Livre d'Or d'

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Danièle Roussel-Sterkers (Paris)

31/05/2006 18:47

Réponses à la cantonade : Pour notre cher GDLLDB, je revois très bien cet "oiseau-buveur" en BOIS s'agitant dans la vitrine d'un coiffeur, mais MES "cigognes" étaient en VERRE soufflé! et toc! Et pourquoi Es'mma il me supprime tous mes "s" que ça ferait comme si je faisais plein de fôtes ? (à moinsss que ce soit encore un effet pervers de mon monde parallèle)
Hé, Philippe, tu choisissais bien ta place de prière à l'Eglise Espagnole ! Je me souviens vaguement du Prince Henri de France.. (apparemment sympa mais entre nous il n'aurait plus manqué que ça qu'il ne le soit pas : il avait la tête sur les épaules !)
A l'époque, où je fréquentais cette petite église si mignonne, j'avais personnellement, une légère propension à préférer les places du fond de l'église.."proches de la sortie" si tu vois ce que je veux dire et...scappa pronto!
Pour Georges : non, je n'ai pas connu l'abbé Chaumel (tu es sérieux? y'a un U en trop?) mais, si ça peut te faire plaisir, j'ai connu le chanoine Avignon dont la photo illustre mon certificat de baptême.
Pour Lydie et Andrée : la mer, le soleil, les amis et leurs rires de là-bas.. l'envie ne m'en manque pas de retrouver tout ça ! Sans compter que rien que l'idée du méchoui ça me fait tellement saliver que j'en bave sur mon ordinateur à un point que ç'en est dégoûtant ! Mais, pour cette année j'ai pris le train trop tard et ce WE là j'ai 20 personnes à la maison.. Et la punaise, si le temps d'ici il continue comme ça c'est une choucroute party que je vais devoir leur préparer.
Et merci à Deangeli pour le renseignement concernant "Amaoua": mais oui, mais c'est.. bien sûr! Ce devait être un excellent chausseur des années 30 dont ma mère conservait précieusement une ravissante petite paire d'escarpins dorés acquises à l'occasion de son mariage. Bye à tous.


 

Jean Soliveres (Villeneuve d'Ascq 59493)

31/05/2006 18:16

Merci ! Merci! Jean BRUA. Cette vue de la Salle Pierre Bordes, rue Bertezène en haut du Bd Laferrière, et de son n° 19, juste en face, me rappelle que de lointains et malgré tout bons souvenirs. C'était en 1943-1944-1945, j'habitais au n° 19 et je faisais partie de la troupe du "Petit Théâtre", avec Alec Barthus et les deux clowns dont je ne me souviens que de leur gentillesse, mais pas de leur noms. Période dure, plus peut-être pour ma mère qui attendait mon père prisonnier, puis évadé, donc sans nouvelles!
Je crois avoir tout fait, un petit rôle simple, mais pour moi plein de trac et d'émotion, fait bouger et avancer des bouteilles de Vin d'Algérie en carton dans une autre saynète, tourné une des grosses sphères brillantes (dans un sens puis dans l'autre!) pour en faire sortir une boule lourde, et qu'il fallait dévisser pour séparer les deux demi-shères et en montrer le chiffre, pour cette Loterie Algérienne! J'ai même ouvert la trappe sous la shère et apporté la boule à Alec.
Merci encore de raviver ces émotions. Emotion aussi lorsque plus tard, j'ai été présenté par un journaliste, Mr Raymond, au "Journal d'Alger" à Monsieur Edmond Brua, votre père.
Pour tous ceux qui, dans ce quartier, et dans d'autres, se souviennent de cette Salle Pierre Bordes où sont passés Louis Armstrong, Sydney Bechet... et toutes les émissions des Jeunesse Musicales de France, les conférences diverses etc.. etc... Merci de ce clin d'oeil.

 

Philippe REDON ( 1937 ) (St Avertin 37550)

31/05/2006 16:42

A Danielle Roussel à propos de l'Eglise du Consulat Espagnol. Je me souviens que mes voisins de "prière" étaient le Prince Henri de France et sa femme (ou sa fiancée) Depuis il divorcé et est devenu le chef de la maison de France (pour certains, il est le Roi de notre pays). A l'époque il était trés simple et trés sympathique... On pourrait le nommer Esmaïen d'honneur? Je plaisante bien sûr!...

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

31/05/2006 12:27

Pierre et Richard, mes gamins, j'ai arrêté volontairement mon éénumeration, pour ne pas ennuyer Gérald et es'mma,????? mais il y en a encore bien d'autres à citer, et promis ce sera pour une prochaine fois, Richard pour le plan, je voudrais bien te faire plaisir, mais autant je compte vite, eh bien autant en dessin je suis nul. Et pourtant si tu savais tout ce que j'ai dans ma citrouille, il y a des heures à passer. Tu sais je ne vis pas loin de chez Hubert Ferrer, et nous nous voyons souvent, et des fois il m'appelle, pour me demander des trucs qu'il a complètement oubliés, il dit que je suis son service archive. Mais ça m'arrive de ne pas tout savoir, il ne faut pas éxagerer, enfin pourvu que ça dure!!!!!! a tres bientot, jeanjean.... de Belcourt

 

Pierre Povéda (35) (Le Cannet 06)

31/05/2006 10:15

Jean-jean, ta mémoire d'éléphant me stupéfie. Pourtant j'ai de quoi combler quelques oublis (volontaires, je suppose, pour tester les copains de Belcourt):
Rue de Lyon: la boucherie Bence, près du cinéma Musset; la charcuterie Deveza; la pharmacie Chetcuti; le papetier Daru.
Place Jeanne d'Arc: la boucherie Filiu.
Rue de l'Union: l'épicerie mozabite "les Deux Portes" avec ses empilages vertigineux de boîtes de conserves;
etc... (à compléter) Une petite correction: le nom du pâtissier de la rue de Lyon, c'était Giusto. Salut

 

Richard Chéron (Télemly-Belcourt-Nantes)

31/05/2006 09:20

Dis donc Jean-Jean avec tous les noms du quartier dont tu te souviens, tu nous ferais pas un plan ? Je pourrais le montrer à ma mère... Je peux le mettre au propre si tu me fais un brouillon.

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

31/05/2006 00:23

Hello... je lis tout, mais j'ai du mal à suivre... quelle tchatche... Je voulais dire, en public, à René Drevot que son message du 25 mai dernier, était tout simplement superbe, continue René... je vous rappel également que René est "l'inventeur" du V.I.P., (Véritable Indigene du Pays), voila à part ça tout roule, la réunion des Esmmaïens de Paris est digérée, comme d'hab. Nous avons envahis l'appart. de Danielle, maintenant on se prépare pour le mechoui sudiste.. puis après un peu de vacances avant de repartir à Alger en septembre. Amitiés à vous. Yves

 

Danièle Roussel-Sterkers (Paris)

31/05/2006 00:17

Ah!Ah! bien vu le dessin et en plus tellement réaliste! ... j'ai HORREUR que l'on vienne tournicoter dans MA cuisine !
Gil, je t'ai envoyé une réponse sur le PC squatté de ton "merveilleux fils" mais le mien (de PC) à été quasi en rade toute la journée à moins que ce soit la faute à Microsoft, à Wanadoo .. ou a Asrhin! Donc rebelotte :
Gil, pour ta gouverne, la MERGA (qui n'est pas ce que tu pense ..mais qu'est-ce qu'il est malpoli çui là alors!) c'est tout simplement la sauce qui accompagne le couscous dans laquelle ont cuit la viande et les légumes. En Algérie elle est rouge à cause du paprika, au Maroc elle est plutôt verte avec des raisins frais et de la cannelle.
..."Et alors et oila"!....
J'allais à l'Empire au moins une fois par semaine, le samedi surtout, avec mes parents ; Le jeudi, c'était le cinéma du curé, le Rex, où on voyait des punaises de vieux films... (Tu as du aussi y avoir droit où alors t'y es pas de la-bas dis!). A plus Danièle

 

Danièle Roussel-Sterkers (Paris)

31/05/2006 00:05

Gerald Dupeyrot, la lecture de ta fréquentation de l'Eglise Espagnole m'a mise en joie! j'avais oublié le détail, et non des moindres, de la rapidité avec laquelle la messe y était expédiée : ce qui lui rapportait, aux beaux jours, un nombre d'ouailles largement supérieur aux plus optimistes espérances de son clergé. Quoique ressortissantes de Saint-Charles, vers les années 56-57, nous avions eu l'idée de génie avec ma meilleure amie Anne-Marie d'aller nous confesser à l'Eglise Espagnole en prenant bien soin de choisir le confesseur le moins bilingue des (saints) lieux. C'est donc dans une incompréhension totale, de part et d'autre, que nous débitions nos "turpitudes" et recevions nos "pénitences"... Les abbés Capomaccio, Lecocq et Scotto qui officiaient à Saint-Charles nous connaissant un peu trop, depuis notre plus tendre enfance, à notre gré. Nous pouvions ainsi annoncer fièrement à Madame Tissot (Sainte Elizabeth): "nous nous sommes déjà confessée ma mère !".. (très dubitative cependant Madame Tissot).
J'ai retrouvé avec un très grand bonheur l'abbé Lecocq à Nice en 1970 à Notre Dame de l'Immaculée Conception, nouvelle paroisse de mes parents, fraîchement installés sur la moyenne corniche. Très longtemps, il a maintenu le lien, avec les anciens paroissiens de Saint-Charles dont il avait retrouvé la trace, par l'intermédiaire d'un courrier annuel nous relatant tous les événements que chacun avait à coeur de lui rapporter afin qu'il en informe notre communauté éparpillée... Un curé "rare" qui, je le constate à travers Es'mma, à laissé à ceux qui l'ont connu le souvenir d'une grande bonté d'âme.

 

Joseph CABRERA (Alger/Monaco)

30/05/2006 20:34

A Philippe REDON : En effet, vous m'avez rappelé cette expression de René MARTINEZ, lorsqu'il faisait descendre un enfant du siège réhaussé (une planche posée sur les accoudoirs d'un fauteuil): "saute comme un lapin mort". Je vous précise que c'était mon fils, né en 1949, qui sautait. Je crois me souvenir que l'ouvrier-coiffeur, d'ailleurs le seul, se prénommait Fernand. A bientôt, bien amicalement.

 

Hestin jean claude 1940 (thonon les bains)

30/05/2006 19:53

Je suis rentré de vacances en Espagne... Olé!!!! J'ai lu avec beaucoup d'attention tout ce que vous avez pu écrire, quelle joie de retrouver Es'mma...et les copains. J'ai rapidement fait un tour des sites pieds noirs et j'ai découvert un petit nouveau qui a créé un site sur le RUA. Je vous le recommande, il vous suffit d'aller sur le site d'Ain franin.free.fr/
Amitiés a tous. Jean-Claude

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

30/05/2006 19:08

Mille excuses es'mma, mais nous voilà partis dans les souvenirs, et ce n'est pas rien, pour Mme Andrée de Belcourt puis de Monaco, c'est marrant comme certaine personne ou lieu nous ait plus marqué que d'autres, Vous souvenez-vous du Bar Pierrot en haut de la rue de l'Union, et de Modalex à côté un peu avant le Roxy, et Guisto le patissier, et mme Boivert la corsetière, et le Lilas blanc, et Caruel le quincailler, et le bar Rialto en face le cinema Musset, et en haut de la rue Prevost Paradol "la clinique du fourneau" tenue par un monsieur suisse super gentil, il vendait aussi des trains électriques Maarklin, j'étais un fidèle client, et mme Faggioli la chapeliere et brodeuse; pour la famille Sanigou j'ai eu Charley il y a quelque temps, il vit à Nice; vous pouvez le voir dans es'mma dans le site GLEA il est en photo. Sur une photo du bd Thiers et de la place Jeanne-d'Arc, j'ai le bas de la rue Prevost paradol et on voit le café dont vous me parlez, et dans cette même rue le magasin de jouets de Monsieur Porte, et le docteur Bure, et la famille Giordano dans la rue de L'Union, et la parfumerie de Mme Lheritier, et le bazar de Mme Gambarutti, dont le fils jouait au Gallia, il y avait aussi le magasin de Monsieur et Madame Muret à côté du marché et la famille Moatti, et Mme Alizan la cremière, et "Marie" l'épiciere mozabite peut-être l'unique femme musulmane à tenir un commerce d'épicerie dans Belcourt, je crois que je vais en oublier un bon nombre mais je ne vais pas mobiliser es'mma à moi tout seul, un peu pour les autres sinon avisss va sévir, gros bisous à tous à plus. Jeanjean

REMARQUE : oh, Jeanjean, où c'est que t'ya pris que l'aviss il allait sévir parce qu'on déposait ici ses souvenirs ? C'est tout le contraire, c'est quand on fait comme toi qu'on est le plusss bienvenu, et plusss y'en a, des souveniirs, mieux c'est, d'ailleurs, on te l'a déjà dit, hein, Jeanjean. Tu me fais marroner exprès, et moi je cours... Bon, passe une bonne soirée, et reviens nous avec tes hottes de mémoire, je te jure que même quand on connaissait pas ton quarttier, on te suit, on dit bonjour à ceux et celles que tu nous présentes, on rentre dans des boutiques qu'on connait pas et où les gens nous sourient parce qu'on est avec toi, grâce à toi on visite comme on aurait pu le faire il y a 50 ans si on s'était connus à ce moment là, c'est pas beau, ça ? Allez, à demain. Gérald

 

ESMMA commentaires JiBé

30/05/2006 18:37

Commentaires graphiques de notre ami Jean Brua inspiré par un message de Danièle Roussel-Sterkers le 29/05 et la réponse du GDLLDB allez jeter un cil du côté de

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

30/05/2006 16:27

Emile, ce n'est pas la meme tonnellerie, toi tu parles d'un vaste entrepôt qui se trouvait en bas de la rue de l'Union, c'etait les Ets Lung, et les garçons avec les motos c'était la famille LLedo qui logeait dans ce grand entrepôt. Je crois qu'ils étaient trois frères et une soeur, qui était cheftaine de scouts. J'ai revu cette fille plusieurs fois à Massy (91) mais il y a des années, et je crois qu'un des fils a été tué un peu avant l'indépendance. J'espère que je ne me trompe pas, car là j'avoue que mes souvenirs sont flous, ils étaient plus jeunes que moi, et des fois cinq ou six années ça change de génération; à plus Jeanjean

 

Claudette HUMBERT (ALGER/Antibes)

30/05/2006 16:10

J'ai lu "la rue burdeau", en fait on a les mêmes souvenirs, est-ce qu'on se souvient du tapissier, son employé s'appelait Kaddour, il cardait la laine dans l"impasse" et il installait 2 tréteaux et une planche pour refaire des matelas, au fond de l'impasse, a G que nous appelions la courette, c'était l'issue de secours du cinéma A.B.C., moi j'habitais à droite de la cour, les fenêtres du 2ème qu'on voit c'était chez moi. Je ne crois pas qu'il y ai eu des petites filles au premier, au 2ème il avait ma soeur ainée Arlette et moi Claudette et sur le même palier 3 filles: l'ainée Christiane, sa soeur Andrée et la dernière Marcelle Canacchini.
Je ne connais pas de Michèle dans cet immeuble où je suis née. Après le 11 c'était le 11 bis (avec mon arrière grand-mère au 3ème) c'était peut-être là, la petite Michèle? puis le 15 ! Plus haut, les chocolats MEUNIER. Mr. ORTZ était notre boulanger, le "moutchou" notre épicier et avant les escaliers qui allaient au Bld. St. Saëns il y avait un plombier. Sous les escaliers, un abri que nous utilisions pendant la guerre. Oui nous avions les mêmes jeux et aux mêmes endroits sur cette "montagnette" comme on l'appelait. La rue Burdeau est très pentue et combien de fois nous l'avons descendue sur les "carrioles" que nous fabriquions nous mêmes avec une planche, une croix maintenue par un axe devant et des roulements à billes ( 2 derrière et un devant), elle se dirigeait avec les pieds, on se cramponnait à une ficelle et on s'arrêtait en traînant les pieds par terre juste avant la rue Michelet, autrement catastrophe ! Je ne crois pas que les parents l'on su.
C'est drôle que nous ayons été voisins de 2 entrées, je ne reconnais pas la tête de ce petit garçon qui est peut-être plus "petit" que moi. Au fait ma grand-mère chez qui nous habittions avait un magnifique berger allemand qui allait chercher le journal chez le marchand de journaux et qui venait nous chercher à l'école de temps en temps. Il avait une muselière quand il sortait t
LE ROBOT, IL A COUPE ! DESOLES !! LA SUITE, LA SUITE, LA SUITE, LA SUITE !!!!

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

30/05/2006 14:54

Je vous signale,s'il en est encore temps,que Mademoiselle Gantineau a été absente du Lycée de Jeune Filles,le 12/2/32. A toutes fins utiles..
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Monserrat Emile (Agen ( Ancien d'Alger ))

30/05/2006 14:50

Jean Jean. Je pense que nous parlons de la même tonnellerie. Je me souviens bien de deux freres, nous nous retrouvions sous le porche avec des motos. Il nous arrivait parfois de faire un peu de boxe au fond du hangar. Eggon logeait dans une pièce a Gauche de l'entrée du batiment. Si nous parlons bien de le meme chose a tu des nouvelles de le bande. Dans les motos, il y avait si mes souvenir son bons; une JAVA, une NORTON, une BOL d'OR peojeot rouge.

 

Anne-Marie Lafon-Jory (1944) (Alger/Lyon)

30/05/2006 14:40

A Jacqueline Atlan et Nicole Soler : J'ai suivi les cours de gymnastique de Jean-Claude Cosso à Paris, rue Blomet (15ème) jusqu'en 1988, année de mon départ de Paris (Olga donnait des cours de danse mais assurait aussi quelquefois les cours de gym). Ils sont actuellement à Nice (Je n'ai pas connu Mylène Cosso). Amitiés à tous.

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

30/05/2006 13:15

Emile; quand tu dis une tonnellerie à coté des halles, à laquelle fais-tu allusion, car au bd Thiers, il y avait une grande tonnellerie "la Sté Audoise" dont le contremaitre était Monsieur Mahiques qui avait deux fils, Claude (décédé) et Guy qui a mon âge, cette tonnellerie était derriere le garage "Peugeot-Vinson" et était immense, il y avait plusieurs ouvriers Algeriens et Espagnols, et le Jeudi ils nous apprenaient à faire des tonneaux avec les douelles et les cercleaux en fer, le premier que j'ai fait il était inutilisable, car j'ai mis toutes les mêmes douelles et les deux couvercles identiques, j'avais oublié le couvercle et la douelle avec le trou de remplissage, ce qui a fait marrer tous les ouvriers, j'ai peut-être raté ma vocation, je m'en souviens comme si nous étions la veille, et il y a près de soixante ans. ça fait du bien d'en parler et même si tout ça a disparu de notre vision ça reste à jamais gravé "dedans" et meme azrine il ne pourra pas nous l'enlever!!!!!!!!!! Jeanjean de Belcourt

 

Claudette Humbert

30/05/2006 12:27

L’impasse du 11 rue burdeau! Je suis née au 11 de la rue Burdeau, c'était chez mes grands-parents et cette rue je la connais comme ma poche, comme si j'étais partie hier (ma Mère, sa soeur jumelle nées en 1902 et leur 2 frères sont nés au 2 de la rue Burdeau). La famille s'appelait BREDY, puis ils ont habité au n°11 jusqu'en 1964 (2 ans de mieux!). Comment je fais pour communiquer avec Jacques TESTE et corriger quelques petites erreurs (les 2 petites filles étaient au 2ème et non pas au 1er, sur le même palier que nous), elles s'appelaient: Christiane, puis Michèle et une petite dernière, Marcelle, Canacchini. Au fond de l'impasse à gauche dont vous parlez il y avait la sortie de secours du cinéma l'A.B.C. où les gosses entrions en douce au bon vouloir du gardien de service. En bien plus délabré, c'est bien ça et toutes les fenêtres à droite au 2ème c'était les fenêtres des chambres chez ma grand'mère. Salut à tte l'équipe et ça me ferait plaisir de communiquer avec Jacques TESTE. Amicalement. Claudette

 

Gil (1932) ouyouyoue (91(9A) Alger 92400 Courbevoie)

30/05/2006 12:08

Coucou je suis revenu. Vous ai-je manqué ? Faites moi plaisir dites OUI- L'accent de sincérité du message de Daniéle passe au travers des mots et si je n'ai pas dégusté tous les mots en A qui m'ont fait saliver j'ai quand meme consommé huitres moules poissons (Tiens Daniéle qu'est ce que Merga? le G est bien à sa place) Pour Cabrera et Redon le coiffeur de la rue hoche avait un fils à Clauzel - J'avais envie pour la Ciotat mais c'est si loin du nord ! Lydie une autre fois, certain. Jeanjean tu penses encore à Badibalo- Avec le retard que j'ai pris durant cette absence j'ai de la lecture en "pagaie" et je vais avoir les mêmes remarques qu'à Daniéle. Allez SOUV. à tous

 

Andrée (98000 Monaco)

30/05/2006 10:02

Bonjour Danielle ROUSSEL-STERKERS ! Je vois que vous êtes une adepte de la "nouba". Pourquoi ne viendriez-vous pas au méchoui organisé par Lydie, à la Ciotat ? Ce ne sont pas vos 66 balais qui peuvent vous en empêcher! J'en ai 77 et j'y vais! Vous auriez le plaisir de retrouver des amis et, surtout, le soleil et "notre" mer à tous! Cela ne vaut-il pas le coup? Une grosse bise d'Andrée

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

30/05/2006 09:24

Je viens de lire le message de Gérard Spinelli. Sur un site voisin, la photo de la célèbre tonnellerie décrite par Camus et où a travaillé l'oncle de Gérard. Je suis en train de lire et relire "Le Premier Homme". C'est un tout, pour nous tous. Premier Homme est le Dernier Livre à oublier. Après la mort tragique de Camus, les loups se sont précipités, chacun de leur côté, pour s'en attribuer la dépouille et justifier sa vérité. Il n'y en a qu'une, celle que nous avons vécue et que Camus a immortalisée dans son livre, inachevé, comme une Symphonie. Beaucoup en parlent, mais combien y s'attardent. Moi, j'ouvre au hasard ces feuilles, et chaque phrase est lancinante, exacte, et revis ainsi notre passé. Monsieur Germain, son Instituteur qui l'a poussé dans ses études, est autant à célébrer que son élève. Dans son malheur, Camus a pourtant eu la chance de ne pas connaitre la tragédie de 1962. Nous, pieds-noirs, avons perdu un Chantre qui peut-etre aurait décrit le petit-peuple déplacé en métropole.? Mais il est dangereux d'extrapoler, et il est préférable de retourner avec lui à Mondovi,au trot du cheval, sur la route cahoteuse. Pages immortelles de nos aieux.

 

Monserrat Emile (Agen ( Ancien d'Alger ))

30/05/2006 09:10

Gérard, quand j'habitais a Belcourt nous nous réunissions chez un tonnelier a côté des halles, le gardien était un jeune d'origine Allemande EGGON. Peut-ëtre est ce de ta famille, peut-être nous nous sommes connus. Amitiés pied noir

 

Gérard SPINELLI (1949) (baba hassen hamma belcourt)

29/05/2006 22:33

Andrée, dans votre message du 29/05 vous citez "famille Spinelli" de la rue de l'Union . Peut être s'agissait-il de mon oncle Michel? Mes grands parents habitaient à l'angle de la rue Alfred de Musset et de la rue Traversiere. Mon grand père "ce petit italien triste, toujours enrhumé" décrit par Camus dans le Premier Homme était tonnelier avec son oncle.

 

Philippe REDON ( 1937 ) (St Avertin 37550)

29/05/2006 21:33

Merci à Joseph Cabrera pour le souvenir de M.Martinez. Se souvient-il de ses paroles quand il s'agissait de descendre de la "planche" posée sur le fauteuil? C'était "Saute comme un lapin mort!" On a tous sauté comme des lapins, mais on est pas encore morts!!! Amicalement.

 

Marie-Claire Colinet (Alger / Ecquevilly (78))

29/05/2006 20:26

Puisqu'on a ouvert le chapitre des "capilliculteurs" comme on dit ici, je me souviens du coiffeur des hommes de la famille Monsieur Marquès qui se trouvait en haut de la rue Dujonchay presqu'au niveau du Bd St Saëns, à côté d'une épicerie (il y avait des tas de bonbons dans la vitrine). Il avait un mot gentil pour chaque client.
Mais un jour mon père est rentré avec un sacré fou rire: un Monsieur qui n'avait plus que quelques cheveux en couronne au dessus du cou se faisait refaire une beauté. Monsieur Marquès, en lui versant de l'eau de cologne sur la tête s'est exclamé : "quand je vous verse l'eau de cologne sur votre tête, c'est comme quand l'eau elle tombe sur le Bouzegza !" Souvenirs, souvenirs !

 

Joseph CABRERA (Alger/Monaco)

29/05/2006 19:39

A Philippe REDON (1937) J'ai cherché et j'ai retrouvé le nom de votre coiffeur - qui fut le mien - René MARTINEZ. Il avait, en 1955, une calvitie avancée. Il était né, je crois, à Constantine. Son ouvrier, avait les cheveux grisonnants et ondulés. Son prénom ne me revient pas en mémoire. Il était né en "métropole". Heureux de vous avoir aidé.

 

Danièle Roussel-Sterkers (Paris)

29/05/2006 18:32

Souvenirs, souvenirs... Comme je parcours le site comme une malade depuis 1 semaine (y'en a un qui fait un peu -beaucoup- la gueule.. "à quelle heure on déjeune??" et.."qu'est-ce-que tu nous fait ce soir à dîner???" : angoisse palpable dans l'intonation où point une note de désespoir), chaque visite du Livre d'Or, chaque grignotage de Kémia évoque en moi tout un monde d'odeurs, de goûts, de sensations que je croyais enfouis "ad vitam aeternam".. En fait, tout était bien là, simplement tapi dans un recoin de ma mémoire et voila qu'une vraie lame de fond ramène tout à la surface. Alors je respire goulûment l'air de la-bas dis! Tout ça pour dire que, comme je ne suis pas PN pour rien, j'ai envie d'ajouter à chaque évocation des uns et des autres, un commentaire par-ci, un commentaire par-là, une rue, une adresse, un nom, un avis ..2 avis, 3 avis...tellement que je ne sais plus par quoi commencer...Bref, j'ai pas fini de vous polluer le site avec mes radotages (qui disent mes 2 hommes qui n'y entravent que dalle à mes souvenirs!)
Ce soir?... mais, je vais faire de la tchoutchouka, de la fritta, des cocas, de la merga avec de la harissa, de la loubia ..y'aura de la mouna des zlabias... EN RÊVE!
A plus, beaucoup plus...

REPONSE : bienvenue à tous les commentaires, rajouts, précisions, adresses, noms, flash-backs, anecdotes, approfondissements, qui vous passeront par la tête. Et merci de ces visites, et de vos commentaires, et dites à vos deux hommes qu'on s'excuse bien! Mais on est sûrs qu'ils vont faire eux aussi d'excellents cuisiniers !

 

Danièle Roussel-Sterkers (Paris)

29/05/2006 18:23

Bonsoir Danielle Ferra, je réponds un peu tardivement à ton message passqque mon Pc y me fait une java pas possible depuis un mois! Rien qui va me rendre folle purééée... j'ai perdu ton message mais je crois me souvenir qu'il était très sympa.
Et comment ! Qu'il faut me prévenir pour la prochaine nouba, je veux ouais (si j'y parviens avec les 66 balais que je me trimballe : faut s'les faire!). Blague à part, ton nom me dit quelque chose et "notre" prénom fleure bon les années 40. Si ce n'est toi, as-tu une soeur? J'ai fait tellement d'institutions : Fénelon, Sainte Elizabeth, Delacroix, re-Fenelon, Sainte Marcienne, re-Sainte Elizabeth que c'est le diable si on ne s'est pas croisées (les années 50->57, ma mère enseignait notamment à Sainte Marcienne, re-mariée elle s'appelait Mme Castex). Tchao.

 

SOLER Nicole (Alger / Aix en Provence)

29/05/2006 18:17

A Jacqueline Atlan, je peux te donner des nouvelles d'Olga Troukmanova Cosso datant des années 80. En effet, à cette époque, ma mère qui habitait Paris a suivi des cours de gymnastique pendant un moment dans la salle qu'elle avait ouverte avec son mari dans le 15ème, Métro Convention (si mes souvenirs sont exacts). Mes amies et moi-même aimerions avoir des nouvelles de Mylène Cosso qui était parente avec elle. Amitiés, Nicole.

 

Danièle Roussel-sterkers (Paris)

29/05/2006 18:12

Merci, Georges, de me rafraîchir le mémoire au sujet des cigognes en verre soufflé! Bien sûr, j'ai eu droit à l'époque, comme bon nombre d'entre nous, à un petit cours sur le sujet: l'occase était trop belle pour les profs de sauter sur ces charmants volatiles pour nous en démonter le mécanisme. Mais, comme à l'accoutumée "tête en l'air".. plus poétique que pragmatique... j'avais occulté(!) l'effet soleil sur la jolie chose: l'essentiel, en somme!
Force m'est de constater que je vis parfois dans un monde parallèle, toutefois, je m'y plais bien! ..."l'essentiel est invisible"...

RAPPEL : une "cigogne", chez nous on disait "oiseau-buveur", est visible dans "rue Warnier", dans "rues d'Alger".

 

Andrée (98000 Monaco)

29/05/2006 18:03

Jean-jean, en effet au 94, rue de Lyon au dessus de chez moi habitaient les propriétaires du "Dé-D'or", Mr et Mme Seror, leurs fils Robert est médecin, quand à Mme Camus elle travaillait chez eux, tous les jours j'achetais son pain, et ma grand mère faisait bien des fois un petit plat à emporter, elle s'arrétait contente de rentrer chez elle, et ne pas avoir de cuisine a faire, elle travaillait beaucoup, elle était surtout trés gentille. Avez-vous Jean-jean connu rue de l'Union Mme Mulet brodeuse, le bar de Franck, les familles Spinelli; Fulconis, Charcuterie Serralta, puis Nanou Morale dont le père avait le Café en bas de la rue Prévost Paradol, et pour finir "La petite Denise" famille Sanigou Jackie. Je vous remercie pour la photo, Monique a fait le voyage à Alger, et me l'a envoyée, avec d'autres ! . . Amitiés Andrée. Bravo ! pour tous ces messages... et le bonheur de se raffraichir la mémoire... Cela fait tellement de bien!!

 

Andrée (98000 Monaco)

29/05/2006 17:27

Bonjour Jean-Louis, Oui ! je suis Andrée Cabrera, vous allez mieu me localiser, je vous ai connu bien petit.. ainsi que vos parents, ils étaient amis avec ma tante, Mme J Serra, qui avait deux filles, Lucette et Jacqueline, mon oncle Mr Serra avait un hall d'exposition de voitures rue Auber, mes cousines allaient au cours Fénelon et la musique chez Melle et Monsieur wagnier. Quand à l'adresse mon mari a fait erreur, en effet c'était bien rue Pierre Desseigne, je crois que dans cette rue il y avait un professeur de Piano Melle Canavaggia. Nous sommes venus à Nice chez vos parents, Promenade des Anglais, je crois que l'immeuble s'appelle "Palais de la Mer" si je ne me trompe ! ! J'ai moi 77ans , ma tante, mon oncle, et Lucette ne sont plus là...! Je vous fait une bise, avec le plaisir de vous lire bientôt.

 

Zelasco Paz Anita (ALGER EL BIAR/ CHILLY MAZARIN 91)

29/05/2006 16:28

UNE ADRESSE A SAVIGNY/ORGES 91 PRES DE LA GARE POUR TROUVER DES MOUNAS COMME CHEZ NOUS AINSI QUE TOUTES PATISSERIES ALGERIENNES " LA BAGUE DE KANZA " REGALEZ VOUS ANITA

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

29/05/2006 15:52

Dans l'en-tête du livre d'or, les responsables du site ont écrit " Si vous cherchez quelqu'un de précis, il serait étonnant qu'il ne soit pas passé par chez nous"... Vrai et ça se confirme tous les jours. Mais, car il y a un mais et je ne posterais pas de messages pour débiter des évidences ou des platitudes: ils sont trop nombreux ceux qui passent sans laisser leur trace dans l'annuaire qui n'attend que ça pour croître et embellir, offrant par la même occasion l'opportunité de retrouver encore plus d'amis, le nombre de visites l'atteste. Qui viendrait le consulter (près de 15.500 visites) s'il n'était à la recherche de quelqu'un? Alors, rendez-leur au moins ce service en leur faisant savoir que vous existez encore et comment on peut vous joindre: cela passe par une simple inscription (l'adresse est en haut de la page). Pour ceux qui sont déjà inscrits, une photo d'époque serait plus que la bienvenue parce qu'elle faciliterait grandement la remise en mémoire en associant la photo au nom.
J'en profite pour remercier Danielle Ferra de son accueil lors de ma visite de mercredi dernier: cela m'a permis de connaître et d'apprécier la gentillesse des autres participants envers un "étranger" à leur quartier. Je ne vais évidemment pas m'étendre sur les délicieux gâteaux arabes dont elle nous a régalés : j'ai dû me réfréner pour ne pas "me péter la sous-ventrière"!

 

jacqueline Simon (ROME)

29/05/2006 15:01

HO HO y a quelqu’un ? vous êtes bien silencieux aujourd’hui !! C’est la faute des agapes ???? Il y a notre petit joueur de tambour….sur ce site:

Et puisque nous parlons des militaires, allez voir ce site

consacré à la mémoire de ceux qui se sont battus pour la France et qui venaient de là-bas chez nous.. C’est très à la mode le rappel des combattants un peu « oubliés »..


 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

29/05/2006 13:01

Si par hasard, sur le pont des arts, en passant par Alger, quelqu'un(e) (c'est la loi..) se souvient de l'Armurerie Castel, qu'il fasse signe. Située proche du magasin "Tati", bien connu de la gent féminine et élégante. Le fils de l'armurier était en classe de cours très moyen avec moi, et était un champion de chasse sousmarine. Mon regretté père avait acheté chez Castel un dérisoire revolver de la Manufacture de St-Etienne, un 6-35m/m, pour l'accompagner dans ses nombreux voyages dans l'Algérie agricole. Il dut le rendre à la Gendarmerie des Tagarins à une époque la plus critique, mais heureusement inutilisé. Avec le recul du temps, je pense que nos parents étaient soit des héros, ou soit des inconscients. Je prône pour les deux à la fois.

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

29/05/2006 12:30

C'est un fait, c'est la fête des mères, alors je leur dédie ce petit manuscrit qui est une ode à une citoyenne qui confectionnait des fleurs artificielles et qui pour son travail exemplaire, reçut une médaille révolutionnaire. Faire les révolutions avec des fleurs, n'est-ce pas notre reve à tous ?

Du temps de ma tendre jeunesse, j'avais écrit à la demande de mon meilleur petit camarade un petit envoi pour la "fête des mères". Quelques lignes naives mais sincères, assez bien tournées. A tel point absorbé par ma tache, que j'en avais oublié d'écrire un autre pour ma propre maman! Et c'est donc une rédaction qui ne lui était pas destinée, que je le lui avais finalement lue! Je n'eus rien à changer: l'affection pour une maman est la même dans le monde entier.

 

claudette HUMBERT ((ALGER) - ANTIBES 06)

28/05/2006 19:39

Je crois qu'il y a erreur pour "l'impasse sans nom de la rue Burdeau". Je suis née en 1934 au 11 rue Burdeau (c'était chez ma grand-mère). Au rez-de chaussée il y avait "une repasseuse" qui était Russe et qui avait un petit chien qui s'appelait kiki; tout de suite après le 11 il y avait le 11 bis, puis le 13, puis 2 ou 3 autres entrées d'immeubles et dans la dernière entrée il y avait les "chocolats MEUNIER" à gauche de la chocolaterie il y avait un terrain vague que les gens du quartier nommaient "la placette" juste en face des escaliers qui montaient au Bld. St. Saëns, et en face également de l'abri où nous nous étions réfugiés pendant la guerre. L'impasse "sans nom" dont vous parlez était donc juste avant le n° 11, les fenêtres de nos chambres donnaient dessus, au fond de cet impasse, à gauche il y avait la sortie de secours du cinéma l'A.B.C. (où bien sûr nous rentrions en douce). A l'entrée de l'impasse juste avant le 11 il y avait un matelassier dont l'ouvrier, qui s'appelait Kadour, cardait la laine pour refaire les matelas; il installait les tréteaux carrément dans l'impasse "sans nom", les gosses du quartier ramassaient la laine pour s'amuser avec. En face du 11 il y avait une boulangerie et le boulanger s'appelait Mr ORS (ou ORTS) c'était un Espagnol et comme le voullait la coutûme ma grand Mère allait faire cuire les Mounas et les Cocas. A côté de la boulangerie il y avait le "moutchou" avec fruits et légumes bien rangés en hauteur (que nous ne manquions pas de démolir pour rigoler) et plus haut c'était le blombier. Ce quartier je le connais comme ma poche et je revois toutes les entrées d'immeubles. Au tt début de la rue Burdeau (à G en montant) il y avait une droguerie qui s'appelait Vve. COTE, tout de suite après il y avait un marchand de journaux, puis 2 restaurants. En face (à D en montant) début rue Burdeau, il y avait un café qui faisait l'angle avec la rue Michelet. Par contre il n'y avait pas de petites filles au premier ét INTERRUPTION INDEPENDANTE DE NOTRE VOLONTE (on s'en doute) LA SUITE ! LA SUITE ! LA SUITE !

 

Layani andré 46 (94220 france)

28/05/2006 14:46

Encore une idée qu'elle est bonne. BONNE FETE à TOUTES LES MAMANS

 

Pivon Jean-Robert 1938 (Rhône)

28/05/2006 11:35

Bonne fête à toutes les mamans, mama et yemma

 

Fatiha (Alger-La Redoute-Paris)

27/05/2006 21:39

Dans mon message de ce matin, je voulais dire : René Drevot. C'est peut être la grisaille de ce mois de mai ...et le soleil qui nous boude qui ont fait que ma lucididité a pris un coup ce matin, mais nous sommes les enfants du soleil qui reprenons vite le dessus !

 

Jacqueline Atlan (Alger/Lyon)

27/05/2006 19:20

A Nicole Soler; Décidément , nous avons partagé de nombreux lieux: moi aussi, j'ai étudié la danse classique chez Olga Troukmanova et j'ai même été "petit rat" à l'opéra d'Alger lorsqu'on lui a demandé des élèves pour danser dans les "Amants de Ve nise" pendant toute une semaine, pour les fêtes de Noël, mais impossible de me souvenir de l'année... Je dois avoir quelques photos de cette époque, il faut que je parte à leur recherche. Sais-tu ce qu'elle est devenue, j'ai seulement vu jouer son fils dans quelques séries télé? A bientôt. Jacqueline

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

27/05/2006 17:57

Il y a quelques jours, un des jeunes internautes, un fan d'Esmma, avait jeté à toute fin utile, son désir de nous rappeller la mode "Zazou". Qui ne l'a pas été, même un peu, et qui ne s'est jamais écrié en parlant d'une connaissance: "il est complétement Zazou c'type là !". Alors, pour satisfaire sa curiosité, j'ai pris l'Inox à la gare, et je suis allé, en face,à Oran, qu'Esmma me pardonne de cette incartade géographique, mais Monsieur Joseph Alfonsi vaut la peine d'etre lu:

 

Jacqueline Simon (ROME)

27/05/2006 16:43


vous l’aviez vue celle là les garçons??
Moi je viens de découvrir le coin photo de ce site.. Il ya de vraies merveilles : pour moi le marché de la Lyre, la place Randon, la rue de Lyon , et tout et tout..Il y a aussi le Parc de Galland , un peu « déplumé » !! La bises a vous tous.

 

Zedigua Ou Karmous (Alger-algerie)

27/05/2006 11:10

Bonjour, Ce soir à alger, je vais voir un film documentaire " Jean-Claude Brialy, sur les pas de son enfance algerienne" en présence de l'acteur, je vous raconterai le débat... A tantot

 

Lydie DUCCESCHI (La Ciotat/Alger)

27/05/2006 10:52

Merci pour vos messages, vous êtes super !!! Allez, les retardataires qui sont partis en week-end, confirmer dés votre retour votre présence au méchoui et consultez plus bas mes messages d'organisation et d'inscrits. Bonne fin d'Ascension, profitez bien su soleil pour les Nordistes !!! Gros bisous. Lydie

 

Deangeli (Nice)

27/05/2006 10:12

Pour Danielle Roussel: Amaoua était un chausseur de la rue Bab-Azoun, à ma connaissance.

 

Fatiha (Alger-la Redoute-Paris)

27/05/2006 09:56

André Drévot , votre poème est tout simplement... touchant . Bon week-end à tous !

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

27/05/2006 09:42

Cette cigogne en pate de verre bleu était pour moi l'objet de longues contemplations devant la vitrine : de son long bec buvait une eau transparente et après un long instant se redressait pour retourner à la source comme dans un mouvement perpétuel. Le secret de ce souvenir charmant ,vous l'avez appris au cours de physique. La cigogne articulée sur ses hautes pattes étant plus lourde du cote du bec, plonge dans le liquide. Celui-ci, par effet de capillarité monte tout seul le long du très étroit tuyau de verre (son bec), et va remplir un minuscule réservoir situé à son arrière train: alors la Cigogne rebascule en arrière. Mais avec le temps, cette eau contre-poids s'évapore et de nouveau la cigogne au long bec s'incline et se penche pour de nouveau s'abreuver. Seul le talent du souffleur de verre, pouvait en diminuant au maximum les frictions mécaniques, assurer un bon fonctionnement, mais il fallait aussi une certaine chaleur pour faire évaporer l'eau rapidement: l'emplacement idéal etait justement derrière la vitrine qui laissait passer les rayons de soleil et emmagasinait la chaleur (effet de serre). En hiver, cette Cigogne devait émigrer plus au Sud, comme ses soeurs, car elle disparaissait de la vitrine. Mais pourquoi toutes ces explications? Vous le saviez déjà, non ?

 

Rando 1941 (Alger Limoges)

27/05/2006 08:07

Bonjour à tous les pieds noirs. C'est à l'âge de la retraite que nous ressentons encore plus le mal du pays. Mais surtout il faut essayer de laisser à nos enfants et petits enfants des repères afin qu'ils n'oublient pas leurs racines. Je vous recommande de visiter aussi le site des enfants d'Hussein Dey et celui de la famille di Fina (pour les anciens Guyotvillois)
Je suis né à Alger et mon père était boucher au quartier Meissonier.

 

Danièle Roussel-Sterkers (Paris)

26/05/2006 23:50

Alors Alain Thomas, j'ai finalement trouvé les photos de communion, et je ne crois vraiment pas reconnaître Mlle Vella en premier plan sur l' une des photos. Autant qu'il m'en souvienne c'était une petite femme pas très plantureuse avec un chignon noir (seul le chapeau me paraît ressemblant!)... Combien d'entre nous sont passés par sa catéchèse et tout le tremblement* autour (*le mot n'est pas trop fort) : "montrez-moi votre carnet de Messe" (un carnet qu'il fallait impérativement faire tamponner à l'issue de la Messe dans la sacristie et inutile de passer directement par les escaliers extérieurs menant directement à la sacristie les jours de panne d'oreiller pour obtenir le sacro saint viatique : elle y veillait non, non, ça ne comptait pas! Quant aux cérémonie de Communion, il fallait avoir l'âme bien chevillée au corps pour, selon les cas, rester recueillie ou parvenir à étouffer un fou-rire ravageur. Clap- clap :assis..clap-clap : debout ! l'oeil courroucé "tschutt".. on baisse les yeux!...chantez voyons!.. j'ai toujours eu l'impression qu'elle ne m'aimait pas beaucoup et je le lui rendais un peu. Mais à la réflexion, même si à l'époque nous étions plus confites en dévotion que maintenant, ce ne devait pas être de la petite bière (si tant est qu'elle l'aimât) tous ces jours de cathé pour notre Mlle Vella.
A propos de boutique "La Ré Do" n'était pas le seul nom bizarre, me revient aussi "AMAWOUA" qu'est-ce donc que c'était déjà ? ma Mère allait chez Amawoua..(mais pourquoi donc y faire?) "Tiens, va chez Amawoua.".. je ne sais pas pourquoi ça me fais penser un peu à .."Dash"..Il me semble que ce commerçant se trouvait aussi dans le quartier Hoche .
Et comment s'appelait ce petit magasin où il m'est arrivé d'acheter quelques colifichets et de jolies ceintures de cuir dans la vitrine duquel 2 fascinants oiseaux en pâte de verre opinaient du chef, face à face, au dessus d'un verre..?
Et ..la suite domani.

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

26/05/2006 15:17

Bulletin de la Société Géographique d'Alger.(1910,15ième année.)

Sujet: Communication faite sur " l'Aviation Saharienne " par le Lieutenant de Spahi Max-de-Lafargue. (voir la page 437). (Remarqué pour son courage dans les concours hippiques,... il est désigné comme élève-pilote ). Extrait des comparaisons faites en 1910 pour accomplir le trajet de Biskra à Touggourt (217 km).:
1) En dilligence :2 jours
2) A cheval :4 jours.
3) A pieds:7 jours.
4) En aéroplane:4 h.
Et de Tougourt à El-Goléa.(490 km):
1) Par étapes réglementaires; suivant l'intendance, à pieds: 22 étapes avec un repos obligatoire toutes les 4, soit 22 jours de trajet. (à la température de 50 degrés centigrades...)
2) A cheval, sans en changer,à raison de 30 a 40 km par jour: 15 jours de trajet.
3) En diligence : il n'en est pas question, faute de route !!.
4) En aéroplane, à 50 km/h (!), le trajet serait de 10 h.
Donc pour franchir les 707 km, il faut 19 à 20 jours à cheval, à pieds 34 jours, en aéroplane 1 jour.
"Quand on pense qu'une lettre postée à Paris arrive à El-Goléa le 34ième jour, (4 jours pour franchir les 3000km de Paris-Biskra et 30 jours pour les 700km de Biskra à EL-Goléa), elle mettrait 14 heures en aéroplane",
conclut le futur pilote. Vive les Pionniers de l'Aviation Saharienne !!.
Morale de tous ces chiffres héroiques: les lettres de Gérald mettant plus longtemps à parvenir à leurs destinataires, il serait bon de revenir à la Poste saharienne de 1910.......

 

LLORENS Jean-Jean 1934j (ALGER Belcourt les halles)

26/05/2006 14:45

Bravo Jo, tu es aussi doué que moi, mais il ne faut pas faire de jaloux alors quand tu en mets un peu à Es'mma, il faut en mettre un peu à Jacques, parceque grâce à eux on n'a plus envie de mourir tellement on retrouve des sensations, des joies, et des moments terribles, moi depuis trois mois que j'ai ma gamelle, je revis, même ma santé s'en ressent, et je ne suis pas le seul, et de plus tout ça gratuitement; alors comme on dit ça n'a pas de prix. Pour les photos bravo, mais avec l'érosion naturelle, 45 ans aprés c'est pire que les ruines de Tipaza, ils vont nous mettre au musée. De toute façon il est impossible d'être et d'avoir été, j'espère qu'on se verra à Uzès bisous à vous deux et à plus Jeanjean de Belcourt>;

REPONSE : :o)) merci :o))

 

Joseph CABRERA (Alger/Monaco)

26/05/2006 13:24

Alors, Jean-Jean, tu as vu comme nous étions beaux.....il ya longtemps! Passe pour ma femme, mais moi je suis devenu "calbo", le poil blanc (sourcils et moustache) et, bientôt, 44 ans de plus! dans l'ensemble, ça peut aller, ne nous plaignons pas!
Merci pour être intervenu auprès de Jacques Abbonato qui a pu faire le nécessaire. Tout est rentré dans l'ordre grâce à toi.
A bientôt, à Uzès. Bien amicalement. Jo (de Bab-el-Oued)

 

GATTO André (St. Etienne de Fursac (d'Alger))

26/05/2006 13:20

Bonjour à toutes et à tous, je suis né en janvier 1950. Mon père (Giro) était sapeur pompier à la caserne de la case bah. En relevant un défi, je suis devenu champion d'équilibre. En effet, à 4,5 mois, je tenais debout sur sa main. Une photo et un article nous ont été consacrés sur l'Echo d'Alger. Savez vous où sont les archives de ce quotidien?
Puis au printemps 1954, nous sommes allés habiter dans un lotissement au dessus d'Hussein Dey, à la lisière de la forêt de Kouba. Ce lotissement s'appelait le Panorama. J'ai fréquenté les écoles Trottier. J'avais un bon copain qui s'appelait Richard BARRIEL. Si quelqu'un a de ses nouvelles ou le connait, je serais heureux de renouer des liens.
Merci d'avoir créé ce site qui nous replonge dans les doux souvenirs de notre enfance. Salut à tous

REPONSE : merci de votre appréciation. En ce qui-concerne la recherche de l'écho réservé à votre exploit, si vous êtes sûr de votre date (pas de naissance, évidemment, non, les 4-5 mois que vous aviez lors de cet exploit), on peut peut-être quelque chose pour vous.

 

Marie-Claire Colinet (Alger/Ecquevilly(78))

26/05/2006 08:18

A Nicole Soler: merci de me rappeler ces souvenirs de danse! J'ai des photos d'une représentation à la salle Pierre Bordes où on avait dansé Casse noisettes. Est ce que tu en faisais partie?

 

Lydie DUCCESCHI/KAMERT (La Ciotat-Alger)

25/05/2006 23:17

Voilà, le compte est bon,
Je vais vous donner la liste des présents, êtes-vous d'accord sur les nombres:
- Geneviève, 4 chez Yvette, Ralphy, Didier, Lydie, Jean Claude, 4 chez Hugon, 4 chez Martine, 2 chez Yves, chez Verdier?, 2 chez Gérald, 2 chez Parisi, 2 chez Drévot, 3 chez Iotti, Riera, 4 chez Philippe, Monaco 2 en principe.
Merci de me confirmer cela dés que possible par mail.
Avez-vous pris connaissance de mon précédent message pour toute l'organisation sur le site ? Bisous à tous et bonne nuit. Lydie

 

Ferra Danielle (Paris .Alger)

25/05/2006 21:40

Bonsoir à toutes et tous. Eh oui chère Geneviève, les Esmaiens de Paris se sont réunis hier, certains ne s'étaient pas vus depuis Alger......un bail !! Personne ne voulait s'asseoir tellement ils avaient envie de se parler, et de rappeler ses souvenirs, y compris "ceusses" qui ne s'étaient pas vus que depuis quelques mois. Je t'ai envoyé les photos.
Certains nous ont manqué, car absents (tant pis pour eux, j'ai mangé leur part de gâteaux!! (Ne me refaites plus ça hein? ma balance elle va pas tenir le coup!!!) "Maman keski zété bons ces gâteaux!!!" Que nos amis ont apportés! (Pour une fois j'en avais pas fait) et les beaux fruits !!
Nous avons eu la primeur des photos prises lors des voyages d’Yves, et qui de reconnaître "sa" rue "sa" maison. Ou de deviner ce qui était là avant. Le ciel nous parait toujours aussi bleu, et la mer toujours aussi belle. La soirée nous a semblé trop courte, bisous à toutes et tous.

REPONSE : ça y est, Danielle, ce soir je suis de retour dans mes pénates. Merci de ces moments magiques, à toi et à tous ceux qui étaient là hier soir. Un salut tout particulier à François Holz, on se revoyait pour la première fois depuis une cinquantaine d'années, et toi au moins, presque le même, t'y as pas changé, avec la maturité en plus, mais c'est que t'y es devenu un homme, dis ! Et merci à toi, Jacqueline, pour les mounas que tu as bien voulu m'amener; elles dormaient déjà, alors j'ai fait le père-noël, à leur petit déjeuner demain matin, mes deux vieilles dames auront chacune sa part. je vous embrasse.

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

25/05/2006 19:40

Pour Joseph Cabrera : je n'ai reçu aucune photo mais un message de Jeanjean à leur propos me disant que vous les aviez expédiées à... Es'mma. Ce dernier et l'annuaire sont deux sites distinct et donc, ce qui est mis sur l'un ne peut pas être récupéré sur l'autre, sauf en utilisant des méthodes de bandit: les piquer purement et simplement... Mais pour cela, encore faudrait-il qu'elles soient accessibles quelque part et ça, ça dépend de Gérald et de Jacques (Prat). Le mieux est d'utiliser mon adresse de messagerie perso (la petite enveloppe à côté de mon nom) et de me les envoyer en pièces jointes.

 

Joseph CABRERA (Alger/Monaco)

25/05/2006 19:34

A René DREVOT: Je ne vous connais pas et je le regrette. Je ne me prends pas pour un critique littéraire. Etant, pour partie de ma vie, de Bab-el-Oued, je pourrais seulement dire que j'ai quelque connaissance de la "langue" de Cagayous.
Votre poème a été écrit, bien sûr, avec vos mains, mais surtout avec votre coeur. Il m'a plu. Il m'a ému. Continuez. Avec toute ma sympathie.

 

Danièle COEURET IOTTI 1946 ALGER ( Télem (NICE)

25/05/2006 18:35

Pour Françoise : il me semble que le marché des Trembles était aux 7 merveilles, après Ste Marcienne. Une de mes cousines Jacqueline Jacono fréquentait le cours de danse de Gudrun Monteen. Quant à moi c'était le piano avec une vieille demoiselle, Mlle Grasset , qui dispensait ses cours chez elle au 39 ave Eugène Etienne (nous habitions au 39 bis!) ou près de l'église St Charles une salle de cours où chaque fin d'année scolaire elle présentait ses élèves au cours d'un récital... que nous attendions avec la frousse de laisser échapper quelques fausses notes!

 

marie de bab el oued

25/05/2006 17:54

Perso: GG les chocolats partent demain (tu gardes l'enveloppe s'il te plait ? lol lol lol) Ps : l'enveloppe quelle est partie avant hier et comme i dirait mon épicier du coin : mektoub ! gros bisous m@rie

PEPONSE : y vont voir ce qu'y vont voir aux PTT ! Pour les chocs, t'es top quioute, c'est Monsieur "CHOC" qui va être jaloux ! C'est bien fait, il ne nous a rien envoyé depuis longtemps pour les kémias! Oh, l'heaume, tu entends ? Ou plutôt tu lis ?

 

danièle Roussel-Sterkers (Paris)

25/05/2006 15:13

En réponse à Alain THOMAS. Merci pour votre message, effectivement, nous avons dû nous croiser mais je suis une "anté baby boom"(1940) or donc, peut-être avez vous plutôt connu mes cousins: Jean-Claude Roussel ou Jean-Marc Bayle?
En ce qui concerne la photo de communion (avec une hypothétique Melle Vella) je n'ai, hélas, pas trouvé la rubrique "Nos Communions" - mais où donc se cache t- elle ? - (la rubrique, pas Melle Vella).
A propos de la Mercerie LA RE DO ( et non pas DO RE MI !) elle était située à gauche en remontant la rue Hoche vers la rue Michelet, en face de l'épicerie Tiazet, à l'angle de la rue Auber partie de la rue Auber où se trouvait LE glacier (dont j'ai oublié le nom).. et à l'autre bout, angle Edgard Quinet, la papeterie Molina. Bon W E et @+

 

René Drevot ( 1943) (Fontvieille (13))

25/05/2006 14:18

Après plusieurs jours d'hésitation, je me décide à livrer, sur esmma, à votre indulgence, ce texte écrit, sans prétention, mais encore sous l'émotion de ce retour à Alger, en bateau qui plus est, du 6 au 12 Mai dernier. A défaut du talent c'est le coeur qui a guidé, non pas ma plume, mais mes doigts sur le clavier. Je sais .. ça manque de poésie!!

AU RETOUR D'ALGER
Alger s'offrait à nous inondée de soleil.
Les effluves marins, la cité retrouvée
Ravivaient la mémoire, de nouveau en éveil,
De ces bonheurs passés qu'on ne peut oublier.
Etendue sur la mer, comme sur uns couche,
Cette unique baie, s'ouvrant aux yeux de l'enfant,
Retrouvant sa mère, son passé et sa souche
Faisait monter en moi, ému et triomphant
Les premières larmes de ce pélerinage.
Comme le fils prodigue, regagnant sa maison,
Je revoyais ma ville, mon pays, ses rivages
Qui inspirent la passion bien plus que la raison.
Chaque jour mon périple rappelait mes racines,
La terre, où tant de cultures ont coexisté,
Avant que l'histoire sombre et y ouvre un abîme
Où des frères d'hier furent précipités.
Mais le temps et l'amour de ce pays d'Afrique
Ont commencé leur oeuvre, pour ouvrir la voie
Qui, sans oublier les heures dramatiques,
Mène à la communion dans une mêm foi
Dans un même culte, CELUI DU SOUVENIR

Avec toute mon amitié, René

 

Françoise LEROY VENDEVELLE (Alger/Clermont-Ferrand)

25/05/2006 12:56

Quelqu'un pourrait-il m'aider ? Je me souviens d'un petit marché couvert sur le Télémly, au pied du chemin Picard, sur la gauche en allant du Parc de Galland vers l'Aérohabitat, après une station-service. Je suis passée très vite à cet endroit en Avril et tout m'a semblé avoir disparu. Vous en souvenez vous ??? Un nom me vient à l'esprit: marché des Trembles, mais je crois que les Trembles étaient un marché plus grand et plus proche de l'Aérohabitat ou de l'église Ste Marcienne. Le marché couvert dont je souhaiterais parler a été évoqué dans le livre de Francine Desaigne "journal d'une mère de famille Pieds Noirs" (elle y parle en particulier d'une petite fille (moi) et de son frère, protégés à leur insu par de futurs "assassins": ils ont laissé ces jeunes innocents de 5 et 9 ans quitter le marché, avant de descendre le rideau de fer ...et les commerçants... en ce qui me concerne, je les remercie de nous avoir laissés en vie) Ce livre n'est malheureusement plus édité. Sachez que si quelqu'un veut s'en débarrasser, je suis preneuse! Le concours est ouvert: comment s'appelait ce marché couvert ? Amicalement

 

TORRES (gouvieux france)

25/05/2006 11:28

complément pour JP DONNART
J'ai oublié de te dire que j'ai habité également au CLOS SALEMBIER au 7 Chemin des sabliéres Villa MEKTOUB j'ai passé mon certif à l'école du Clos chez M.VICTORI aprés ......le CT du ruisseau etc... peut étre a t on été à l'école ensemble bien que je ne soit pas très jeune (37) j'ai été également été moniteur au centre F Lung... Que de souvenir mais quels souvenirs! Amitiés PN Pierre Torrés

 

TORRES (gouvieux france)

25/05/2006 11:19

a JP DONNART
Je viens de lire que vous vous étes rendu au cimetiére du BD Bru et que celui-çi est bien entretenu, j'en suis trés heureux car ma mére est enterrée au bd bru. Personnellement je m'y suis rendu en 1986 et ce cimetiére était dans un état déplorable la tombe de ma mére était ouverte !! Si vous pouviez m'adresser quelques photos? Je vous en remercie par avance Amitiés PN P.TORRES

REPONSE : Les photos du cimetière du Bd Bru, celles prises par Jacqueline Blanc et celle prises par Yves Jalabert, seront sur Es'mma le 3 juin.

 

Lydie DUCCESCHI/Kamert (la Ciotat / Alger)

25/05/2006 10:33

Bonjour à tous, voilà, les dés sont jetés, l'agneau ne viendra pas de "Chéragas par la traverse", mais de Toulon. En fait, il est commandé et je suis à la recherche de la broche, quant aux piquets, Jean Claude les a, donc je pense que je devrais être O.K pour le 18 !!! La bête coûtera farcie entre 9,50 et 10 euros le kilo et elle pèsera environ 16/18 kilos, ce que nous diviserons par 30, puisque c'est le nombre, à peu prés effectif, d'Es'mmaiens participants. Je cloture donc aujourd'hui la liste des inscriptions. Concernant ceux qui veulent venir la veille ou dormir sur place le 18 au soir, le prix de la chambre est de 33 eur ; merci de me préciser ceux intéressés. En ce qui concerne les volontaires pour aider Jean Claude le matin ou la veille, puisque j'aurai les clés de la propriété, qu'ils me le disent également, je pense que vous êtes déjà 4 ...précisez ...Pour le feu, je vais acheter le bois car il faut du chêne pour éviter la résine. Pour l'organisation, reprenons celle de la t'ite parisienne !!! :
- les entrées avec cocas, petits patés à la soubressade, hors-d'oeuvres de toutes sortes - salades de ce que vous voulez -
- Ensuite nous attaquons la bête
- ceux qui veulent des fromages, n'hésitez pas
- Quant aux desserts, tout est bon parmi nos spécialités, surtout que Pentecôte ne sera pas loin et la mouna sera d'actualité. Si elle est accompagnée de gâteaux du pays, ce ne sera que mieux pour accompagner notre thé à la menthe que je me charge de faire. Pour les boissons, faîtes comme là-bas, n'oubliez pas le pain et pour finir tous vos couverts (verres plastique, assiettes, serviettes etc .. ainsi que vos tables et chaises). Pour mettre la bête, nous aurons une grande table de l'intérieur. Si l'un d'entre vous pense à qqchose d'autre qu'il me le dise par mail ou sur Es'mma.
Le moment venu, j'indiquerai par mail l'endroit exact, mais c'est trés simple, explication PN, "ou tu tournes à droite en venant de Marseille
ou à gauche"

 

Jacqueline Simon (ROME)

25/05/2006 09:34

Avisse aux communiantes de 1959 à Saint Charles: qui a participé au couronnement de la Vierge à Notre Dame d’Afrique? Certaines d’entre nous étaient juchées sur un échafaudage dans le chœur de l’Eglise et on ne sentait pas la moitié d’une pomme de terre !!!. On remettait la belle robe et on faisait une répétition générale. Il semblerait que cette année là, pour des raisons que j’ignore, le couronnement n’eut pas lieu dans notre paroisse. J’ajoute un commentaire (un peu fielleux !) de ma maman « C’était toujours les filles de Fénelon qui y participaient ..» Souvenir souvenir ..Va savoir pourquoi moi j’y étais, moi- que- je –venais- du -Lycée -Delacroix?? Cela devait être au mois de juin.. que déjà le soleil y tapait fort… J’appelle Françoise Chatelard, Michelle Fuster, Laurence Cuviller, Marie France Blaise, Françoise Boulard, Christine Pasquier, Mireille Rodriguez …OU ETES VOUS MES COPINES ???

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

25/05/2006 07:51

Le Labyrinthe en Algérie, n'est pas une chose nouvelle, regardez et essayez de vous en sortir du dessin schématisé de la mosaique d'ex-Castelum Tinginitum, ex-Orléansville, ex-El-Asnam et maintenant Chlef....
Le labyrinthe de St Repaatus (Al-Asnam, maintenant à Alger) Le labyrinthe romain.

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

25/05/2006 00:07

J'ai passé des heures à relire tous les messages, et je n'ai pas vu un seul pied-noir avoir honte de ses origines. Hors ce matin en écoutant la radio je me suis aperçu à ma grande stupefaction qu'un d'entre nous avait tout simplement changé de nom pour ne pas qu'on le reconnaisse; je trouve ça inadmissible; ce "petit" pied noir se fait appeler maintenant Rousselle et c'est le Cadet de la famille et je crois qu'il est dans le batiment car j'ai entendu qu'il avait trois maisons etc... de plus c'est un Algérois très connu, sa famille était les Balo et lui etait le fils Badi, c'etait une famille aisée car le fils Badi-Balo avait un avion avec lequel il emmenait sa femme et ses enfants , et je crois qu'un jour il a fait un dérapage et il a eu un probleme d'engrenage. Enfin tout ça pour vous dire que nous devrions étre fiers d'etre pieds-noirs, et, que certain nous font honte en essayant de cacher leur veritable identité. Mais helas la vérité éclate un jour ou l'autre et rien ne sert de vouloir leurrer son monde. De toute façon s'il a honte de ses origines, il vaut mieux pour nous tous qu'il aille avec son avion se faire voir ailleurs. Bonne nuit à tous, à plus Jeanjean
PS
Gérald, comme d'hab si tu laisses tomber, je comprendrais, mais aux halles c'était la grosse rigolade toutes les nuits, alors j'ai gardé des sequelles!!!!! bisous Jeanjean

REPONSE : bisous pareil.

 

Nicole Soler Libera ((1948) Aix en Provence / Alger)

24/05/2006 22:41

A Marie-Claire Colinet, je voudrais dire que j'ai été moi aussi élève de Gudrun Monteen ou Mauntin, professeur remarquable de gentillesse qui venait de Suède et exerçait à l'Algeria. Deux faits restent particulièrement gravés dans ma mémoire à son propos: lors des répétitions des récitals qu'elle organisait salle Pierre Bordes, quand elle disait "Personne n'est autorisé à y assister excepté le roi de Suède" et autre souvenir merveilleux, lorsqu'elle ouvrait un coffre rempli de magnifiques chaussons pour en vendre une paire et que l 'odeur si particulière du neuf en émanait. Gudrun Maunteen est décédée depuis longtemps mais sa fille Brita habite Toulon. J'ai été aussi toute petite l'élève d' Aline Plateau puis d' Olga Troukmanova Cosso, la mère de l'acteur Pierre Cosso, qui avait racheté le local d'Aline Plateau. Je voudrais enfin ajouter que j'ai eu l'occasion de rencontrer plus tard la danseuse Paule Volant à laquelle certains ont fait allusion, sa famille étant alliée à la mienne par ma grand-mère. Amitiés à tous.

 

Maio (alger)

24/05/2006 19:50

Après bien des hésitations je suis retournée à Alger et plus particulièrement au village victor (Notre dame d'Afrique) quel bonheur de revoir ce à quoi je révais depuis longtemps et par la même j'ai pu exorciser ce que je gardais en moi depuis 44 ans, je ne pense pas que j'y retournerai mais j'ai surtout très bien fait d'y aller et c'est cela le principal, j'ai revu le cimetière très bien entretenu (saint-eugène) et maintenant je vais bien, Monsieur Jalabert a bien réussi son rôle , bon séjour, merci.
J'aimerais retrouver des amis du village Victor, Perez, Paya, et des copines de l'école communale de notre dame d'Afrique, je suis née en 1946 et mon nom de jeune fille est Habrant, si des copines du collège rue de Dijon lisent ces lignes qu'elles me contactent elles aussi.

 

CABRERA Joeph (ALGER/MONACO)

24/05/2006 17:44

A Jacques ABBONATO: Pour faire plaisir à Jean-Jean, qui souhaitait voir nos "tronches", je vous ai adressé des photos, format identité, pour compléter nos coordonnées parues dans l'annuaire P.N. Les avez-vous reçues ? J'ai observé les instructions données mais ai-je réussi mon envoi? J'attends que vous me le fassiez savoir.
Jean-Jean, je crois que tu auras du mal à nous reconnaître, le 11 juin, à Uzès, si, comme je l'espère, nous nous rencontrons! Bien amicalement à tous.

 

Rando rené (limoges)

24/05/2006 14:23

Je remercie toute personne pouvant me renseigner sur la famille de Vitello Génaro(auguste) dont la fille aurait habité dans la région de Lunéville et aussi sur la famille de Vitiello Armand tous natifs de Guyotville.
même appel pour la famille de Bosc antoine et anastasie Muntaner natifs
d'hussen dey. Félicitations au créateur de ce site. Au crépuscule de notre vie, nous retrouvons des vieux souvenirs. Je recommande aussi de visiter le site des enfants d'Hussein-Dey et celui de la famille di Fina. Amitiés à tous: René Rando

 

Geneviève Bordier 1942 (rue Denfert-Rochereau / Gard)

24/05/2006 13:23

A Chantal Duran : oui il existe un disque 33t de la "Famille Hernandez", sorti à l'époque, mais dont je n'ai hélas pas les références. Je vais demander à ma tante si elle l'a gardé. J'en avais fait une K7 audio. Je vais voir autour de moi si quelqu'un possède un double lecteur, et t'en faire une copie. Si non, je peux te l'envoyer, mais choufff... entention... tu la mets pas en "colissimo" pour le retour !...
Ce soir les "nordistes" se retrouvent autour de Danielle Ferra. Une pensée attendrie pour cette dure épreuve qui va être la leur : se retrouver, se faire la bise, la tchatch... et tout le charlala... En'y'en'y'en... si les murs y z'avé des oreilles purée !...
Bon viaduc à tous, sous le soleil ici, na !...et à lundi.

 

Hélène Hassen (Lyon)

24/05/2006 11:23

Je voudrai faire ajouter un nom sur une photo de classe : école Luthaud année 61/62 (le 5° au 1° rang en haut ) il s'agit de Pierre-Jean Montiel, ce jeune garçon habitait aux champs de manoeuvre, il a vécu à Sète (34), il travaillait au port de Sète il reliait les pipes lines de pétrole, il est décédé il y a deux ans maintenant (suicide)

 

Llorens Jean-Jean 1934 (Alger Belcourt les halles)

24/05/2006 11:09

Tonton Georges, c'est drôle mais je vous imaginais plutot en complet veston, qu'en danseur etoile avec les pointes et le tutu!!!!!!!! bisous Jeanjean

 

Dominique Renucci (1949) (Alger 6 rue de Lille/Aquitaine)

24/05/2006 10:48

Dans les années 51-52, j’avais donc 2-3 ans. Mes grands-parents (les Canonero) tenaient un stand dans le marché Meissonnier (vous rentrez par la porte rue Barnave, tournez tout de suite à votre gauche ; une enfilade de boxes se présente à votre vue ; je crois bien que c’était le deuxième ou troisième) ; ils vendaient toutes les salaisons chères à nos palais : olives, anchois, tramousses, et j’en passe et des meilleures ! Lorsque Papa m’emmenait rendre visite à ce qui me paraissait le palais des délices, il m’était conventionnellement proposé un « petit beurre ». Oh, désespoir ! Malgré mon très jeune âge, je faisais montre déjà d’un fort caractère. Je repoussais le paquet, et montrais d’un doigt fébrile les barils où nageaient de belles olives multicolores, ou bien les sacs débordant de cacahuètes dorées. La santé chancelante de Mémée a empêché la continuation de ce commerce, ce qui les a sûrement sauvés de la ruine, car je leur aurais « mangé le bénéfice » ! Bien des années auparavant (entre 1930 et 1935) ils s’étaient essayés au commerce de vin et alcools, à El Biar, car l’un des frères de Mémée, Paul Renucci, était négociant dans ce domaine (il paraît que là, c’est mon Papa -il avait entre 10 et 15 ans- qui avait tendance à inviter tous les copains du quartier à des libations secrètes et bacchiaques, mettant en grave danger non seulement leur santé, mais aussi le stock de boissons fortes…). Mais c’est une autre histoire et d’autres souvenirs à jamais perdus puisque leurs détenteurs nous ont quittés il y a fort longtemps, emportant cette part d’anecdotes enrichissantes…A moins que l’un de nos aînés se souvienne d’eux ? Cordialement Dominique

 

Christian TRUCHI (EVRY (91000))

24/05/2006 10:24

Pour Chantal Duran. Pour répondre à votre question, je possède dans mes archives une cassette VHS de cette fameuse "Famille Hernandez". C'est un film tourné en 1964 en N/B; les interprètes ne sont malheureusement pas ceux que j'ai vus à Alger à la télé (en 1958 si mes souvenirs ne sont pas trop altérés). Cette cassette a été réalisée par: Passerelle 2000, BP 802, 60208 COMPIEGNE CEDEX. Je vous donne cette adresse à tout hasard, au cas où... Je possède également un vinyle 33 tours de "Purée de nous z'otres..." enregistré au Théâtre des Trois Baudets en 1963 (j'ai vu ce spectacle de Jacques Bedos, Robert Castel et notre regrettée Lucette Sahuquet). Outre ces deux auteurs-acteurs, s'y produisirent aussi Marthe Villalonga, Georges Blaness et Philippe Clair, entre autres. Claude Sarraute écrivait dans la Monde: "Quand une communauté, en apparence déplacé, se met en scène elle-même avec tant de lucidité et de bonne volonté, c'est un signe de santé. C'est aussi le signe très encourageant d'une proche compréhension mutuelle" (sic).
Challah qu'E-Bay y vous aide à retrouver ces trésors précieux de notre folklore inépuisable et inégalable!...

 

Anny Daveio/Marcelli (Alger/Marseille)

24/05/2006 09:38

je ne suivais pas les cours de danse, mais j'avais 2 amies, 2 soeurs, Annie et Hélène Martelli, qui y allaient. J'habitais l'Algéria et du jardin je les regardais. Jusqu'à l'interdiction d'entrer dans ce jardin!!!! où sont-elles? amicalement

 

Lévy georges (Alger (1938-1962). Israel (2006))

23/05/2006 20:30

Gudrun Mautule était un nom fort connu à Alger de celles qui s'essayaient à la danse classique. Plié, relevé et sur la pointe des pieds tout s'est envolé.

 

Marie-Claire Colinet (Alger / Ecquevilly ( 78 ))

23/05/2006 18:43

Bonjour Esmma! Pour ajouter un mélomane à la liste: mon frère François avait des leçons de piano à Bab El Oued chez Madame Matarèse. Quand à moi j'essayais de suivre les recommandations d'une superbe danseuse, Gundrun Monteen (pas sure de l'orthographe!), avec un peu de mal il est vrai. Son cours était à l'Algéria ? Est ce qu' il y en a parmi nous qui faisaient de la danse chez elle ?

 

LADYX ALG 42

23/05/2006 17:20

Bonjour à tous, un petit mot pour remercier Gérald, c'est OK, le tant attendu, est arrivé ce matin même dans ma boite aux lettres!!! Je vous recommande vivement LA POSTE, elle fait des prouesses actuellement!!! Mieux: tout dernièrement, j'ai posté un "Colissimo" et il a disparu....sans laisser de traces! On ne le retrouve pas!!! Il faut le savoir, ce genre de chose peut arriver!!! MERCI Gérald!
Pour Geneviève: les mélomanes il y en a, mais ce sont des timides... ils ne se dévoilent pas ... puisqu'en principe nous le sommes tous, même si certains ou certaines n'ont pas eu leur prof particulier, ou fréquenté les Beaux Arts...à ce sujet, c'était un calvaire que d'attendre son tour, pour ne passer que dix minutes avec les profs, et encore!, on avait intérêt à savoir son morceau!Sinon OUPS....à revoir! et au revoir!
Non seulement nous sommes mélomanes, mais mailoman, et mailwoman, on peut le mettre aussi au pluriel, mais la barbe!! Bien amicalement votre!@plus! LADY!

RE3PONSE : chère Lady, puis-te demander comme à Marie de bien vouloir conserver l'enveloppe, et me la retourner. D'avance, merci (je ne vais pas laisser passer une si belle occasion de mettre à la "nouvelle" poste son nez dans sa banque postale!)

 

Lucie Durbec (pennes mirabeau)

23/05/2006 16:47

Abordés dans la rue par Messibah Aissa. Il nous a confiés une mission. Il souhaite vivement entrer en contact avec les anciens occupants du 54, rue Marat, Mouradia
maison qu'il occupe lui même actuellement. Lui répondre au 53, rue Hales Suid(?), mouradia. Promesse tenue. Mission accomplie. Merci pour lui. Coucou aux voyageurs bateau du 6 mai

 

Gérald

23/05/2006 16:33

Message pour Marie : je ne sais si vous avez reçu mon mot concernant mon envoi des copies de L'Echo d'Alger. Je vous disais que, si vous ne l'avez pas jetée, puis-je vous demander de garder l'enveloppe de mon envoi ?
Et de me la scanner, ou, mieux, de me la renvoyer ? Pour préparer ma réclamation auprès des Postes. 17 jours pour acheminer un pli en France, c'est un record. Merci. Bien à vous et à votre maman, Gérald

 

CABRERA joseph (ALGER/MONACO)

23/05/2006 16:06

Salut Gil, j'ai reçu ton email "perso". En effet, j'ai connu ton oncle René ARNOLD, au 4 rue Barbès. Je me souviens parfaitement de sa femme et de leurs deux anfants. Cela me rajeunit d'un demi siècle! Je vois que mon épouse, Andrée, a permis, en évoquant Melle et M. Wannier, professeurs de musique, 14 Bd V. Hugo, à d'assez nombreux "mélomanes" de se trouver. Tant mieux! Je suis étonné du silence de Jean-Jean. N'accepte-t-il de répondre que par l'intermédiaire du "Livre d'Or d'Es'MMA" ? Je suis heureux d'avoir eu autant de contacts, dont Ph. Jollivet. Merci à tous et à bientôt.

 

Danièle Roussel-Sterkers (Paris)

23/05/2006 15:56

A propos du couronnement de la Vierge à Saint-Charles, effectivement ce rôle était dévolu quasi exclusivement aux "bons éléments" de Fénelon: Mlle Vella, prof d'instruction religieuse (qu'enfant je prenais pour "la femme du curé" ) y veillait jalousement. Ma soeur a eu cet honneur mais moi, je n'étais plus à Fénelon à l'époque de ma communion solennelle et, devenue "estrangère", je n'y ai donc pas eu droit !
Encore quelques adresses rue Hoche : après la tribu "Petit frère" (comment s'appelait leur boutique?) une boucherie chevaline et un épicier, "Tiazet", chez lequel je m'approvisionnais en bananes séchées pour mes 4 heures en période de guerre (39-45).

 

chantal duran (paris)

23/05/2006 14:46

Je remercie toutes les personnes qui me renseigneront:
existe t-il un enregistrement sonore de la pièce de Geneviève BAILAC "la famille HERNANDEZ"? Bravo pour votre site. Amitiés. Chantal

 

Geneviève BORDIER 1942 (Rue Denfert-Rochereau / Gard)

23/05/2006 14:12

A Jacqueline de Rome : il semble que tu craignais qu'il n'y ait pas de mélomanes dans les colonnes d'Es'mma. Tu sais, j'ai eu la même crainte que toi, car lorsque j'ai parlé de ma prof de piano Mme Gajan, qui habitait l'immeuble à côté du mien: 46 rue Denfert-Rochereau, cela n'a soulevé aucune réaction. Je pense que si nos parlions en général de nos études musicales, nous serions surpris de constater que tous nous avions eu des cours en classe (ce qui n'est plus le cas de nos jours). Ainsi lorsque j'ai évoqué Melle Goujon, son dentier, sa perruque etc... beaucoup ont manifesté, se souvenant de la Marseillaise qu'elle nous faisait répéter à longueur d'année, l'Hymne à la joie, le chant du départ, la berceuse de Mozart, et les séances de pipeau, force est de reconnaître que nous sommes nombreux à avoir au moins eu une initiation à la musique.
Ma mère jouait du piano d'une assez grande qualité d'ailleurs, et sa jeune soeur du violon alto, au conservatoire, où le prof. M. Moëbs avait monté un orchestre "l'Accord Parfait", dans lequel elle jouait. Parfois ma tante faisait venir à la maison un collègue de l'orchestre, et avec ma mère répétaient des morceaux de musique de chambre.
Je me souviens d'être allée voir Roberto Benzi à l'Opéra, où il dirigea l'orchestre dans "Les Préludes" de Litz. Je n'ai jamais oublié ces moments d'intense émotion. Je reste une inconditionnelle de ce morceau, et de son compositeur.
Il y avait une assez grande vie culturelle à Alger. Je ne sais pas pour toi à Rome, mais je sais qu'ici, ce n'est vraiment plus pareil. Nos enfants ont eu des prof de musique, que je sache ce n'est plus le cas à l'heure actuelle.
A mon admirateur côté "pataouète": pardon, mais là, je ne peux pas !...

 

Jacqueline Simon (Rome)

23/05/2006 11:33

Pour Jacqueline et Lucien : merci de vos témoignages.. Je commençais à douter qu’il existât (!) des mélomanes parmi nous. Le choc a continué. J’ai revu la salle où nous étudions le piano et celle du solfège avec une estrade au fond où nous nous exhibions le jour de l’examen ..vous vous souvenez? Quelle trouille.. J’ai aussi un (mauvais) souvenir des dictées musicales. M. Wannier était effectivement très élégant très smart comme on dit, un nœud papillon(?) à la place de la cravate ? Est ce que je confonds? J’ai commencé en 1954 et j’ai terminé en 1962. Grâce à eux, malgré une longue interruption, j’ai continué à jouer (mal) du piano et je suis toujours au niveau de 1962. Mais j’ai encore la mémoire des mains et oui.. les exercices de Melle Wannier me permettent encore de jouer automatiquement certains morceaux appris par cœur… Jacqueline je t’envoie sur ton mail perso la photo de la couverture du livret scolaire de l’Ecole; Lucien écris moi pour me donner ton adresse e-mail. Une bouffée de chaleur vient me rappeler mon enfance/adolescence..un grand merci à vous.
Ps: un petit salut à Jacques Prat.. il ne me répond pas.. tout va bien j'espère.

 

DROUHARD Jean Claude(1947)Alger-Chenove (21300-Chenove)

23/05/2006 10:30

Bonjour à tous(tes) ...je reprends contact avec tout le monde ... après une absence due à quelques petits soucis... mais je consultais toujours ESMMA ... chaque jour !!!... et plutot 2 fois qu'une ... et je tiens à remercier Yves Jalabert et René POIREL (bien que je l'aie déja fait personnelement envers les intéressés ...) pour les photos qu'ils m'ont faites parvenir de "ma" rue du Languedoc... prises en Avril et Mai 06... lors de leurs périples Algérois !!!... les Veinards !!!... et comme j'aimerais me joindre à vous !!... ( mais pour le prochain ...peut-être !!... si je le peux !!) .
Petit clin d'oeil à Jacques TESTE !!: Alors cette fois ça y est !!! Elles sont là et bien là ... les photos de "notre" impasse... longuement évoquées lors de nos échanges @mails !!!... et elle n'a pas (peu) changé ... comme tu le soulignes !!.. il n'y manque que les billes et les noyaux... et on s'y croirait !!!...
Je vois... et je constate ... avec toujours plus d'intéret... et d'émotion qu'ESMMA ne cesse de "Grandir" au fil des jours : auteurs de + en + nombreux, richesse des souvenirs et des détails (la rue Clauzel de Georges est un "modèle" de richesse et d'émotion ... chapeau !! ... l'auteur !!....); l'exactitude et la précision des détails évoqués me laisse pantois (commerçants de la rue Hoche .... Bld Victor Hugo...) mais comment faites vous tous(tes) pour avoir une telle richesse de mémoire... ( je bats ma coulpe!!... J'en suis et je l'avoue humblement INCAPABLE !!!!) enfin j'ai pu constater que Geneviève a toujours sa Verve inimitable et irremplaçable et je me délecte toujours autant de sa Prose !!!... (surtout qu'elle ne change rien !!... c'est trop bien ... dis !!... )
Gérald (et Raphael ) et tant pis si ta modestie doit encore en souffrir... tu (vous ) peux (pouvez) vraiment etre fier(s) de ton (votre) BéBé ESMMA.... chaque jour et chaque message nous le confirment un peu plus!!! à très bientot à tous et à toutes.

 

mas marie rose- 1944 (alger- belcourt- hamma marine)

22/05/2006 21:36

Bonsoir jean-jean. J'ai essayé de vous contacter mais malheureusement ça ne marche pas. Depuis peu je me suis connectée à ce site grâce a un ami d'enfance, je voudrais retrouver mes amies d'école de 57:58 et je pense que vous pourrez m'aider??? Peut etre avez vous une autre adresse de messagerie ? Merci de me la communiquer. A bientot peut être ?

REPONSE : mais si, Marie-Rose, ça marche ! Allez, y'a plus qu'à recommencer pareil, en nous donnant les quelques précisions un peu indispensables. Le nom de l'école par exemple... Allez, à tout de suite !

 

Jacqueline BALDO (La Seyne sur Mer.)

22/05/2006 20:42

A Jacqueline et Lucien, moi aussi j'ai connu l'école de musique de M et Mlle VANIER pour avoir suivi des années 53 à 58 du CP au CSup. Ce professeur m'a fait comprendre et aimé le solfége, et Mlle Vanier au piano, passait son temps à compter les temps, j'en garde encore d'excellents souvenirs et encore maintenant je déchiffre toujours les morceaux.

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

22/05/2006 20:03

à Staletti, bien que dingue du velo, je m'interessais aussi aux autres sports, je crois que la traversée du port a été gagnée une fois par un unijambiste, dont je ne me souviens pas du nom. J'avais sa photo mais je ne sais pas ou elle se trouve, dommage, à plus Jeanjean

 

marie de bab el oued

22/05/2006 19:49

Comment vous remercier oh grands génies que vous êtes ? J'ai reçu mon Echo d'Alger comme vous me l'aviez promis. Quelle émotion. Je vous remercie du plus profond de mon coeur. A mon tour de respecter ma promesse : des chocolats ne vont pas tarder .....hénormes bisous. et encore mille mercis.

REPONSE : ben... On est contents que tu sois contente, petite. Nous aussi on t'embrasse. Des fois on est un peu longs... mais on finit toujours par tenir nos promesses. Si on veut bien nous en laisser le temps. Donc, merci aussi à toi de nous avoir cru, hein ?

 

Marie-José Rachou (LOPEZ) 1946 (Alger/Gard)

22/05/2006 19:28

Mais si, Geneviève en voila une de Fenelon. J'ai suivi ma scolarité dans ce cours privé jusqu'en 6 ème, puis après Delacroix. Mais je me fais toute petite, car je dois un petit texte sur Fenelon à Gérald, et oualou!. Il était une fois... et ma foi ça fait pas mal de fois que je remets mon ouvrage!!! ... Donc j'espère que le GDLLDB ne m'en veut pas trop.
Mais chose promise... je vais profiter de mes quelques jours de congé fin mai pour m'y mettre!
Pour le couronnement de la Vierge, je ne me souviens pas trop, mais les orgues de St Charles étaient tenues par mon prof de piano Mme Reine Forfert-Souillard, pour les messes du dimanche et pour les autres cérémonies. Un jour, elle m'avait d'ailleurs amenée là-haut, où on dominait toute la nef. Et m'avait montré le maniement de l'instrument, virtuosité des mains mais aussi des pieds, sans se mélanger les pédales....! J'étais fascinée! J'entends encore le petit prélude de Bach. Elle était adorable et professait aussi à Fenelon.
REPONSE : mais non, Marie-José, le GDLLDB y t'en veut pas. Au contraire ! Comment ça, au contraire ? Je t'explique... Compte-tenu du retard abyssal que j'ai avec tous les écrans à mettre encore en ligne avec les documents que les uns et les autres vous avez envoyés, + les kémias de mai qu'elles sont pas encore finies, mais oui, mais oui, je suis content que ceux qui nous doivent encore des communications, ils ne nous les aient pas encore envoyées ! Sinon, je serais comme Omar Sharif dans le siilo à grains, enterré sous le boulot en retard et la confusion. Mais bon, faudrait pas encore trop tarder, les générations futures attendent, tu peux envoyer ton topo, mais dans pas plus de 10-20 ans. Après, on sera déjà un peu moins vifs. GDLLDB

 

donnart (villejuif 94800)

22/05/2006 19:10

Suite du premier message:
Mais une chose me tient à coeur, je me fais le témoin de l'entretien du cimetière du bd Bru, je le dis solennellement que ce cimetière "chrétien" est très bien entretenu à ce jour, pour preuve, les photos prises le 17/05/2006, je me suis entretenu avec le gardien qui m'a déclaré avoir en sa possession quelques registres des décès (dates et emplacements) et qu'il les tenait à disposition.
Finalement, l'amour des gens de ce pays est resté intact avec nous autres Pieds-Noirs. Bon, voilà en vrac mon témoignage et je dis à mon ami Réné Blanco: "Vas-y vite dans le prochain voyage de Jalabert, et surtout, prends des mouchoirs! Amicalement, un PN heureux, Jean-Pierre.
PS: Comment envoyer 3 ou 4 photos du cimetière bd Bru?

 

donnart (villejuif 94800)

22/05/2006 18:43

Voilà c'est fait. Je suis retourné dans notre pays où je n'ai pas mis les pieds depuis 45 ans. La première sensation forte que j'ai eu, c'est quand j'ai posé les pieds sur le sol de l'aéroport de Maison-Blanche (Boumédienne), deuxième sensation, le monde et les voitures qui s'entrecroisent de partout, aucune limite du code de la route ou de bonne conduite. J'ai retrouvé mon quartier"clos salembier" alors là, quel choc, à tomber le cul par terre. Tous les gens qui avaient mon âge à l'époque, et bien, purée! mais c'est pas possible, ils m'ont tous reconnu, je passe les embrassades, les larmes... Mais unanimement, ils m'ont tous dit: "Tu es chez toi ici". Ah!!!...Mon coeur, il battait à plus de cent trente, tant pis la limitation de vitesse, mais quelle joie immense!!! jusqu'à se chamailler pour savoir chez qui j'allais manger, boire le thé... C'était indescriptible, surtout quand j'ai vu ma maison, ma rue, les magasins, enfin! Tout y était. Je me suis promené dans la rue Michelet, rue d'Isly, le tunnel des facultés, chemin fontaine bleue, la maison-bateau historique pour ceux qui l'ont connue. Je ne peux qu'encourager ceux qui hésitent encore à y aller, je n'ai qu'une chose à leur dire: "Courez, volez, vous regretterez de ne pas y etre allé avant!!!"
suite dans le deuxième message...

 

Danièle Roussel-Sterkers (Paris 75001)

22/05/2006 17:21

A l'intention de J.L. Femenias : Ah oui, les patins à roulettes sur le boulevard Victor Hugo parlons-en ! j'ai été, en 61, cueillie en plein envol des 3 denières marches de mon immeuble par Richard Portier, le plus jeune fils du Docteur et projetée violemment en arrière sur le marbre de l'entrée = j'en ai vu 36 chandelles... 1 minute plus tard, je reprenais mon envol (prudent néanmoins). Ce serait maintenant, le Samu immédiatement appelé m'aurait prestement amenée à l'hopital pour scanner, observation etc.. A la reflexion, il m'en reste peut-être quelquechose de cette chute sur la tête!?

 

STALETTI (Aix-en-Provence)

22/05/2006 17:14

A GIL. La traversée du port d' Alger à la nage se déroulait à Noêl et à Pâques. Départ du ponton d' un chaland au milieu du port, et arrivée sur le quai. La distance devait être d'environ 400 mètres.
J' ai participé 3 fois à ce challenge et j 'ai vu gagné VIANE de l'ASM, MILLION de Bridja-Sport, KAMOUN des GLEA, ALIZART de l' ASM, et bien sûr mon ami Jean-Pascal CURTILLET que j'ai retrouvé plus tard à Marseille et trop tôt disparu. Cordialement Jean-Philippe.

 

Danièle Roussel-Sterkers (Paris)

22/05/2006 16:52

Bonjour Andrée, Je viens de lire votre message "spéciale dédicace": nous étions voisines et nos souvenirs du quartier se ressemblent sûrement beaucoup. J'avais oublié le nom de la "belle" maison de couture J. Deteix. Je viens d'évoquer le prof d'EP (LAYE) dans un message récent, en revanche, je je vois pas qui étaitent M. et Mme Féménias et leur fils Jean-Louis ??? Les noms de l'immeuble: Portier, Castel, Soler, Rochas, Ballesteros, Perillat, Roussel, Maire,Chatel, Maurin, Van de Walle, Laye, Duchêne-Marullaz ..(mince, il m'en manque !??). Ah, une anecdote en passant : je suis de l'an 40 (misère de moi!)
@+

 

Balaguer Lucien - 1935 (HdeS)

22/05/2006 15:45

Oui Jacqueline, j'ai appris le solfège et le piano dans cette Ecole de Musique, dirigée par M. et Melle WANIER. Lui me fait en core penser à Louis Jouvet (doct. Knock), il me semble qu'il portait des bésicles et toujours en costume 3 pièces, l'air sévère, très exigeant pour le solfège. Les cours étaient dispensés avec sa soeur, une vieille demoiselle. De très bons professeurs. Ils étaient installés dans un appartement bd Victor Hugo, en entresol. Une très grande salle en entrant, avec ses fenêtres sur rue. Nous nous installions pour le solfège et il y avait des pièces attenantes pour les cours de piano et de violon. C'était pour moi les années 1950/52. Ils m'ont appris à aimer la musique et ce sont de très bons souvenirs. Amitiés

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

22/05/2006 15:24

Pour Andrée Cabrera (et les autres!) : en cas de difficultés pour réduire les photos, mettez-les telles quelles et prévenez moi, je les réduirai à la bonne taille en effectuant au besoin les retouches nécessaires (si possible) au cas où elles seraient en mauvais état, mal cadrées ou numérisées de traviole (ouais, ça existe!). Et puis, oui, l'inscription est gratuite et le site exempt de publicités : de nos jours, c'est un plus avec de surcroît l'assurance de ne jamais être parasité. N'oubliez pas non plus la possiblité d'être sur liste rouge... ni celle de poster des guetteurs d'inscriptions. Un dernier mot : ceux qui veulent modifier leurs données NE SONT JAMAIS OBLIGÉS DE SE RÉINSCRIRE!!! Il leur suffit d'accéder à leurs données et de passer en mode modification. C'est de la même façon qu'on ajoute une photo. Femt?

 

Geneviève BORDIER 1942 (rue Denfert-Rochereau / Gard)

22/05/2006 12:54

Purée Lydie ma fille !... Tu l'a cherché...tu vas l'aoir !... Alors comme ça keu'je parle pointu dessur mon répondeur ? Ah ouais ?... purée !... rien k'té jalouse na !... Alors en 53 le couronnement de la vierge à St Charles ? Mais c'est du côté de Fénelon qu'il faut chercher ma Caille ! J'en suis absolument certaine. Fénelon, une école dont, ceci dit entre parenthèses, nous n'avons aucune ressortissante je crois dans les colonnes d'Es'mma. Nous à Ste Marcienne, à Tirman et autres écoles, nous pouvions toujours attendre !... A la limite il nous était attribué pour récompenser nos mérites, la dernière marche en haut, mais pas l'ultime plate-forme pour le couronnement. Elles étaient deux d'ailleurs à tenir la couronne. Chers amis, il faut que je vous dise, mais le jour du piknik des sudistes, Régine et moi avons chanté en choeur ce que les deux "heureuses" chantaient seules, bras tendu au-dessus de la tête de la statut. C'était hier. Et hier, au caté comme ailleurs, je n'avais pas les meilleures notes. Donc j'étais loin (comme Régine) de pouvoir gravir ne serait-ce que la première marche en bas du praticable !...
Paul Volant la brune, Lina Clarin la blonde, furent effectivement les danseuses étoiles du cours de danse classique de Melle Keth, aux Beaux Arts et au Conservatoire, dont je n'étais qu'une très modeste danseuse, handicapée par ma grande taille. Je n'oublie pas Yvette Bela et André Meunier qui se marièrent plus tard.
Allez tout le monde le 18 à La Ciotat. Nous comptons sur la présence des "nordistes", notre Jaja, et toi cher GDLLDB !... hein ?. Chouff, si vous venez pas, ma parole... on va vous chercher. Ouala !

 

danièle Roussel-Sterkers (Paris)

22/05/2006 12:02

Bon, alors je viens de parcourir 6 pages du livre d'Or et basta : j'en peu plus! C'est le trop plein, je déborde d'émotion... J'en garde pour demain (qu'est-ce que je vais pas encore me régaler à pleurer !) En attendant, j'ajoute mes petits grains de sel de mémoire sur le quartier Hoche : dans mon 1er message, je me suis trompée de boulangerie, la mienne était Sempéré (dont j'atteste, les figues en pâte d'amandes restent pour moi les meilleures du monde et puisqu'on est dans la patisserie, Danielle Ferra, moi, ma grand mère appelait les palmiers des "oreilles de prussiens" et tant qu'on y est ah! les beignets à la crème de Devesa! ah! les croissants aux pignons de Calabuig, ah! les beignets de la rue Meissonnier). Trêve de gourmandise... Quelques autres boutiques en remontant la rue Hoche vers la rue michelet : à droite, la mercerie avec 3 notes de musique "LA RE DO" (en fait le nom du propriétaire était Laredo, fallait y penser!) en face, une maroquinerie (avec des petits porte-monnaie à crever ; sur le trottoir de gauche, la crèmerie de Madame Périssol (chère!) face au fleuriste qui se trouvait sous la rotonde à l'angle de la rue Edgard Quinet et, plus haut, presque arrivé à la rue Michelet, un disquaire pour abreuver nos Tepaz... La suite au prochain numéro.
Il est tard tard : Bonsoir.

 

Jean-Louis Féménias (1945) (Alger/Nice)

22/05/2006 12:00

A Andrée Cabrera-Garguilo et Daniele Roussel-Sterkers: Ce n'est pas tout à fait ça. Avec mes parents, nous avons "toujours" (sic) habité au 3, rue Pierre Desseigne, 5e étage, 2 pièces sur cours (nous étions sur le meême palier que l'institut de beauté Jeanne Gatineau tenu par feue Madame Rose Onorato dont je garde un souvenir merveilleux et qui est décédée à Salernes-Var). La partie centrale du Boulevard Victor Hugo (voir plan sur l'écran "Le Promeneur de la rue Clauzel" de Georges Salessy), du 12 au 16, aménagée presque comme un jardin public avec des bancs et ombragée par des ficus, était la moins pentue des trois. C'était mon terrain de jeux jusqu'à environ 10 ans (entrée en 6e à Gautier): essentiellement patins à roulettes. Les deux autres parties (en haut, vers Michelet, et en bas, vers Sadi-Carnot) étaient réservées aux sportifs de haut niveau. Au 12, sauf erreur, habitait en particulier le docteur Portier dont le plus jeune fils, Richard, a été épisodiquement mon compagnon de jeux. Il y avait aussi Monsieur Laye, professeur de gym à Gautier, qui y avait ouvert une salle de sport. En remontant, avant le 14 il y avait l'entrée du garage de Monsieur Ségura, garage avec une autre entrée rue Pierre Desseigne, très amusant quand on est gosse; les mécanos graissaient les roulettes de mes patins. Après le 14, le 16 était une des 3 entrées de l'immeuble "neuf" (vers 1950) qui abritait, entre autres, la boutique Jeanne Deteix au coin de Denfert-Rochereau face à Fénelon, les autres entrées étant au 5, rue Pierre Desseigne et au 27 rue Denfert-Rochereau. Le docteur Gardel (le père de l'écrivain) y avait son cabinet (il m'a opéré des amygdales vers 53); en juin 62 on était sur le même bateau (Ville de Bordeaux: même pas un bateau de chez nous!). Tout cela sous réserve de fidèle mémoire.

 

danièle Roussel-Sterkers (Paris)

22/05/2006 11:54

Bonjour, Faisant suite au message que j'ai laissé hier dans le Livre d'Or Quelqu'un m'a envoyé un message sur ma BAL mais hélas " pffft "..je l'ai éffacé sans l'avoir lu d'une manip malheureuse, il me semble avoir aperçu le nom de Filhol??? Il me semble aussi qu'elle me demandait où était situé le 12 bd Victor Hugo à Alger : Immeuble faisant l'angle avec la rue Clauzel et le Bd (il y avait au 12 un prof de gym bien connu des jeunes algérois de l'époque M.LAYE et, en face de mes balcons, une villa résidence d'officiers)
Serait-il possible de la re-contacter ou qu'elle me re-contacte???
Danièle Roussel ép.Sterkers. Anciennement : 12 , Bd Victor Hugo - Alger. Actuellement à Paris (ou dans l'Eure)

 

jacqueline (1948) (ROME)

22/05/2006 10:50

Andrée !!!! ça y est quelqu’un a répondu à mon message sur l’Ecole de Musique du Bd. Victor Hugo ! mais c’est bien sur ...M et Melle Wannier. Votre indication de l’entresol m’a fait avoir tout de suite un flash …et je revois très bien l’entrée de votre immeuble: un autre morceau de puzzle a été mis en place dans ma petite tête.. N’y a-t-il donc personne parmi vous qui ait suivi leurs cours ?? Merci encore Andrée d’avoir empêché à mes neurones de se bloquer.. Bonne journée

 

Andrée Cabrera- Garguilo (Monaco)

22/05/2006 09:45

Jean-Jean, excusez-moi de ne pas vous dire "Monsieur"... étant donné que nous sommes de vieilles connaissances!!! Nous allons essayer de vous faire plaisir, en ce qui concerne les photos, car, maintenant il va nous falloir chercher dans nos "archives" des photos de jeunesse.
Il faut d'abord que l'on sache comment s'y prendre et réduire leur format, car celle à laquelle je pense est grande.
J'ai dit à notre ami Luc Demarchi (ça ce prononce : Demarqui) de s'inscrire dans l'annuaire P.N.
Je suis très fière d'avoir, comme une grande, découvert le site Es'mma
dans lequel je prends plaisir à lire tous ses message, les votres de Belcourt et ceux de Danielle Ferra, de la rue Hoche (que je salue au passage) où j'ai habité après avoir quitté Belcourt.
Allez-vous venir à la Ciotat (méchoui) ou à Uzès (rassemblement national des Enfants de l'Algérois) ? J'aimerais savoir si Es'mma sera présente.
Et voilà! A bientôt, avec toutes mes amitiés. Andrée du 94 rue de Lyon, Belcourt.

 

Andrée Cabrera-Garguilo (Monaco)

22/05/2006 09:29

A Danièle ROUSSEL-STERKERS. Je viens de lire votre message dans le Livre dOr d'Es'mma. Avant d'élire domicilée 4, rue Barbès, j'habitais au 14 Bd V. Hugo. Tous les commerçants cités, je les ai connus aussi.
Dans mon immeuble, à l'entre-sol, il y avait l'école de musique tenue par les frère et soeur Wannier. Après le 14, en montant le Bd V. Hugo, il y avait la maison de couture "Jeanne Deteix".
Dans votre immeuble il y avait M. et Mme Féménias et leur fils Jean-Louis, dont j'ai lu un ou des messages. Il y avait aussi un couple, dont le mari était professeur d'E.P. des lycées et leurs 2 grands enfants
1 fille et un garçon qui fit de brillantes études (Docteur en droit) leur nom ne me revient pas en mémoire, et pourtant j'essaie de la faire travailler!!!. A bientôt, Amitiés. Andrée

 

Gil de Courbevoie (El Djezaïr / Courbevoie)

22/05/2006 09:12

Alors tous au boulot ce matin je pars 1 semaine ne me faites pas trop de lecture au retour- Françoise L.V. j'ai une parisienne d'épouse je ne l'a trouve pas "patos" du tout
-Jeanjean il faut préciser que s'inscrire sur repertoirepn c'est G.R.A.T.U.I.T. et de nos jours c'est appréciable
-Allez un SOUV. la traversée du port d'Alger a quelle époque se faisait elle et qui l'a souvent remportée Tous a vos vieux journaux BYEBYE de GILOU

 

Guy Verdier (Alger/La Seyne sur mer)

22/05/2006 08:58

Pour revenir aux documents de M6, j'ai hésité à regarder l'émission pour ne pas gacher les sentiments que je viens de ressentir aprés notre voyage d'Avril... J'ai quand même regardé... Les documents qui nous ont été présentés l'ont été avec malgré tout une certaine objectivité... Maintenant ceux qui ont filmé à cette epoque l'ont fait avec comme tous l'envie de souvenirs de bons moments en famille, sans penser à l'Histoire... J'ai par devers moi des films en 9,5 m/m venant de beaux-parents et montrant Alger dans les Années 30... Souvenirs de famille là-encore, qui n'avaient pas d'autres prétentions.. Il s'agit de films tournés avec une caméra Pathé Baby 9,5.... Nous avons toujours cette caméra avec 2 magasins à films et elle fonctionne ... Personnellement je me suis payé une caméra Kodak Brownie 8m/m.. J'etais miltaire et mon premier film en noir et blanc a été tourné pour une "Paella" familiale chez mon oncle à Surcouf.... Et c'était le 3 Septembre 1961.... Le film est bien sûr, muet, mais lorsqu'il nous arrive de le projeter, la date , les noms des personnes qui ont depuis pour la grande majorité disparus sont toujours là, vivantes, et c'est un moment de bonheur... Souvenirs , souvenirs.... Bonne journée à Tous... J'ai passé un Email à Lydie de La Ciotat pour le méchoui... L'avez vous reçu???

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

21/05/2006 23:41

Bravo Jean-Jean! Tu bats le rappel des endormis (ou des ignorants ou des insouciants, ce qui donne le même résultat) pour qu'il s'inscrivent. Je me suis permis d'apporter quelques retouches aux photos déposées dans les données pour qu'elle soient un peu plus présentables : bien orientées et aux bonnes dimensions. À propos de ces dernières, ce serait bien de ne pas mettre de photos de groupes, qui plus est sans aucune indication : c'est comment qu'on va vous reconnaître dans le tas? En plus, comme on s'attend à voir une photo d'époque, il faut éviter d'en mettre avec notre trombine actuelle que même aec plein de marc de café ou de boules de cristal, on pourrait pas nous reconnaître.
Pour Sylvain Zenouda : le boulanger de la rue Barra, c'était Llorca. J'habitais la porte à côté, au 11.

 

daniele Roussel-Sterkers (Paris/ France)

21/05/2006 23:23

Bonsoir, je viens de lien en lien de découvrir ce site et je voudrais dire merci à Georges Salessy pour la balade dans mon quartier : j'habitais au 12, boulevard Victor Hugo. Mes parents y habitaient déjà quand je suis née en 1940. Combien de fois m'est-il arrivé de parcourir en rêve les rues de "mon quartier"? Mes Grands parents habitaient, eux, rue Edgar Quinet. Pour moi aussi, Salah était mon épicier, Mle Leblois ma buraliste, Perez mon boulanger (mais aussi Calabuig pour ses couronnes des rois pralinées). Le papetier-libraire se nommait Ferrari. Quant au magasin d'articles de dessin, j'ai bavé des années devant sa vitrine à la vue de ses boîtes de Caran d'Ache et ses stylos marbrés. Il ne fait pas froid, pas chaud non plus, il est tard, je ne suis plus dans l'Eure.. Je suis là-bas.

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

21/05/2006 20:23

à Luc Demarchi De Belcourt d'Alger, c'est super ce que tu ecris sur le 9' de la rue de Lyon, mais voilà je n'arrive pas à mettre une tête là-dessus, il serait encore plus super si tu t'inscrivais dans le répertoire avec une photo de toi, même si tu es moche on ne te dira rien, regarde moi à la lettre L en plus c'est une photo de chez Rolando. C'est facile en haut des annonces tu as avisss et la ligne au dessus tu lis Jaques Abbonato et repertoirepn.net, et tu suis tout ce que te dit de faire Jacques, tu peux même dire au couple Cabrera-Garguilo de le faire aussi, comme ça on va tous se reconnaître, et s'il y a d'autres amis de Belcourt c'est pareil, plus on est plus on rigole (enfin des fois pas toujours) j'espere que vous allez nous faire ce ptit plaisir, car on doit sûrement se connaitre. A plus Jeanjean de Belcourt

 

Anne-Marie Lafon-Jory (1944) (Lyon/Alger-Le Hamma)

21/05/2006 19:48

Help ! Qui aurait connu Jeannette et Michel Dutel qui habitaient Le Golf ? Je lance cet avis de recherche de la part de la famille Saci qui souhaiterait avoir de leurs nouvelles. D'avance un grand merci.

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

21/05/2006 18:25

Je n'ai pas eu la chance de filmer les Halles d'Alger, telles que Jean-Jean Llorens les a connues. Mais, en hommage à ce "Fort des Halles" et à ses souvenirs si précis, voici un documentaire sur les anciennes Halles de Paris, qui ont bien des points communs avec celles d'Alger, (moins l'accent, mais c'est un film muet !!). Le Ventre de Paris, tel qu'Emile Zola avait dénommé cet endroit coloré, devait etre un peu semblable à celui de Belcourt, avec tout ce que cela comporte: les odeurs, les couleurs les peines et les joies du travail.

 

Gil (ALGER/COURBEVOIE)

21/05/2006 18:15

Bon dimanche à tous : ce qui suit n'est pas un SOUV. mais datant d'hier, à la remise des diplômes de fin d'études de mon dernier fils le pole universitaire lui a offert un exemplaire du WHO' WHO IN FRANCE je l'ai feuilleté aussitot 1ère page ABBAS photogaphe études lycée Gauthier Alger, 2éme page ABBOU né à Oran, ABDESSELAM né à El Biar, ABECASSIS né à Alger .... ma parole y sont partout ces PN---
Jeanjean qu'est ce que c'est rouge "chaussette" ?? mais surement que si elle était là cette voiture c'était celle de ton papa--
ODILE j'ai déja écrit qu'il fallait relire les Kemias c'est extra (BRUA est super en écrit ou en dessin) j'ai envoyé un "courriel" sur ta boite bien recu??
GGDLLDB désolé que mon trajet maison école par la rue clauzel n'a évoqué des SOUV. que chez les FERRA frère et soeur peut étre à d'autres mais ils ne se sont pas manifesté
Et alors é oilà Courage pour ceux qui vont au boulot demain GILOU

 

zenouda sylvain chlomik (paris)

21/05/2006 16:23

Bonjour à tous. Merci à Yves pour ces belles photos de "MA" rue, la rue Linvingstone,
je l'avais gardée bien plus grande, bien plus large, un peu comme cette avenue à Paris; oui c'est ça:.. les Champs-Elysées. Merci à Yves car j'ai pu reconstituer quelques morceaux de ma mémoire, de notre mémoire en fuite. J'ai pu revoir le salon de Martial notre coiffeur qui fin 1960 avait acheté un fauteuil spécial pour couper les cheveux des enfants; je revois la loge de notre concierge mad Tapia, "quesqu'elle" criait celle-la quant on jouait dans les escaliers. Ces escaliers et cette entrée si fraîche lorsque l'on revenait de la fournaise du marché des Trois Horloges. J'ai revu ainsi mes voisins, Mad Paule Volant, danseuse étoile de l'Opera d'Alger, les soeurs Lévy qui ont été blessées dans l'explosion de la"corniche" où est mort le trompettiste Serror. J'ai revu Philippe, Marie-Jeanne (ma petite fiancée), Raymond, les frères Redah et le boulanger du coin de la rue Montaigne Mr Vidal.
Oui je me souviens de la petite place où nous jouions au foot avec une balle de chiffon, celle-ci régulièrent allait dans un soupirail de l'usine à papiers, ce bâtiment blanc et sobre qui faisait l'angle en face de notre boulanger. Je revois le gardien qui pensait que nous en voulions à ses gros rouleaux de papiers d'au moins 200 kgs alors que nous ne voulions que récuperer notre balle en chiffons qui ne faisait pas 100grs. Oui merci à toi Yves Jalabert pour ces cadeaux, peut-être m'as tu redonné le courage de retraverser notre belle bleue, pour aller retrouver d'autres souvenirs cachés dans nos nostalgies. Amitiés fraternelles à tous? Sylvain de Bab el Oued (l'unique ; la vraie)

 

Jacques Teste (1948) (Alger/Marseille)

21/05/2006 12:59

Un grand, grand merci à Gérald et surtout à Yves pour ces photos de l’impasse. Malgré sont petit air de Bronx elle est toujours bien d’origine et n’a pas changé. Les murs un peu plus décrépis peut être, et encore... Elle n’a jamais eu de nom et n’apparaît effectivement pas sur les plans. A l’époque cela ne gênait pas un instant notre petite bande de garnements. Elle était notre terrain de jeu et nous a permis d’aiguiser nos dents de jeunes loups. La chaîne et la borne sur laquelle on frottait nos fonds de culottes ont disparu certes, et le mur de droite où l’on déposait délicatement les tas de noyaux d’abricots parait bien délaissé. Juste devant l’avant de la voiture, le coin des tireurs de billes à genoux à même la poussière semble bien abandonné de toute agitation enfantine, plus de cris, de barouffa, et personne au balcon. L’angle de l’immeuble de gauche nous permet de voir les trois fenêtres de l’appartement de Freddy Buscaglia. Entre les deux fenêtres surplombant l’impasse, juste derrière, dans l’appartement, il y avait un meuble radio/électrophone. Je me souviens encore d’y avoir écouté le 45 tours de Jackie Seven (Viens danser le twist). Juste après les fenêtres, une double porte, grise, fermée, c’était l’arrière boutique des parents d’Albert Altarac, alors tapissiers. Albert pourra t’il nous en dire un mot, depuis son lointain Canada ? Mais c’est aussi là que le jeudi après midi nous allions regarder les émissions en noir et blanc, Zorro, Rintintin et compagnie sur un poste TV à tirelire (fallait mettre des pièces pour voir !). Tout au fond tournez sur la gauche, avancez encore d’une dizaine de mètres et vous voilà devant la sortie de secours du cinéma ABC (rue Charles Vallin). Enfin à droite, au premier étage, l’angle du balcon où se tenait parfois Claudine et non Jacqueline (dérapage de mémoire), pour surveiller sa petite soeur Michèle. Souvenirs d’une grande banalité mais néanmoins décrits d’un œil humide.

 

Luc Demarchi (Lyon, jadis à Belcourt)

21/05/2006 10:35

Bonjour à tous, Bonjour dominical à Andrée si elle parcourt le livre d'Or. Pour Jeanjean Llorens, j'habitais aussi au 94 de la rue de Lyon. Juste au dessus du bureau de tabac La Civette. Et oui, la famille Camus était au 93, c'est à dire en face de l'autre coté de la rue de Lyon. Il y avait aussi la charcuterie MANO qui faisait de si bons petits patés à la saucisse... Et bien sûr le bar "Le Palais de la bière" et le photographe ROLANDO. Je possède des photos prises récemment grace à Andrée Guarguilo que je connais bien maintenant. Clin d'oeil, sur ces photos tout a changé, bien entendu, sauf... l'enseigne KODAK, situé jadis au dessus du photographe. Les lettres ont disparu mais l'enseigne est encore là... le passé fait de la résistance... Luc Demarchi.

 

Jacqueline Atlan(Vuillermet)-Lyon (Lyon)

21/05/2006 00:45

A Anne-Marie Riera et Catherine Soler, j'ai eubeaucoup de plaisir à vous reconnaître
sur les photos et plein d'images sont revenues à ma mémoire, de cette époque bénie de notre enfance, un grand souffle de gaité.
A ChristianeBrouillet, je ne te reconnais pas sur les photos de CM2. Etais- tu en CM2B avec Jacqueline Lévy? Moi j'étais en CM2A, avec AM Riera, C Soler, Claudine Chouraqui...
Jacqueline habite Nice, je lui ai fait connaître le site, je lui parlerai de toi, c'est promis. Tu la reconnaitras aussi sur la photo de Delacroix en 5ème.
A Jacqueline deRome, je n'étais pas dans la même classe que toi; les seules photos, celles de la classe de 5ème, qui sont sur le site te montrent en B2 et moi en B3, mais j'ai tout de même l'impression de t'avoir connue, à part nos liens de parenté que nous venons de découvrir. Que de Jacqueline ces années là... nos instits devaient avoir du mal! Bises à toutes.

 

Lydie Ducceschi (La Ciotat)

20/05/2006 18:05

Voilà la suite, car je me suis mise à table et voilà le résultat, tout ne peut pas être contenu dans l'espace qui nous est imparti. Donc, je demandais qui avait couronné la vierge en 1953 à St Charles, non pas moi bien entendu, il fallait avoir été d'une conduite exemplaire durant l'année à Ste Marcienne et c'est ainsi que je me retrouvais avec les grenouilles de bénitier au fond de l'église ..donc vous imaginez. Je pense que Francine Corbeil a eu le privilège du podium avec comme première dauphine ma soeur Régine et de l'autre coté "des marches" ??? alors faites travailler votre matière grise pour éclairer ma lanterne. Comment vouliez-vous que j'orchestre les bêtises des démons du fond et que j'écoute et regarde en même temps celles que je pensais "confites en religion", j'aurais dù être un peu jalouse, mais même pas, trop fière de mes prouesses, sans imaginer un seul instant la dérouillée qui m'attendait de retour à la maison. Chez les DUCCESCHI, la punition que l'on croyait suprême, c'était de manger à la cuisine avec Baya et pourtant c'était surtout être couverte par elle pour envoyer des bisous au petit voisin d'en face de la cour du 14 rue Lulli. Bon je crois encore y être, mais je ne veux pas qu'il se reconnaisse et qu'il découvre 48 ans après qu'il était mon premier amour !! que c'est beau. Ah! les choses ont bien changé, maintenant au bout d'une 1/2 heure de connaissance, on dit : "alors tu c......" et puis rose "fanée", elle a vécu ce que vivent les roses, l'espace d'une heure... , je suis fière d'avoir fait mai 68, il y avait quelquechose à défendre, maintenant on s'autorise juste d'exister, mais savez-vous pourquoi ? Alors tout simplement pour se retrouver en plus grand nombre au méchoui, car Yves va nous amener les Nordistes, qui parlent comme Geneviève sur son répondeur... vachement pointu. Salut à tous, j'ai le fou rire en imaginant la tête de Geneviève lundi matin quand elle lira ce message !! Je vais dérouiller.

 

Lydie DUCCESCHI/Kamert (La Ciotat/Alger)

20/05/2006 17:10

Voilà chers amis quelques précisions pour le méchoui du 18 à la Ciotat. Bien que je n'ai pas encore toutes les réponses, je peux déjà comptabiliser 24 (voire 26), participants et parmi eux quelques volontaires pour tourner la bête ...A bientôt pour la suite.
Pour parler des Galeries de France, qui se souvient du théâtre Guignol des Noël, au sous-sol ? N'était-ce pas magnifique ? Je me souviens des escaliers recouverts de cuir, je crois marron, que nous empruntions pour y accéder. Les goûters aussi et, tenez-vous bien, tout cela était gratuit, tout comme ici d'ailleurs !!! Où les enfants ne comprennent pas pourquoi, ils ne peuvent .. non pas cela !!! Roberto Benzi était venu nous enchanter et c'étaient nos mamy qui nous accompagnaient. Moi, le souvenir est intact, tout comme celui du jour où je me suis installée au volant d'un petite voiture à pédales au rayon des jouets, elle était rouge, et faisait du bruit sur ce plancher en bois et sans passer inaperçue, j'ai dévalé les escaliers de ces merveilleuses Galeries. Mais, il fallait attendre le passage du père Noël, en vain, aprés des bétises pareilles !!! Alors, heureusement DELAPLANTE était rue Michelet et ma grand-mère, peinée de me voir malheureuse, a prétexté un oubli du père Noël et est arrivée le lendemain, peut être, avec. Cette voiture a dû finir au Jardin Guynemer avec celles des petits chevaux... Bon fini la nostalgie, je reviendrai avec vous plus tard car j'ai beaucoup de renseignements à vous demander sur le cours Sévigné, le cours Moderne de M. Tallagrand, j'ai encore la facture de ma scolarité de 1èreM'. Je voudrais retrouver M. Zamitt, prof de Maths, mes copains, Jean-Marc Balaguer, Jean-Louis Bossa, Jean-François Saldana, Gérard Darmon etc... de cette folle année!!! Mais c'était en 62. Voilà, je voulais éviter de faire comme vous tous et de rechercher dans le passé, mais, je suis faible, l'envie est plus forte que la volonté. Qui se souvient de qui a couronné la vierge à St Charles en 19

LA SUITE LA SUITE LA SUITE LA SUITE !!!!

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER)

20/05/2006 17:01

Es'mma, pardon, c'est encore moi, c'est pour Monsieur et Madame Cabrera-Garguilo, mais plus madame car elle est de Belcourt, le 94 de la rue de Lyon, je l'ai devant moi en photo, c'est une maison de deux étages, en dessous il y avait le restaurant Faison doré, qui est devenu aprés les vêtements Gérard de Monsieur et Madame Alfred et Odette Kalifa, il y avait aussi la civette, les chaussures Roig, le Dé d'Or, qui est devenu le magasin Ricard'son et la pharmacie Dadoun, et de l'autre coté le café Royal de mde Honoré et Rolando le photographe et Ernest le chapellier, et vous étiez juste en face de la maison de Madame Camus au dessus des cent mille cravates et de la charcuterie Mano, Nous étions souvent au bar Royal avec des amis des halles, le soir jusqu'à sept heures, aprés à la maison, et à huit heures au lit, car le lendemain matin c'était à deux heures que le réveil sonnait, et là, pas question d'être fatigué, le boulot c'etait sacré. Il se peut que l'on se soit rencontré quelque fois, si vous voulez la photo je vous la ferai parvenir, ça ne me dérange pas du tout bien au contraire. Bien cordialement Jeanjean.
Je vois que vous avez fait comme moi, vous vous êtes marié avec un "étranger", moi aussi, ma femme est du Champ de Manoeuvre, enfin se sont des choses qui arrivent!!!!!!!!!

 

René Drevot (1943) (Fontvieille (13))

20/05/2006 14:20

Gérald, comme Philippe Jolivet, je veux te remercier pour ton intervention pour respecter "l'Aviss". Et la déontologie d'Esmma. Je sais que la grande majorité des intervenants et des lecteurs de notre site y adhère. D'autre part, aura-t-on le plaisir de te voir au méchoui du 18 Juin à la Ciotat ? Amitiés René


 

Yves Jalabert (1944) (RP 94 (Alger))

20/05/2006 12:43

Hello, pour J. Teste... je réponds à la place de Gérald, concernant Ton impasse, c'est moi qui ai fais les photos. Il n'y a plus de chaine, il n'y a pas de nom, il n'y en a peut être jamais eu, elle n'existe même pas sur les plans, heureusement qu'il y a les photos, pour les trous, c'est pas avec des billes, mais avec des boules de pétanques que tu peux jouer...!! A la prochaine... Yves

 

Anny Daverio/Marcelli (Alger/Marseille)

20/05/2006 12:21

.......... 98 ans.............joyeux anniversaire à Mayenne!!! La mienne aura 80 printemps en Novembre....... cela me fait du bien de m'occuper d'elle.........elle a toujours été auprès de moi dans les bons et les mauvais moments de l'existence........ amicalement à tous.

 

CABRERA -GARGUILO Andrée (Monaco 98000)

20/05/2006 11:10

Oui ! bonjour à vous tous ! Je suis l'épouse Cabréra, moi c'est Andrée. 1929, suis née à Belcourt, rue Villebois-Mareuil, j'ai fréquenté la maternelle Aumerat en 1933, puis l'école primaire Aumerat dont Melle Legendre était la Directrice.
J'aimerais bien recevoir quelques courriers, j'ai aprés habité 94,rue de Lyon. Puis mon mari et moi avons eu la chance d'habiter rue Barbès. Tout ce que raconte Ferra Danièlle, me fait revivre ces belles années, J'ai même tenu le Dépôt Boulangerie-Patisserie-Bonbons, rue Clauzel, en face du Consulat Espagnol, vous voyez comme nous sommes voisins.....Belcourt, puis la Place Hoche, rue Barbès. Vous serez les
Bienvenus, si certains de vous m'écrivent. Je suis heureuse d'avoir découvert le site " ES'MMA, et remercie tous ceux qui y participent en nous faisant revivre ces moments merveilleux. Je suis sur le site en début de matinée, et en fin de soirée, et j'y prends, beaucoup de plaisir! Grosses bises à vous tous.

 

jacques Teste (Alger/Marseille)

20/05/2006 10:28

Oh oui Gérald ....Vite les photos de l'impasse. Mais avait elle un nom? Ou bien était elle l'impasse sans nom? Est-elle toujours fermée par la chaîne? Y a t'il toujours les trous qui nous permettaient de jouer aux billes? Celà ne m'étonnerait pas!

 

LAdy X ALG 42

20/05/2006 10:11

Oui, merci GDLLDB, depuis ce reportage sur M6, que personnellement je n'ai pas regardé, justement.....pour ne pas tomber dans le piège du rabachage qui se "déchaîne"depuis....!!! on ne refait pas l'histoire, nous, nous en avons vécu une toute petite partie.....nous sommes en 2006, il faut tourner la page, sinon en remontant le cours des années, plus loin encore on peut polémiquer sans cesse, mais heureusement nous avons Es'MMA, et Paul et Mickey feraient bien de nous faire rire plutôt que de remuer sans cesse la m...alodorante histoire, et oui, que pensiez vous que j'allais écrire d'autre? Où est la liberté de chacun? Juste là ou elle ne dérange pas celle des autres... Racontons des anectotes, des souvenirs de jeunesse ce sera bien plus valorisant, surtout pour nos enfants,et petits enfants.
.../...
Un pitit proverbe qu'il est bien de chez vous...pigé? Pour ne pas dire de chez nous...:
Ce qui est passé a fui
Ce que tu espères est absent
Mais le présent est à toi.
Et aussi ce que j'avais déja mis sur le livre d'Or, il y a fort longtemps, est encore d'actualité:
Entre ce que je pense
Ce que je veux dire
Ce que je crois dire
Ce que je dis
Ce que vous voulez entendre
Ce que vous entendez
Ce que vous croyez comprendre
Ce que vous voulez comprendre
Et ce que vous comprenez,
Il y a au moins neuf possibilités de ne pas s'entendre.
Une bonne fin de semaine à tous! Yves serait-il possible de faire fissa pour les photos du dernier voyage? Merci! Comme de grands enfants que nous sommes, nous sommes très impatients!!
« La vie est un compte de faits. »
Amicalement votre! LADY!

REPONSE : My Lady, ton envoi a été posté par moi-même le 5 mai dernier (avec mon adresse en dos, au cas où...). En même temps qu'une douzaine d'autres lettres, dont le fac-simile de l'Echo de 1925 pour Marie de BEO. Certaines sont arrivées, d'autres pas encore. J'ai même eu une réclamation d'un vendeur ebay qui n'avait pas reçu son règlement, et s'est excusé depuis. Apparemment, depuis que NOTRE Poste a décidé de jouer à la "Banque Postale", les retards s'accumulent que c'en est une catastrophe. Faut pas avoir les yeux plus gros que le ventre et vouloir faire un autre métier que le sien quand on sait pas faire... Ce qui justifiera sans doute les futures privatisations et les futures augmentations de tarifs. Ceci fera peut-être réfléchir ceux qui vitupéraient contre notre service public... OUPS, pardon, ceci était un accès de mauvaise humeur, pardonnez cette remarque trop personnelle qui contrevient aux termes de l'Aviss !

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

20/05/2006 10:07

Gil mon gamin, nous voilà reparti dans les halles, dis moi la couleur de la 5cv, si elle était rouge "chaussette" c'etait celle de mon père, avant sa transformation, moi j'ai appris à conduire dans les halles , le soir après la fermeture, j'avais onze ans à l'époque, il y avait trois vitesses et la marche AR, et un bouton pour démarrer, et en route Simone, à nous les grandes ballades autour du pavillon principal, et le soir on la garait dans un coin des halles à gauche en rentrant, ça ne gênait personne, et ce ne sont pas Monsieur Momus ou Espinosa, ou Chavagnat qui nous auraient dit quelque chose, nous formions une grande famille, et tout se passait trés bien. Quant aux corbeilles en osier, c'etait de vingt cinq litres, quand il y avait de la salade ce n'etait pas trop lourd, mais avec les tomates, ou les patates, les pauvres portefaix se faisaient mal aux épaules ils se mettaient des sacs en rouleaux pour ne pas saigner, c'était Benevento et Falzon qui leurs mettaient des pansements. Car des fois ils en portaient trois à la fois pour gagner un peu plus, c'était cinq francs le colis à l'intérieur des halles et dix francs à l'extérieur, car ils y avaient des acheteurs qui se garaient loin par manque de place. C'était l'époque des "chars à bancs" comme on disait, avec les chevaux et les charretiers, si Gérald me le permet un jour je vous raconterai l'histoire d'un monsieur qui avait des calèches. Bisous à tous Jeanjean

REPONSE : un peu, qu'il permet, Gérald. Continue, Jeanjean, continue... A te lire, comme je regrette que vous ne vous soyez pas rencontrés avec notre cher Henri Garcia. Avec lui, avec Gil, avec toi, c'est que du bonheur à vous écouter raconter ce Alger que nous, partis trop tôt, on n'a pas connu. Merci Jeanjean.

 

Odile Schneider (La Redoute/Lyon)

20/05/2006 09:26

Merci à vous, GIL ARNOLD, de m'avoir fait connaître la prière d'Edmond Brua à sa terre natale : "Mère éternelle de mon éternelle enfance....". Mon ordi m'a joué des tours et j'ai perdu message et adresse e-mail. J'aimerais répondre à vos messages. AMITIES

 

Jacques Teste (Alger/Marseille)

20/05/2006 09:19

1830 - 1862 Quand l'Algérie était Française. Si comme moi votre magnetoscope a fait sa mauvaise tête mardi soir, vous pouvez retrouver le documentaire en allant sur ce site: . Cherchez la rubique M6 puis documentaires. Bien sûr il vous faudra avoir installé auparavant le logiciel P2P emule si vous désirez le télécharger. Mais attention à la loi DADVSI......

REPONSE: merci Jacques, bonjour Jacques. Yves jalabert m'a ramené d'Alger 2 photos d'une certaine impasse, que j'avais demandées spécialement pour toi, et qui devraient te faire plaisir. Je vais les mettre en ligne.

 

Philippe Jollivet

20/05/2006 07:48

Tout simplement : Merci Gérald.

REPONSE : ben... Y'a pas d'quoi.

 

ES'MMA

20/05/2006 07:32

Un message a été supprimé; à la (toute petite) minorité que ça concerne : merci de se recentrer, et de s'en tenir à la raison d'être de ce site, nos souvenirs. Encore une fois, les sempiternelles mises au point, les redites historiquement bancales, les jérémiades, les amorces de conversations de bistrot, n'ont pas leur place sur Es'mma. Et le temps passé à intervenir... c'est du temps qu'on ne passe pas à autre chose. Et c'est dommage.
Quant aux "retours", d'une part je ne vois pas pourquoi Es'mma jouerait les rabat-joie quand des Algérois y trouvent leur bonheur et l'expriment, mais d'autre part, il ne faudrait pas prendre la publication de ces témoignages pour une incitation au retour. Encore une fois, c'est une affaire trop personnelle, trop intime pour qu'on se permette d'influencer dans un sens ou dans l'autre. Quant aux dangers que peut encore représenter ce voyage (il y en a, ne nous leurrons pas), chacun est assez grand pour savoir l'évaluer, et prendre sa décision en connaissance de cause. Enfin, Es'mma n'est lié à aucune organisation touristique, simplement nous remercions ceux qui contribuent de leurs photos à "préciser" nos souvenirs tant que tout n'a pas encore changé à Alger (c'est comme ça qu'on a pu "sortir" la rue Tancrède). Et les autres qui souhaiteraient nous faire profiter de ce genre d'apports sont les bienvenus.
Sinon, quels souvenirs avez-vous des Galeries de France ? Qui a une info sur le caméra-club d'Alger ? Et merci à toi Jeanjean (et à ceux qui dialoguent avec toi) qui nous fais si bien profiter de tes souvenirs, et qui nous apporte exactement ce que moi j'espère pour Es'mma. Je dis Jeanjean parce qu'il s'exprime sur le Livre d'Or, mais heureusement, vous êtes nombreux à alimenter le site par ailleurs. T'ai-je assez dit, Georges, combien j'avais eu de plaisir à lire et mettre en page ta ballade rue Clauzel? Et ce que je viens de recevoir de nos deux Jacqueline, et récemment de Betty, et de Lydie m'a ravi (et je ne cite pas tout le monde). Merci. Et bon samedi à tous. Gérald

 

FATIHA (ALGER-PARIS)

20/05/2006 00:41

Merci à ODILE SHNEIDER, à Marie, à Christine, d'avoir eu une pensée pour moi à Alger !




 

Françoise Leroy Vendevelle (Alger Clermont-Fd)

20/05/2006 00:13

Aïe, aïe, aïe les coquillages, Yves! (message du 18 mai) Décidément, le retour à Alger-Plage, l'émission M6, et maintenant les coquillages... mes pauvres yeux, en deux mois, plus humides que la mer, ils ont été! Ces quatre grands gaillards que je n'oublierai pas. "Tiens, madame, ça c'est pour toi.... et oui: pour que tes enfants, là bas en France, ils connaissent aussi un peu de ton pays à toi!..T'y es contente?... ".... Liquéfiée! Sans voix! J'en ai encore le coeur qui bat la chamade. Cet élan! Ces yeux rivés sur moi, doutant de ma réaction... Ces secondes qui duraient... et eux qui me consolaient! Mais c'était de joie et d'émotion que... Je crois que là-bas, les jeunes de la tranche d'âge 18-30 ans, se posent beaucoup de questions. Nous avons souvent entendu cette réflexion
- "explique-moi : dis-moi c'était comment l'Algérie, avant ? c'était beau hein ici? mais vous, quand vous êtes partis? pourquoi vous êtes partis ?"...
- "la valise, ou le cercueil". Ca, ils ne savent pas vraiment que ça a existé. Mais ils savent avec certitude m'a-t-il semblé, qu'il existe des périodes politiques opaques, et des histoires qui ne sont pas l'Histoire. La nôtre sera reconnue un jour. Et ces jeunes, eux, j'espère qu'ils pourront construire leur liberté... sans oublier leurs ancêtres ni les nôtres.
Merci Yves de ce souvenir très fort chez moi, comme chez mon "patos" de mari qui est devenu PN à coup sûr. Bonne nuit à tous.

 

Gil (1932) de COURBEVOIE (91 ALGER puis 9A)

19/05/2006 23:53

André LAYANI a la parole juste quant au retour à l'apprecation de chacun. Pour moi les SOUV c'est AVANT, maintenant c'est le présent, il faut stopper cette polémique- Jean-Jean j'ai adresse un "courriel" à Cabrera de Monaco en lui parlant de ta mémoire d'élephant au niveau des SOUV des halles centrales d'alger où je jouais aussi le dimanche pendant que le papa travaillait à preparer le boulot du lundi (35 heures ou étiez vous?) Nous nous amusions à conduire une petite voiture (5 cv) pointue à l'arrière qui tressautait dans les virages je n'ai jamais su à qui elle appartenait nous nous planquions de l'autre coté de l'entrée principale ou l'on ne pouvait nous voir Beaucoup de corbeilles ont souffert de notre conduite- Tiens encore un SOUV vous rappelez vous ces corbeilles en roseau tressé sur une armature de jonc la fabrication était quelque chose de difficile car ça coupait les doigts une vraie vacherie- LEVY va sûrement trouver une photo de ces corbeilles évincées par les dérivés des hydrocarbures, cartons et palettes. ALLEZ buena noche amigos GILOU

 

Layani andré46 (94220 charenton le pont)

19/05/2006 20:02

la suite
Donc , mon oncle, modeste charpentier (encore un me direz vous) a pu ainsi avoir la satisfaction de la reussite de ses enfants. Plusieurs membre de ma famille et de nombreuses connaissances ont ainsi, par leur courage et leur travail reussi à s'elever à un meilleur niveau social, malgré un environnement et une situation plus que modeste. Que retenir de ceci, que le peuple pied noir (appelation depuis 58, avant,on n'avait ni pied, ni couleur), donc, le peuple pied noir, à l'immense majorité constitué d'ouvriers, employés, petits artisants, fonctionnaires etc....avait la particularité d'etre courageux, travailleur, attaché à sa culture d'origine sans que cela ne nuise aux autres, avait aussi le sens de l'Amitié avec un grand A, le respect de la parole donnée, le sens de la famille, bref, plein de choses en commun avec les musulmans en plus de l'attachement viceral à notre terre natale. Avec tout ceci, les Pieds noirs se sentaient plus que français et l'ont prouvé chaque fois que cela etait necessaire. Voila ce que l'on aurait du developer dans ce reportage. Peut être qu'un jour cela se fera. Pour les retours, cela reste à l'appreciation de chacun. Etre ou ne pas etre prêt, that is the question. Alors, bon retour pour les uns, peut être à notre tour un jour. Bien amicalement. André Layani.
En attendant, nous pouvons toujours nous reunir sur Es'mma
Gerald,appelle moi svp pour la ciotat.merci
pour info: Je n'ai eu ma 1ere camera que vers 1970, à Alger je n'avais qu'un modeste ultra fex, concurrent du Browni Flash de chez Kodak.

 

Jean Brua (1934) (Nice)

19/05/2006 19:42

En réponse au message de Pierre Benois : la piscine du RUA n'existe plus depuis longtemps (voir l'écran « Alger 92 »). Elle avait survécu quelques années après nous sous le nom de Ridja Club, mais, après des problèmes de structure et de canalisations, a été remplacée par des bâtiments qui doivent abriter les bureaux du dépôt d'hydrocarbures qui, lui-même, avait succédé au charbon sur le môle du même nom. Tout ça n'empêche pas la piscine du RUA d'être toujours vivante dans nos mémoires : les vieux soldats ne meurent jamais !

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

19/05/2006 19:33

A cabrera, Monsieur MOMUS n'etait pas un mandataie des halles, mais le directeur des halles, tu vas surement avoir une reponse de gil dont son papa monsieur Arnold secondait monsieur Momus dans la direction de ce grand marché, rue sadi-carnot. Quant à ses fils je ne sais pas ou ils doivent etre, je les ai tous bien connus car ils habitaient à coté des halles et nous nous amusions le soir apres la fermeture du marché , dans l'enceinte des halles. mais voila il y a bien longtemps de cela!!!!!!à plus jeanjean

 

Ferra Danielle (Paris / Alger)

19/05/2006 17:58

Bonjour à toutes et tous. Pour Simonetta, nous sommes partis, parce que nous n'avions pas le choix, ceux de notre âge, parce que nos parents partaient, et nos parents parce qu'ils n'avaient pas le choix.
La haine était à son comble entre les deux parties, ça a été la guerre totale avec toutes les horreurs dues à la guerre civile, qui comme son nom l’indique a frappé en majorité des civils.
Les temps changent, heureusement, la haine est partie pour la plupart, elle y est encore pour certains, et je ne parle pas que de ceux de notre pays. Comme vous tous, ou la grande majorité (je l'espère), je souhaite que plus aucun pays n'ait à faire face à cette haine d'où qu'elle vienne, ni aucun être humain. Bises à toutes et tous

 

cabrera 1926 (Monaco 98000)

19/05/2006 17:33

Mon épouse, née à Belcourt, m'a fait connaître Es'mma. Je suis né à Guyotville, que mes parents ont quitté pour s'installer à Bab-el-Oued, en 1927. Nous ferons figure "d'étrangers" par rapport à vous, gens d'Alger-Centre! Pas tout à fait, étant donné que nous avons habité rue Barbès, entre le Bd V. Hugo et la rue Edgard Quinet, passant par la rue Hoche. C'est ainsi que nous avons pu, grâce à Janine Sampéré, entrer en contact avec sa mère (les boulangers de la Place Hoche)!
C'est avec un immense plaisir que nous prenons connaissance, ma femme et moi, de vos messages. Quelqu'un pourrait-il me donner des nouvelles de Georges Momus, dont le père était un mandataire connu des Halles d'Alger (rue Sadi-Carnot) ?
J'aurai, je l'espère, l'occasion d'entrer en contact avec certains d'entre vous. Merci pour les bons moments passés en votre compagnie. Avec mes amitiés à toutes et tous.

 

Gil (91Alger/ 92 Courbevoie)

19/05/2006 14:14

Zélasco Paz Anita j'ai admiré ton père ! Maintenant merci et bravo pour ce merveilleux message d'hier au soir les mots sont choisis et justes. Le talent c'est héréditaires??? J'admire maintenant la fille (Nous sommes presque voisins chez les nordistes) APLUSS !!! Et toi Jeanjean qui m'appelle mon Gil, ton message clair et net est un vrai SOUV. pour tous qui étions dans le même cas (tu connais mon papa aussi bien que moi j'ai plus rien à dire) Quant à Gérald ton PS à la fin dudit message m'a brouillé les yeux (comme beaucoup de chez nous la voix est forte mais le coeur énorme) MERCI. Atchao Gilou c'est ma journée des félicitations ça va pas durer!!! Chaque "voyage" sur Es'mma me rajeunit dans quelques temps je vais remettre les culottes courtes peut-être meme les couches mais ça c'est le grand âge!!!

 

Monserrat Emile (Agen ( Ancien d'Alger ))

19/05/2006 14:01

Réponse a Simonetta. Oui bonjour, Pourquoi on est parti, a t-on voulu que nous restions, il ne faut pas oublier "la valise ou le cerceuil" Maintenant on a besoin de nous et de notre argent alors tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil.

REPONSE : Emile, c'est pas spécialement après vous que j'en ai, la preuve, je laisse encore passer ce message, mais ensuite, c'est "STOP". Es'mma est un site de souvenirs, c'est marqué là-haut, c'est sa raison d'être, je voudrais que chacun ait en tête l'article 2 de l'Aviss. Sincèrement, est-ce que c'est avec des échanges comme ça qu'on va faire avancer le site ? Merci à chacun de bien vouloir revenir à des considérations utiles et qui débouchent sur quelque chose. C'est pas un bistrot, ici !
Qu'il y ait eu en Algérie plusieurs classes sociales, y compris chez les "européens", sur le même modèle qu'en métropole, et que ces classes n'aient pas eu les mêmes intérêts, qui le contesterait ? Quant à ces "retours", chacun en pense ce qu'il en veut, c'est une affaire trop personnelle, trop grave, trop intérieure, pour qu'aucun ait la prétention de convaincre qui que ce soit de leur bien ou de leur mal-fondé!

Quant à cette émission sur M6 (que moi j'ai trouvé pas mal du tout, pour pas mal de raisons), elle aura eu un mérite certain, du point de vue d'Esmma, c'est de lancer un débat sur "qui filmait avant 1962, et avec quoi ?". André et quelques autres ont fait quelques rappels intéressants, il faudrait ajouter qu'il y avait à Alger un "caméra club", qui réunissait un certain nombre de réalisateurs amateurs, et qui chaque année décernait plusieurs récompenses aux meilleurs films. Qui aurait des tuyaux là-dessus ? Ceux qui organisaient (organisent ?) les rencontres cinématographiques du film pied-noir (je ne garantis pas l'intitulé!) auraient-ils recueilli une partie de cette production ? Bonsoir à tous. Gérald.

 

Simonetta

19/05/2006 13:43

Il me tarde de repartir chez moi en Algerie . Tout le monde il est beau tout le monde il est gentil; on vous fait des cadeaux, on vous invite à manger. Mais purée pourquoi on est parti .... bouhhhhhhhhh

 

Andre Layani 46 (94220 France)

19/05/2006 11:26

Suite au message de Lydie, je dirai, ma parole quel humour y ont ces pieds noirs! l'appel du 18 juin, ça me rappelle qquèque chose. Quoiqu'il en soit, la date, quelle est bonne. et Si Gerald descend, il m'apelle. Bon, ceci dit, au sujet de l'emission de M6, comme tout le monde, j'ai fais la même remarque au sujet des cameras. A part que, le super huit, à l'époque, n'existait pas mais il y avait le 8 mm, le 9.5mm, et pour les plus fortunés le 16 mm. La differrence du 8 et du super 8 consiste à la dimension de la perforation qui sur le 8 etait plus importante que sur le super 8. Une deuxième difference aussi concerne le presseur du film.
Celui ci etait incorporé dans la camera, contre la fenètre, et etait en acier, poli , svp m'sieur-dames . Le film etant monté sur bobine. Sur le super 8, le film etait dans un chargeur plastique, qui comprenait le presseur incorporé, en plastique çui la m'sieur dames. Ce que l'on gagnait en dimension d'image, on le perdait en qualité, à cause du presseur. D'autre part, impossible de faire de longues surimpression, tout juste de petite fondues enchainées rendues posssibles par bourrage du film. Qui dit bourrage, dit bourrage, et plus d'un cineaste amateur a du en faire l'amère expérience. Pour le contenu de l'emission, en negatif, il y a eu certains commentaires et appreciations qui n'auraient pas dus être abordés, je constate qu'encore une fois, les pieds noirs ont été representés comme des nantis, insouciants et profitant pleinement de la belle vie. Face à eux, de pauvres et malheureux musulmans . De pauvres et malheureux musulmans, il y en avait, certe, mais aussi de nombreux europeens qui vivaient dans des conditions plutots plusque modeste, entre autre pour ceux qui l'on connu, la cité de la consolation, où il ny avait ni eau, ni electricité, je revois mon cousin Charles revisant ses cours à la lueur d'une bougie,. Par son courage et sa perseverance, il a pu reussir dans la vie et a ouvert la voie à ses frères. Son Père,n'etant qu'un modeste charpentier ( en..... LA SUITE ... LA SUITE...

 

Christian Ripoll (1936) (Alger/Yvelines)

19/05/2006 09:55

A propos de l'emission de M6, il faut se rappeler le coût des cameras, projecteurs et films couleurs dans ces années 50. Faire des films n'était pas à la portée de toutes les bourses, loin s'en faut. Chez moi, il n'y en a jamais eu. Les films qui nous sont parvenus ont été tournés par ceux qui le pouvaient, ils ne montrent pas toutes les facettes de la vie de l'époque. Ceci dit, je rejoins les opinions exprimées ici, et la satisfaction d'avoir enfin vu un film qui cherche l'objectivité.

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

18/05/2006 23:03

Hello, vous tous. Vous avez pris connaissance des impressions de voyage des amis qui ont participé aux séjours d’avril et de mai. Ce qu’ils expriment, de manière sincère et émouvante, ce n’est qu’une kémia, un échantillon d’impressions et de sentiments, tout dire, tout raconter, serai trop long et surtout incroyable, il faut le vivre pour le croire. A chaque voyage je suis témoin de tant de choses merveilleuses, qu’il faudra bien qu’un jour j’écrive tout ça. L’histoire que vous a racontée Monique Morgando, avec son livre à la couverture rouge et une histoire parmi beaucoup d’autre. En avril, lors de notre voyage, un couple qui était à Fort de l’eau, a croisé un groupe de jeunes, 14/16 ans, un peu moqueurs, voyant «ces touristes» déambuler au bord de leur plage. La conversation s’engagea, la femme leur expliquant qu’elle était née ici, l’attitude des jeunes changea et ils s’éloignèrent, l’un d’eux revint peu après, vers le couple, avec une poignée de coquillages ramassés sur la plage et dit «tiens madame, un peu de ton Pays» Voilà, c’est comme ça… !! Si comme beaucoup vous avez regardé M6, la dernière partie reflète tout à fait ce que nous vivons à chaque fois. Nous avons la chance d’être nés sur cette terre d’Algérie, envoûtante, attirante et ensorcelante, soyons en fiers. Yves

 

Zelasco Paz Anita (ALGER EL BIAR/ CHILLY MAZARIN 91)

18/05/2006 22:24

Cette émission aura donc l'intérêt, au moins de faire parler de notre histoire commune en Algérie. De montrer que nous vivions dans des vraies villes, avec des vraies rues et des vraies personnes, dans un quotidien fait des mêmes préoccupations qu'ailleurs, mais dans un paysage de rêve. Oui, c'était beau l'Algérie, avec ces quelques gros colons, accaparant à eux seuls l'image du P.N. Mais comment un pays si magnifique aurait pu vivre, progresser, et subvenir à certains besoins de la métropole, sans ces obscurs fils d'Espagnols ou d'Italiens sachant le sens du mot "Bâtir", sans ces commerçants, artisans, artistes, ouvriers, qui étaient le peuple Pieds-Noirs, celui qui, jusqu'aux dernières heures de la dernière journée, n'a pas compris qu'il n'était que le jouet d'une tragédie, mise au point sans lui. Le vrai peuple pieds-noirs a quitté son pays en 62, sans rien, et la grandeur de ce peuple, c'est d'être là, et d'avoir pris en main son destin, sans support psychologique, ou cellule d'urgence. Et il est debout.

 

Lydie DUCCESCHI/Kamert (La Ciotat - ALGER/AGHA)

18/05/2006 21:54

Comme convenu, je me suis rendue dans la propriété où nous allons faire le méchoui, et c'est vraiment un site " les pieds dans l'eau", accessible d'ailleurs par le bord de mer et toutes les voitures pourront se garer sans problème en bordure des vignes. Une maison se trouve au bout du chemin où nous pourrons avoir accès au pipiroom (cagadou) pour les souvenirs ..... et donc à l'eau. Aprés, nous verrons bien où nous ferons cuire le ou les agneaux. Pour cela, je vous demande de m'indiquer définitivement votre présence et si la date du 18 - c'est un appel !!! - vous convient, puisqu'il faut tenir compte des autres picnics. De plus si certains d'entre vous préfèrent dormir sur place, il y a, bungalows, chambres, studios, mais je n'aurai les tarifs que demain (ce n'est pas onéreux) et vous les communiquerai. Il est nécessaire de mettre dans son coffre une petite table de camping et 1 ou 2 chaises, mais s'il pleuvait on pourrait s'abriter à l'intérieur, ce que nous n'espérons pas. Toujours idem pour le reste, nos couverts, nos boissons, le pain, les apéritifs, les désserts. En voyant l'endroit, je pense que si le soleil est au rendez-vous, ceux qui voudront se baigner le pourront, donc à vos maillots !!!. Dans votre message, faites comme Gérald et dites-moi, si vous arriverez tôt le matin pour installer et tourner, car il faut environ 3 ou 4 heures de cuisson. J'ai déja un grand nombre d'inscrits, donc grossissez la liste, il y a de la place pour tout le monde. Yves, fais un effort, je crois que cette date n'est pas celle de l'anniversaire de ta maman. Bon j'irai aussitôt commander la bête et vous informe du prix. Quant à la participation, elle ne sera que de 4 euros/personne. Donc, j'attends le récapitulatif de vos inscriptions. A vos mails et bonne nuit. Je vous embrasse tous. Pour le plan, aucun problème, aprés le péage de la Ciotat, direction St Cyr et au rond-point de Fontsainte prendre à droite, camping Santa Gusta et le portail sera ouvert...

 

Françoise Leroy

18/05/2006 21:13

Au sujet du documentaire de M6- Je partage votre opinion: il serait dommage que les métropolitains pensent que la majorité des PN jouissaient de week-ends de neige pendant que les algériens bossaient, ou que nous avions tous caméra, films couleurs (d'ailleurs si c'était le cas, ont-ils traversé la Méditerranée avec nous dans notre valise unique ?)... Néanmoins je dois avouer que c'est la 1ère fois depuis 44 ans que je vois une présentation dans laquelle interviennent tous les acteurs de cette période: les PN, y compris les "petites gens", l'armée, le gouvernement, les appelés (avec 2 types de réactions), le FLN et le PC, les harkis, les femmes musulmanes...et je dis même: les enfants dont je faisais partie. Je suis d'accord avec la personne interviewée à la radio, mais je dis quand même bravo à M6 pour avoir enfin osé montrer aux français quelque chose d'autre que l'image traditionnelle de colons soit disant parvenus ou de famille Hernandez (avec tous mes respects cependant!), ou de haine à couteaux tirés depuis 1830 dans tous les villages. C'est peut-être un 1er pas vers une envie de nous découvrir, nous ces "sales PN" colonisateurs puis envahisseurs de la Patrie... En tout cas, espérons-le, car il est temps. Restons vigilants. Continuons à laisser parler notre quotidien de là-bas, il nous fait revivre, et il interpelle nos lecteurs, même nos "espions d'internet"! (pô, pô, pô! ci une blague? et ouais! yanapa dis espions, porquoi faire, dis?) Amitié à tous.

 

Josiane MOLTO (Les Pennes Mirabeau)

18/05/2006 20:09

Bonsoir à tous, je voudrais dire à Marie de Bab el Oued que la réunion à Nice se tient les 20 et 21 Mai et non pas les 24 et 25. Amitiés à tous

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

18/05/2006 19:24

Souvenirs, aprés le reportage de M6, Depuis quarante quatre ans que nous leur expliquons ce qu'était notre vie de tous les jours là-bas la plupart n'ont encore rien compris. Moi Jeanjean en tant que fils de gros colon (eh oui, mon père avait deux cent hectares de brouillard dans la mititdja) je prends toujours la défense des petits pieds noirs que nous étions en majorité, des gens qui ignoraient le mot vacance et connaissaient par coeur le mot travail. Un grand père venu d'espagne et travaillant dur aux carrières Jobert, mon père à II ans laveur de bouteilles dans une distillerie, ma mère à IO ans gardant des enfants, comme colons on se posait là!!! En I94O mon père a acheté un magasin de vin rue de l'Union pour dix mille francs de l'époque, il l'a revendu en 42 pour acheter un café aux halles en empruntant à des amis cent cinquante mille francs, pour pouvoir le payer. En 46 il a acheté six cents mètres de terrain à Verte Rive et y a construit un cabanon en bois, avec des planches recupére chez un marchand de tracteurs. Ah, luxe suprême il avait une pastera de 4 mètres en bois, faite par des amis italiens, j'ai oublié nous avions une voiture, une 5CV citroen transformée en camionnette. Voilà mes chers amis ce qu'étaient la plupart des colons pieds noirs, idem pour les boulangers, charcutiers, maçons, peintres, carreleurs, cordonniers, plombiers, électriciens, eh oui il y en avait chez nous il n' y avait pas que des riches et encore souvent ceux que nous appelions les riches étaient ce qui étaient un peu mieux lotis que nous. Voilà l'histoire de la majorité de "colons" pieds noirs. Et je suis fier d'en faire partie. Jeanjean

REPONSE : gentiment, Jeanjean, à la suite, dans un PS, tu me proposais de "laisser tomber" si c'était pas... comme il faut (c'est ça, Jeanjean ?). Ben, non, j'ai pas laissé tomber. Je trouve toutes nos histoires intéressantes... Si on avait le temps, je vous demanderais à tous de venir avec vos albums de famille, vos histoires, et on reviendrait dans notre ville, comme on était, pour reprendre nos places, pour ceux qui voudront bien un jour venir nous voir... En tout cas, elle est bien, l'histoire de ta famille, elle a sa place sur Es'mma. Ca serait même bien qu'elle soit dans un "vrai" écran, avec des photos, pas seulement sur le Livre d'Or. Oilà, c'est tout.

 

Anny Marcelli/Daverio (Alger/Marseille)

18/05/2006 15:40

.........nous, qui faisions partie des "sans grade", n'avons pas été représentés dans le film de M6........ mais il est vrai que j'ai connu CHREA pour des raisons de santé à 4 ans....... au centre de la Croix-Rouge!..........là, j'ai appris à manger des poivrons frits........en restant devant mon assiette jusq'à 14h................sans commentaire!!!

 

Lucie Durbec (pennes mirabeau.)

18/05/2006 15:06

ET pourtant je l'avais préparé ce voyage, votre pèlerinage, du mieux que je pouvais: des à lire ES'MMA! Mais j'étais paumée, incapable de dire ou j'étais (sauf à LaRedoute!). Une ville illisible pour moi, mais pleine de vos souvenirs évoqués que j'écoutais avidement, alors oila!
J'ai suivi du mieux que j'ai pu. J'ai mis des réalités sur des descriptions, vos émotions ont retenti en moi... Mais j'ai partagé avec vous l'accueil chalereux et sincère de tous ces inconnus, à pieds ou en voitures, qui à longueur de journées nous interpelaient d'un "bienvenue chez vous", prêts à nous aider, nous renseigner: unefraternité.
Merci à Yves, ciment du groupe et merci à tous ceux du 6 Mai en bateau à ALGER

 

quibech (aulnay-sous-bois /france)

18/05/2006 13:29

Recherche Taliercio Monique des tournants Rovigo. Si vous la connaissez, merci de me faire signe

 

marie de bab el oued

18/05/2006 11:59

Gentil Jean-Jean : moi aussi je l'ai trouvée mais je n'arrive pas à la contacter. Merci pour ton attention.

 

Beulaygue Gérard

18/05/2006 11:51

Au sujet du documentaire de la 6 et du format des films , j'irais plus loin en disant que la plupart remontant dans les années 50 ont du être tournés en 9,5mm.

 

Jacqueline (1948) (Rome)

18/05/2006 11:14

Geneviève je suis d’accord avec toi. Je n’ai pas voulu à chaud exprimer ce que tu as dit pour ne pas risquer d’être incomprise. L’illustration de la vie des Français d’Algérie n’était pas complète. Il manquait les «obscurs, les sans grades» qui ont fait la majeure partie d’entre nous : nous n’avions aucun film couleur à leur fournir. Je n’ai jamais été à Chréa et je ne l’ai découvert qu’en 2005… Ma famille est originaire du quartier de la rue de la Lyre et ils ont toujours travaillé dur. L’Algérie n’était pas que la grande bourgeoisie et les colons, même si beaucoup de ces derniers, malheureusement, ont payé de leur personne. Je ne m’étendrai pas sur notre méconnaissance de ce qui se tramait en hauts lieux, car je risque de me faire taper sur les doigts… Passons à autre chose… Le témoignage de Monique Morgando est une vraie consolation, un vrai bonheur et ne fait que conforter mes opinions. La bise à vous tous.



 

Geneviève BORDIER 1942 (rue Denfert-Rochereau / Gard)

18/05/2006 09:37

Tous à nos calendriers ! Uzès c'est le 4 ou le 11 juin ?. Si c'est le 4 ça risque de tomber le jour du méchoui des sudistes à La Ciotat (organisation Lydie et J-Cl- Dusseschi-kramert). Donc Jean-Robert Pivon et Jeanjean vont devoir choisir "leur camp". Le rassemblement des Algérois à Uzès se répète tous les ans. Tandis que le méchoui des sudistes, c'est occasionnel. Ouala !... C'est comme tu veux, tu choise.

 

jean-Pierre MARTIN (PARMAIN, 95620)

18/05/2006 02:11

Petit additif pour Georges SALESSY, à sa liste des profs du Champ-de-Manoeuvres, à Alger... La plupart des personnages cités, je les ai connus, quelques années plus tard, de 54 à 62. Staropoli, quelle merveille de bonhomme! Paillous, toujours tiré à 4 épingles, discret et terrible, je revois encore son écriture... Santamaria, je l'ai suivi pendant 6 ans; DEVILLE le dingue, dans sa blouse blanche et son air de sortir d'une boîte; THOMAS, qui nous coinçait derrière la porte et qui frappait sur la porte pour ne pas trop nous démolir, ROQUE avec sa badine, et encore. Mais il y en avait d'autres: DJABALLI, prof de maths, qui savait fumer sa clope en deux bouffées aux inter-classes; DREYFUS, prof d'Anglais, petit, sec mais charmant ; et RIZZO, prof de musique; et encore le SURGET dont j'ai oublié le nom, et encore M. AMBIT, le Concierge, et GERENTES, le Latiniste et son écriture de fou... et le prof de gym si sympa, et la petite fontaine d'eau fraiche près des citronniers, et puis tous ces copains avec qui j'ai fait la route de la 6ème à la Philo... A suivre!!!

 

Arlette Schneider (ALGER/BORDEAUX)

17/05/2006 23:20

Bravo à tous ces compatriotes qui nous ramènent plein leurs valises, plein leur tête et plein leur coeur des nouvelles fraîches, ensoleillées, riches de senteurs, de parfums, de couleurs et d'amitiés retrouvées là-bas où il fait toujours bon vivre. Qu'il est beau notre pays! 44 ans plus tard, le puits n'est heureusement pas tari et la source coule limpide, charriant les bons souvenirs de nos vies sur le sol de nos racines. C'est magnifique!
Vous nous donnez à tous, je pense, l'envie et l'espoir de faire votre riche expérience de cicatrisation, de fraternité, de bonheur, de retrouvailles avec notre mère nourricière, l'Algérie. Amitiés à tous. Arlette, Les collines de l'espoir.

 

PIVON Jean-Robert (38) (Rhône)

17/05/2006 22:32

La caméra Super 8 n'a jamais pu filmer cette époque: KODAK sort en mai 1965 ce nouveau format. Donc les scénes étaient filmées en 8mm. Méme émotion pour ce reportage et je suis d'accord, comme le signale Geneviève BORDIER, avec le commentaire de cette dame sur RMC. A bientôt à UZES.

 

Pierre BENOIS 47 Alger/Arles

17/05/2006 21:58

Au sujet du reportage "Algérie Francaise" bien des séquences m'ont donné des émotions dans ces moments intenses. Le sujet était à l'apaisement, et partagé sur les faits qui ont touchés les deux communautés. C'est un pas dans l'information de notre histoire, avec un petit gout d'inachevé, car nous avons vu un reportage très synthétisé. La réalité nous a montré "Negro" c'etait bien lui qui nous faisait la traversée du RUA, que nous avons vu. D'ailleurs, à ce sujet il me vient des noms a l'esprit Mrs ROIG et VALLIER, qui étaient des pilliers de cet endroit mythique. Qu'est devenu le RUA aujourd'hui, peut-être que nos amis qui retournent à ALGER peuvent le dire? Amities à tous. Pierre.

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

17/05/2006 19:41

Pour la petite marie de beo, vous avez une Villari Christel à Carcassonne c'est peut-être de la famille à votre ami pharmacien. J'ai même trouvé son adresse et son n° de telephone; à plus jeanjean

 

Christine Schneider-Gévaudan (La Redoute - (Saône et Loire))

17/05/2006 18:57

Après 44 ans jour pour jour (6 mai 1962 - 6 mai 2006), je retrouve mes racines, chose que je ne pouvais pas imaginer. J'avais 3 ans, donc aucun souvenir de ma terre natale, il y avait un grand vide en moi, j'en souffrais beaucoup, je me sentais mise à l'écart, je ne pouvais rien partager. Aujourd'hui je peux mettre un paysage, une âme à ma ville de naissance. J'ai pu mettre mes pas sur ceux de mes parents et grands parents, mes oncles pour certains trop tôt disparu, connaître les maisons de mes grands mères, l'appartement où nous habitions; puis aller au cimetière. Nous avons reçu un bon accueil dans la majorité des endroits, rues, maisons, magasins, hôtels etc... et aussi de tous les membres du bateau, beaucoup d'émotions, de joie, de chaleur humaine; ils veulent que nous revenions et certains demandaient aussi de ne pas les abandonner, des invitations partout, incroyable!
Merci à Yves; mes soeurs Anne-Marie, Odile; Fatia (pour le cimetière); Nadia, Zara, Saïd; la personne du Woodpecker; et tous les autres...
Une pensée à notre groupe qui est très agréable, et qui nous a soutenu émotionnellement. Amitiés sincères





 

Henri Rindovetz

17/05/2006 18:51

Alger du 7 au 11 mai 2006. Pas facile de reprendre une vie normale après ce retour en bateau, cette arrivée sur Alger et ces quelques jours ou l’accueil de tous a été formidable,
Pas envie d’écrire non plus comme pour essayer que ce rêve dure encore un peu, pas envie de bouger pour prendre le temps de tout ranger sans rien perdre. A souligner ce groupe formidable ou la liberté de nos visites du jour laissaient la place en soirée, à des anecdotes pleines de larmes de joie de respect et d’amour. Merci à Yves pour sa gentillesse et bravo pour son organisation et mes plus cordiales salutations encore une fois à cette équipe sensationnelle. A bientôt, Henri

 

monique morgando (pontoise france)

17/05/2006 18:26

Retour à Alger. Le 6 mai 2006,nous étions une vingtaine à embarquer à bord du"Tariq ben zyad" d'Algérie-ferries. Sauf pour la famille Jalabert, 44 années s'étaient écoulées et c'était notre premier voyage à Alger. Nous avions désiré arriver par la mer devant "Alger la blanche" et l'émotion fut grande lorsque notre ville a surgi à l'horizon. Chacun est venu à la recherche de ses souvenirs et des bonheurs passés, tous nous avons été touchés par l'accueil chaleureux des Algériens partout où nous sommes passés. Les mots "bienvenue chez vous" étaient maintes fois répétés et, malgré toutes ces années il y avait quelque chose de commun entre nous. Pour ma part, j'ai éte bouleversée lorsque je suis retournée dans la maison de ma famille où se trouvait encore beaucoup de nos meubles et surtout la bibliothéque de mes parents et, parmi tous les livres familiers, un livre relié de cuir rouge qui était mon préféré lorsque j'étais enfant. J'ai pu le tenir et le feuilleter avant qu'il ne reprenne sa place. Le jeune homme qui nous avait accompagnées, mon amie Anne-Marie et moi, m'a dit en repartant "le monsieur aurait dû vous donner le livre, mais je le connais bien et je vais faire mon possible pour qu'il le donne". Le lendemain soir, le livre m'attendait à l'hôtel. Je n'ai pu joindre ce jeune homme qui avait été sensible à mon émotion et lui ai laissé un message. La veille de notre départ, il s'est présenté à l'hôtel à 22h30 pour me dire au revoir et me demander mon adresse "pour vous envoyer les autres livres en France si je peux les avoir". Ce retour et accueil partout où nous sommes passés m'ont semblé un peu irréels, mais le livre rouge sur la table du salon me rappelle que ce n'était pas un rêve et qu'Alger est si proche.....

 

Gil (91 Alger 92 Courbevoie)

17/05/2006 17:41

Il faut de temps à autre se repayer un tour des Khémias ça mouille les yeux mais ça réjouit le coeur de replonger dans les bons SOUV. Gilou..

 

marie de bab el oued (alger)

17/05/2006 17:41

Aviss à la population : je suis à la recherche de Jean-Paul Villari qui habitait rue Léon-Roches. Son papa, Raphaël Villari, était pharmacien (il parait qu'il y a qqs annénes il officiait à Carcassonne). Pendant que ça canardait nous jouions tous les 3 au rami sur le palier : danielle taouss, jean-Paul (son fiancé !!!) et moi (je tenais la chandelle). Ah la belle insouciance .... Bref, je voudrais le retrouver pour continuer la partie !!! Merci de m'aider.

 

Jean-Louis Féménias (1945) (Alger/Nice)

17/05/2006 16:55

En lisant certains commentaires, j'ai peur d'avoir été mal compris dans mon dernier message sur René. La ribambelle d'enfants qu'il trainait derrière lui n'était ni agressive ni meme moqueuse, loin de là! A 7 ou 8 ans, on est curieux de ce qui sort des normes et on déborde souvent de charité: cet homme nous attirait, nous bouleversait et nous nous considérions comme ses amis, peut-être un peu comme ses protecteurs aussi, contre ces "grands" qui n'avaient pas l'air de comprendre. J'en ai un peu voulu à mon père de chercher (en vain) à m'éloigner de lui... jusqu'à ce que je sois père à mon tour. René, c'est curieux, n'a jamais quitté ma mémoire depuis plus de 50 ans et j'ai aussi pensé à son destin après notre départ: allez savoir pourquoi? Quant à son passé glorieux avant sa maladie, il a malheureusement dû être très court , car je m'en souviens comme d'un homme relativement jeune vers 1955 (25-30 ans?).
Il faudrait consacrer un écran à tous ces pauvres vagabonds qui tournaient autour de Saint-Charles, en particulier cet ancien tirailleur vêtu de loques à qui mon père donnait traditionnellement la pièce à la sortie de la messe. Mais ce qu'il faisait surtout, c'était de s'arrêter et de parler longuement avec lui chaque dimanche que le Seigneur faisait: ensemble, ils revivaient la guerre, la victoire, et je voyais ce pauvre ivrogne, auparavant allongé sur le trottoir, accablé par le destin, se métamorphoser. Il se levait, empoignait sa bouteille vide, la portait haut et fier à sa bouche comme un clairon et entonnait la sonnerie de la charge. Alors je pardonnais à mon père, ce héros au regard si doux qui savait faire la vraie charité en redonnant leur dignité aux vaincus de la vie.

 

zenati serge 1951 (alger. la pérouse .montgeron(91230))

17/05/2006 16:54

En remuant qq souvenirs à cause du reportage télé d'hier et des commentaires des amis allés à Alger en bateau; années 62 a 64 La Pérouse nos voisins avaient une fille d'environ 16 ans, Louise, avec ses 2 chiens "Vent et Deddy", j'allais au collège a Fort de l'Eau des copains il me semble Sebaoni, coll maxime, adeline ferratti et ses chemisiers avec le petit lion de Sheila. Moi je suis retourné en septembre 2005 ça m'a fait une parenthèse dans le temps. Et l'envie d'y retourner. A Alger a l'école Lutaud, je me rappelle de j marc font, mais peu d'autres noms sinon celui impérissable de mon petit copain Denis Ferrari qui s'est tué en tombant du 6ème étage au 8 ème groupe au Ch de Manoeuvres; je ne l'ai jamais oublié! Si j'avais des éléments sur ce drame j'essaierais lors d'un prochain voyage de trouver sa tombe si elle existe car lorque je suis allé a St Eugène il était tard et je n'ai pas pu consulter de registres. Souvenirs tristes ou gais, détails insouciants, quelle histoire que la nôtre....

 

Geneviève BORDIER 1942 (rue Denfert-Rochereau / Gard)

17/05/2006 14:46

M6 : J'ai aimé, j'ai transpiré, j'ai eu la gorge nouée. Je voulais dire que j'ai noté comme Jacqueline de Rome certains commentaires plutôt appaisants. J'ai noté des images sereines de fêtes ou de rassemblements : "les communautés se cotoyaient paisiblement mais ne se mélangeaient pas". Et en France il en toujours ainsi ! Nous n'avons rien inventé. Il me semble avoir aperçu Négro dans son bateau, un dixième de seconde dans un mélange d'images avec Oran.
Ce matin sur RMC où le micro était ouvert aux auditeurs, une dame a dit très simplement: "combien d'entre nous à l'époque pouvaient se payer une caméra super 8? Peu. Combien pouvaient aller faire du ski à Chréa? Peu. Il est bien dommage qu'aucun film n'ait parlé de tout ce petit peuple PN, qui vivait chichement, parfois aussi dans la précarité, tout comme les arabes. Alors nous n'avions aucune agressivité contre eux. Nous ne savions pas ce que les gouvernements nous réservaient, ni ce qui se passait sur le territoire. Sans téléphone, ni TV, c'est par lettre, et parfois de l'étranger que nous apprenions le sort qui nous était réservé". Elle a rajouté qu'elle avait aimé cette émission.

NOTA DU GDLLDB : à la suite de je ne sais quelle manip', des écrans dont l'adresse URL n'étaient pas suivie par .htm, et qui étaient tout de même reconnus de tous les navigateurs, ne le sont plus. C'est ka raison pour laquelle tes "Cailles" étaient devenues inaccessibles. J'ai rajouté la terminaison manquante, l'accès (en page d'accueil en tout cas) est rétabli. La chasse aux cailles est rouverte!

 

Jacqueline (1948) (Rome)

17/05/2006 11:07

Dans tous les commentaires du spécial de M6, j’ai retenu cette phrase: 1 million de pieds noirs quitte leur pays, «le plus grand exode de l’histoire». Il a été volontairement passé sous silence parce qu’il gênait. Personne, ou si peu, n’a compris notre désarroi, les conséquences psychologiques que cet arrachement a provoqué en nous, ce boulet, cette boule à la gorge que nous portons encore. Mais comme il est dit à la fin nous nous sommes pris en main, nous sommes allés de l’avant et seulement avec nos propres forces, parce que nous sommes «spéciaux». Le retour au Pays peut nous guérir de ce mal être, chaque témoignage en est la preuve. Car nous n’y sommes pas des étrangers, mes les enfants du Pays et finalement cela nous console d’appartenir à quelque chose de tangible, à une terre bien présente qui nous a vu naître. Et croyez moi c’est drôlement important de se reconnaître. Le spleen continue, heureusement que le soleil est là…La bise à vous tous.

 

DUCCESCHI/KAMERT LYDIE (Alger/La Ciotat)

17/05/2006 11:06

Je viens d'envoyer un message pour dire que le méchoui c'est O.K et je crois qu'il n'a pas été pris, Je vais attendre et vais tout recommencer. Bisous Lydie

 

Lydie DUCCESCHI/KAMERT (Alger/Agha - La Ciotat)

17/05/2006 10:57

Me revoilà pour vous annoncer que j'ai effectivement remué ciel et terre pour avoir un endroit confortable comme la Manade pour le méchoui et c'est O.K., je vais visiter le site demain soir, sitôt aprés, je vous raconterai tout sur l'itinéraire, mais pour le moment, rien de changé à l'organisation de notre Geneviève préfèrée, sinon que chacun apportera un apéro de nos délices P.N et un dessert idem(le nombre de A à L étant plus élevé que les autres) plus les boissons et un pain au moins chacun. Couverts etc ...Demain soir, je serai en mesure de vous dire si nous devons avoir tous nos tables et chaises. Il faut maintenant savoir combien de messieurs seront présents pour tourner la bête (merci de le préciser dans le mail) que j'aurai commandé qq jours avant et savoir qui procure la broche... bref qq détails importants je crois. Quant au jour, je pense que pour bénéficier de la présence des nordistes, il vaut mieux attendre le W.E de Pentecôte pour permettre aussi, à ceux qui sont loin des délais de route, je pense à Gérald, Yves, Jean Claude etc... pour qui la présence est indispensable !!!! voire obligatoire !!!!!!!!!
Je confirme donc que c'est à la Ciotat que cela aura lieu. Pour autant, je demande à tous ceux qui vont nous faire l'immense plaisir de participer de s'inscrire dés que possible sur mon mail, mais de toutes façons, cet endroit peut contenir bon nombre de personnes, l'important est de savoir, s'il faudra 1 ou 2 agneaux.
J'ai pu consulter tous vos messages dés mon arrivée et je suis triste en repensant à Nicole Laborda qui était mon amie à l'école et qui n'a pas survécu à un régime draconien, elle était trés appréciée de toutes. Quant à ma soeur Régine, elle était en classe avec Janine et Jacqueline Grima. Pour répondre à Gérald, je crois que les anecdotes ne vont pas manquer sur les Galeries de France. Voilà, j'attends dès à présent vos mails et vous remercie par avance. (nous serons, je crois au bord de la mer). Bisous Lydie

 

Hélène MAHIQUES (Mulhouse (Alger))

17/05/2006 09:54

Revenir à Alger en bateau, quel beau voyage. Que d'émotion en entrant dans Alger la Blanche. Un accueil chaleureux de tous les Algériens. Incroyable de s'entendre dire que nous n'aurions jamais dû partir. Retrouver tous les lieux de mon enfance, faire découvrir à mon Compagnon ma terre natale. Merci Yves. Tout a été parfait. Le groupe était super sympa. Bonjour à tous.

 

marie de bab el oued (alger)

17/05/2006 09:48

Quelle excellente idée de faire comprendre qu'il y a une photo à côté du nom dans le répertoire des PN. Grâce à ça, j'ai passé 3 heures devant mon écran .......car g tout vérifié ;-) Bravo les mecs. Le 24 et 26 TOUS A NICE au M.I.N.

 

Anne Marie Schneider (Montceau/La Redoute /1947)

17/05/2006 09:31

En effet , il n'est pas facile de trouver le sommeil lorsque nous venons tout juste d'être happés par notre passé et son histoire ....il en est des paysages comme les Hommes... Il faut un peu les vivre pour pénétrer leurs secrets... Hier soir, grâce à l'information, les témoignages ne nous laisseront pas dans l'oubli... car c'est un peu le sentiment que nous avons eu jusqu'à présent. Aujourd'hui exprimer ses émotions c'est comme d'enlever les nuages noirs devant le soleil pour laisser pousser les fleurs... Nous devons offrir à nos enfants et à nos petits enfants leur part de rêve... Amitiés à tous....

 

Geneviève BORDIER 1942 (Rue Denfert-Rochereau / Gard)

17/05/2006 09:26

C'est koi le 20 et 21 à Nice ?.

 

DUCCESCHI Lydie/KAMERT (Alger/Agha - La Ciotat)

16/05/2006 23:05

Alors que se termine à l'instant l'émission qui nous a tous rassemblés dans les bons et les mauvais souvenirs, je n'ai que le courage de vous dire que je suis de retour et vous fais de gros bisous à tous. L'émotion et les larmes vont m'accompagner jusqu'à l'engourdissement du sommeil et demain sera un autre jour ou la raison, encore elle !! triomphera. Allez courage à tous, je sais qu'il faut être fort, mais la parole est facile ...
Lydie

 

janine sampere 1946 (oliva espagne)

16/05/2006 19:46

Mr Schmidt, voilà un souvenir qui resurgit grâce à mr Salessy! Je le revois, géant debonnaire, avec toujours son affreux pékinois, se penchant et disant à chaque fois de sa grosse voix à mon frère Pascal "et comment il va le petit boulanger?".
Quant à l'homme qui dormait debout je le voyais tous les jours puisq'il venait chercher chaque jour quelque chose à manger à la boulangerie. Pauvre diable! Dieu seul sait ce qu'il est devenu dans la débâcle. Merci Es'mma pour tous ces souvenirs enfouis. Punaise, c'est une véritable catharsis que l'on fait avec ce site. Ma cousine Amélie voulait que je l'accompagne à Uzès pour un rassemblement; cela ne m'enchantait pas mais maintenant je suis tentée. On verra bien. Amitiés à tous.

 

Nicole Soler ép. Libera (1948) (Aix en Provence / Alger)

16/05/2006 17:36

Je suis très heureuse de voir que le cercle des élèves de Barnave s'est encore élargi avec la venue sur le site d'Anne-Marie Riera et de Jacqueline Atlan auxquelles je présente toutes mes amitiés; ainsi se sont déjà manifestées de la même année, pour établir un récapitulatif, Christiane Mille, Jacqueline Simon, Michèle Leimbacher, Anne-Marie Riera, Jacqueline Atlan et moi-même, peut-être ai-je oublié quelqu'un ; qu'elle me le pardonne et se rappelle à mon souvenir. Nous pourrons peut-être un jour reconstituer une classe et nous retrouver comme au bon vieux temps... et à Arlette Schneider, je voudrais signaler que par ma grand-mère maternelle, je descends de la branche des Klein qui arrivèrent à Dely-Ibrahim avant 1830.

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

16/05/2006 15:35

Salut à vous, pour répondre à Jacqueline "la Romaine", ma fille... j'ai fait 17 voyages en Algerie, je suis allé au moins 10 fois à Alger, je te rassure je n'ai pas encore fais tout ce que je voulais faire, je n'ai pas encore vu tout ce que je voulais voir, mais il y a une chose que je découvre à chacun de mes voyages, c'est que "là-bas", je me sens chez moi et mieux qu'ici, n'en déplaise à certains. Pour l'école Barnave, et bien d'autres, les Bélombra de Cherchell, les rues, les bâtiments... et tout le reste, je pense que vous découvrirez bientot toutes ces choses ici même. A +++ Yves

 

marie de bab el oued (alger)

16/05/2006 14:53

Pas de publicité pour le 20 et 21 mai à Nice ? Bande de jaloux que vous êtes.

 

ARLETTE SCHNEIDER (ALGER/BORDEAUX)

16/05/2006 14:44

Salut à tous mes compatriotes! J'ai le plaisir de vous faire savoir que mon livre documentaire sur l'Algérie sort le 15 juin chez l'éditeur Hugues de Chivré. "Les collines de l'espoir, Dély-Ibrahim, premier village français 1830/1962", cet ouvrage retrace l'histoire mouvementée de la conquête française avec l'installation des premiers pionniers, téméraires et persévérants dans le premier village français. Il raconte à travers des anecdotes variées, la vie bucolique à 10 km d'Alger. C'est un retour aux sources pour une mémoire collective, en hommage à tous nos ancêtres.
Comment se le procurer? SITE: livres-romans.com
Renvoyez la fiche de souscriptionà l'adresse indiquée.
Amitiés, Arlette Schneider
PS/Ce soir, ne ratez pas l'émission sur la 6!

 

Gérald

16/05/2006 12:54

La chasse aux souvenirs ? Plus ouverte que jamais. Yves Jalabert nous a ramené d'Alger quelques photos magnifiques, de détails, d'entrées d'immeubles, de choses oubliées là, pour ranimer, préciser, développer nos souvenirs... Parmi elles, quelques photos de l'intérieur des Galeries de France... somptueux ! Punaise, que c'était beau ! Les structures en bois ouvragé, la cage d'ascenseur comme en dentelle de bois... intacts! Tout est vide. Ceci devrait devenir un musée... Des Galeries et de ces photos, on va faire un écran. Alors si vous vouliez bien nous envoyer (sur le Livre d'Or ou dans le boîte aux lettres), en quelques lignes, vos souvenirs de ce lieu, nos Galeries de France pourraient passer à la postérité sans qu'il leur manque plus rien. Merci.

 

Jacqueline (1948) (ROME)

16/05/2006 12:15

Je viens de lire le long article du Monde du 16 mai qui est consacré à notre retour chez nous. Il s’ajoute aux témoignages que « ceux de Yves » rapportent. Je ne peux m’empêcher de pleurer à chaque ligne lue. Cela me remue les tripes de vous revoir rentrer « à la maison». Mais purée il faudra combien de temps pour que le seul nom de notre Pays nous fasse chialer comme des mômes ? Et pourtant on a fait la paix avec nous-mêmes ..est ce que c’est ce premier amour qu’est notre Pays qui n’en finit pas de nous bouleverser ? Ce ciel si bleu que l’on ne trouve que là-bas ? On a encore l’impression d’être des paumés bien que nos vies aient été si remplies de joies et de peines depuis... 44 ans !! Il nous manquera toujours quelque chose. Je veux répondre à la jolie phrase de Fatiha d’hier. C’est très beau ce que vous avez écrit. Moi aussi mon sentiment, une fois rentrée d’Alger, le 17 septembre 2005, était justement « qu’il fallait que je revienne car j’avais laissé beaucoup de choses à faire». Je reviendrai à Alger cette année, car je n’ai pas eu assez de temps pour bien profiter de mes promenades dans ses rues, parce que je dois arranger un peu la tombe de mon grand père et je dois aller voir un maçon, parce que je dois aller rendre visites à mes amis d’Alger, qui m’attendent chez eux. Un peu de spleen aujourd’hui, et pourtant , le printemps à Rome est magnifique et le ciel est presque aussi beau que celui d’Alger…

 

Djelloul Allam (Londres Angleterre)

16/05/2006 11:26

Bonjour à tout nos amis Pieds Noirs du Ruisseau Alger. Je suis Djelloul Allam, né en 1936 à Maison Galli au Ruisseau Alger. En vacances pour 2 mois chez mon fils a Londres, je profite de son internet pour répondre aux voeux que j'entretiens depuis longtemps et pour lancer un appel à mes bons vieux amis du Ruisseau et de l'école de la Corderie. A vous tous, ptit Louis Dimeglio, Emile Serrat que j'ai rencontré en 1959 a Batna, Jean Claude Camilleri, rencontré en 1959 pour la dernière fois devant le central Boulevard Baudin a Alger, à Fernand Ouvet mon ancien copain d'école et au boulot, chez Gregory et Dimeglio a Kouba, a Georgeot Vidal, mon voisin, à mes collègues de chez Durafour à Hussein Dey, Dondon Solair, Claude Tiers mon recruteur et Simon du montage extérieur, Balerase, jardinier le financier et sans oublier les familles Peres, serreno et surtout les fils Lauro: Jose et Michel de Bab El Oued. A ceux qui ne sont plus là, qu'ils reposent en Paix et à ceux qui auront l'occasion de lire mon appel, qu'ils veuillent bien dans la mesure du possible me donner de leurs nouvelles à l'adresse suivante : JARDINDESSAI@AOL.COM.

 

Gil (91 Alger/ 92 Courbevoie)

16/05/2006 11:03

Merci Georges Lévy de te poser la question: que sont ils devenus? Sans réponse souvent mais ils sont dans nos SOUV. et c'est une sorte d'hommage- Vous souvenez vous tous une dame rue Henri de Grammont dernière maison avant les escaliers qui faisait des chapeaux pour dames (modiste disait-on??) un indice son fils était à Clauzel et juste de l'autre coté des escaliers une petite épicerie tenue par une dame dont le garçon était aussi Clauzéliens. Allez à la chasse aux SOUV. est ouverte. Quelle drogue je ne peux passer devant cet ordi sans m'arréter et perdre un peu de temps, il faut un responsable: Gérald... APLUSS Gilou

 

Geneviève BORDIER 1942 (Rue Denfert-Rochereau / Gard)

16/05/2006 10:44

Je ne sais plus par où commencer !. Il y a tellement à dire.
- A Christiane Mille de la Crau, et A-M. Riera de Marignane: si vous étiez venues au piknik des sudistes, il y avait des filles de Barnave et de Delacroix. Quant à M-Rose Mais, il y avait au moins 2 Montpellieraines et 2 Nîmoises ce jour là. On est 4 ? on fé une belote ?
- Bravo à Emile Montserrat pour son prochain rassemblement le 1/10 à Agen. Les sudouestistes ne manqueront pas d'y aller. Chui sûre.
- A mon avis, il n'est pas kestion de corrigé les fôtes des uns et des z'ôtres. On se lit, on se com...prends. Ssé toou. SSé le fon k'il komte, makkache la form? Ouala. Fatiha ma fille, ssé ken tu veu !
- Lucien Jasseron : j'avais fait un message à son sujet, qui était resté sans réaction, cet hiver. Merci à Jean Brua d'avoir remis le sujet sur le tapis.
-JAJA y lé reviendu avec sa troupe de VIP !... Purée rien k'lé larmes elles me koulent dessurr la joue. C'est kan k'on repar mon frère ?
- Mais oui !.. je me souviens très bien de ce pauvre homme qui dormait debout, et faisait la manche le dimanche à la sortie de la messe de St-Charles. Il ne pouvait plus redresser sa tête, qui pendait en avant de plus en plus, au fur et à mesure de l'endormissement.
- A Ph. Redon: cette très belle maison de la rue Hoche: photo de Jaja dans les Kémias, où était la fabrique de raviolis "Maison Grima" : pâtes fraîches et couscous... Danielle Grima, leur fille était en classe à Tirman avec moi.
- Jacqueline de Rome: nous avons déjà bien parlé de ces rues Meissonier etc. ton quartier et le mien. Tes évocations viennent compléter nos trous de mémoire. No problem. (Purée même kelle parle anglé celle-là !... )

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

16/05/2006 09:39

Jean-Pierre!!! Deux verbes y se mettent à l'infinitif si le premier l'est et pas autrement : partir manger, aller dormir, voir venir, faire caguer etc... Après, ils s'agit de verbes composés conjugués aec un auxiliaire et, dès lors qu'un auxiliaire est utilisé, on a affaire à un verbe conjugué accompagné d'un participe pour lequel l'accord en genre et en nombre est de règle avec l'auxiliaire être et parfois avec avoir, ça dépend du complément d'objet plus ou moins direct. Et en pluss, aec ton exemple, tu dis exactement comme moi: être zyeuté (que ce dernier verbe il est pas à l'infinitif, que je susse) n'est pas être zyeuter... Ouala, c'est tout ça que je voulais dire... :-)). Magaougats, métenant il faut aussi se souviendre (4ème groupe, connu uniquement chez nous) des conjugaisons!

 

jean-pierre Ségui(38) (Marignane)

16/05/2006 07:21

Aousqu'il a trouvé notre ami Jacques que quand deux verbes se suivent, le deuxième, de se mettre à l'infinitif, il est pas obligé. Bien sûr que j'ai pas l'entention (1)de profiter que maître d'école j'étais, pour y faire la leçon mais c'est comme ça. Quand il écrit "les cailles vous avez été zieutées", faut qu'y sache que "avez été" c'est l'auxilliare et "zieutées" c'est le verbe.
(1) "Tu fais bien entention ma fille, qu'il a des bonnes ententions" Roland Bacri

 

Jean-marie castryck (Etats-unis)

16/05/2006 03:10

Si vous vous rappelez de moi, contactez moi a l'adresse e-mail. Des copains a moi: jean-marie grand, bernard botalla gambetta, denise achouche, jean-louis puget, yves cassidy. J'aimerais partager de vieux souvenirs. Merci. Salut a bientot

 

paul salessy (bubry france)

15/05/2006 21:36

en réponse à jean-louis féménias (1945) et à Gérald : je me souviens d'avoir vu chez madame paollino la "patronne" de l'éden venant prendre son lait. Le "climat" apparent dans le magasin était assez impressionant dans sa réprobation bien pensante. Il s'agissait d'une personne assez forte et relativement âgée. Vers les années 55-58 ?
Il y avait aussi une pensionnaire qui dragauait le client mais, avec le haïk et le visage caché, bien difficile d'évaluer la beauté à partir du clin d'oeil.
En plus de René, il y avait aussi un militaire qui faisait le pied de grue sur le trottoir en face de l'éden en attente .....de son paradis ?
J'ai souvenir d'un féménias en ENSI à bugeaud en 1959-60, avec les cheveux à la brosse. S'agit-il de quelqu'un de ta famille?
Amitiés.

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

15/05/2006 21:23

Lu dans le Journal El-Watan d'Alger: "Sachez que la villa Mont Riant appartenait à une Française qui en a fait don au gouvernement français dans les années 1950. Cette demeure de style mauresque renfermait alors un véritable trésor : des meubles de style Louis XIV, des anciennes monnaies, de la céramique". Cette villa a été transformée en "Maison de l'Enfant", nous relate cet article.
Mais qui fut cette généreuse donatrice dont personne ne rappelle son nom? Son histoire serait certainement passionante à lire. Mais où ?

 

Philippe REDON ( 1937 ) (37550 St Avertin)

15/05/2006 20:37

Merci à G.Salessy pour la poésie de sa promenade dans notre quartier (j'habitais rue Courbet n°12) sans oublier la musique d'accompagnement... Encore bravo. Je rève d'une vidéo de ce périple... N'est-ce pas, Y.jalabert?

 

janine sampere 1946 (oliva espagne)

15/05/2006 20:20

Avant d'avoir leur boulangerie place Hoche mes parents en ont tenu une à Belcourt mais avant (la guerre 39:40) mes grands parents étaient installés à Dely Brahim où je frequentais assidument parait il le restaurant du bon canard ?, D'où ma vocation de la cuisine. Du coté de ma mère mes grands parent étaient à Miliana. L'évocation de la charcuterie de la rue hoche m'a rappellé un épisode drôle de ma vie! Qui se souvient d'ivanoé à la télé le jeudi? Eh bien ces soirs là au grand dam de mon père qui, lui, voulait manger à table, nous allions acheter soubressade et boudin et nous nous faisions des sandwichs pour vite nous installer devant l'épisode; C'était super. Merci à celui qui a réveillé ce souvenir.

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

15/05/2006 19:42

Merci à Georges Salessy de nous avoir fait cette description vivante de ce quartier dont l'Ecole Clauzel était pour moi enfant le centre de mon univers. Tout ce petit peuple au travail défile devant nous, et ces détails auxquels nous n'attachions pas d'importance, par miracle de l'écriture, viennent cogner à notre porte pour nous aider à sortir de l'oubli nos souvenirs d'écoliers. Nous regardions alors les grandes personnes,
moustachues et grisonnantes, avec des yeux observateurs et sans pitié, comme des acteurs dont le role était de nous protéger naturellement, comme si nous devions rester enfants pour l'éternité.
Mais maintenant c'est à notre tour de raconter ces petits souvenirs qui semblent mièvres à certains, mais dont la nouvelle génération saura à son tour en apprécier sa juste valeur pour ne pas rompre avec le passé. Labourez, retournez vos souvenirs, un trésor est certainement caché dedans !.
Et moi je me demande, en revoyant sur le trottoir, ce miséreux, barbu en haillons, aux gestes lents, qui me faisait peur, qu'en est-il devenu, seul au monde, alors que nous cherchions des cartons pour sauver nos maigres souvenirs: Qui lui a pris un billet de bateau pour Port-Vendres, qui l'a sorti de l'enfer de la rue, où a t-il échoué comme une épave, cet homme qui eut peut-etre un passé glorieux avant sa maladie, objet des quolibets et oublié du monde des vivants. Dans quelle fosse commune a-t-il été peut-etre été jeté, s'il est resté à Alger, errant devant sa cathédrale transformée en mosquée. Au moins grace à ce site, ce fantôme du passé aura été ressucité en quelques lignes, pour lui demander pardon de la part de cette bande enfantine qui court encore dans sa rue, bien après que le poète ait disparu...

 

RIVIERE Gérard 1941 (PARIS / FRANCE)

15/05/2006 19:15

Bonjour à toutes et à tous,
Je suis Aimile Failixxe Gautiaaaiii 1951 - 1957 (6° - 1°). Je découvre aujourd'hui votre site avec une double grande émotion : 1) peintre amateur à mes heures, je cherchais des infos sur mon prof de desssin de l'époque J. BUREL (dit "Tonton Burel") et j'apprends avec tristesse qu'il nous a quitté en 2000, 2) la plongée dans votre site me renvoie 50 ans en arrière dans ce monde inoubliable et lumineux de l'adolescence et de l'Algérie.
Etant désormais en retraite et disposant donc d'un peu de temps, je vais essayer d'apporter une contribution au site, je crois que j'ai encore quelques carnets de notes et quelques photos de classe, et quelques souvenirs... (Par exemple - les filles ne lisez pas - , comme j'habitais avec quelques autres au Golf, dans le quartier de La Redoute, nous passions devant le lycée de filles Fromentin pour descendre en ville, et le sport national consistait à apercevoir -en tout bien tout honneur bien sûr à l'époque- les filles en train de faire la gym en tenue de sport en contre-bas de l'avenue!).
J'espère aussi avoir des nouvelles de quelques élèves de ma génération que je n'ai jamais revus, comme par exemple Biskerra, Bonnamy, Moulin ... (j'écris les orthographes de mémoire, mille excuses ...). Amitiés à toutes et à tous.

 

Lucien Balaguer - 1935 - Alger (HdS)

15/05/2006 19:11

A l'évocation de la mémoire de Lucien Jasseron, une époque revit. Je revois le stade municipal et son virage où les supporters du RUA venaient encourager les blancs et bleus (dans les années 50) Nous étions bien une ....cinquantaine toujours aussi fidèles pour voir les Lavoignat, Ferrari, Daube et les autres (mémoire ?) mais beaucoup moins nombreux que les petites cailles et les pointers qui se retrouvaient à la piscine du même nom. Les matchs contre le Red Star ou le Gallia, pas de longs déplacements périlleux, mais contre le Stade Guyovillois, le MCA à St Eugène ou l'OHD, au coup de sifflet final (et même quelque fois avant), fissa la tangente pour raisons de santé nous ne prenions guère le temps de bronzer sur les gradins... Merci une fois de plus à Jean Brua pour son coup de chapeau à Lucien Jasseron. Amitiés.

 

anne-marie riera ep parisi (alger /marignane)

15/05/2006 18:40

Bonjour à tous. Je suis moi aussi de Barnave. Pour répondre a Christianen nous étions au ce2 55/56. Pour Jacqueline nous étions au cm2 57/58. Moi j'ai fait toute ma scolarité à Barnave. J'espere que d'autre filles se reconnaitront et qu'elles fassent comme nous: écrire. bises a tous a+

 

brouillet alain 1939 (alger)

15/05/2006 17:51

Pour répondre à FEMENIAS. L'EDEN HOTEL qui faisait phantasmer tous les éleves de CLAUZEL, n'avait rien de ressemblant avec LA LUNE ou le CHABANNAIS, ce n'était qu'un hotel abritant les amours illégitimes de certains couples qui avaient peu de temps à se consacrer mutuellement ...Pour l 'avoir visité, je vous certifie qu'il n'y a jamais eu de dames de petite vertu.

 

Gil (91 ALGER / 92 COURBEVOIE)

15/05/2006 17:48

Je viens de lire "le promeneur de la rue Clauzel" c'est le parcours inverse de mon trajet pour aller à l'école voir mon message du 10/05/06 nous aurions pu nous croiser Georges Salessy. Nous le faisons sur le CHAT(tchatte) est ce que ce mot ne serait pas emprunté à notre TCHATCHE, à saoir? J'avais envie de faire mon trajet plus étoffé pour une Kémia mais je ne savais pas comment faire l'informatique étant nouveau pour moi qui appartient aux vieux qu'ont de l'age (l'ortographe est correct). Je crois que les histoires de l'Eden Hotel n'étaient que pure légende comme nous en avions des "kilos" quand nous vivions la bas (le mérou de Jeanjean) A PLUSS Gilou

 

Jean-Louis Féménias (1945) (Alger/Nice)

15/05/2006 15:41

En réponse à Paul Salessy (12/05/2006). Je ne savais pas que René (c'était son prénom) était gardien municipal de "oitures"; il avait déjà suffisamment de peine à se garder lui-meme, le pauvre. Effectivement, on disait qu'il avait la maladie du sommeil. Il se trainait toujours une ribambelle de gosses derrière lui (dont moi-même, malgré les admonestations de mes parents). Un jour, il nous avait montré sa maison miniature: un crâne d'agneau aménagé en maison de poupée dont les orbites étaient les fenêtres garnies de petites pâquerettes. Ça m'avait crevé le cœur de percevoir tant d'humanité et de tendresse dans ce personnage si sale et si misérable.
Par contre, je ne savais pas qu'il fréquentait l'Eden Hotel, au coin de Clauzel et de Bourlon, le coquin. En effet, et pour rester dans l'air du temps, l'Eden Hotel avait chez les élèves de Clauzel (et en fait dans tout le quartier) la même réputation que la Lune, le Sphinx et le Chabanais réunis (j'espère que je ne vais pas me faire censurer pour "incitation" ou manque de "bienséance"...).
REPONSE : Tu as raison, Jean-Louis, faut pas confondre bienséance et pruderie; alors, comme disaient nos bons pères, "nihil obstat" (c'est pas un gros mot, c'est dans les pages roses du Petit Larousse !). A propos de nos curés, et de la bonne conscience des braves petits catéchumènes, je me souviens de certains, du temps qu'ils étaient à Clauzel, qui achetaient des boules puantes, et se la jouaient façon descente de commando : objectif, l'Eden Hôtel, au 15 de la rue (Georges Salessy il est encore passé devant pas plus tard que ce matin). Tandis que l'un d'eux tenait écarté l'un des 2 battants de la porte d'entrée de l'hôtel (elle donnait sur un long couloir), les autres balançaient une rafale de leurs ampoules, et tous de s'égailler le coeur en chamade. Ils avaient fait leur petite croisade, la Morale était sauve ! La charité devait y trouver moins son compte... Je me souviens des deux petites filles qui habitaient là, pas tellement plus grandes que nous, elles devaient être les gosses des gérants. Leurs joues toutes creusées, leurs yeux cernés (non, j'en rajoute pas), leur maigreur, disaient au moins la malnutrition, sinon les coups, et la misère. Je crois aussi me souvenir que la mère était pareille que ses filles, elles se ressemblaient. Comme trois spectres tristes. Et si ça se trouve, cet Eden Hôtel, c'était même pas ce qu'on en disait... Si ? Qui aurait des tuyaux de 1ère bourre ?
Gérald.

 

christiane Brouillet née Mille( 1947 ) (la crau (83))

15/05/2006 15:26

Bonjour à tous, en réponse à Jacqueline Vuillermet née Atlan, je suis moi aussi de Barnave (1952/58) et de Delacroix (1958/62) et j'ai bien connu dans ces établissements Jacqueline Lévy avec qui je faisais également de la "danse " aux G.Laiques. A l'entrée en 6 ème nous étions les deux seules à nous connaitre de Barnave. Regarde les photos de Barnave envoyées à Esmma, tu pourras y retrouver Jacqueline et moi-même. J'aimerais avoir des nouvelles d'elle si possible et de toi mais je ne sais pas si je t'ai connue. Bien amicalement à toutes celles qui me reconnaitront.

 

Schneider (Bordeaux)

15/05/2006 14:15

Salut à tous les compatriotes. Je venais vous dire que mon livre, "LES COLLINES DE L'ESPOIR", Dély-Ibrahim, premier village français créé en Algérie, hommage rendu à nos ancêtres, sort bientôt. Vous pouvez déjà le commander en envoyant un chèque d'un montant de 26 euros à l'ordre de : TOURAINE MICRO EDITION à mon adresse: Arlette Schneider 197, rue St Genès Résidence Elysée St Genès BT B 33000 BORDEAUX. L'éditeur vous le fera parvenir après le 15 juin. Vous pouvez voir sa présentation sur: livres-romans.com et sur de nombreux sites pieds-noirs. Livre documentaire, historique illustré (La conquête française avec la prise d'Alger et la construction du premier village français). Ouvrage anedoctique illustré de documents des archives, de photos et cartes postales. Le lecteur est invité à parcourir les rues ensoleillées et balayées par les frais eucalyptus. Il revivra avec émotion, à travers ses souvenirs, les belles années de sa présence sur le sol algérien. Dély-Ibrahim, à 10 km à l'ouest d'Alger, aux portes de la Mitidja. "C'était beau là-bas pour qu'après tant d'années, je ne puisse l'oublier!". Merci et à très bientôt. Amitié de là-bas. Arlette

 

Marie-José Rachou (née Lopez)46 (Alger/Nîmes)

15/05/2006 13:21

A Odile Schneider...et pour ceux qui aiment les arbres, on peut voir une photo du bellombra situé en face du musée de Cherchell, et d'autres photos d'Algérie d'ailleurs, sur le site :
Vu l'imposante taille de son tronc, il a dû être planté...il ya belle lurette...

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

15/05/2006 11:46

Ma doué! Puisqu'on en est à l'orthographe, autant signaler que deux verbes qui se suivent ne se mettent pas forcément à l'infinitif! En l'occurrence et s'agissant d'un participe passé s'appliquant à deux femmes, l'orthographe exacte est : Odile, Hélène, vous avez été retrouvées... Mais bon, on aurait aussi bien pu écrire vouzavezétezretrouvez... l'important étant de se comprendre. :-))

 

Gil (91 Alger 92 Courbevoie)

15/05/2006 10:57

Jacques pourquoi j'ai plus la petite musique quand je visite le répertoire ?? Allez Jeanjean a raison inscrivez vous pour étre plus nombreux avez vous peur ? avez vous queque chose a vous reprocher?? Non ? alors allez y on se sent moins seul quand on est plusieurs (c'est pas une vérité ça) Gilou

 

Monserrat Emile (Agen ( Ancien d'Alger ))

15/05/2006 10:45

President de l'amicale des Pieds Noirs de Lot et Garonne, j'organise le 1er octobre a AGEN 47 un grand rassemblement pied noir, Je lance un appel a tous les anciens de l'ecole Clauzel en particulier à ceux ayant frequenté cette ecole a la fin et au debut de la fin de la guerre 39-45, Pourquoi ne pas profiter de ce rassemblement pour se retrouver ce 1er Octobre 06, vous les anciens de Clauzel et les autres aussi. Amitiés Pied Noir

 

Fatiha (Alger-Paris)

15/05/2006 09:32

Mme Ortega, je ne peux pas oublier que "deux verbes qui se suivent... e deuxième se met à l'infinitif", je voulais dire " Odile, hélène, vous avez été retrouvER..." mais le plus important , infinitif ou pas, le bateau a fait demi-tour par une trés belle matinée de mai 2006 ...comme si vous aviez oublié quelque chose d'important pour passer des vacances et ...revenir " au bercail"! Et rien que ça, c'est BEAU !

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

15/05/2006 08:04

Gil, le coupable ne s'est pas encore dénoncé. Mais laissons-lui le temps de comprendre la gravité de la faute! Peut-être que c'est sous le nom de Nounours qu'on le connaissait? Ou à cause de son caractère, ceci expliquant cela... Jeanjean, ya barel, tu parles d'Es'mma - qui mérite amplement ce que tu dis - au lieu de l'annuaire! Déjà qu'il y en a qui se mélangent les crayons, et toi le premier, si en plus on les enduit d'erreur, ils vont se perdre en cherchant à s'inscrire sur Es'mma. Donc, si tu veux qu'on arrive à 1000 inscriptions (un rêve...), il faut donner les bons renseignements : l'adresse du site de l'annuaire est en haut de la page. Pour ceux qui voudraient déposer une photo d'époque, époque veut dire avant et pas maintenant : comme tu dis, aujourd'hui on a plus l'air de chibanis (traduction libre de pot-au-feu) que de jeunes premiers!

 

Fatiha (Alger-Paris)

14/05/2006 23:05

Odile, Hélène, je suis si contente de savoir que vous avez été retrouvé avec autant de bonheur et d'amour la terre natale ! Marie, aussi jeune et tu as aimé cette terre, c'est un signe d'espoir pour les nouvelles générations, un signe de paix, d'apaisement, d'amitié !

 

Le Gac Marie 1978 (lyon)

14/05/2006 19:30

Partie à la découverte du pays de ma maman, j'ai mis enfin des images sur les récits entendus depuis toute petite. Aprés 44 ans, elle a enfin sauté le pas, et je ne voulais rater ce moment pour rien au monde. Les retrouvailles ont été émouvantes de part et d'autres, les Algérois nous ont ouverts leurs portes et leurs coeurs avec beaucoup de générosité. Comment ne pas avoir envie d'y retourner aprés un tel accueil? En tout cas merci à Yves d'organiser ces voyages qui permettent à tous de renouer avec ses racines et de pouvoir partager endemble tous ces moments. A bientôt Marie

 

Gil (91 ALGER 92 COURBEVOIE)

14/05/2006 19:30

MERCI Jean BRUA pour cet hommage à Lucien JASSERON un réel amoureux du sport en général et du foot en particulier à une période révolue c'est un bon SOUV. Quant à toi Jeanjean la cote du Victor Hugo partie basse a laissé aussi un SOUV. plus tard nous le faisions à moto en course apéritif ou quelqu'un un jour y laissa son moteur qu'il avait "gonflé" pour gagner- Il y avait moins de voitures en ce temps là (que les moins de 20 ans...) Jacques on a trouvé "gros nounours" s'est-il dénoncé?? La course aux SOUV. continue inscrivez vous APLUSS Gilou.

 

Hélène SCHNEIDER (La Redoute [ Montceau)

14/05/2006 19:18

Un grand bonjour d'Alger, où nous avons passé un agréable séjour, avec mes soeurs Odile, Christine, ma nièce Marie et tout un groupe "super sympa" ! Merci à tous ces Algérois qui nous ont accueillis les bras ouverts ! J'ai vécu des moments très forts et inoubliables ! Maintenant mon coeur est apaisé ! Un grand merci à ma soeur Anne-Marie, qui m'a fait découvrir ES'MMA, grâce à elle, j'ai pu reposer mes pieds sur ma terre natale! Quel apaisement ! Merci à Yves, qui nous a encadrés comme un grand frère ! Amitiés à tous !

 

tordjeman (alger)

14/05/2006 19:14

Je viens de me découvrir sur une photo du collège Pasteur, inédite pour moi avec toute l'équipe de sport accompagnée de Mlle Merlin quelle joie et aussi quelle émotion!!!!! la photo a été envoyée par Anne-Marie pastor. Serait il possible d'avoir son adresse electronique??? D'avance MERCI

 

Odile Schneider (La Redoute/Lyon)

14/05/2006 19:10

Petite info : les arbres impressionnants de la Place du Musée de Cherchell sont des BELLOMBRA, on en trouve également en Corse paraît-il.

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

14/05/2006 18:49

A toutes celles et à tous ceux qui viennent jeter un oeil sur es'mma et qui disent que c'est un truc formidable (et en plus c'est un truc genial) il faut leur demander, leur prier gentillement de s'inscrire dans le repertoire, car si nous voulons arriver à mille à la fin de l'année il faut se manier le popotin, ça ne viendra pas tout seul, et nous sommes en retard sur le compte, alors mes chers amis, vous avez bien cinq minutes à consacrer a es'mma, lui qui vous consacre tout son temps sans rien vous demander, devinez les tronches et les coups de coeur de ceux qui se retouvent grace à es'mma, et des fois de pleurer de joie ça fait un bien énorme et de revenir cinquante en arrière, c'est formidable, quand j'ai mis ma photo sur es'mma je ne savais meme plus que j'étais si beau à l'époque (cest une lectrice d'es'mma qui me l'a dit) mais si elle me passe à coté maintenant et qu'elle voit le pot-au-feu que je suis devenu, même pas elle va me regarder. alors profitez-en faites nous voir comme vous étiez beaux et belles, de toute façon on ne dira rien car nous sommes très polis à es'mma et pas méchants du tout, même si des fois il y en a qui méritent une botcha derrière la cabessa. es'mma leur pardonne , mais faut pas pousser non plus sinon avisssss il vous serre la vis et c'est tout a fait normal, car c'est un jouet magnifique, alors il ne faut pas le casser. OUF!!!!!! à plus et n'oubliez pas mille avant la fin de l'année!!!!!!! Jeanjean

 

Odile Schneider (La Redoute/Lyon)

14/05/2006 15:47

Le grand pas a été franchi, mon coeur est rasséréné : "Sentir ses liens avec une terre, son amour pour quelques hommes, savoir qu'il est toujours un lieu où le coeur trouvera son accord, voici déjà beaucoup de certitudes pour une seule vie d'homme" (Albert Camus).
Ce retour au pays de ses racines, a été une précieuse moisson : amitié, affection, humanité, attachement, générosité, délicatesse, tact. Ni notre histoire commune, ni nous-mêmes n'avons été oubliés... C'est ce que je veux retenir de mon retour à Alger.
C'est grâce à ma soeur Anne-Marie qui m'a fait connaître Es'mma et par "ricochet" Yves Jalabert, que ce voyage, que je pensais faire en secret depuis de nombreuses années, a pu se réaliser dans de parfaites conditions grâce à l'organisation d'Yves. Je regrette seulement qu'Anne-Marie, retenue dans l'attente d'une imminente et heureuse nouvelle, n'ait pu partager avec moi ces retrouvailles. Nous recommencerons ! "Inch Allah" comme n'ont cessé de le dire les Algérois ! Bonjour et amitiés à tous.

 

mas marie rose (alger---Montpellier)

14/05/2006 14:43

Bonjour a vous tous, J'aimerais retrouver mes amies de l'école Hamma-marine -Belcourt. J'ai habité jusqu'en 1962 au 18 rue villebois mareuil, je me souviens des années 57/58 ou j'ai la photo de l'école avec Bouskine qui était tres forte en dessin, Annie Spinosa, Renée Lafuma, Josette Cattala, Maria Hérréra et les autres dont je ne me souviens plus de leur nom (pardon, mais leur souvenir est très fort) aussi de notre maitresse MMe Testud, si vous vous reconnaissez, s.v.p faites moi signe, je suis née en 1944 le 4 août. Et si j'ai occulté pendant toutes ces annnées, j'ai un besoin vital de revivre le Alger de mon enfance, de ma jeunesse. Je suis en train d'écrire un livre que j'intitule " MA VERITE" sur tous les événements comme l'on dit pudiquement. Peut-être ne sera-t-il jamais édité mais je pense que cela sera une bonne thérapie sur notre souffrance de cet exil.
Voila, je suis arrivée sur ce site que je trouve magnifique, tout à fait par hasard et j'en suis très heureuse. Je me souviens également de cette maitresse de couleur qui nous enseignait d'une façon admirable l'Egypte, la Grèce par projection de films, et qui savait nous intérresser!!!!!!!
Je vis maintenant a Montpellier et je trouve qu'il y a très peu de pied-noirs Algérois, ou alors je ne sais pas chercher!!! Donc a vos plumes pour me répondre. Je vous attends avec impatience!!!!!!!!

 

Gérard Gaudino

14/05/2006 13:46

Bonjour et merci de faire revivre aux anciens d'Algérie leur histoire. Je suis le petit fils de Monsieur OLIVER Louis Honoré du Champ de Manoeuvre. Le Bar Jean Bart... toute une époque ! Mon père a participé à la construction de la glacière située rue des Colons à hauteur de l'école de la rue du 4 septembre; mon père Monsieur GAUDINO Mario était connu, artisan maçon, il a participé à de nombreuses réalisations et travaux : hôtel Aletti, Cintra... cinéma ABC.. magasins de la rue Michelet. Mon grand père et mes oncles étaient aussi de très bons escaliéristes. Malheureusement tout ses grands acteurs de la petite histoire ont disparu.. mais pas de notre mémoire. Merci pour votre contribution à notre histoire. Sincère reconnaissance. Gérard Gaudino

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

14/05/2006 13:36

Voila... j'a reviendu...!! Ah.. le voyage en bateau, une merveille, surtout avec une mer, très calme.. Comme le dit si bien René Drevot, nous étions tous des V.I.P. (Vieux Indigènes du pays..) Je laisse, dans un premier temps, s'exprimer ceux qui ont participé à ce dernier voyage, je pense qu'ils seront nombreux à vous livrer leurs impressions. J'ai fait tout plein de photos... y'en a pour (presque) tout le monde... je suis rentré, en autre.., à la salle Pierre Bordes, aux Galeries de France, qui sont en travaux pour être transformés en musée, j'ai comme d'hab, sillonné les rues d'Alger, de St. Eugène à Fort de l'eau, rendu visite à ceux qui sont restés "la bas" pour toujours. N'hésitez pas à me contacter si vous avez des questions particulières ou des photos que vous souhaiteriez, j'ai peut être ce qu'il vous faut. Voila, nous sommes tous revenus.. contents et satisfaits... dans l'attente du prochain départ. Un grand salut amical à vous toutes et tous, ravi d'avoir fait ce voyage en votre agréable compagnie... A bientot. Yves

 

vuillermet née atlan jacqueline 1947 (lyon france)

14/05/2006 11:29

Je suis née rue de Mulhouse, je suis allée à l'école de filles rue Daguerre jusqu'en1956 (j'ai dailleurs une photo de la classe enfantine de1952/53 que j'aimerais envoyer sur le site, mais je ne sais pas comment faire...), puis j'ai déménagé pour la rue Elysée Reclus (entre le 105 et le107 rue Michelet) et j'ai fréquenté l'école de larue Barnave jusqu'au CM2. Je viens de retouver ma meilleure amie Jacqeline Lévy, dont la vie m'avait séparée, à Nice, et nous avons été très heureuses de voir nos photos de classes de Barnave et du lycée Delacroix où nous avons été toutes deux scolarisées jusqu'en mars 1962 (classe de 3eme).
Je tiens à remercier Jacqueline Simon de les avoir envoyées.
J'aimerais retrouver des amies de Barnave ou Delacroix comme Elisabeth Ellenboguein, Annie Cohen-Solal et bien d'autres... Merci de leur communiquer ce message si vous les connaissez ou si vous même étiez dans ces classes de1956à 1962. J. Vuillermet

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

14/05/2006 08:16

Pour Madame Testud-Brusi, il y a sur l'annuaire des Echos d'Alger deux Elophe, Alice et Raymond, il se peut que se soit de la famille à la dame que vous recherchez, avec un peu de chance, Mektoub!!!! Jeanjean

 

ruiz henry (alger-isére)

13/05/2006 21:57

A Paul Salessy. Ce n'était pas un gardien municipal c'était un pauvre clodo qui avait la maladie du sommeil. Nous le connaissions trés bien avec un ami dont les parents avaient l'atelier La Reliure Saint Charles, à gauche de l'eglise Amitiés P.N Henry

 

Anne-Marie Lafon-Jory (1944) (Lyon)

13/05/2006 18:36

Voyage à Alger par bateau (suite). Je viens de recevoir un appel téléphonique de la Directrice de l'Ecole Caussemille qui m'a reçue jeudi matin très chaleureusement. Elle voulait savoir si j'étais bien rentrée et en bonne santé ! J'en suis extrêmement touchée. Il m'est difficile, encore aujourd'hui, de réaliser ce que j'ai vécu durant ces quelques jours.
Je vous souhaite à tous de connaître ce bonheur de retrouver les traces de son enfance. Encore un grand merci à Yves. Amical souvenir à tous les participants de ce voyage qui m'ont été d'un grand soutien.

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

13/05/2006 14:38

Bravo Jeanjean, tu as pigé le truc (eh! pas trop compliqué, qua même, hein?). Bon, maintenant je vais sévir: que celui qui a déposé un nounours à la place de sa photo se dénonce de lui-même et corrige ça vite fait! Je sais qui c'est mais je ne dirai rien: à lui de comprendre et de s'exécuter de bonne grâce avant la botcha (morale, bien entendu)... Et encore je parle pas de ceusse qu'y ont posé une photo de métenant ou carrément avec madame, quasiment devant leur maison de retraite! Qui c'est qui va les reconnaître, hein? Y'a quelqu'un qui l'a déjà remarqué et je ne peux que lui donner raison. Encore un et on arrive à 400, comme les coups du même nom... Il y a une nouveauté: on peut maintenant voir la trombine de ceux qui ont déposé une photo à partir des listes, sans avoir besoin d'aller dans les détails. Je suis le Monsieur Ducros de l'annuaire, je me décarcasse et... zbouba. Il y en a encore un tas qui écrivent mais ne s'inscrivent pas. Faut-il que je rappelle que c'est l'un des (rares) outils permettant réellement des retrouvailles?

 

René Drevot ( 1943) (Fontvieille)

13/05/2006 12:30

Suite de mon précédent message, limité par le nombre de caractères disponibles, pour adresser une amicale pensée à tous les participants de voyage de mai. Ces retours donnent l'occasion de connaître d'autres "déracinés" et éventuellemnt de nouer de futures amitiés. Je veux dire encore merci à Yves et, si il le peut, de penser, pour l'année prochaine, à Colette " la Bônoise" qui veut comme moi vivre ces émotions et retrouver la ville d'Annaba et surtout le "coeur" de Bône
Au fait, c'est aujourd'hui le 13 Mai et j'ai personnellement quitté Alger le 19 mai 62, depuis j'ai du mal à évoquer "le joli mois de Mai" et ai tendance à le rebaptiser (pardon pour les fervents catholiques) le "mois des marris". Amicales pensées à tous. Colette et René.

 

Testud née Brusi Elisabeth (La Motte Var (Alger))

13/05/2006 11:44

Je suis toujours à la recherche de Marie-Thérèe Elophe (élève de Delacroix comme moi de 55 à 62) qui a changé de nom en 63 pour cause de mariage, si quelqu'un peut me donner de ses nouvelles j'en serais très heureuse. J'ai essayé plusieurs annuaires PN sans succès.

 

René Drevot (1943) (Fontvieille (13))

13/05/2006 10:33

Nous voila de retour de ce voyage à Alger, la tête pleine d'images de notre ville, de notre pays et le coeur chargé d'émotions. L'arrivée par bateau a été un moment fort de ce retour aux sources. Grâce à Yves et à sa demande auprès du commissaire de bord nous avons bénéficié du privilège, réservé aux V.I.P. (Vieux Indigènes du Pays !!) , d'accéder au pont à l'avant du bateau et d'être "aux premières loges" pour voir les côtes et l'arrivée dans la baie. L'émotion fut intense et ressentie par tous, faisant naître pour beaucoup, dont j'étais, les premières larmes de ce pélerinage. Par la suite, chaque jour, pour chacune et chacun se furent les retrouvailles des quartiers, des rues, des écoles et Lycées, des amis pour certains, et enfin des maisons familiales où l'accueil des actuels occupants fut chaleureux et sincère (oui n'en déplaise aux sceptiques et aux incrédules). La encore l'émotion et les larmes ont accompagné l'évènement. D'autre part, et je le dis d'autant plus volontiers que je lisais, non avec scepticisme mais avec une certaine réserve, quant à la fréquence, les témoignages des voyages précédents évoquant les souhaits de bienvenue et les discussions spontanées entamées dans les rues, les restaurants et autres lieux par les Algériens, C'est la réalité, chaque jour, et ce plusieurs fois, nous avons tous vécu ces moments forts de rencontre avec , surtout des hommes , de tous âges qui nous souhaitaient la bienvenue, évoquant "le bon temps" et pour certains les regrets. A aucun moment, je n'ai mis en doute leur sincérité, sauf à imaginer que nous n'avons rencontré que des grands comédiens. Bien sûr je ne veux pas tomber dans l'angélisme consistant à croire que tout le peuple algérien est dans ces dispositions. Je veux dire à tous ceux qui hésitent encore à faire ce voyage de retour et même à ceux qui s'y opposent, faites le saut vous en reviendrez, comme moi, émus et APAISES. Merci à yves pour sa sollicitude. Amitiés. René

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

12/05/2006 23:28

à Monsieur Paul Sallesy, la station du bas du bd v.Hugo et de la rue Sadi-carnot, n'était-ce pas une station Shell avec le fameux numéro de telephone 666.66 que tous les automobilistes connaissaient bien pour les dépannages? Et pour nous cyclistes, monter le bd Victor Hugo était un calvaire, c'etait un effort court mais violent, car il ne fallait pas faire "roue-libre" sinon c'était la gamelle à tous les coups et la dégringolade jusqu'en bas. Marcel Zelasco une fois a foiré une roue fixe, et vous devinez le résultat, de plus il nous fallait serrer les courroies des cales-pieds et nous étions comme attachés au vélo; impossible de retirer les pieds des péédales, mais c'était le bon temps de nos jeunes années. Bonne nuit à tous à plus Jeanjean

 

Ferra Danielle (Paris/Alger)

12/05/2006 23:08

Bonsoir à tous. Oui Philippe, je me souviens de ce coiffeur en montant de la place Hoche vers la rue Michelet sur la droite, c'était un coiffeur pour hommes, mais papa m'y emmenait lorsque j'étais toute petite, et il passait la tondeuse sur ma nuque, ce qui me faisait bouger tout le temps (à cause des chatouilles), et un peu pus haut sur la gauche il y avait un bar, chez Yacinthe il y avait un billard, c'est là où papa jouait. Et je crois au jacquet aussi. Bisous à vous tous.

 

paul salessy (bubry (56))

12/05/2006 21:12

En descendant le bd Victor-Hugo, dans sa partie basse (la plus abrupte), vers l'avenue Sadi-Carnot, se trouvait, après le cabinet du docteur Bentolila, un magasin (petit) d'exposition de meubles qui avait succédé à un atelier de menuiserie. Plus bas, un garage. A l'angle de la rue sadi-carnot, à droite, une station service BP (?) et un peu plus loin une menuiserie devant laquelle il était possible de s'arrêter pour regarder les ouvriers travailler. Est-il possible d'avoir plus de précisions?
Rue clauzel, en allant vers l'école, qui se souvient du gardien municipal de voitures (dans les environs de l'église Saint Charles) qui devait être atteint de la maladie du sommeil. La plupart du temps, complètement courbé en deux. Mais, quand il avait suffisament de flouss, on l'apercevait vers l'hôtel situé presqu'en face de l'école, où il semblait attendre son tour (de passe).

 

Jacques Prat (1941) (Aix en Pce)

12/05/2006 20:11

Pour l'annuaire de Jacques Abbonato, plus que 2 et ça fait 400... alors qu'est-ce que vous attendez ?... j'ai entendu dire qu'à 500 il envoyait une bouteille de Selecto... J'ai vu aussi qu'i'en avait qui mettait des photos d'acteur de cinéma ! ... Non ! c'est d'la triche... de la concurrence déloyale ! ma parole !

 

Anne-Marie Lafon-Jory (1944) (Lyon)

12/05/2006 19:49

Bonjour à tous. Je viens juste de poser mes valises, de retour du voyage à Alger par bateau avec Yves : UN VRAI BONHEUR. Il me tarde déjà de refaire les valises pour y retourner. Bises à tous.

 

RAVEU BERNARD (Saint Médard en Jalles 33)

12/05/2006 19:25

Bonjour. Sur les photos de classe Lycée Gautier 1960-611ère A'C1, à coté de Fine, X c'est moi, Bernard Raveu. Bonjour à tous les anciens de la classe!

 

Christian TRUCHI (evry - 91)

12/05/2006 18:44

Le 29/04, Jean-Jean a évoqué les incontournables magasins pour l'équipement vestimentaire du "pointer" de base: Erco, Romoli, Bailly et autres Genestier. Qui n'a chaussé, à cette époque, ces mocassins à la ligne si peu classique: les Trappeurs, avec leur lacet de cuir qui faisait le tour de la chaussure et se nouait sur une très large languette? Ils me rappellent toujours une anecdote familiale. Rentré un soir avec ces atypiques chaussures aux pieds, j'ai eu à affronter quelques sarcasmes paternels. A quelques temps de là, mon père a dû s'acheter aussi une paire de chaussures; il ne supportait pas les affaires neuves et, ayant le même pied, j'étais toujours chargé de lui "casser" ses chaussures pendant quelques jours et je lui ai donc proposé mes Trappeurs en attendant. Quelques jours plus tard, quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'il me donna de l'argent... pour m'acheter une autre paire de Trappeurs. Non seulement les petits sarcasmes ont cessé, mais il est devenu un véritable adepte de ces chaussures qui, à mes yeux, avaient un confort et une souplesse que je n'ai plus jamais retrouvés "ac les chaussures de main'nant". Et oilà!

 

Gil (91 ALGER 92 COURBEVOIE)

12/05/2006 17:50

Jeanjean j'ai vu la photo un peu posée mais la classe!!! Philippe le coiffeur en montant rue Hoche presque face à Lounes à droite en montant c'était Martinez à coté des motos PUCH et son fils Normand était à Clauzel et sur le trottoir à gauche aprés la rue Barbés un bar dont la patronne s'appelait Nana avec des "pingfoots" qui nous prenaient nos aprés midi (au lieu d'étudier nos cours). C'était aussi le rdv des joueurs de foot du RASA---et un fourreur, Susini, dont le fils était aussi à Clauzel.. Ah cette rue Hoche que de SOUV. a-t-elle crée- APLUSS pour d'autres SOUV. Gilou-

 

marie de bab el oued (alger)

12/05/2006 17:43

Au sujet des photos: je ne citerai pas de nom mais y'en qui mettent leur photo de leur dernières vacances !!! Franchement.....! Gt petite fille en 62 et si je mets une photo de maintenant que personne i me reconnait, et que i me demandent tous des orthographes en pensant que je suis Monica Belluci...... C'est poutant pas compliqué de mettre une photo de l'EPOQUE.

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER)

12/05/2006 17:42

Brave Jacques, tu devrais savoir qu'à un bouricot, tu lui coupes la tete et la queue, et c'est toujours un bouricot, en plus d'espagne!!!! Maintenant ça y est j'ai fini par piger, et vise la photo du vieux en Mai I962, c'est plus pareil, et celle-la elle vient de chez Rolando de Belcourt, et si tu regardes bien il y a la casserole pour le meme prix. Surtout mesdames ne vous pressez pas il y en aura pour tout le monde, on peut rever!!!!!!!! Du coup hier matin je ne savais pas scanner une photo, la je m'en suis farci trois, à la suite. Gil à toi maintenant, fais moi voire ce que tu sais faire, Pardon Jacques, à Plus,Jeanjean

 

Brusi Huguette (Marseille)

12/05/2006 17:02

A Marie-Jeanne Planès. Tu as peut être lu mon précédent message, mais une erreur de frappe avait affecté mon adresse electronique... J'ai donc apprécié de voir ma photo de 6éme et j'en profite pour ajouter un nom à ta liste: rang du haut,2ème à droite: Danielle Benazerra. En 5ème, c'est bien Mme Caniot Grâce à qui j'ai découvert le plaisir des maths! J'espère te lire bientôt.

 

Jacques Prat (1941) (Aix en Pce)

12/05/2006 17:02

A Philippe Redon: L Pages !! place Hoche, je revois très bien son magasin, je m'y suis acheté d'occas (vers 58 ou 59) un cornet à piston, que j'ai toujours. Je viens de le sortir de son étui, il y a bien marqué en-dessur "L Pagés Alger". Pour ceusse que ça intéresse, je vais essayer de photographier le pavillon gravé, ça alimentera peut-être les kémias... mais ça risque d'être dur parcequ'il est assez mité... C'était l'époque où à Alger les orchestres New-Orleans foisonnaient ... des bons et des moins bons... nous en avions "monté" un avec Jean-Jacques Martimor, Claude Rosello, Gérard Bernard, François Plantey, Patrice Arnaud-Battendier... ils doivent peut-être me lire, je ne dirai donc pas dans quelle catégorie je le classe... Nous l'avions baptisé "les new dixie stompers"... excusez du peu...

 

Jacqueline (1948) (Alger (et toc!))

12/05/2006 16:49

Pour Jacques : merci de ton site. J'ai entrepris un échange épistolaire on line avec un des inscrits, homonyme de ma grand mère. Dès fois qu'on serait petit petit cousin! Comme dit une publicité : "ça marche"... On devrait interdire l'accès à Esmma à ceusses qui ne se sont pas inscrits chez toi!!!!

 

Jacqueline (1948) (Rome)

12/05/2006 16:43

Pour les enfants du quartier Meissonier. Je viens de voir sur le blog de biladi une photo de «notre» pharmacienne Mme Degueurce, rue Elie de Beaumont. Et cela a fait tilt dans la mémoire, la revoyant haute en jambes (bronzées..à savoir pourquoi ?), chaussée de naïls, traversant sa pharmacie a grandes enjambées (of course). J’ai presque eu l’impression de l’entendre parler. Elle a été à l’écoute de nos maux et nous a pesés quand nous étions des tout petits bébés en conseillant nos mamans sur notre alimentation. Un tout petit bout de notre histoire est liée à elle. Paix à son âme, car j’apprends qu’elle n’est plus. Je profite de l’occasion pour réveiller ceux de mon quartier. Ok pour la rue Hoche mais nous aussi on a des souvenirs.. RUES BARNAVE/MEISSONIER/ELIE DE BEAUMONT/LA TOUR D’AUVERGNE/AUBER …ça ne vous dit plus rien??? Le vendeur de petit lait, le bar Pénalva, la coiffeuse Rouche, le boucher Akli, le marchand de beignets, la boulangerie Cremona, le marché Meissonier ..Hein ?? C'est juste à coté de la place Hoche, alors..remuons nos meninges! Bonne fin de semaine à tous

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

12/05/2006 12:57

Jeanjean, c'est une photo d'époque qu'il faut mettre dans tes données, c'est-à-dire une qui date d'avant l'exode ou des quelques mois qui ont suivi!!! Je sais que je me répète mais il faut associer son nom à une image du temps où on nous a connus, c'est fondamental pour être reconnus si on a oublié les noms et si les précisions ne suffisent pas. L'album, c'est pour les photos de cette époque ou de celle d'après: ça n'a pas du tout la même importance.

 

Philippe REDON (1937) (37550 St Avertin)

12/05/2006 11:46

Une petite contribution pour enrichir l'annuaire " place Hoche" que nous ne manquerons pas de créer un jour...: entre la rue Clauzel (grands n° à gauche en regardant vers la rue Michelet ) et la rue Hoche : - Une fabrique de raviolis (?) - un marchand de musique: M.Pagès - un tapissier bourrelier: M.Pons (?)
Ensuite, en remontant la rue Hoche : - La permanence du Parti Communiste Algérien (avant 54, bien sûr! ) - Salah, le mozabite - la pharmacie Collinet (avec son préparateur: M.Machtou - l'épicerie Lounès
Plus haut, la charcuterie Farrugia... En face mon coiffeur, dont je ne me rappelle plus le nom.
En montant toujours, aux angles de la rue Denfert-Rochereau, la patisserie Devésa, une quincaillerie, tenue par une demoiselle (Goujon?)
Plus haut la "tribu" Petit-frère...
A d'autre de jouer et de rajouter des noms...

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

12/05/2006 10:19

Jacques, le roi des calamars a reussi à mettre sa photo dans son pedigrée, grace à toi, tu peux vérifier, je commence à piger, d'ici une vingtaine d'années, je vais pouvoir me debrouiller tout seul, si il y a des ordinateurs au ciel, allez Gil à toi fais nous voir ce que tu es capable de faire; " on a beau dire on a beau faire contre les Pieds-noirs il n'y a rien à faire" A plus Jeanjean de Belcourt -des-halles-d'alger.

 

Philippe

12/05/2006 08:35

Aucune inquiétude, Marie-Claire ! Je reçois des e-mails et des courriers (dernièrement d'Allemagne) accompagnés de photos extraordinaires (le rocher plat en 1947, les vérandas, etc ......) qui retracent la grande aventure d'El-Kettani depuis ses débuts. J'ai même eu l'adresse de Malou ! J'ai demandé à notre grand voyageur d'essayer de prendre en photo la balise, histoire de montrer de quelle hauteur on plongeait. J'espère qu'il aura eu à temps mon e-mail. Dès que tout çà sera au point, je me ferai un plaisir d'adresser le tout au grand chef pour faire partager nos souvenirs à nos amis Esmmaïens.

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

12/05/2006 07:51

Jeanjean, qui c'est le roi des calamars? Gil, il parlait de mettre une photo avec ses données, pas dans l'album! Mais tu as raison sur un point : c'est aussi facile dans les deux cas. On peut même pousser plus loin : cette photo que tu as mise dans l'album aurait bien plus sa place dans tes données. Alors, exercice : tu enlèves (si tu veux) la photo de l'album et tu la ranges avec tes données, là où elle sera bien plus utile. Sinon, ben tu l'ajoutes au bon endroit mais c'est pas malin parce que ça bouffe de la place. Correction demain :-)). Les autres, n'énervez plus les nerfs de nos cailles et mettez vos trombines à leur place : 69 sur 397 l'ont fait, alors pourquoi pas vous? Il vous reste bien une vieille carte d'identité, un vieux document comme une carte d'adhérent au RUA (je vais me faire massacrer) ou à El-Kettani, non? Une photo dans un youpala ne ferait pas l'affaire... ni une des années 80 ou 90 (si, si, il y en a qui l'ont fait!).

 

janine sampere 1946 (oliva espagne)

11/05/2006 20:36

Bonsoir et merci a tous pour vos messages. Je ne me croyais pas nostalgique et me voilà "tourneboulée"!! Gil je voudrais te rappeller que le bd V.Hugo, très sombre, était l'abri des amoureux dès le soir tombé. Mon frère Pascal figure sur 2 photos de classe de l'école Clauzel dont une avec une très jolie maitresse qui s'appellait Mimi. Que de souvenirs tout d'un coup! J'hésite à savoir si cela fait du bien ou du mal. Je me souviens du libraire de la place Hoche, à qui ma mère avait acheté 1 livre qui s'appellait "les passagers pour Alger", lui dire "attention c'est scabreux, à ne pas laisser à la portée des enfants" c'est bien entendu ce que j'ai lu aussitot! A bientot.

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

11/05/2006 18:03

Mon petit Gil, j'ai réussi du premier coup à mettre ma photo dans l'album des pieds-noirs, quand c'est bien expliqué même le roi des c....alamars peut le faire la preuve!!!!!! Tu regarderas dans Jeanjean à vingt ans et c'est moi le plus beau!!!!!! Merci Es'mma

 

marie-claire colinet ( ecquevilly Alger

11/05/2006 16:28

Je suis comme Marie de BEO !!!! Moi aussi, j'ai les nerfs TRES ennervés !!!!!!!!!!!!!!!!!!
Alors ceuss d'El Kettani, vous n'existez plus ou quoi ? Purée !!!! il faut vous mettre le doigt sur la souris de l'ordinateur pour que vous vous fassiez connaitre? S'il ne reste que Philippe et moi.....dans la piscine ......il y a des jours où j'ai des grands moments de solitude !!!!! En plus ceuss du RUA, ils doivent se marrer !!!!!!!!!!

 

GDLLDB (soi-même)

11/05/2006 14:31

Nouvelle version (la 4ème) de la rue Tancrède ! Avec deux extraits de l'Echo d'Alger, spécialement dédiés à Jean-Paul ! Maintenant elle commence à être complète, la p'tite ruelle, non ? Cette fois, j'arrête et je passe à autre chose. Christian, je t'appelle, il y une de tes 2 photos que je n'arrive pas à ouvrir !

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

11/05/2006 12:14

Pour Gil - et les autres - : alors là, c'est de la mauvaise foi!!!! Pour ajouter une photo de soi, il n'y a rien de plus simple : on va dans ses données (la loupe à droite de son nom), on demande à les modifier et on trouve un lien à droite de la rubrique Photo : Ajouter... On clique dessus et on se trouve en situation de le faire. Ensuite, on peut la modifier ou la supprimer grâce à deux autres liens placés sur la même ligne. Ouala.

 

Geneviève BORDIER 1942 (Rue Denfert-Rochereau Na !)

11/05/2006 09:26

Je ne peux pas laisser se terminer ma semaine de travail (!), sans venir vous faire un coucou... une droguée koi !... D'abord dire à Georges qu'il m'a manqué comme à bien d'autres. C'est un timide j'vous dis !... Je viens de lire un de ses derniers messages où il parle au présent, nous faisant revivre (en live...oups !) une de ses ballades dans Alger, celle-ci aux Galeries de France. Ce n'est pas la première fois que tu emploies le présent Georges pour nous faire partager tes souvenirs, et je peux te dire que c'est extra.
Bon, pour ce qui est du Sphinx...heu là... les messieurs parlent au passé !.. Et pour cause : pas vus...pas pris !... En'y'en'y'en.. si vot'mère el'savé ça !... Eh bien moi j'ai un souvenir du Sphinx. Si..si...si... Au 48 rue D-Rochereau ma grand-mère hébergeait aussi mes 4 cousins germains internes à Bugeaud ou Maison-Carrée voire N-D. d'Afrique. De 10 ans mes aînés le dimanche matin, sur des airs de musette à la TSF, ils m'apprenaient la valse et le tango. Je surprenais parfois des conversations où il était question (entre autres) d'un Sphinx. A leurs airs de conspirateurs, j'avais bien compris qu'il ne s'agissait pas d'un devoir d'histoire antique. Curieuse :" C'est koi?". "Ca te regarde pas!". Pardi !
Il y a 6 ou 7 ans, lors d'une réunion de famille je ressortis cette anecdote devant leurs épouses ébahies. L'un d'eux, tout rouge s'offusqua : "d'où tu sors ça !". Eclat de rire général. Puisque cela ne me regardait pas, j'avais pris mes infos auprès de mes copines plus "averties" que moi. Non mais !... A Oran c'était la "Villa des Roses" je crois. Non ?.
Bon retour à nos amis: avé le Mistral qui souffle, y'en a ki doivent être accrochés au bastingage !...Mais ils auront vu la côte s'éloigner lentement, avec la certitude que ce n'est pas la dernière fois qu'ils la voient. C'est peut-être pour cela qu'en 62, je n'ai pas pleuré. J'avais de la peine. Oui. Mais peut-être savais-je déjà que je reviendrai.

 

Gil (91 ALGER 92 COURBEVOIE)

11/05/2006 09:25

Merci GGDLLDB d'avoir passé mon long trajet école en 2 parties je n'osais pas l'écrire le trouvant trop long et trop banal mais il a réveillé des souvenirs chez certains- C'est curieux que JASSERON du RUA n'a pas fait réagir (nous étions si fiers de le saluer quand il passait )- Les lieux, les sons, les odeurs stimulent le passé de nos mémoires et qu'importe une rigoureuse exactitude l'humain préférant souvent oublier les mauvais moments et enjoliver les meilleurs pour garder SES souvenirs que nous avons la joie de partager sur Es'mma - Marie de BeO si je savais le faire il y a longtemps que j'aurais mis ma trombine sur le répertoire - Recuerdos a todos-

 

pierre montiel (alger cannes)

10/05/2006 22:59

Message à Janine Semperé . Mes parents avaient la boulangerie REGINA rue Ml LYAUTEY
j'ai connu un Sempere qui faisait du judo au J C A chemin Yussuf, il me senble que c'était le fils de la boulangerie SEMPERE rue Hoche, en tout cas mon père Joseph connaissait bien le tien. Par contre je passe très souvent dans l'année par Oliva, j'y ai de la famille en me rendant a Benidorm. Moi-même je suis de 1947 et je revois bien la boulangerie de tes parents. J'ai été élève du lycée GAUTIER jusqu'à 1966.

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

10/05/2006 22:15

Chère Lady (il n'y en a qu'une qui sache compter !). J'aurais du figurer sur la photo de classe du Ce2 (45-46), Ecole Clauzel, comme l'a si bien consigné notre cher Instituteur Di-Crecenzo. Madame Naniche n'était pas l'Institutrice de maternelle, mais de Ce-1 (l'école maternelle était rue Tirman, voisine avec Madame Laborda): Donc en CE-1, je devais avoir 6 ans, en 1944 (et non 1942 !). L'examen d'entrée en 6ème était pour les élèves agés de 10-ans. C'est à cet époque, 1948, que Madame Naniche fut provisoirement "examinatrice". L'essentiel de ces souvenirs est de sortir de l'oubli quelquefois, ces merveilleux enseignants (qui ont laissé à certains des souvenirs cuisants), mais c'était une autre époque, où l'éléve saluait son maitre à dix pas, et l'instituteur était maitre après Dieu dans sa classe; et ne craignait pas qu'on lui vole ou brule sa voiture, car il venait comme ses éléves, en bus ou à pied, à l'école de la République. Mais qui cela import (INTERROMPU)

 

Ferra Danielle (Paris .Alger)

10/05/2006 19:58

Bonsoir à toutes et tous. Gil et Jeannine, quelle joie de vous lire ! Gilles qui se souvient de l'ébénisterie de papa, Joseph Ferra, devant laquelle il passait, beau magasin, dont la devanture peinte en marron, avait des lettres dorées, Joseph Ferra Artistic Mobilier… A l’intérieur, les ouvriers travaillaient le bois, certains sifflaient, j’ai l’image des copeaux qui tombaient par terre, et l'odeur, cette odeur qui me poursuit toujours du bois que l'on travaille.
Jeannine, la fille de notre boulanger, à qui papa allait acheter ses fougasses à 4 h du matin lorsqu'il partait à la pêche, au Sport Nautique, Monsieur Sampéré dont la boutique était fermée, nous ouvrait une porte sur le coté,et nous donnait le fruit de son travail, que nous emportions avec l’omelette de maman et autres victuailles qu’elle avait préparées.
A la sortie de l’école, je me souviens des sablés à la confiture qui faisaient notre goûter quelques fois, ou du grand palmier que l'on appelait à l'époque "l'oreille du curé" va savoir pourquoi!!! Les figues en pâte d'amandes........ ( oui oui je sais, je suis gourmande !!!) Je n'ai jamais retrouvé ce goût dans les autres pâtisseries depuis notre départ.
Bienvenus à Esmma, ainsi que les autres nouveaux. Gil qui habite la banlieue, bienvenue à notre prochaine réunion du 24 mai. Bonne rentrées à nos voyageurs, coucou Yves, Jacqueline et les zôtres., on est pressé que vous nous racontiez… l’arrivée en Bateau ! Bisous à toutes et tous

 

marie de bab el oued (alger)

10/05/2006 19:00

J'ai les nerfs énérvés. Pouroi ? Pasque vous zêtes une bande de nuls. Pouroi vous zêtes une bande de nuls ? Purée et encore i le demande !!! J'vais vous espliquer moi pouroi. Maurice Dupont (c'est un exemple hein, que Maurice Dupont i me lance pas le mauvais oeil) quand tu mets ton nom dans le répertoire des pieds noirs tu peux pas mette ta photo avec ? Que comme ça on te reconnait ? Que des fois les noms i nous disent rien et que les photos elles nous disent ... Alors, bessif tu va aller mettre ta photo . J'vous avais averti : j'ai les nerfs énérvés.

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

10/05/2006 18:47

Un très beau proverbe de La Bruyère: "C'est une grande misère que de ne pas avoir assez d'esprit pour bien parler, ni assez de jugement pour se taire." A ajouter à l'Aviss à la Population....

 

LLORENS Jean-Jean 1934j (ALGER Belcourt les halles)

10/05/2006 17:46

En tant que Belcourtois, je crois qu'il serait bien venu de dire un Grand MERCI à ES'MMA pour l'acceuil qu'il nous réserve, car actuellement, c'est le seul site qui accepte "les étrangers" de leur cher quartier, avec autant de gentillesse, et "gratuitement". Si cela continue à la fin du sigle Es'mma il faudra y rajouter un B pour belcourt. Mais c'est déjà très bien comme ça. Donc pour Es'mma "hip hip hip " mille merci et j'espère que les Belcourtois ne cracherons pas dans la soupe ! Surtout souvenez-vous "Oublier c'est Trahir" Jeanjean

 

Lady X ALG 42

10/05/2006 17:16

Georges, je ne veux pas être méchante, mais vous éveillez ma curiosité... En 42, vous aviez donc quatre ans, puisqu'en principe vous êtes de 38, et déjà vous receviez des bons points, pour votre écriture???? Alors là, vous étiez un surdoué..., car à cette époque en maternelle, l'écriture ??? Vous n'étiez pas à votre place, vous auriez du être au moins au CP, ...ce qui explique votre facilité à noicir le papier, disons l'écran! Heureux de vous retrouver, après votre long silence! Un grand bonjour à nos chanceux voyageurs! Amicalement à tous. Avez vous remarqué Mesdames...., ces Messieurs, sont heureux d'aborder enfin des sujet sérieux!!!! Comme.....les maisons closes! Attention, pas trop de confidences, ces dames pourraient bien se venger!

 

CONCI (aix en provence)

10/05/2006 16:31

Je reponds à MONSIEUR LEVY en ce qui concerne Madame NANICHE elle couvait ses poussins favoris sous aile droite. C'était en 1948 à Clauzel un poussin a sifflé dans son dos à plusieurs reprises ne sachant pas qui était le coupable cette dernière a fait siffler toute la basse-cour et a décrété que c'était moi qui avait sifflé. Elle a été survoltée et m'a mis une correction dont je me souviens encore, les règles ont été cassées sur mes doigts et mon dos, chose qu'à l'heure actuelle je n'ai pas oubliée, et le directeur en a fait de même alors que j'étais innocent.

 

Jacqueline (1948) (ROME)

10/05/2006 15:27

Accumulons les archives. Du site www.profburp.free.fr (où vous trouverez d’autres merveilles), voici un précis de géographie sur notre Ville datant de la fin du 19ème siècle. . Encore plus loin dans le temps: ce qu’était notre berceau en 1828
et en …1764 (VOUS LISEZ BIEN... LE CAP MATIFOU …ça ne s’invente pas !!). D’autres cartes de notre Baie chérie à voir sur ce même site. Bonne lecture

 

Richard Chéron (Télemly-Belcourt-Nantes)

10/05/2006 14:58

L'emprise géographique d'Es'mma s'étend désormais largement sur Belcourt mais c'est la première fois qu'on parle de la rue Villebois-Mareuil (Gabriel Gomis le 05/04). Certes elle n'est pas bien grande ni très belle () mais c'est là que j'ai vécu de 1952 à 1962. Et mon vélo venait de chez Molines... Quant aux cafés Nizière, le siège était peut-être rue Marey mais l'usine était là :
en face de chez moi.
Amicalement, Richard.

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

10/05/2006 14:45

Gil, il faut relire "Nos Maitres" en deux photos de Jean Dicrecenzo, pour revoir cette bonne Madame Naniche une mère couvant ses petits poussins que nous étions!! A l'examen d'entrée en 6ème, elle était la surveillante qui nous faisait passer l'épreuve de Dictée. Je ne sais si vous vous souvenez du film de Fernandel-Instituteur dictant un texte à se décrocher la mâchoire pour bien se faire comprendre, et bien Madame Naniche, elle, répétait, épelait ses mots de telle facon qu'il était impossible de commaitre une faute d'écriture !!! Diable, cela me ramène en.. 1942. A Clauzel, en fin de semaine, elle distribuait largement des billets de satisfaction, des "Biens" et des "Très Biens" imprimés sur fond de...drapeaux Anglais ou Américains qui venaient de débarquer le 8 Novembre !!! Bien sur elle consultait avant son cahier de notes,mais les garnements que nous étions tous, profitaient d'un moment d'inattention (elle était myope) pour dérober quelques uns de ces billets du paquet rangé sous l'estrade...pour plus de sureté d'etre accuueilli triomphalement à la maison !! Quelquefois, pendant la classe, son grand fils si ressemblant, entrait en classe pour parler à voix basse à sa mère. Chose banale, mais toujours un évenement à cet age candide (Il est je crois devenu Ingénieur ). Gil, le magasin de Roulements à billes est de la Société S.K.F. C'était le bien heureux fournisseur de l'atelier de mon père (la S.I.A.T.E.M. à Hussein-Dey,rue Boench); dont les créations mécaniques absorbaient beaucoup de ces roulements, à billes ou à aiguilles de toutes les tailles! Une provision sans fin de munitions pour les "Taouètes" (Tire-boulettes)... Roulement de Tambour pour commémorer ces jours enfuis...

 

yjalabert

10/05/2006 14:02

Un grand Salut d'Alger ou le soleil est au R.V., le ciel bleu et tout et tout, tout va très bien, c'est le bonheur total pour les 25 participants. Joie, rencontres, émotion, rires, larmes. Nous reprenons le bateau demain matin avec beaucoup de regret, mais comme le disent tous, nous reviendrons... Yves

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

10/05/2006 12:51

Du Livret de "Lakmé", Opéra de Léo Delibes: "Quand une femme est si jolie, Elle a bien tort de se cacher".
J'ai décidé. Ce Jeudi après-midi de printemps, j'irai au rayon des jouets des Galeries de France. Sans un centime en poche, mais seulement pour y admirer le voilier en bois que je rêve de faire naviguer sur le grand bassin du Parc de Galland. Je me sentais encore un enfant, malgrès un fin duvet qui commencait à orner ma lèvre supérieure. Comme d'habitude je marche à pas rapide, je connais le trajet par coeur, mais ces sacrées chaussettes hautes que ma mère s'obstine à me munir, glissent tout le temps, malgrès les élastiques qui me coupent les jambes et comme un héron en équilibre sur une patte, doit les remonter l'une après l'autre tous cent pas. La rue d'Isly ombragée est bruyante et sur les trottoirs se mêlent les poussettes de mères précautionneuses, des flanneurs âgés, des acheteurs en quete de bonnes affaires. Je voyais déjà se détacher au loin ce qui aurait pu sembler etre un Musée une Mosquée, lorsque vint à moi une apparition gracieuse, un visage fin aux yeux noirs soulignés de bleu pastel, un voile brodé d'or cachant à peine des joues maquillées. Je me retournais sur cette apparition fugitive, et ne vis que le dos d'une silhouette altière, chaussée de talons hauts et d'un bracelet d'argent à une cheville fine, qui laissa dans son sillon une mystérieuse odeur de musc. Je restais sur place, surpris par cette image comme sortie d'une exposition d'Abdel-Tif, et une bouffée de chaleur empourpra mes joues. Je continuais ma promenade comme un automate, mais les jouets brusquement ne m'interréssaient plus,occupé seulement à conserver vivante cette vision merveilleuse. C'était pour moi le mystère de l'Orient dans toute sa beauté, et après tout, bien au fond de la rue d'Isly, la Casbah n'était pas si loin, mais je n'osais m'y aventurer qu'en rêve.. Après tant d'années, j'envie encore ces peintres qui auraient pu avoir ce modèle comme Odalisque.

 

Gil (91 Alger 92 Cour bevoie)

10/05/2006 12:02

Mme Penato aux bonbons qui nous n.. les dents juste avant le bar au coin de la rue Bourlon de l'autre côté un rideau metallique sans intérêt plus bas un marchand de cycles (Romeu?) la cie d'assurances La Péservatrice au premier étage (trop jeune pour remarquer les jolies cailles dactylos) et en face MON école Clauzel où Mme Naniche protégait les petits retardataires des foudres du directeur Pailhé ou Picard Voilà mon trajet est fini ce n'est que rêve-souvenir trés souvent vécu ite missa est--

 

Gil (91 Alger 92 Courbevoie)

10/05/2006 11:49

Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant... Je pars à l'école un matin il fait beau, le parfum du grand eucalyptus face à notre immeuble se mêle aux odeurs du café matinal. Tablier noir et chaussures montantes, le cartable à bout de bras je pars pour mon trajet maison/école. Je saute les huit marches de marbre blanc qui séparent mon palier au Rdc prés des boîtes à lettres devant moi l'énorme porte de chêne verni, plus qu'une marche et je suis dans la rue sur le trottoir étroit mais qui s'élargit devant la superbe rotonde à l'angle des rues Edgar Quinet et Clauzel qu'un couloir transversal permet l'accés aux deux rues (couloir sonore où nos hurlements en échos nous apportaient un joyeux défoulement et la grogne des occupants) Les sept vocalises du prof de chant répétées inlassablement parviennent à mes oreilles La rue Clauzel en pente légère vers la place Hoche en passant des entrées familières au 29 ma grand mére (maison à cour centrale et galeries) puis l'entrepôt de l'épicerie Salah sentant l'huile et le savon et masquant les odeurs du bois coupé de la menuiserie Ferra prés du plombier Beyer En face au 26 les familles Puig-Roman (une fille mariée avec un certain Jasseron) à l'angle un distributeur journaux photos et face à moi le PALMIER je continue ma route à gauche la musique Pages, le bourrelier Vaquer, le sport Micky en face Melle Leblois mercière, le bar La Cascade, le tapissier Giordano, la boulangerie Sampere à l'angle et de l'autre coté de la place Félicien Lannes photographe (un séducteur) le café Carlotti, le petit milk bar de Chebcheb, les roulements SNF et là 2 grands murs paralléles jusqu'au Bd Victor Hugo à droite les bureaux d'ESSO à gauche une villa derrière ces hauts murs Le bd Hugo bordé de grands palmiers dans sa première partie trés pentue et de ficus vers la rue Michelet. Puis des blocs d'immeubles et l'arrière de l'église St Charles et la petite école du même nom face à la boulangerie Cabot, un motoriste au trottoir encombré

 

janine sampere. 1946 (oliva espagne)

09/05/2006 23:30

Bonsoir Danielle Ferra. La boulangerie du coin de la place Hoche était celle de mes parents. A coté se trouvait avant le bar la cascade, un tapissier. J'achetais mes BD au marchand de journaux et en face de l'autre coté de la rue se trouvait une épicerie tenue par des mozabites. J'allais pour ma part à l' école Ste Marcienne, rue ??, face à un cinéma. A bientôt. Janine.

 

Lydie DUCCESCHI/KAMERT ALGER/AGHA (La Ciotat)

09/05/2006 22:53

Même à Paris en famille, je n'oublie pas Es'mma ...une vraie drogue, je ne peux m'empêcher de venir lire tous vos messages et d'avoir ainsi pris connaissance de la réponse de Gérald, je suppose. Je n'ai pas eu le temps de t'envoyer la suite, mais ce sera mon premier travail en arrivant à la Ciotat. Gros bisous à toi et à tous les autres. A bientôt Lydie.

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

09/05/2006 22:44

Non non non ce n'etait pas mon grand-pere, mais un Monsieur qui était representant en lingerie, qui un samedi est tombé devant son petit fils, c'était pendant la guerre, et les Américains et Anglais présents se sont marrés quand ils ont compris pourquoi le petit fils se cachait sous une table, mais trop tard il avait été vu par le papy, c'est Macel Zelasco qui m'avait raconté cette fumante histoire. Hélas ils sont tous disparus, bonne nuit Jeanjean

 

janine sampere

09/05/2006 19:49

Bonsoir Francois Holzl, je suis la cousine d'Amélie; il est possible que l'on se connaisse? Je n'en ai pas gardé le souvenir mais c'est si vieux!! Mes parents étaient boulangers place Hoche et je suis aussi de 46. Je vis depuis 10 ans en Espagne, au milieu des orangers, au sud de Valencia. Dites moi svp quels sont vos souvenirs pour réveiller les miens. J'étais chez Amélie l'autre soir et cela nous a fait plaisir de renouer avec tous ses souvenirs, grâce à votre appel. A bientot. Janine.

REPONSE : pouvons-nous faire une suggestion pour contribuer à "réveiller" vos souvenirs? Allez d'abord en colonne de gauche à "lieux d'Alger", vous y trouverez de premiers écrans consacrés à la place Hoche, ensuite, en allant (toujours en colonne de gauche) à Auteurs > Danielle Ferra, lisez si vous ne l'avez déjà fait le texte de Danielle "La petite fille de la place Hoche". Bonne lecture, et, avec les souvenirs que va vous envoyer françois, bons retours en arrière! Le GDLLDB

 

MARETTO, épouse ALLUT (Montpellier)

09/05/2006 18:47

Ce message s'adresse à Pierre CABANTOUS. Sur la photo de classe école Clauzel CP 1953/1954, mon frère Jean-Louis MARETTO se trouve assis au premier rang, le 2e à partir de la gauche.

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

09/05/2006 17:47

Extraite de la revue "Le Magasin Pittoresque", une description vivante d'Alger en 1843.Ses ouvriers,ses marchands ( à partir de la page 378.. )

50 ans plus tard: Saviez-vous que les "Galeries de France" furent baties sur l'emplacement d'une remise de Calèches ? Ce fut le début de la crise de stationnement à Alger....

 

MORA Francis (Alger 1948/68) (GENTILLY 94250 - FRANCE)

09/05/2006 17:40

Bonjour à tous d'ESMMA, Je commence à digérer mon séjour à Alger du mois d'Avril. Le choc est réel de retrouver les coins familiers et les gens qui ont vécus avec nous. L'accueil chaleureux de la grande majorité des algériens est réel et bien loin des discussions politiques de tous bords. Un bonjour à ceux qui ont été en bateau avec notre Yves, excellent accompagnateur, toujours à l'écoute de tous. Bonjour aussi à tous ceux d'Alger qui nous ont reçus.
Pour Jacqueline qui nous a fait cadeau de la photo sur les quais d'Alger, je voudrais dire que ceux qui ont bu ce vin, c'est les "patos" ! Gràce au dur labeur et à la technicité des petits viticulteurs PN et au dur labeur aussi de nos amis algériens, ouvriers agricoles.
Le sénéclauze par exemple, était connu même dans le nord de la France et importé en grande quantité. Il était souvent utilisé pour augmenter le degré hecto des "piquettes francaises". Mais, allons ne soyons pas chauvins, le vin francais, surtout le Bordeaux se boit bien. Je le sais, je viens de passer 3 jours dans le coin. Et je compte bien retourner pour faire la route des vins. A quand un rassemblement dans ce coin ?
Tout cela à consommer modérément bien sûr ! Tchao, à bientôt à tous.

 

Guy VERDIER (ALGER/LA SEYNE SUR MER)

09/05/2006 17:30

Merçi à Georges Lévy pour son poème printanier... Merci aussi pour le rappel de "la Lune", "le Sphinx", le "Chabanet", noms que nous entendions des plus grands à l'époque, mai qui sont restés que les évocations car, lorsque nous fûmes assez grands pour aller découvrir ces lieux "enchanteurs", la sécurité ( as sociale!) nous en a empêchés... Mais néanmoins nous avons, pour certains, découvert ces endroits "mystérieux" à Oran, chez "Rosette" bien connue dans ce type de paysage.....
Merci aussi à Jacqueline pour la belle carte du port d'Alger, mais je voudrai rectifier sa parenthèse, car en fait, tous ces fûts, ou "Bordelaises" étaient embarqués pour la Métropole où nos vins venaient relever, par coupage, les crus de France... Ayant été employé comme garçon de bureau pour les périodes scolaires, aux Ets Parlier & Fermaud, Négociants en vins, j'ai pu découvrir l'importance de cette exportation des différents crus algèriens vers les diverses régions vinicoles de France... Et une évocation en amenant une autre, dans le parc de chez Parlier & Fermaud, il y avait l'atelier de tonnellerie qui ne chômait pas...
La marque déposée des Vins de cet établissement était "P & K ", parce qu'à l'origine il s'agissait de "Parlier & Kruger"... Salut

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

09/05/2006 16:21

Puisque nous sommes dans des evocations de souvenirs de certaines maisons "closes" mais trés ouvertes, combien de fois certains clients se sont retrouvés nez à nez avec un oncle ou un père et même une fois avec son grand-pere paternel (eh oui j'en connais un) Fallait voir le dimanche soir à table les fous rires "imbéciles" pour ceux qui n'étaient pas dans la confidence. es'mma va me classer mon message X, à bientot jeanjean

 

Jacqueline (Alger rue Barnave) (Roma)

09/05/2006 12:43

J’ai honte! Je n’ai pas tout lu sur Esmma. Voilà que je découvre des écrans jusque là inconnus. Le bar des Grenadiers, que le GGDLLDB citait en réponse à Georges, qui parlait de la rue d’Auvergne.., dans le site où l’on évoque la rue de Chartres, qui était le quartier de naissance de ma grand-mère ..je reprends mon souffle.et de mon arrière grandpère et du père de mon arrière grand père …. J’ai cherché aussi Bab Azoun , et j’ai découvert le Square Guynemer et les photos de Gérald. En plus , Betty nous envoie la photo de la Lune ..moi j’avais pas compris l’allusion !! Comme quoi Esmma est une vraie mine d’or et qu’on devrait lui donner une décoration du genre Unesco comme «site du patrimoine de l’humanité algéroise».. D’ailleurs on devrait toujours garder à portée de main un bon plan d’Alger pour faire nos ballades dans le temps.
Comme ça pour le plaisir, un cliché d'Alger commerciale (qu'est ce qu'on buvait!!)
et des billets de banque d'autrefois
La bise à tous.

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

09/05/2006 10:10

"Le SPHYNX rendra de grands services". Voir cet article à voile et à vapeur : (ne vous précipitez pas trop vite..)

Curiosité, j'avais vu sur Ebay, une photo de Jeton qui devait servir de monnaie dans l'établissement du Sphinx.

 

Renucci - La Redoute 19 (Béziers)

09/05/2006 09:23

Merci à Jean Brua pour son ode à La Lune. On va peut être enfin sortir des mièvreries et parler de choses sérieuses. Les maisons closes dans notre Algérie avaient une importance énorme dans la vie sociale quotidienne. J'en parlerai bientôt en faisant les comparaisons entre celles d'Alger (que j'ai beaucoup fréquentées) et celles de l'intérieur qui remplissaient la fonction de lieu de réunion discret pour les responsables. A plus

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

08/05/2006 23:04

Pour plus de détails sur cette rue du Cafetan, allez sur ce site à l'adresse aussi longue que cette rue est courte (Cafetan, c'est l'orthographe exacte pour désigner une robe longue et ample). Pour plus de renseignements, il aurait fallu s'adresser aux Deux Grenadiers...


REPONSE : oui oui, sitôt terminé leur service au bistrot à leur enseigne, les 2 grenadiers disparaissaient dans la petite rue du Caftan juste derrière, et ne revenaient qu'au petit matin prendre leur faction de chaque côté de la devanture, pas frais et moulus.
(les 2 grenadiers sont sur Es'mma à "rue Bab-Azoun" ).

 

Gil (91 ALGER(9A) 92 COURBEVOIE)

08/05/2006 18:58

Lévy est revenu l'angoisse a disparu Salut à toi l'ami nous t'attendions --Dans la course à la mémoire un truc banal rien que pour le fun quelle différence il y avait aux comptoirs de nos bars entre la kémia et la tonne - C'est lundi la sieste m'a accablé -ATOUSS SALAM. Gilou

 

jack azoulay (SENLIS 60)

08/05/2006 15:39

Je me souviens pour ma majorité religieuse ma bart mitzva d'avoir été avec mes cousins dans un endroit similaire à la Lune, au DAUPHINE, qui se touvait rue de l'Echelle, une rue tranversale à la rue Dumont d'Urville, rue en escaliers qui arrivait au marché de la Lyre et au bas de cette dernière il y avait un restaurant qui s appellait "la Grotte". Je pense encore à cet endroit qui me marque encore.....................!!!!!!

REPONSE : la gourme au Dauphiné, la gourmandise à la Grotte, elle est pas belle, la vie ?

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

08/05/2006 11:02

A Birkadem
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Fatigué de courir la campagne,
Essouflé par la chaleur qui me gagne,
Je m'assois, empoupré, sur la muraille de pierre,
Que recouvre un magnifique lierre, trés vert.
J'ai les jambes griffées par les orties,
Et la Bardane* tétue, colle à mes habits.
Je détache,vivement, mes petites sandales,
Dont la boucle de fer, me faisait si mal:
Elles tombent sur une mue argentée,
Que l'habitant a changé, pour sa tenue d'été.
Un scarabe mordoré, par le bruit dérangé,
Hésite un peu, et reprend sa course saccadée.
Un criquet audacieux, saute, sur ma main enchantée,
Et répare son erreur, par un bond décuplé.
Le papillon blanc, sur le géranium, s'enivre à tout vent,
Lorsque le gros hanneton jaune passe, en vrombissant,
Et un lézard tout gris, s'arrête, dresse sa tête,
Me regarde fixement, me souhaite bonne fête,
Et dans un trou disparait lestement.
Tout là-haut, une buse inquiétante,
Cherche sa proie dans un buisson de menthe.
Je bats de mes pieds-nus, l'air odorant,
L'air vibre de tous ces insectes charmants.
Ferme les yeux, écoute les grelots des Norias,
Qui montent l'eau,sur une musique de Ségovia*.
Je vois un figuier, cueille un gros fruit,
Qui perle une goutte de lait,
L'ouvre à deux mains, et plonge mes jeunes dents
Dans la chaire violacée,
Que le Bon-Dieu a fait naître, avant que l'homme ne soit né.
L'amandier à la branche compliquée,
Me tend son fruit vert et sa coque veloutée,
Je croque l'amande fraîche, détache la gousse blanche,
Ele est double: c'est vraiment un jour de chance.
J'ai dix ans, je rêve entre la terre et le ciel,
Je suis l'hôte d'une maison, dans le Sahel.

Georges Lévy.(Alger, 1938-1962. Israel 2006).

*La Bardane, cette fleur pourpre, estivale, du bord des routes, qui s'agrippe par ses capitules, et qui ainsi a inspiré l'inventeur du Velcro.
*Andres Ségovia (1893-1987), Andalou, le père de la guitare Classique.

 

Jean-Pierre Genin (CERGY / France)

08/05/2006 10:22

Dans les souvenirs rapportés de mon Lycée Gautier (6ème à 2nde quand mon père m'a collé interne en France en 58) Ah extraordianires profs de l'époque, dont les merveilleux JE Dugand - l'histoire de la règle est authentique - et Jacques Burel. Je n'ai pas retrouvé trace de mon fabuleux prof. d'allemand, le colosse (?) Neveux. Je crois savoir par un copain d'armée (prof d'allemand aussi) qu'il fut doyen à l'U. de Strasbourg dans les années 60' (67 ou 68 s/r) Qq'un peut-il me renseigner? Merci d'avance.

 

Monserrat Emile (Agen)

08/05/2006 10:20

Monique Baldacchino, Bonjours, je suis un ancien d'Alger, Belcourt, El Biar et Orleansville, J'avais un copain Baldacchino dont je ne me souviens plus du prenom, j'ai ete en classe a l'ecole Clauzel, a St Bonnaventure, à El Biar, J'ai travaillé à la Mairie d'Alger, aux ets RAFFIGAZ Bd Baudin et rue Monge et a l'équipement a Orleansville, j'ai fais mon service militaire dans les parachutistes du 1er RCP. Est-ce que ça peut etre votre frere que j'ai connu. Merci,Amiltiés pied noir. Emile Monserrat

 

monique baldacchino (alger var)

08/05/2006 01:16

A Francis Muria. Vous avais envoyé une photo de la maternelle rue de normandie 54/55
j'ai reconnu mon petit frére Alain Baldacchino, vous souvenez-vous de lui

 

Fatiha (Alger La Redoute Paris)

08/05/2006 00:01

Le voeu de pluie a été exaucé sur Alger, un peu trop même puisqu'il y a eu beaucoup de pluie, mais, et bien que bénédiction , il était tés important qu'Odile , ses soeurs , sa nièce et tous ceux qui font partie du voyage fassent une entrée matinale resplendissante de soleil au port d'Alger plutôt que pluvieuse ! Le miracle a eu lieu puisque la température aujourd'hui est de 22° et le soleil était bien au RV ! Odile , bon retour au pays !

 

Lévy georges (Alger (1938-1962).Israel (2006))

07/05/2006 21:51

A l'heure ou la nuit tombe, les bêtes vont boire au marigot, et nous les internautes allons jouer du clavier ! Le premier message, pour nous mettre dans l'ambiance:

Le deuxième, pour aider les touristes à s'y reconnaitre dans la casbah, et surtout aux photographes pour y situer leurs clichés!
A ceux qui peuvent se l'offrir,le livre incontournable de Lucienne Favre :
"Tout l'inconnu de la Casbah d'Alger",avec des illustrations de Charles Brouty (1933). Mais aussi, du meme auteur "Bab-el-Oued" (1946).

Pour vous souvenir de vos films préférés, et en voir les affiches en couleurs comme au Vox, au Majestic, au Cameo et autres lieux de perdition (par exemple cherchez "Le Lagon Bleu", ou "Dieu créa la Femme"), mais il y a aussi tous les Zorros !!


REPONSE: merci Georges.

 

Ferra Danielle (Paris Alger)

07/05/2006 18:45

Coucou les p't'ites cailles et les beaux pointers et les zôtres aussi! Vous ne pouvez pas savoir à quel point j'ai été émue, lorsque Jacqueline m'a appelé du bateau au quai à Marseille, en route pour....Alger!! Non vous pouvez pas sawouar!!! J’avais envie d'être une petite souris et d'être dans sa poche.
Alors gros bisous Jacqueline, Yves et les zôtres, que votre séjour soit agréable, et ramenez nous de beaux souvenirs pour notre réunion de mai d’Esmmaiens de Paris. Purée je vais faire une provision de Kleenex!!! Grosses bises à vous tous.

   
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