". J'ai aussi des souvenirs de nuits aux abris (moins enfumées !) dont je parle dans un écran "Rue Emile Alaux" qui, pour cause de gigantisme, attend son tour depuis 2 ans dans l'antichambre d'Esmma. Merci Georges. Continues... Lu également avec plaisir le travail de Jacqueline Blanc sur Radio-Alger. C'est bon de savoir 60 ans après que le meuble "modern-style" Bar-Radio-Phono-Argentier de mes parents rue Henri Poincarré à Oran était construit autour d'un C119. Les ais-je tournées en douce, ces deux molettes qui faisaient défiler des cadrans circulaires en celluloïd sur fond de chuintements divers! Il a fonctionné assez correctement jusque dans les années 50. Merci Jacqueline. A propos quelqu'un se souvient-il du Mamagovien Wood-Bibine et de ses références constantes à Mamagovie sur l'émission enfantine de RA? Cela me revient tout d'un coup. Amitiés JLJ

 

Yves SENDRA (Alger Nice)

18/01/2006 14:09

Tous mes voeux de Bonheur pour cette nouvelle année. Qu'elle compte de nombeuses surprises plus agréables les unes que les autres. C'est toujours avec émotion que je viens consulter ES'MMA, je dis "émotion", car il est toujours émouvant de lire ce livre d'or, d'y retrouver des "copains de plus de quarante ans", de voir que chacun a su conserver quelque part en lui, cette marque déposée d' "être de la bas". Merci à Tou(te)s et à chacun(e) ami(e)s connu(e)s ou inconnu(e)s. Le Soleil est resté à tout jamais dans nos coeurs

 

Laville-Noël Christian (73460 TOURNON (Savoie))

18/01/2006 12:24

Bonjour! C'est la première fois que je viens sur le site d'Es'mma. Je suis né à Oran, le 9/IO/37. J'ai vécu notamment à Alger de 1948 à 1953. J'habitais aux Tagarins (rue Armand Mesplé) J'ai fréquenté la lycée Emile Félix Gautier de 48 à 53. J'ai retrouvé avec plaisir sur certaines photos mon ami Lancelot et mon professeur de math M. Urbain. J'aurais aimé avoir des nouvelles ou une photo de mon professeur d'allemand: M. Neveu. Comment adhérer à votre association? Organise-t-elle des voyages en Algérie? J'aimerais bien retourner à Oran, Tlemcen, Orléansville et Alger. Je suis retourné à Alger en 1992, pour une semaine environ. J'étais descendu à l'hôtel El Kettani situé à l'emplacement des anciens bains militaires près de Padovani. En 92, je suis retourné voir le tombeau de la Chrétienne, à Tipaza. J'aimerais bien entrer en contact avec des amis qui auraient vécu à Alger de 48 à 53, et peut-être fréquenté le lycée Gautier. Le petit village de Tournon est situé à 7 km d'Albertville. A bientôt !

RÉPONSE : bonjour Christian. Il n'y a qu'une seule façon d'adhérer à notre association... c'est de la faire vivre en apportant ses souvenirs sur le Livre d'Or, en racontant "son" Alger, en envoyant des photos ou des documents, même des toutes petites choses... parce que d'association constituée, il n'y en a pas. Nous sommes la conjonction informelle d'amoureux de notre ville et de nos jeunesses là-bas. Ceux que tu vois sur le Pitalugue 3, c'est juste ceux qui font fonctionner la machine en fabriquant les écrans... Car Es'mma c'est en réalité la somme de centaines de bonnes volontés, de talents, d'amis qui écrivent, correspondent, échangent, et une communion assez exceptionnelle d'Algérois qui, tout en sachant les débats qui se déroulent par ailleurs, ont voulu faire exister ici cet espace d'harmonie et de sérennité seulement dédié à leur passé retrouvé. Oilà...

 

Geneviève BORDIER 1942 (Alger/Gard)

18/01/2006 12:09

Comme dit Christian Ripoll, : "une semaine d'absence, et des pages à rattraper !" ... et je rajouterai: "et les Redoutables qui envahissent !"... hi....hi...hi... (second degré garanti). Moi j'aimais bien la Redoute, les ballades le dimanche au Bois de Boulogne ( je ne me trompe pas de banlieue ?). Mes cousins germains ont fait leur service militaire à la Base Aérienne. Et si je ne m'abuse il y avait une photographe amie: Mme Lecas-Zeumann (ortho non garantie). Studio des Crêtes. Quelqu'un s'en souvient ?
Je vous annonce que les inscriptions pour le pik-nic des "sudistes" se font toujours, et qu'elles affluent. Et j'espère que ce n'est pas fini !
Georges, tout à fait d'accord avec toi, le dernier article sur Radio-Alger, était super chouette. Moi non plus je n'ai pas le son. Et que dire alors de ton "tous aux abris" !... L'évocation seule de tes descentes rue Tirman, jusqu'aux escaliers de la rue Marceau, me filent des frissons. Rue Tirman mon école primaire, et rue Marceau: le nid de jeunes mariés de mes parents !... Et je découvre les sous-sols à l'époque où dans mon moïse, ma mère nous descendait mon frère et moi, à la cave.
Je ferai des photos en avril, parce que c'est décidé... j'y retourne !...Merci d'avance à Yves.

 

Lévy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006.)

18/01/2006 10:20

Cette dernière Kémia radiophonique est absolument superbe.
Mais dommage que de ce pavillon du vieil haut-parleur, ne sorte pas de musique de l'époque. Ou est-ce mon installation qui est défectueuse ?
De toutes facons, ce reportage est exceptionnel, merci à Jacqueline Blanc, qui se cache derrière le journal, et à Jean-Claude Jardine qui fait revivre les postes à lampes. A-t-il aussi des astuces pour rajeunir les vieux lecteurs que nous sommes, une capacité par-ci, une soudure par-là, pour éviter le court-cicuit total ? En tous cas un pareil voyage au pays des bi-grilles, nous rajeunit. Dommage que notre vieux poste et fidèle compagnon, soit resté à Alger. Internet n'a pas d'ébénisterie, d'oeil magique, et de cadran illuminant cent villes, mais il relie les coeurs.

 

J.-P. Follacci (Nice)

18/01/2006 10:09

Une petite pièce à ajouter au puzzle de la Redoute sur le trottoir Sud du chemin des crêtes, 150 mètres environ après le carrefour du Golf , après l’épicier mozabite : la boucherie où, au début des années 50, Monsieur Charaa taillait dans son meilleur rumsteak des tranches à 700 francs de l’époque le kilo. Le jeudi, tout en travaillant, il ne cessait de deviser avec son fils Mouloud.

 

Anne marie schneider (La Redoute/Montceau)

17/01/2006 22:39

Pour Alfred, à Alger le Dr CHEVAU était rhumatologue, orthopédiste, avait'il le titre de professeur?..... Son frère faisait des projections de film, il se déplaçait dans les petites salles dans les petits villages à l'extérieur d'Alger. Je parlais du docteur Sulem, il avait plusieurs enfants, qui allaient en classe à l'école des garçons au Golf. Nous avons eu l'occasion de retrouver un de ses fils qui habite le Morvan. Les petites jumelles de la Redoute dont parlait Chantal .... ou Danièle, leur nom n'est-il pas FRONTEAU ? Le cinéma du Golf était très récent, et super! il se trouvait rue shakspeare, en face de la pharmacie, et de la belle propriété de Mr et Mme ROZE, vers les tennis."Tamarins"..A bientôt !

 

ARNOLD 1932 courbevoie (france)

17/01/2006 19:45

à AUCOUR - ex- rue auber: le dr CHEVAU habitait bien rue Edgar Quinet dans l'axe de la rue barbes ( immeuble jouxtant EGA ) ce n'etait pas notre toubib nous allions chez le Dr Costes (au champ de Manoeuvres) amities

 

AUCOUR Alfred (BLOIS-CENTRE)

17/01/2006 16:10

Bonjour Arnold 1932, je suis votre aîné de 5 ans et ancien voisin puisque né rue Auber. Avez-vous connu dans votre rue, le docteur CHEVAU ? (orthographe non garantie).

 

Anne Marie Schneider- (la Redoute/ Montceau)

17/01/2006 13:49

Plus de mystère.... Colette a raison le magasin de jouets de Danièle Béneito, est bien le magasin que je cherchais... juste à côté de Moll le photographe ( le recto de nos photos porte encore son nom) devant l'arrêt de bus pour descendre au centre d' Alger, rue Jonnart. Un petit morceau de Puzzle... est mis en place!... continuons tousensemble... A+++ Amitiés.

 

Fatiha (Alger-Paris)

17/01/2006 09:50

...En fait, le nom exact est LERAY, Melle Leray , je viens de retrouver ma première fiche d'évaluation hebdomadaire et la trés belle écriture de ce merveilleux professeur qu'était Melle LERAY!
Bonne journée à tous bien que ...pluvieuse, l'important est d'avoir du soleil dans le coeur... comme dans la chanson d'Enrico M, "les gens du nord ont dans le coeur le soleil qu'ils n'ont pas dehors"!

 

Arnold 1932 (Courbevoie France)

17/01/2006 00:39

Je viens de découvrir Esmma. J'ai aimé la pagede présentation. J'ai vécu 16 rue Edgar Quinet et, of course, à Clauzel. Je fais partie des vieux qu'ont de l'âge. Je reviendrais avec des docs

 

Fatiha (Alger-Paris!)

16/01/2006 22:49

Anne Marie, ce n'est pas Melle Rey , c'est plutôt Melle LEREY , c'était un professeur de mathématiques d'une pédagogie exceptionnelle qui me donna bien des astuces... lors de mon stage d'application chez elle en 1974!

 

Anne Marie Schneider (La Redoute/Montceau)

16/01/2006 22:12

Pour Solange, le magasin de jouets de votre amie Danièle Béneito était -il au dessus du petit Kiosque à journaux (Hervé)qui était sur le trottoir à l'angle des rues Claude Bernard et rue des Frères Martell? Monsieur Hervé, il me semble voir un petit monsieur aux cheveux bien noirs, lunettes à monture noire? Nous allions lui acheter le journal, bien sûr des bonbons, et de temps en temps des billets de la loterie Algérienne! Et un peu plus haut rue CL Bernard, , il y avait le cinéma.En face plus haut , des immeubles très récents, là habitait une amie Monique Mira...Allée des Platanes.
Dans le carrefour du Golf,le Café 'Marcel" autre angle du carrefour entre l'avenue Jonnart et le chemin Zaatcha. Et pour descendre sur le centre d'Alger,au début de l'avenue Jonnart, l'arrêt de bus, juste en face du photographe Moll. Mais il me semble me souvenir d'un autre magasin? Peut-être que Christian s'en souvient'il? un libraire, une droguerie???Chercher bien dans votre mémoire! Merci...Amitiés à tous .

 

Hélène DESLIONS PONTI (1949) (Alger / Ollioules)

16/01/2006 20:22

Pour Mr Hestin : Je sais que les actes concernant Alger sont chez les soeurs Clarisses de Nimes. J'ignore si elles ont aussi ceux de constantine mais allez faire un tour sur ce site, vous y trouverez peut-être les coordonnées du diocèse qui vous interesse :
(au pire, les Clarisses à Nimes pourront vous renseigner par tél, elles sont très sympas)

 

Christian Ripoll (La Redoute)

16/01/2006 20:07

Pour Sola : Le magasin de jouets à côté du marchand de journaux, M. Hervé où j'ai acheté mon premier n° de Spirou en 1946... je le vois bien, mais pas le commerçant. Désolé ! Qui aurait un annuaire téléphonique de 1961 ? On y trouverait probablement pas mal de réponses.

 

Anne Marie Schneider ( la Redoute/Montceau)

16/01/2006 19:19

Pour les "redoutables" qui ont fait toute leur scolarité dans les établissements du quartier, il y avait l'école maternelle rue Arago, avec Mme Blazy, dame aux cheveux blancs au carré, il y avait un chat angora gris magnifique sur le rebord de fenêtre. A l'époque, nous avions qu'une maternelle, il me semble. Ensuite il y avait l'école des filles, rue Elisée Reclus, Mme Vincent était directrice. Les classes de cours préparatoire jusqu'en 3ème. Quelques institutrices: Mme Di Luccio, Melle Lacaze, Mme Attia, Mme Cordina, Mme Clément... et d'autres? Ensuite à partir de la rentrée1960, rue des écoles, le cours compléméntaire requisitionné par l'armée nous a ouvert ses portes, Bâtiments neufs, quelques noms de professeurs: Mr Giorgi, prof de Gym, très beau garçon... Mme Ménard, Melle Rey, Melle Caillau, Mr Marc Eychienne prof de musique, et Mr Sarrazin, prof de musique pour l'année 1962. Rue de la liberté derrière l'école des filles, vers la place de la Redoute, il y avait l'école des garçons, un mur sous le préau séparait les deux cours de récréation. Les garçons arrivaient à jeter "un oeil" vers les filles... déjà! En sortant de l'école, nous passions par la rue Arago, puis le chemin Abdelkader qui aboutissait sur le chemin des Crêtes et nous arrivions à L'église Saint Anne pour le catéchisme. Qui se souvient des médecins du quartier: Dr Arrazanna (rue Hoche) Dr Medioni( chemin des Crêtes) Dr Sulem et le Dr Guelpa, à qui nous devons nos premiers chagrins... les vaccins !Notre quartier nous le connaissons bien, nous marchions beaucoup en ce temps là! Le bus, nous le prenions au Golf, pour "descendre" au centre d' Alger, vers le café "Marcel"qui était à l'angle de la rue Zaatcha et avenue Jonnart, car là, cela fait un bonne promenade! Un autre quartier, notre aire de jeux, car nous avions des amis, le château d'eau rue gaston Doumergue. Là, la 5ème Région Aérienne, et un peu plus bas, l'école des garçons, celle de mes frères et de Chri DÉSOLÉ, NOMBRE DE CARACTÈRES PERMIS PAR LA BÉCANE ATTEINT ! OUI, ÇA S'EST FINI SUR UN CHRI ! LA SUITE, LA SUITE, LA SUITE...

 

Sola(La Redoute) (Marseille)

16/01/2006 17:53

Merci à vous Christian Ripoll de m'avoir envoyé un mail. Je suis la soeur de Colette de PAU. J'ai même fait la connaissance de votre jolie petite fille. Que de souvenirs sur ce site, c'un vrai bonheur. Encore merci. Puisque vous habitiez le golf vous avez certainement connu le magasin de jouets de mon amie Danièle Béneito qui se trouvait au Golf à coté du petit magasin de journaux. Les souvenirs des rues sont donc les mèmes que ma soeur. A bientot j espère.

 

hestin1940 (thonon les bains)

16/01/2006 17:31

Question collégiale!! Comment faire et à qui s'adresser ?? Pour retrouver les traces d'extraits de baptemes, des communions, et d'actes de décés de ceux que nous avons perdus en Algérie et particulièrement dans la région de Constantine. Qui d'entre vous a gardé contact avec des curés qui pourraient m'aider dans mes recherches. Amitiés jean claude

 

Schneider Elisabeth- La Redoute (Chazay d'Azergues)

16/01/2006 13:36

Le " curieux étroit passage en terre, c'est celui que l'on appelait "le chemin pisseux" car il dégageait une odeur de ... à se boucher le nez, comme ma soeur odile l'a déja évoqué. Ce sentier nous était, et nous est encore très familier, notre Grand-mère habitait au chemin des Crêtes. Merci à Christian Ripoll pour sa photo du carrefour du Golf sur un site, à part Saint Anne c'est la seule que j'ai trouvé de notre quartier.

 

Christian Ripoll (ex La redoute)

16/01/2006 09:52

Une semaine d’absence, et ce sont des pages de messages à rattraper ! Pour Serge, et tout le monde, le vieux « redoutable » confirme qu’il y avait bien une rue Mimosas et une rue Bougainville, celle où tu te rendais. Tes souvenirs sont précis : tu descendais du bus à la station « le golf », tu montais par le chemin Shakespeare, tu prenais l’allée des Platanes, avec ses courts de tennis de part et d’autre, tu prenais un bout de l’av Gaston Doumergue avec sa base militaire (Armée de l’Air) et tu atteignais la rue Bougainville. La rue des Mimosas était de l’autre côté de La Redoute, près du Chemin des Crêtes, avec, en effet, un curieux étroit passage en terre, un sentier, faisant suite à la rue E About. Je passais par là à vélo, et me faisais houspillé par les piétons…
Je transmets un plan (reconstitué) de La Redoute en 1960 à Esmma.

 

Chatain Huguette ep Segui (30740 Lecailar)

16/01/2006 00:13

Eté 1958 ou 1959 je ne me souviens plus de l'année mes parents avaient loué un cabanon au "ROCHER NOIR" près d'ALGER.
Je recherche deux personnes qui étaient en vacances dans cette station balnéaire à cette époque.
Toutes 2 étaient domiciliées à "BOUÏRA"
- l'une s'appelait Marcelle, elle n'était pas trés grande mais jolie fille avec des cheveux noirs qui lui arrivaient à la taille
- et Gérald GRIBELIN -
Bien amicalement - Huguette

 

Hélène DESLIONS-PONTI (1949) (Alger / Ollioules)

15/01/2006 18:16

A Mr BOATAOUTY, les kémias de décembre sont datées de Janvier 2005.... Une petite envie de rajeunissement ? :))))

RÉPONSE : bien vu, Hélène ! C'était pour voir si vous suiviez... :))))

 

Leperche Michèle (NARBONNe 111OO)

15/01/2006 13:00

BONNE ANNEE 2006: grâce à vous j'ai retrouvé 2 Fromentines et des photos de notre Lycée: merci BASTIA!! et gros bisous à Gisèle de Lyon: Je recherche, si vous les connaissez, Marie claire Van der Pijl du Fondouk dont le papa tenait un restaurant aprés 1962 à DAX: "Le Chef" et Louise Alouges (nom de jeunes-filles pour toutes les 2) dont la famille vivait à Collioure... Qui sait ?????? Louise habitait Ménerville, nous étions internes. Je suis retournée à alger en 1973 et le Lycée s'appelait Descartes et mixte: oh ! quelle surprise: les jeunes flirtaient ouvertement... alors que nous????? BON trouvez moi ces copines: on apprenait ce qui se passait en ville par les externes et on revait à quoi?? aux élèves des Lycée Bugeaud et Gautier... A ++

 

Levy Georges (Alger(1938-1962)Israel 2006.)

15/01/2006 12:46

Pour nous souvenir des chansons de Radio-Alger des années 50, et du Petit
Music-Hall du dimanche matin, et de ses jeunes imitateurs, écoutez des extraits de Tino Rossi sur:

et sourions à ces rengaines ensoleillées du temps passé !

 

leautier (perpignan)

15/01/2006 10:40

Pourquoi ces feuilles blanches dans les kemias de décembre? Merci amities

RÉPONSE : merci de votre visite et de votre question, car nous pouvons vous dire que comme à l'accoutumée, les kémias de décembre sont bien pleines, sans aucun blanc... Donc, il y a bien un problème technique... Comme les écrans kémias sont assez "lourds" (plutôt longs et chargés en photos), il se peut que votre navigateur ou que votre machine ait du mal à suivre, et que le chargement s'arrête en cours. D'où l'apparition de "blancs". Dans ce cas, essayez de "raffraîchir" (actualiser) votre écran... Le calcul a des chances de reprendre en mémoire-cache les éléments déjà affichés et de continuer de "produire" les autres. Sinon, recontactez-nous.
Mr BOATAOUTY.

   
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