Livre d'Or d'

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Suzanne EXERTIER née CHAZALETTE (Alger - Grenoble)

19/11/2006 22:16

Bonsoir à tous. J'ai été ravie de soir de découvrir des photos de classe de la rue Tirman ! Un grand merci à Odile Blum qui apparemment ne se souvenait pas de moi puisque mon nom ne figure pas en bas des photos .. mais à charge de revanche, je ne me souvenais plus d'elle non plus. Par contre, j'ai encore en mémoire les noms de Nicole Amante, Alexandra Vidal, Nancy Goetzinger, Michèle Harcheb, Nicole Durand. Je crois que c'est tout. Ce serait sympa de refaire un trominoscope avec des photos ..actuelles! Amitiés et à bientôt.

 

Rollande (Alger/Ariège)

19/11/2006 19:13

et zut j'étais bien lancée! Donc je disais que Soeur Louise fouillait dans la poche de son jupon pour chercher ses clefs. J'avais presque fini. Dis donc Monsieur GGLDB, tu pourrais pas le faire un peu plus long le nombre de caractères autorisés?
Allez à + et bises

REPONSE : c'est sûr Rollande ! mais y'en aurait un (ou une) qui me demanderait de le rallonger encore....

 

Rollande (Alger/Ariège)

19/11/2006 19:08

Salut à tous et toutes, je reviens après 10 jours d'absence et je vois que vous n'avez pas chômé. Il y a une nouvelle payse de la rue Burdeau, mais quel est ton nom de JF, Bailly ou Lapierre et ton année de naissance? ça aide pour les retrouvailles. Si je me souviens bien de la boulangerie Montiel, puis de celle des Fuster, ainsi que la boutique d'électro ménager des Portella, et idem du tapissier, qui non seulement cardait la laine dans l'impasse, mais venait également à domicile quand le client avait de la place pour travailler. C'était le cas chez nous. Nous n'habitions qu'un très modeste 2 pièces(pour 6), mais nous habitions sur la terrasse(merci Gérald de l'avoir photographiée) et donc le matelassier oeuvrait sur la terrasse. Nous les gamins étions ravis de le voir travailler et toujours admiratifs, lorsqu'il piquait des petits bouts de laine de chaque côté du matelas avec cette si grande aiguille.
Mais je ne revois pas la pharmacie. Mais la mémoire.....
Je voulais aussi vous parler dans un autre domaine des soeurs de saint vincent de paul(petites soeurs des pauvres) et de leurs cornettes. Vous en souvenez vous? J'ai travaille avec elles à Bab el Oued, et une fois par an, aux beaux jours, il y avait la cérémonie des cornettes.Cela se passait sur la terrasse de leur maison Le matin très tôt, elles étaient lessivées et ensuite amidonnées, puis elles étaient mises à sécher en les lissant sur des planches en bois en plein soleil. Seulement après séchage complet, elles étaient rangées dans les armoires.En fait ce n'étaient que des simples rectangles. La mise en forme que vous connaissez bien , se faisait à deux sur la tête même. Les soeurs avaient la tête rasée et la cornette était fixée sur un petit bonnet qui emboitait parfaitement la tête. Je me souvient aussi de leurs jupes et nombreux jupons qui contenaient des poches et je revois encore la soeur Louise, ma préférée, lorsqu'elle soulevait la première jupe pour prendre son énorme trousseau de clés

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

19/11/2006 17:57

Merci JB, c'est bien ça, tout à fait ressemblant. mais il n'y avait pas de dessert, heureusement, car cela se terminait vers les sept heures et plus selon l'assistance, et à la maison c'etait la soupe à la grimace vu que nous n'avions plus faim. tu parles apres un "repas" pareil, il n'y avait plus de place pour autre chose. Et de plus les femmes n'etaient pas acceptées, d'où leur mauvaise humeur. Et de toute cette bande "a velpo" nous ne sommes plus que deux. et il nous arrive d'en parler encore. Le seul endroit ou j'ai retrouvé cette ambiance, c'est aux halles de Paris avant leur transfert à Rungis. Vu que nous prenions le boulot à deux heures du matin , vers les huit heures, aprés la vente , on allait manger une croute, qu'elle cirque avec tous les commis, les bouchers, les nanas, et les rigolos qui trainaient toujours, c'etait le folklore, mais ça ne valait pas les moments de chez "Bebert" à Belcourt, il y avait quelque chose de plus, et les odeurs n'etaient pas les mêmes, et j'etais le seul pied noir au milieu de gens dont je ne savais rien, et je ne cherchais pas à en savoir plus. c'etait de 66 à 7O j'etais encore chez "moi" je n'etais pas rodé, mais en quatre cinq ans j'ai fait des progrés, en verlan et en argot, et à la fin j'etais un des leurs, mais ça n'a jamais eu le même goût que là-bas, même les coups de rigolade n'etaient pas pareils. et il n'y avait pas le respect que nous avions envers les ainés, moi chez Bebert j'etais le plus jeune de la bande et je disais "vous" aux ainés, ils avaient dix ou douze ans de plus que moi et je n'ai jamais pu leur dire "tu", même encore maintenant. Mais c'etait normal là-bas !!!!!!! à plus Jeanjean....de Belcourt

 

Es'mma JiBé

19/11/2006 16:21

Les agapes du salon de coiffure de Jean-Jean mettent l'eau à la bouche mais nous laissent sur notre faim au chapitre du dessert et des boissons. Après s'être fait tailler les côtelettes, pouvait-on au moins trouver à la carte du joyeux Figaro la coupe «Melba» et la lotion «Sidi Brahim» ?
Voir en Es'mmaJibé...

 

Es'mma photos de classe

19/11/2006 15:58

De nouvelles photos de classe en

pour ceux (et ils sont nombreux) qui nous ont envoyé leurs photos et qui attendent, .... merci de votre patience, ça va venir...

 

Es'mma

19/11/2006 15:55

En page d’accueil un nouvel écran :
André Ferragne joint ses souvenirs des professeurs du Collège du Champ de Manœuvre à ceux de Georges Salessy

il nous confie également les photos de classe de sa scolarité au Collège de 1947 à 1955

Merci à André, en espérant que ses souvenirs en évoqueront d’autres…

 

Rando rené 1941 (Alger-Limoges)

19/11/2006 13:55

bonjour,aujourd'hui j'aurais besoin d'aide car je pense qu'il y a de bons informaticiens chez nos amis. j'ai malencontreusement désinstallé "recover pro" et je n'arrive pas à le réinstaller.Si quelqu'un peut m'aîder...merci d'avance.,et amitiés à tous. j'arrête l'ordi car je dois aller voir mon épouse qui est hospitalisée.

 

andreu martial (Nimes (gard))

19/11/2006 11:35

A Jean-Jean de Belcourt un petit souvenir de la rue A Blasselle: Richard le marchand de brochettes s'appellait Richard Santamaria est c'etait mon oncle ;Nous habitions au 9 rue A Blasselle face au moutchou Tango.
A bientot mon amis.

 

René-Jean HERBRECHT (Ménerville / Perpignan)

18/11/2006 19:14

René-Jean (1941) Ménerville.
FR3 diffuse un documentaire en 3 épisodes de 52 minutes chacun, produit par Gilles PEREZ ( fils de PN) intitulé " Les Pieds Noirs : Histoire d'une blessure".
Diffusion :
- 18/11 25/11 2/12 à 16h20 sur FR3 Limousin, Poitou, Charentes.
- 13/1 20/1 27/1 à 16h20 sur FR3 Aquitaine et Méditerranée.
- 24/3 31/3 7/4 à 16h20 FR3 Normandie, Sud, Limousin, Poitou, Charentes et Corse.
- Diffusion sur FR3 Nationale à 00h30 les 24/3 31/3 7/4.
De plus des projections privées auront lieu dans plusieurs villes, notamment à Marseille le 18/12 à 19 h à la Criée.
Un salut fraternel à vous tous.

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

18/11/2006 18:28

Claudette a raison , la "bouffe" a toujours etait un pretexte à de bonnes parties de rigolade. à Belcourt dans la rue Adolphe Blasselle, il y avait Monsieur Richard, le roi des brochettes, il se trouvait dans un minuscule reduit du café de la Gaiete, en face la brasserie Rialto, et le cinema Musset. à votre arrivée à l'arret de l'arsenal vers six heures du soir les odeurs vous prenez et il fallait faire la chaine pour avoir son sandwich aux merguez ou aux brochettes.Nous etions une bande de rigolos , et tous les jeudis vers six heures et demi on se retrouvait chez Bebert le coiffeur à gauche en montant la rue A.Blasselle, et là on avait plus qu'à traverser la rue pour passer la commande à Richard, et les festivités demarraient, plus question au "barbier " de servir les clients, On installait deux chaises avec une planche, une nappe en papier, on mettait les chaises du salon autour, l'anisette ou le rosé venait du Rialto, et les douzaines de brochettes et merguez etaient flingées à une vitesse grand V. Tout ça agrementait par des histoires à n'en plus finir, et à la fin de l'aperitif on prenait la note et tout le monde payait pareil, qu'il ait mangé une merguez ou une douzaine , c'etait le meme tarif Il y avait donc Bebert et son commis un Calabrais Tunisien, moi, les deux freres Sage, "Tatum" le ptit Marcel, Georges le " maton", la Bonite, et ceux qui arrivaient à " l'imroviste pour se faire coiffer, etaient quitte à revenir une autre fois. et si par malheur ils rouspetaient, ils se faisaient incendier, par toute la clique. Il ne nous fallait pas grand-chose pour passer un bon moment. J'ai oublié de vous dire que devant le salon il y avait une station de taxis, et souvent des chauffeurs venaient se joindre à nous, au grand mecontentement des clients "pressés" qui ne trouvaient pas le chauffeur dans sa bagnole. et toujours tout pretexte à la rigolade, car bien souvent les clients "pressés" se retrouvaient avec nous à partager le "repas

 

andreu martial (nimes)

18/11/2006 14:10

tout d'abord un grand merci à jean -jean source inépuisable qui ma permis de retrouver une photo du bar des amis ,Boulevard auguste conte ou j'ai pu revoir mes frères et mon cousin jouant aux cartes .
merci mon ami.
Par ailleurs pourrait-on retrouver les chansons écrites en 1962 par notre Robert Castel national associé à Lucette Sahuquet hélas disparue qui parlaient si bien de notre terre natale.
merci à tous

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

18/11/2006 11:51

Pierre-Yves, la meilleure façon de trouver du monde, du moins parmi ceux qui sont inscrits dans l'annuaire, c'est d'y faire une recherche avec diar comme critère ou alors avec diar mahcoul/mahçoul (quand je vois passer mahcoul, je corrige mais je ne vois pas toujours...) ou plus simplement avec mahcoul/mahçoul - diar étant alors sous-entendu - pour une recherche sur les deux orthographes. Cette forme de critère correspond à diar ET (mahcoul OU mahçoul) : elle est applicable à toute recherche.

 

Claudette (ALGER/ANTIBES)

17/11/2006 18:48

Bonsoir tout l'monde. C'est rigolo: on se souvient + ou - bien des voitures, des rues, des quartiers etc,etc... mais ns sommes incollables sur les boutiques de bouffe: Les boulangeries, les charcuteries, les boucheries, patisseries, marchands de beignets (tien les revoilà), les bistrots et leur kémia. On se souvient de leur situation à une entrée de maison près, nous nous rappelons le nom de chacun! tout pour la G. . quoi. Nous sommes des morfales mais de bons vivants, c'est ce qui nous sauve. Allez santé. Bisous . Claudette

REPONSE: ben... oui.

 

Jory georges (1946) (le Hamma Alger-gonesse)

17/11/2006 17:30

france3 diffusera une emission sur l'histoire des pieds noirs - premiere partie le samedi 18 novembre a 16h20. deuxieme partie 25 novembe.troisieme et derniere partie 02decembre. Il semblerait que seuls nos amis de la region fr3 limousin poitou charentes sont concernes

amities.

REPONSE: décidément, en ce moment, y'en a que pour les poitevins tendance porcelaine deux sèvres. Vous nous raconterez?

 

chautemps née guibert armelle (montpellier)

17/11/2006 17:13

Je cherche des amis(ies) du cours descartes à Oran dans les années 1956/1961. Alain Fauck, Nicole Benzakin, et surtout Raymonde CARA. J'aimerais tellement savoir si elle n'a pas été assassinée à Oran en 1962. Je n'ai jamais plus eu de nouvelles d'elle et pourtant nous nous écrivions régulièrement. Merci à tous ceux qui pourraient m'aider à la retrouver, ainsi que d'autres copains de l'époque.

REPONS: eh oh, ici y'a pas marqué "ORON". Mais, bon, puisque c'est pour la bonne cause... Et puis on n'est pas racistes. Surtout qu'un de nos éminents esmmaïens est lui-même oranais? oui oui, j'ai même un bon ami qui est Oranais, alors vous voyez, on a les idées larges... En tout cas, bonne chance!

 

augé pierre yves (lyon//alger)

17/11/2006 14:31

je viens de decouvrir ce site grace aune personne qui est inscrite comme moi sur annuaire pn . Je suis né à alger 3ème generation. En 1945 j'ai habité au clos salembier, a diar ei mahçoul exactement, de 55/62. Je suis à la recherche de gens qui y ont habité. Egalement j'aimerais savoir si certains ont connu le fleuriste qui etait vers le cimetiere du bd bru, leur fille etait une bonne copine .......merci d'avance et a bientot

 

Richard Chéron (1943 - Télemly-Belcourt-Nantes)

17/11/2006 10:55

Une toute petite erreur dans le lien que donne Jacqueline pour la maquette d'Alger.

Ça marchera mieux comme ça!

REPONSE: merci à Richard et à sa vigilance! Effectivement, c'est mieux quand ça fonctionne!

 

GIL de COURBEVOIE (1932) ( ALGER = COURBEVOIE)

17/11/2006 10:46

Une émission télé s'appelait "sacrée soirée" Mercredi soir dans le 75011 c'était la soirée des PARISSMAIENS et pour ne pas Ëtre répétitif je m'alignerai derrière les messages de Jean NOGUES et DaniéLe ROUSSEL qui expriment toute la joie de se retrouver (les lire plus bas) MERCI à DanieLLe le meme mot relevé dans ces messages "générosité"(j'adore) .. Cerise sur le gateau : j'ai pu connaitre avec une grande joie le grand barreur de la salle des machines notre GGDLLDB et découvert tous les autres avec le meme plaisir. J'encombre souvent le LO car je reste persuadé qu'il présente un GRAND intérêt pour beaucoup d'entre nous.= GILOU

REPONSE: t'yencombres rien du tout, Gilou, et d'abord, le LO est vaste comme ta mémoire, tes souvenirs et ta gentillesse, alors, Gilou, tu peux y aller. Et puis grâce à Danielle (le ciel la comble de ses bienfaits jusqu'à la 10ème génération!), content de t'avoir connu en chair et en os, j'sdspère quon remetra ça pour les Rois! GDLLDB

 

Marie-Claire Colinet (Ecquevilly/Alger)

17/11/2006 09:57

Totalement lu et totalement approuvé le message de Danièle (Roussel ) concernant la soirée de mercredi chez Danielle (Ferra). C'est exact que Danielle (Ferra) est une nana super!!!!!! On a papoté, papoté, papoté! On s'est ému tous ensembles (même que mon mari, un patos, le pôvre, il avait la larmouille à l'oeil... on a même fait la constatation qu'ils avaient réussi à nous réduire notre Alger, celui de notre enfance, que maintenant nos grandes avenues, comme la rue Michelet, elles sont devenues toutes petites il parait !
On a bu, mangé un couscous, je vous dit pas et les desserts... comme là bas. Et puis on a retrouvé les bouchons parisiens, un peu moins qu'à l'aller, histoire de nous remettre dans un bain ...parisien, parce qu'on était parti bien loin ! Trop loin !

 

Jean-Marc (Champ de manoeuvres-Alger) (montpellier)

16/11/2006 20:23

Je reviens sur la rue RICHELIEU, où j'ai travaillé dans ma jeunesse. C'était l'établissement LAURENT-BOUILLET, qui se trouvait en haut de la rue à droite en montant. Juste à coté il y avait un petit Bistrot "Chez NINO" si ma mémoire ne me joue pas des tours. Et là.....à 10 heures ....on se faisait de ces casse-croute à se faire "péter" les boutons de manchettes (Loubia, thon à la cathalane) Enfin c'était le bon temps. A ++++++

 

RUBY ROGER B.E.O ALGER 1932 (CAGNES SUR MER)

16/11/2006 19:28

Pour faire suite aux messages de C. TRUCHI et L. BALAGUER sur la rue Richelieu, le père d'un camarade de régiment (19è Génie Hussein Dey en 1952) était tailleur. Son magasin était dans la rue en descendant le trottoir de droite, et,je pense, à l'angle du petit escalier menant au marché. Mon camarade s'appelait Fernand Fitoussi et peut etre quelqu'un pourra me donner de ses nouvelles. Amitiés a tous

 

DanièLe Roussel (Alger et ensuiteParis)

16/11/2006 15:51

Alorssss, le dîner des Esmaiens d'ici : super sympa ! Danielle Ferra est une crème de fille d'une générosité, à tomber! J'ai fait la connaissance de 14 ésmmaiens d'un coup : ça m'en a flanqué un (de coup!).Pôh!pôh! La quantité de kémias, couscous , fromages, gateaux que Danielle nous a offert : des montagnes de tout ça arrosées de selecto et autres boissons de là-bas qu'il faut boire avec beaucoup de modération (mais faut quand même pas trop en demander de la modération à nous z'autres qu'on est du midi 1/2. On a beau être bien élévés on s'est un peu laissé aller sur les douceurs! Elle est "trop" cette fille (comme disent les jeunes) je comprends maintenant pourquoi tout le monde l'aime. Voilà, on a profité qu'on était entre nous pour dire du mal des absents (non! J'plaisante!). On a levé un toast (même 2, 3..) à leur santé "comme y faut".
Bien sûr on a regardé des diapos de Yves - très belles - sur Alger et Tipaza .
On était "bien"... Et oilà! Merci Qui : merci Esmma et pour Daniellle hip!hip!hip!!!!!

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

16/11/2006 14:39

Bonjour tout le monde. J'ai vu que vous aviez passé une bonne soirée et que vous aviez eu une tite pensée pour nous tous. Je ne suis pas venue sur le site depuis deux jours, la maison est en berne pour nous. Paul a eu un premier mariage en 47 et des enfants; malheureusement une séparation qu'ils ont mal acceptée et donc coupé les ponts avec leur papa mais le destin veille et grâce à la généalogie que je fais en ce moment, une de ses filles nous a recontactés et une bien triste nouvelle est tombée, son fils ainé, un petit pied noir (1949) est parti rejoindre ses ancêtres. Dur dur pour le coeur d'un papa de voir partir un enfant sans l'avoir revu. Voilà donc, le temps est gris comme nos coeurs. Amitiés. Laurence

REPONSE: ton petit mot me rend bien triste. Dis à Paul que je comprends sa peine, j'espère que ce deuil pourra le rappocher de ses autres enfants. Gérald

 

Marie-José Rachou (née Lopez)46 (Alger/Nîmes)

16/11/2006 11:44

Pour faire suite au message de Lucien sur la rue Richelieu, la boulangerie tout au début de la rue, en descendant sur le trottoir de droite, c'était la Genevoise. Christian évoque le Docteur Grassioulet dans la même rue, un souvenir qui revient tout d'un coup. Habitant rue Warnier, j'ai emprunté cette rue dans tous les sens sans pour autant me souvenir des noms de chaque magasin. Pourtant me reviennent les noms des charcutiers du marché Clauzel, les LLORET et BEAUMONT, chez qui le papier d'emballage comportait un dessin de petit cochon et une légende: "Pourquoi pleures-tu petit cochon, puisque tu vas chez BEAUMONT où tout est BON"

 

Lucien Balaguer - 1935 - Alger (HdeS)

16/11/2006 10:26

suite message de Christian Truchi pour la rue Richelieu. Merci de remettre en mémoire cette rue, en la remontant, après le café Le Pénalty des Amadéo, angle Warnier, une parmacie ?, puis la droguerie Merle-Spinato, un marchand de luminaires, angle rue Pichon, un salon de coiffure (hommes et femmes) tenus par les frères Yborra-Yvorra, plus haut une charcuterie (les Molinès), et un peu plus haut, une auberge, la Petite Marmite, qui était tenue par une de mes grandes tantes, plus haut, on aboutissait angle rue Michelet avec un kiosque à journaux qui était la cible des écoliers de Clauzel qui passaient devant. En redescendant, en face, une boulangerie, le studio photos et effectivement une grande boucherie tenue par la famille (???) et juste avant une hotel et un petit escalier menant au marché Clauzel, avec en bas, "Jésus Christ" le mozabite qui tenait son épicerie, il livrait à domicile et savait fidéliser sa clientète en lui adressant chaque fin d'année de grandes boites de confiserie et chocolat. Et oui, nostalgie de ces années 50/60,ou tous ces petits commerces reconnaisaient ses clients. Amitiés à toutes et tous, Lucien (rue Valentin)

 

Jean Noguès-(1940) (Caserne des Douanes-La Varenne)

16/11/2006 09:20

S'il était besoin de vanter, en toute modestie,la générosité de ceux qui ont vécu là bas, la"Céne" que nous a offerte hier soir Danielle Ferra le démontrerait de façon éclatante... Pourtant ce matin je retrouve sur le Livre d'Or, dont j'ai eu le privilège de rencontrer l'initiateur à cette occasion, l'évocation de " notre prix Nobel". Camus est l'un des auteurs que j'aime, son couronnement était mèritè et nous honore tous, y compris ceux qui sont restés là bas.
Mais
Je suis ravi de vous informer, avec un brin de chauvinisme, qu'il est un autre Prix Nobel, qui a souffert et potassé au dernier étage du Lycée Bugeaud d'Alger en prépa. des Grandes Ecoles (la "Taupe arabe"). Claude Cohen Tannoudji prix Nobel de Physique. Ne me faite pas dire que la Science et la Recherche "valent plus" que la littérature, mon épouse ne me le pardonnerait pas. Pourtant c'est un autre rêve que nous apportent les chercheurs.
Mon ami René Mayer qui a édité un ouvrage sur "ce que sont devenus "
nos compatriotes illustres a calculé que le pourcentage de natifs de nos 3 départements 9x (et pas 9 3) est plus important chez les diplomés de Polytechnique... que les métropolitains (cf son discours à l'Unesco). Jamais deux sans trois: un défi pour nos descendants?

 

Christian TRUCHI-1935 (ABBO/ALGER) (EVRY (91000))

16/11/2006 00:06

J'ai fréquenté le tout début de la Rue Burdeau en 1953-54: j'ai "triplé" ma 1°C à l'Ecole des Sciences qui se trouvait au 1° étage à l'angle formé par cette rue avec la Rue Michelet. Son Directeur était M. Emile Martin et le "surgé" était Yvan Robbe, à peine plus âgé que nous. Je me rappelle d'une "prof" de Lettres qui me mettait sans arrêt à contribution en latin: je dois modestement avouer que la formation que j'avais reçue à Notre-Dame d'Afrique me plaçait un cran au-dessus de mes condisciples alors que j'étais un élève des plus moyens chez les "bons pères jésuite". Au royaume des aveugles, dit-on...
J'ai aussi habité au 10 Rue Richelieu de 1945 à 1949 lorsque j'étais un "Emile-Félix Gautier". Si ma mémoire ne me trahit pas de trop, il devait y avoir, côté pair en montant la Droguerie Merle et Spenato, la Boulangerie Pellicer, le magasin Rdiola de Marcel Mira (qui réouvrira dans les années 50 sous l'enseigne de Ragueneau), un mozabite, les graines Percy du Sert.... De l'autre côté il y avait le studio-photo Garcia, puis une boucherie (3 ou 4 marches à monter entre deux vitrines), le cabinet du Docteur André Grassioulet et plus haut une pâtisserie délà largement évoquée... Mais bien d'autres détails se sont enfuis... Quelqu'un pourra peut-être compléter le panorama... La lecture quotidienne d'Esmma me plonge à chaque fois dans les souvenirs d'une enfance heureuse... Bravo à tous les animateurs...

 

Sintes Isabelle née BERTIN 62 Ans (Puget-Théniers A.Mmes FRANCE)

15/11/2006 22:48

Bravo ES'MMA! Merci pour toutes vos rubriques, quel plaisir grace à tous ceux qui par leurs photos et leurs textes, nous entrainent dans les rues d'Alger. Cette ville que sans cesse malgré le temps qui passe ne quitte pas notre coeur et notre mémoire. Je m'adresse aussi à TOUTE LA JEUNESSE D'ALGERIE QUI COMME MOI A VIEILLI. NOUS SAVONS QUE L'ALGERIE DOIT REGRETTER TOUS SES PETITS. Amitié PN Isabelle

 

SERER (Alger/Ruisseau/ Nice)

15/11/2006 19:42

Je me réveille un peu tard et je ne sais plus qui en a parlé, mais je tiens à lui dire que je me souviens bien de Luc DAVIS qui chantait à la télé avec des tubes comme "mon vieux phono", "si tu vas à Rio", " le bateau de Taïti" etc... J'ai d'ailleurs toujours deux 45 tours de lui, que j'ai repris sur un DVD avec quantité de chansons de l'époque. Si cela intérresse quelqu'un... Bonjour à tous.

REPONSE: Bonjour Jean-Claude. Oui, on en reparle. La revue JUXE-BOX a t-elle déjà, à votre connaissance, écrit quelque chose sur Luc Davis? Savez-vous lesquels de ces 45 Tours sont sortis en 1958? Cordialement. Gérald

 

Jocelyne BLANCHARD née CASSELES (Salon de Provence)

15/11/2006 18:39

1946 - ai quitté Alger le 8 Juin 1962. Dans deux jours c'est le grand départ pour un retour aux sources. Je pars à Alger pour un "pélérinage" d'une semaine sur un bateau de croisière où il y aura tout plein de pieds noirs d'Alger. J'habitais à la rue Jacques Cartier et mon immeuble faisait l'angle de la rue du Languedoc, juste en face de l'arrière du cinéma le Versailles (la sortie de secours du cinéma). J'ai fréquenté l'école de filles de la rue Daguerre et Dujonchay.
J'avais une copine Jacqueline Vignault (Dujonchay) qui a ensuite habité Marseille et que j'ai perdu de vue lorsqu'elle s'est mariée. Dans ma classe il y avait aussi des filles dont je me souviens encore, Josiane Carrère et (prénom?) Touprix, Eugénie Chicheportiche, la fille du pharmacien de la rue Michelet, Roche. Je connaissait Roger Souara qui jouait du trombonne (je crois, enfin un instrument à vent) dans l'orchestre de Jean-Christian Michel. A mon retour d'Alger, je vous transmettrai mes impressions.

REPONSE: Bonjour payse, c'est Gérald, du 15 rue Burdeau. En septembre, je suis passé devant chez vous. En descendant du Bd St Saens pour aller rue du Languedoc, là où Albert Camus avait vécu qq temps chez son oncle. L'appartement a été complètement transformé, mais le Versailles, de l'autre côté, se porte bien. Pour les photos, on prend contact directement avec vous.

 

Claudette HUMBERT (ALGER/ANTIBES)

15/11/2006 18:34

Bonsoir. Allez, revoilà la Rue Burdeau!... en fermant les yeux je la revois du bas jusqu'en haut, j'ai même certaines odeurs, en passant devant certaines entrées d'immeubles, qui me remontent dans les narines, mais, c'est curieux, je n'arrive pas à "voir " la pharmacie. Par contre je revois très bien le tapissier. Il avait un ouvrier qui s'appeler KADDOUR. C'est lui qui refaisait les matelas en laine, carrément dans l'impasse. Il sortait sa planche, ses tréteaux et sa machine à carder la laine, une cardeuse je crois, il était assis à califourchon; il poussait et tirait une espèce de chariot avec des dents (le charriot pas Kaddour!) et avec le geste bien rythmé il chargeait cet appareil avec des tresses de laine qui ressortaient toute légère de l'autre côté. J'ai passé des heures entières à le regarder faire. Bon après ce cours magistral de matelas, je vous dis à bientôt et bonne soirée à ceusse qui se retrouve. Veinards!
Claudette (au fait Juliette, moi je suis née au 11 rue Burdeau, au 2ème, c'était chez ma grand-mère et après le 11 il y avait.........le 11 bis). J'ai déja reconté tout ça il y a plusieurs pages en arrière mais ça me fait tellement plaisir de me retrouver rue Burdeau. Bises à toutes et tous.

 

Christian Ripoll 1936 (Alger La Redoute)

15/11/2006 18:25

Pour faire suite à "la minorité de là bas", Je n’ai pas eu l’occasion de m’agenouiller devant le même autel qu’Albert (bien que j’y fus baptisé), mais dans les trams de la rue de Lyon, j’ai occupé la même place que lui, tout devant, à côté du wattman. La précision de ses descriptions pour lui qui n’était pas technicien donne toute la dimension de son talent. Qt à sa description du cinéma «le Musset», ce n’est plus un texte mais une photo.

 

EBRO Jean-Carles (1942) (6 av. C. Debussy/Pîtres (Eure))

15/11/2006 14:34

Comme j'aime faire des tableaux, je m'y colle dès lundi: pour le comptage des visiteurs d'ES'MMA! Bonjour à tous

REPONSE: bonsoir, cher compteur (des 1001 nuits, selon le GDLLDB). Pas des visiteurs, non, seulement de ceux qui laissent un mot sur le livre d'Or. Pour les visteurs, free, notre fournisseur d'accès, nous fournit des graphiques comme ceux que vous pouvez trouver dans "le printemps des Esmmïens". Bon courage quand même !

 

la minorité (la bas)

15/11/2006 12:41

C’est toujours la minorité qui écrit… j’allais oublier... C’est à Saint Charles qu’à 9 ans le prix Nobel fit sa première communion... dites, qui en pourrait dire autant de s’être agenouillé devant le même autel que ce grand Algérois? Camus par contre n’aimait pas trop notre Eglise «une affreuse bâtisse en gothique moderne »…on lui pardonne ???

 

minorité qui laisse des messages (La bas)

15/11/2006 12:19

Allez, je vous bassine encore un peu avec mes lectures..Toujours le “Premier Homme” de Camus. Pour des enfants pauvres aller sur les collines d’Alger étaient le must surtout quand il venaient des quartiers très urbains. Camus allait à Kouba où l’air était vivifiant, étant donné qu’à l’époque (années 20) c’était pas encore l’urbanisation sauvage. Et qu’est ce qu’il dit Monsieur Albert ? «Pour les Algérois qui, dès qu’ils avaient un peu de bien ou quelques revenus, fuyaient l’été d’Alger pour la France plus tempérée, il suffisait que l’air qu’on respirait dans un lieu fût légèrement frais pour qu’on le baptisât «air de France». C’et beau non? Quartier "Air de France" «Climat de France» qu’êtes vous devenus aujourd’hui devant la poussée démographique et les émigrations vers la Belle Alger !! Parfois on devrait arrêter le progrès… j’vous jure !!

 

CHOLBI Francine nee CONGIUSTI (MEZE 34140)

15/11/2006 12:17

Recherche MARIE HELENNE LALICHE demeurant a ALGER rue BAB EL OUED . Nous etions en classe a l ecole de la rue saluste
chez les soeurs de SAINT VINCENT DE PAUL. Avec nous il y avait MARIE THERESE GARGULO ET CLAUDE MAZOYER. Nous sommes passées en 6éme toutes les quatre au cours complementaire Avenue du 8 novembre. J aimerais avoir de vos nouvelles.

 

Christian Ripoll 1936 (Alger La Redoute)

15/11/2006 10:26

Message pour Gérald : je reviens d'une petite virée dans l'Ain, tu ne nous as jamais dit qu'il y avait une réplique de la forêt de Sidi Ferruch dans ce secteur ! Le fôrêt de Charme sur Seille, avec une certaine dose d'imagination, nous a ramené 50 ans en arrière ! Ce jour là, soleil et température étaient de la partie. Autre remarque, le pays est faché avec le balisage routier? Jamais je me suis autant égaré dans la campagne !!Amitiés. Christian

REPONSE : bonsoir Christian. Je crois que ce qui y a fait beaucoup, c'aura été le soleil et la température, tu sais... Quant à la campagne de par ici, c'est surtout pour égarer les poulets avairement fiévreux. Des fois qu'ils retrouvent le chemin de chez moi, au secours ! Par contre, toi, tu aurais pu faire signe. La prochaine sans faute, hein ?

 

La Romaine (Alger/Plateau Saulière (et toc))

15/11/2006 10:03

Je brûle de jalousie et d’envie. Oh quel malheur que l’exil..ne pouvoir partager vos conversations que j’imagine animées et riches de rires et d’exclamations dans ces rendez-vous parisiens !! Enfin je me console en pensant que vous vous souvenez quand même de vos «povres» concitoyens éloignés… Je plaisante bien sur… quoique…J e vous propose une petite promenade sur les quais d’Alger, glanée sur la toile
et une curiosité, la maquette d’Alger en 1830.
Bonne journée et bonne bouffa….Purée

 

GIL de COURBEVOIE (1932) (Alger/ce soir Paris 11°)

15/11/2006 09:51

JALABERT: bien sur que le RALLIEMENT était tout au bas de la rue Edgar Quinet et à Mustapha !! Je voulais seulement remémorer les souvenirs des autres. Alors merci RUIZ et SALESSY d'avoir saisi la balle au bond. Pour l'abbé Capomaccio c'est une nouvelle pour moi.(Anecdote: la mère d'un des notres réclamait un genre de reçu pour vérifier qu'il c'était bien rendu à St Charles alors nous y allions à 2 et la semaine suivante nous pouvions jouer au foot -Pardonnez nous) Quant au Ralliement j'ai connu aussi Vivi PORTES et Henri PIERRONE qui tous les soirs sous le palmier de la place Hoche se mesuraient le tour des biceps pour savoir celui qui avait le mieux profité. Bon autre chose "le canari des iles" a suivi les memes cours de secourisme au Bd Ch. Lutaud propice à prodiguer ce genre d'exercice sous les encoignures des portes de l'entrée du lycée par les chaudes soirées de ce pays. Merci Jeanjean quel retour en arrière!!! Tu as vu que je n'ai pas dit plus haut le Ralliement d'Alger centre bon la je te cherche mais avec tellement d'amitiés que .. je ne trouve pas le mot A++++

 

ruiz henry alain (alger /isere)

15/11/2006 09:35

a gdlldb comment vous faire parvenir des photos de l'equipe du ralliement ? A plus

REPONSE : sitôt rentré de paris je vous joins en direct. Bonne soirée, et merci ! gérald

 

DanièLe Roussel (Alger/Paris)

15/11/2006 00:26

Merci Danielle Ferra de ton message et de ton invitation à me joindre à vous.C'est avec grand plaisir, qu'enfin débarrassée de mes entraves depuis cet après midi, je vais pouvoir me hâter (prudemment toutefois) à cette réunion sympathique dont je me réjouis à l'avance! Vivement demain soir : "pôh, pôh, ma fiiille mais t'y étais où toi ?" Comme me disait Geneviève "la caille" mais comment ça se fait qu'on se soit presque tous croisés sans se connaître? Plus de 44 ans après ça va être chose faite avec certains esmaien(e)s: cela me paraît incroyable! Ceux qui n'y seront pas vont me manquer. Mais, tiens, Gérald, sais-tu combien nous sommes sur Es'mma?

REPONSE: Bonjour Danielle. Il y a plusieurs manières de compter. On peut compter ceux (une toute petite minorité de visiteurs) qui laissent un message sur le Livre d'Or. J'ai jamais compté. Mais il suffirait de prendre écran par écran de messages pour le savoir. Il y a ceux qui sont venus aux fêtes spontanées du printemps dernier. Plusieurs dizaines. Et puis il y a les 20.000 visiteurs mensuels environ que recense le compteur officiel de notre hébergeur. Comme certains viennent plusieurs fois par mois, il faut pondérer ça, évidemment, mais en tout cas, nous sommes assurés qu'ESMMA est visité chaque mois par plusieurs centaines de visiteurs différents. Comme on n'est pas très "association", on n'a pas voulu donner à tout ça une autre structure, celle-ci, informelle, nous satisfait. Pour l'instant, en tout cas. Mais sinon, quelle joie de te rencontrer ce soir en chair et en os! Bénie soit Danielle qui sait nous réunir encore mieux que le fait notre site! A ce soir, et bises d'avance.

 

Juliette Bailly-Lapierre ( Laval (mayenne))

14/11/2006 18:51

Impasse de la rue Burdeau: l'impasse est située entre le 9 et 11 de la rue Burdeau. le 7 où j'habitais et qui appartenait à ma famille était entre la boulangerie Montiel (ensuite Fuster) et la pharmacie Founault-Zévaco. Le 9 était situé entre le magasin des Portella (qui aimaient l'opérette) et le magasin du tapissier Mr Chiche qui m'a refait deux fauteuils que j'ai toujours. Voilà la petite précision que je voulais apporter. Amitiés à tous
REPONSE: merci de ces précisions. On va les reporter sur l'écran adéquat. Si vous avez d'autres souvenirs de la rue Burdeau, je suis preneur. Gérald

 

Georges SALESSY 1937 (Alger- Boulogne Bi (Boulogne Bilancourt)

14/11/2006 15:49

A Gil. J'ai connu entre 1945 et le début des années 50 l'abbé Cappomaccio qui officiait à St Charles et supervisait catéchismes, communions des chenapans du quartier. En 45 (ou46) c'était son premier "poste"... Il m'a beaucoup marqué car, à notre âge (de l'époque càd 8 à 10-11 ans) il nous disait à chaque séance que l'on devait tous mourir !!! Il était effectivement un parent de la famille qui tenait les viviers de Sidi Ferruch. J'ignore par contre, ce qu'il faisait au "grand Rex" ???...et ce qu'il est devenu!

 

Ferra Danielle (ALger/ Paris)

14/11/2006 14:24

Bonjour à toutes et tous. Pour Danielle Sterkers (et les zôtres) il n'ya pas de «cercle restreint» pour les Esmmaiens de Paris, autre que le nombre de personnes pouvant être reçues dans l'appartement qui nous sert de lieu pour nos dîners réunions. Faute d’espace suffisant où nous retrouver en toute tranquillité et bien être, nous nous réunissons chez une Esmmaienne de Paris, dans un contexte très convivial et chaleureux. Mais avec un nombre obligatoirement restreint (Pas plus de 20). Nous tournons aux environ d’une quinzaine de membres, avec un «noyau dur» (une bonne dizaine) qui vient à chaque fois, et un mouvance de nouveaux qui arrivent (quelques fois de province) juste pour le plaisir de se rencontrer une fois et de mettre un visage sur nos noms, Mercredi nous serons une bonne quinzaine, dont 5 nouveaux venus à nos réunions. Il peut arriver que l’on soit un peu plus, dans ces cas là on envisage un buffet au lieu d’être autour de la table. Danielle tu le sais à présent, car nous aurons le plaisir de t’avoir parmi nous si tout va bien (on croise les doigts). La suite au prochain épisode !!! Inutile de vous dire que l’on pensera bien à vous tous, connus ou inconnus. A bientôt et bises à toutes et tous

 

Guy VERDIER(1941) ALGER-LE HAMMA (83500 LA SEYNE SUR MER)

14/11/2006 11:58

C'est toujours avec intéret que chaque jour je viens prendre des nouvelles des Esmmaïens... Beaucoup de souvenirs communs dans ce que racontent nos amis... Je l'ai déjà dit plus haut, nous habitions à l'entrée du Jardin d'Essai au 95 bd Thiers, les us et coutumes des quartiers se rejoignaient souvent, même s'il y avait de la rivalité entre "ceusses" du centre et nous les périphériques...
Bon tout ça pour dire que le "Ralliement de Mustapha" j'ai connu, car mon oncle Pascal Richart y a exercé ses talents de gymnaste en compagnie de Mr RIZZO ... Il a fait aussi du "main à main" avec
Mr ALLEMAND... Ils se produisaient souvent sur les scènes de certains cinémas d'Alger lors des entr'actes... Nous avons évoqué ces souvenirs avec Mr Jo Cabrera, que je salue au passage, lors
du méchoui de La Ciotat... Certains se souviendront du Club Gymnastique de Mustapha renommé par ses gymnastes, dont certains étaient aussi au Ralliement, avec comme moniteurs Maruis Salel dit "Lulu" mon oncle, pour l'équipe masculine et Mr Macia pour l'équipe féminine....
Le CGM avait aussi une équipe de Basket renommée....
A plus, et continuons à faire vivre tous ses souvenirs....

 

CASSAR Jean-François (Vitrolles)

14/11/2006 11:05

je suis né le 7 janvier 1944 à ALGER en haut des 7 merveilles au 8 rue Henry Pointcarré. J'aimerais savoir si les frères BRAGER, les frères BALESTER qui habitaient la côte des 7 merveilles peuvent me donner de leurs nouvelles, mais également Jean-Pierre BEGUET et tous ceux qui habitaient ce quartier et qui me connaissaient. Je faisais de la course à pied au Gallia Sport d'Alger et je m'entrainais au Stade Leclerc avec Jean Pierre BRAGER. Aux Tagarins il y avait aussi la famille BALDACHINO, la famille MICALEFF et la famille FARRUGIA qui avait une ferme sur les hauteurs des Tagarins. Merci de votre réponse.

 

Marie-José Rachou (née Lopez)46 (Alger/Nîmes)

14/11/2006 10:22

J'aurais tellement aimé pouvoir aller écouter la conférence de Jean BRUA sur son père "Edmond BRUA, classique, pataouète malgré lui".
D'autant que le message de Jacques Prat me donne encore plus de regret. Aussi je pose la question: Est-ce qu'il serait possible que Jean Brua fasse une autre conférence plus près de chez nous? En effet je pense ne pas être la seule dans la région de Nîmes et Uzès à espérer qu'il vienne évoquer son père au travers de ses oeuvres classiques et pataouètes. Personnellement, je me sens d'autant plus concernée que mon père (Francis Lopez) avait des souvenirs d'enfance communs avec Edmond Brua, à Philippeville, amitié qu'ils avaient maintenue par la suite à Alger dans les années 40. Ayant perdu mon père, jeune, je n'ai pu avoir connaissance de cette amitié qu'au travers des dédicaces des livres d'Edmond Brua à mon père.

 

henri lazaro (Meudon)

14/11/2006 09:07

Juste ce petit mot afin de rendre un hommage à notre compatriote Alphonse Halimi qui nous a quittés. Va repose en paix "petite terreur", je me souviendrai toujours des histoires sur la boxe que tu me racontais lorsque je venais prendre mon petit déjeuner dans ton miniscule bar le "Mickey bar" dans le 11ème arrondissement de Paris, tu en avais des choses à raconter, jamais tu ne seras oublié. Henri

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

13/11/2006 23:25

Hello, pour Gilles de Courbevoie, zaaarma..! Prècise "le Ralliement DE MUSTAPHA", restons simple... salle de sport qui se trouvait un peu plus bas que le ciné l'Empire.... c'est bien ça??? Salut... Yves

 

ruiz henry (alger)

13/11/2006 22:10

Oui Gil, je suis un ancien du Ralliement de Mustapha section gym
ce club a sorti des champions de France : Caselles Roger, Caymaris Robert, Lazzari Mohamed (actuel president africain de la gym) son president etait Mr Laye prof au lycée Gautier et il n'était pas propriétaire du club comme l'a dit un essmaïen Ce fut un grand club avec son rival : le SGHTD : hussein dey. Un amical bonjour P.N je lis Esmma tous les jours. J' apprecie beaucoup vos souvenirs qui sont les miens aussi. A+++++

 

GIL de COURBEVOIE (1932) (ALGER/COURBEVOIE)

13/11/2006 18:21

Bonsoir! ESMMAIENS à vos mémoires: l'abbé Capomaccio du "grand" REX d'alger avait-il un lien de parenté avec Mr Capomaccio propriétaire du vivier de Sidi Ferruch ?? 2ème question avez vous souvenir de la salle 'Le Ralliement' au bas de la rue Edgar Quinet ??? J'ai fait l'AMMAN pour ceux que j'ai pu toucher par mes C...bétises et je serais heureux de les revoir sur le site de notre grande famille esmmaiene pour calmer mes regrets (message codé le secrétaire chiffreur pourra traduire). Amitiés GIL

 

Jacqueline de Rome (Alger/Roma)

13/11/2006 10:04

Le Dimanche romain a été pluvieux mais utile J’ai sélectionné de ce site : . Les cartes de notre ville . Plan de 1888
Plan de
Plan de
Ce dernier est très utile pour suivre les pérégrinations de nos amis. Bonne promenade!!

REPONSE: le site, ou plutôt les sites, du Pr Burp sont de véritables cavernes d'Ali Baba. On n'a pas suffisamment dit ici, sur es'mma, tout l'intérêt et toute la générosité du Pr Burp. Mais si un jour l'un de nous a le temps de fabriquer-enfin- cet écran de liens vers des sites "frères" de grand intérêt, ces sites, que nous recommande Jacqueline à juste titre, seront en bonne place. Amitiés à toi Jacqueline, et au passage, au Pr Burp!

 

Rando René 1941 (Alger/Limoges)

13/11/2006 07:22

Bonjour à tous. Pour José Gandolfo: je suis souvent descendu au champ de manoeuvre par la rue du Géneral Marguerite, lorsque j'étais enfant. Nous passions devant la caserne à droite oû il y avait toujours un soldat dans la guérite. Nous prenions le tramway place Sarrail pour aller au jardin d'éssais et à Hussein dey. Pour ce qui est de la tour, effectivement, c'était une tour d'entraînement d'arrivée au sol mais l'élève sautait avec un parachute en soie qui s'ouvrait et le spectacle ravissait les enfants. La tour en fer ressemblait plus à une grue qu'à une tour, mais cela nous suffisait à l'époque. Il n'y avait pas de parapente, ulm, tél portable, game boy.......au bas de la tour il y avait des térrains de boules qui complétaient le spectacle... Ce n'était pas encore "les temps modernes" qui nous mèneront peut être vers "le meilleur des mondes"........à méditer

 

preau (marly le roi)

12/11/2006 23:11

J'ai habité au muséee franchet d'esperey puis à la salle d'artifice et suis allée à l'école sainte croix entre 55 et 61. gilles monneyeur, nicole ferry, la famille périgaud, sont des personnes que j'aimerais retrouver, et bien sur des membres de ma famille Preau que l'on n'a jamais revus.

 

GANDOLFO José (1942 Alger-Belcour-Fréjus)

12/11/2006 17:58

Bonjour à tous: Pour plus de précision à RANDO rené, soit nous allions au champ de manoeuvre (place Sarrail) du chemin Yusuf en passant par le chemin Bobillot ou rue du général Margueritte. Pour la tour c'était une tour d'entraînement d'arrivée au sol ( ancien para moi même) à plus

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

12/11/2006 17:31

à Eliane et Marie Rose, et c'est valable pour les autres ex petites filles de chez nous. J'ai connu ma femme en Aout 55, et comme on disait "chez nous" nous avons commencé à frequenter, quand elle m'a presenté à sa famille, à peu pres six mois apres. J'allais un dimanche chez elle et elle venait le dimanche d'aprés chez moi, mais quand elle venait chez moi il y avait toujours un de ses petits freres avec elle, pas question qu'elle vienne seule, des fois qu'on aurait fait Paques avant les Rameaux ? et apres obligé de se marier derriere l'eglise (comme disaient les vieux" et quand nous allions au cabanon, c'etait mes parents qui allaient la chercher, et toujours un frere avec elle. à l'epoque elle travaillait à IBM rue Marey à Belcourt, et elle habitait à coté de la Grande Literie au Champ de Maneouvre, et tous les soirs je la raccompagnait chez elle. On descendait la rue A.Cayraon, puis on longeait la rue de Lyon jusqu'à l'arsenal, pui on descendait la rue ou la famille Camus avait la petite tonnellerie, et on arrivait dans le Bd CH. Luthaud, devant le foyer civique, cette grande allée bordée de platanes tous les dix metres. et là j'etais obligé de lui faire du bouche à bouche pour la ranimer la "povrette" car elle etait de santé fragile !!!!!!!! heureusement que j'avais pris des cours de secourisme, comme nous tous à vingt ans ????? je vous vois rire sfatchimes que vous etes!!! celui qui ne l'a pas fait leve le doigt!!!! meme que des fois je voulais lui faire des massages cardiaques, mais elle ne voulait rien savoir, alors je la laissai "souffrir"!!!!!! Mais il ne fallait pas trop trainer, car en arrivant la mémé regardait la pendule, et quand les "malaises" avaient trop durer, on se faisait remonter les bretelles. Et pour ma petite soeur cela a été pareil, quand elle frequentait mon Bof, il fallait que j'aille avec eux, tu parles si j'avait besoin de ça, alors je leur donnais rancard à telle heure et on rentrait ensemble à la maison, Jeanj

 

bougenier claude (Belgique)

12/11/2006 16:44

Pour Yves Jalabert : Les messages que je vous envoie me reviennent. Avez vous changé d'adresse ? Amicalement

 

Philippe JOLLIVET

12/11/2006 16:28

Bravo, Yves .
Tu es devenu désormais un véritable professionnel du tourisme en Algérie.

 

Jacqueline Simon (Alger/Roma)

12/11/2006 14:55

Gérald j’ai lu de bout en bout ton dernier écran et je n’ai pas vu de définition du mot "Champ de Manœuvres". Oilà ..c’est ce que j’ai lu dans «les feuillets d’El Djezaïr» au sujet de cette place, un peu chamboulée, il faut bien le dire, par les travaux d’u r b a n i s a t i o n. "Le Champs de manoeuvre était appelé avant 1830, Menzel-el-Mahalla (lieu où descend l’armée). Là, en effet, deux fois par an, à l’occasion de grandes cérémonies du Gouvernement turc, l’Agha des Janissaires allait camper pendant vingt quatre heures, avec un contingent de la milice algérienne. Ce lieu de campement n’occupait toutefois qu’une faible partie de l’espace où s’étendit le champs d’exercice français.. le terrain était très inégal. Des mares en couvraient le centre, ce qui rendait ce quartier malsain. Il en était de même du Hamma dont le nom signifie: "la fièvre". Au sujet des "spectacles" du Champs, vous souvenez vous de la baleine, exposée ...pauvre bête qui était venue s'échouer sur nos plages?? Et l'odeur...

REPONSE: merci à toi, jacqueline, de ce complément historique et culturel. Non pas à mon dernier écran, qui n'avait que la modeste ambition de vous présenter quelques photos raboutées prises récemment en ce lieu, mais en complément de ce qu'Henri Garcia avait commencé d'entreprendre sur SON Champ-de-Manoeuvres, et qui est hélas resté en plan, lorsque'Henri nous a quittés. Si d'autres encore suivaient l'exemple de Jacqueline, nous pourrions envisager de terminer ce qu'Henri avait commencé. Bonne fin de dimanche à tous. G.

 

éliane 1948 belcourt (rhône alpes)

12/11/2006 14:52

Pour marie-rose. Enfin une jeune-fille de belcourt qui certifie qu'on ne sortait pas lorsqu'on était des filles surtout des ados; alors comment voulez-vous que nous connaissions autant de choses que vous les garçon? Heureusement qu'on apprend tout cela maintenant avec "nos frères" comme jean jean, yves, richard et autres - merci à vous tous pour l'histoire de nos quartiers - éliane

 

"chamaneuv" 38 Alger

12/11/2006 13:16

En complément de Yves JALABERT: Hotschkiss avec suspension Grégoire.

 

Jean Noguès(1940) (Caserne des Douanes-La Varenne(94))

12/11/2006 12:56

Pour Gil et Jean Jean. Mes origines familiales proches du repaire actuel de Jean Jean, me permettent de décrypter l'expression "de là bas" évoquée par Mouch Mouch.'coulcousut'. Jean Jean doit savoir qu'en pur catalan ...de Perpignan en phonétique 'oun coul cousut ' est un cu cousu en langue indigéne... Lorsque mes parents étaient à l'école à Collioure et Argelès/mer, il leur était INTERDIT de parler catalan au nom de l'intégration à la Republique. Autres temps, autres moeurs! Ils se rattrapaient à Alger en echangeant entre eux en catalan, ce qui ne m'a pas empèché d'être bien placé dans la classe de 6eme à Gautier ou GARDEL fut premier prix de composition française! La richesse du vocabulaire pied-noir s'alimentait à la diversité des origines mediterranéennes de chacun au profit de tous... Autre temps!

 

GIL de COURBEVOIE (ALGER/COURBEVOIE)

12/11/2006 11:53

Mouch Mouch : repartons dans les expressions de famille bagali, barboucha,.. mais alors coulcousits j'en reste sur le ..assis ma grand mere prononçait ce mot avec 2 K suite à son accent alsaco pour balium je connaissais pas ! Y en a t'il d'autres? Va pour les lapins en amandes (les PN sont souvent prés du sophisme dans leur discours mais sympathiquement ) Pour TIAZET je voulais dire le fils qui était avec nous à Clauzel une école de garçons. L'épicerie se trouvait bien angle Hoche/Auber .. A bientot MOUCH MOUCH (est ce tiré aussi du jargon familial??) cherche encore ça me rajeunit AMITIES bon dimanche à tous GIL

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

12/11/2006 09:54

Pour ce qui est des cirques et autres qui venaient s'installer au champ de manoeuvre. qui se souvient d'une petite troupe espagnole, qui venait de Valence, El Gitano Blanco, cette troupe etait arrivé pour trois mois, et est reste plus de trois ans dans Alger et ses environs, tous les soirs le spectacle changeait, et le succès etait garanti, au départ c'etait bab el Oued , puis le champ de manoeuvre, puis le Ruisseau, et ils ont même eté à Fort de l'Eau. A force de les voir, nous nous étions fait ami avec eux, et souvent le Lundi ils venaient au cabanon à la verte- rive, et on faisait une bonne Paella, pour tous, car nous étions à chaque fois une cinquantaine. ils étaient super sympa, et pas vedettes pour deux sous. La "Star" feminime était la "Mouniata", et les spectacles tout en espagnol enchantaient les spectateurs, à majorité Valenciens et Alicantis. Il y avait une ambiance formidable, tout se passait en famille. Quand c'était complet, on s'asseyait debout, il y avait toujours de la place dans les coins, et même assis sur le sol. ça valait bien l'Olympia ou Bobino à Paris. à plus jeanjean.... de Belcourt

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

12/11/2006 09:35

Salut les Esmmaïennes et Esmmaïens. En relisant les contes du Parapet, écrit et illustré par nos amis, il y a la photo, envoyée par Betty, assise sur le capot d'une belle auto, c'est une Hotschkiss, voiture de cette marque que j'ai découverte en ruine dans une oasis du sud Algérien du coté de Touggourt la semaine dernière, j'ai raconté ma découverte dans un message précédent. Voila... bon dimanche et, balek à ne pas manger trop de toupie pleines de crême, appelée aussi téton de bonne soeur... Yves

 

Richard Chéron (1943 - Télemly-Belcourt-Nantes)

12/11/2006 07:55

Marie-Rose, d'accord je ne participais pas à la cuisine mais je faisais les courses et pendant les vacances (elles duraient trois mois l'été) j'allais au marché tous les jours, dès l'âge de neuf ans. Et la glace c'était lourd !
Faut croire que l'emballage des paquets de riz n'était pas transparent !

 

marie rose mas (alger-montpellier)

11/11/2006 20:02

Bonsoir a tous. Apres bien des déboires (ou des boires) informatiques, je vous retrouve tous avec bonheur. et il m'a fallu plus d'une journée pour lire tous vos messages .......(sans boire et manger !!!!!!)oups!!!!!!!!
Pour Richard (qui est mon ami d'enfance et que j'aime beaucoup) et Jean-Claude, votre évocation du riz blanc m'a fait sourire !!!!!!! Et bien moi a l'âge de 13/14 ans je savais que le riz blanc était coloré par le safran puisqu'étant une fille, j'aidais ma maman à la cuisine et les courses et bien sur le riz a l'achat était blanc. Bien sur, c'est une pierre dans le jardin des garcons, puisque "eux pouvaient sortir et s'amuser ..........nous n'avions droit nous qu'à des compositions de fleurs en papier crepon et autres...... sans rancune. A plus ... marie rose de Belcourt

 

Jean-Marc (Champ de manoeuvres-Alger) (montpellier)

11/11/2006 18:46

A RANDO René : La route qui descendait du commissariat au champ de manoeuvres s'appellait, du moins si mes souvenirs sont encore bons, "chemin Margueritte" les casernes en partant du bas et en remontant:
A gauche c'était la casernes des "Tringlots" et en haut à droite celle des "Chasseurs". Cette côte, plutôt cette descente combien de fois l'a-t-on descendu en cariole, trois ou quatre roues (Eh oui déja on jouait la diversité). Bien des fois les trolleys nous rattrappaient ...... Et la purée de nous autres, il fallait soit freiner (ce qui n'était pas facile, et bien souvent on se retrouvait sur le trottoir, soit on passait sous le trolley, mais alors là.......). Quant à la tour d'entrainement, elle a été demontée pour faire le jardin et plus exactement "La boîte d'allumettes". J'en garde un peu pour la prochaine. Et une minute de silence en souvenirs de nos morts de la "Première". Pax et salute à tutti

 

jean claude

11/11/2006 18:44

Allez savoir pourquoi je suis allé faire un tour sur une planche d'Esmma intitulée "Joyeux Anniversaire Anna-Sylvia" juste aujourd'hui un 11 Novembre...

J'ai lu amusement ce message d'amour écrit a cette gentille dame née il y a 90 ans, et qui fêtait son anniversaire.... et puis a la fin sous la derniére photo, 3 lignes , une phrase toute simple, 1916, année de la mort de leur pére Raphaël Pons ...Zouave, tué à Verdun... Il y a encore 1/4 d'heure je n'avais jamais entendu parler de Raphaéë Pons ..Mais aujourd'hui c'est le 11 Novembre 2006, élevons nos coeurs à la mémoire des enfants du pays du soleil "Morts pour la France" au nom de Raphaël Pons Simple Zouave...

 

marie-claire colinet (alger/ecquevilly)

11/11/2006 17:17

Gérald, tu as reçu quel chifier, pardon fichier (il parait que les profs ça n'en fout pas une rame !!! je travaille depuis ce matin sur un cours que j'ai refait à 1 an de la retraite, faut le faire quand même ! En plus un jour férié !!! la purée de ses os !!). Donc les photos de la Simca ou ceux qui sont quand même revenus comme d'hab sur les fêtes ? Bon WE à toi et à tous les otres.

 

DanièLe Roussel "l'emplâtrée" (Alger (ago)/ Paris (again))

11/11/2006 16:58

SOS - "QUI" détient l'adresse mail de Paul Tarting? J'ai perdu ses coordonnées sur mon Nordhine Kapout (un "doublement" estranger!).
Paul, si vous me lisez....Z'écrivez-moi SVP.
Amitiés à tous.
P.S. : Quesaco cette réunion des Esmmaiens de Paris qui se prépare chez Danielle Ferra ? Comité "restreint" ou "élargi" ? ( faudrait l'élargir de beaucoup pour ce qui me concerne!: mais non, je ne parles ni de la tête ni des chevilles!)

 

Rando René 1941 (Alger/Limoges)

11/11/2006 15:50

Bonjour à tous.à propos du champ de manoeuvre,bien sûr il y avait les cirques et je me souviens des visites à la ménagerie du cirque Amar avec mon grand père qui habitait chemin yusuf.nous déscendions au champ de manoeuvre en passant devant la caserne des spahis.je ne me souviens plus du nom de la rue.... mais au champ de manoeuvre il y avait autre chose de remarquable....: une tour d'entraînement au saut en parachute et le spectacle des sauts nous ravissait tout autant.

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

11/11/2006 14:13

hello tout le monde, quand j'allume le pc en fin de matinée, mon premier geste est de venir vous lire et quel régal ! Difficile de raconter les souvenirs de Paul, ils sont plus anciens que les vôtres et quand il a habité Alger il était déjà adolescent alors que vous, pour beaucoup étiez soit dans les choux et les roses ou en couche culotte et comme JO, certains pourraient être ses enfants ; il s'est marié en 47, j'ajoute, en regardant les villes où vous demeurez maintenant, que être nous sommes nous rencontrés sans le savoir
Nousavons habité ST LAURENT DU VAR et notre grande est née à Cagnes, puis la seconde à Cavaillon ; ensuite nous sommes allés à EYGALIERES puis ST CYR SUR MER, GRASSE, CARCASSONNE et maintenant BEZIERS et je crois que ce n'est pas fini
bon, je termine maintenant en vous souhaitant une bonne rencontre pour le 15, que cette journée soit animée et Paul se joint en vous envoyant toutes ses amitiés et peut être qui sait, un beau jour .... laurence

 

Mouch-Mouch (Alger la blanche/Paris tout gris)

11/11/2006 12:34

Oh Gilles tes "souris" en amande elles z'avaient pas de queue donc c'était Des "lapins" (j'suis pas loin du sophisme là!). Mon Tiazet, il était à l'angle Hoche-Auber pas à Clauzel.
Quant aux expressions de "là-bas dis", moi je croyais -et toute la famille avec moi- que "faire du bagali" ou "être toute barboucha" n'étaient que pures inventions de mes Grands-Parents à l'esprit pour le moins créatif. Ma Grand-Mère faisait de (malicieux) "coulcousits" et disait aussi "tu me fais des balioums" lorsque l'on faisait des ombres sur sa lecture ou son ouvrage en passant devant la lumière : éh bien, cela vient du patois provençal!... La tradition orale familiale sur l'originalité du Pater Familias en prend un coup! Quoi que je suis quasi certaine que bien d'autres termes et expressions au consonances bizarres étaient de son cru. Ce jargon particulier m'a tellement marquée que je perpétue la tradition avec mon fils. La langue Française pourtant si riche manque parfois d'un chouia de fantaisie!

 

jean claude (74)

11/11/2006 12:26

Il a raison notre ami Richard du Telemly...... 1962 , on découvre le Riz Blanc...je m'en rappelle bien, moi je n'ai pas touché au plat..... il m'a fallu beaucoup de temps pour que çà me passe.. quand j'ai trouvé du Spigol en magasin, j'en ai fait provision,... apres çà allait mieux.

 

Lucien MONJO (CARNON (34 ))

11/11/2006 11:51

En ce 11 Novembre j'ai une pensée pour tous les combattants de notre chère Algérie , tombés au Champ d'Honneur pour défendre leur pays , LA FRANCE

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

11/11/2006 09:19

Gil "mon petit canari des iles" nous revoila partis dans la "bouffe", je me souviens, que petits quand nous sortions de l'ecole à 4 heure et demi, on arrivait à la maison on posait notre cartable et comme on disait, on descendait dans la rue, et là nous avions tous un casse croute à la main. et il nous etait facile de savoir ce que les petits copains avaient mangé à midi, car la premiere des choses, on rentrait dans la cuisine, on prenait un bon morceau de pain, qu'on ouvrait en deux, et on le trempait dans la cocotte ou le fait-tout, ou la marmite qui se trouvait sur le fourneau. et on redescendait tous au meme endroit qui était le boulodrome Vve Cote à l'angle de la rue de l'Union et du Bd thiers, face à la Place Jeanne d'arc, et là en regardant ce que "bouffaient" les petits copains, tu savais tout de suite leur repas du midi, il y en avait qui dégoulinaient de sauce tomate, d'autres du jus du ragout, d'autres avaient une saucisse des lentilles de midi, d'autres de la "frita" 'ou un morceau d'omelette, ou une barre de chocolat Meunier, même des fois un poivron frit, ou une tomate coupée en rondelles avec de l'huile d'olive et du sel. ou une grosse tranche de pain avec du lait Nestlé. ou un morceau de pain avec des sardines à l'huile, et des olives noires qu'il tenait dans la main. Sans oublier les classiques sandwich à la soubressade, ou au paté, et aprés avoir avaler cet encas, on commençait les parties de pétanque jusqu'à sept heures, et tout le monde rentrait à la casa, C'était reglé comme du papier à musique. Dans le fond on ne s'emm....... pas trop, et les parents n'avaient pas de soucis à se faire, car ils savaient ou nous étions, et surtout que nous ne faisions pas de " bêtises", ce qui malheureusement n'est pas le cas de nos jours. à plus Jeanjean.... de Belcourt , j'ai oublié ceux qui avaient un bon morceau de pizza, ou une Koka ,scousa mi

 

Marie-Claire Colinet (Alger/Ecquevilly)

11/11/2006 08:06

Merci pour faire revenir tous ces souvenirs! J'avais totalement oublié les petits lapins faits avec des amandes fraiches par mon père !!!! Et d'un seul coup ils sont devant moi ! Merci, merci !
Bon WE à tous

REPONSE: Marie-Claire, bonjour. J'ai bien reçu ton fichier, et je t'en remercie. On va s'y atteler. Bises. Gérald

 

GIL de COURBEVOIE (1932) (ALGER--COURBEVOIE--)

10/11/2006 23:57

J'voudrais pas encombrer le LO mais tous ces noms que je croyais "interne" à notre famille rejaillissent soudain : bagalis pour moi c'était le mélange que fabriquait les maçons - pour le pain sec en plus de l'ail on frottait de la tomate et l'huile à la fin pour éviter le bagali comme dit dans le message Quant aux petits lapins en demi coquille d"amandes faiches aux oreilles plantées sur le dessus je croyais qu'il s'agissait de petites souris- Les grenades et les figues de barbarie nous étaient rationnées car risques de problémes intestinaux -Les jujubes et les arbouses figuraient au menu lorsque j'accompagnais mon oncle à la chasse--Demeurant pas tres loin de chez Tiazet les bananes séchées nous les préférerions un peu molles (il y avait un Tiazet à Clauzel) Finalement nous étions une grande famille--MERCI à El djezair "toujours" dans mes reves (à moi aussi) d'avoir rappelé ces merveilleux souvenirs gustatifs--Peut etre que mercredi à la soirée des Es'mmaiens de PARIS chez Danielle nous retrouverons certain de ces parfums-- Jeanjean répare ton "rummel" et vous les filles faites lui un tonnerre de cris pour qu'il sache qu'il n'y a pas que les 'zomes' qui l'apprécient Bonne nuit à tous GIL

 

GDLLDB

10/11/2006 22:35

Message pour G. HONTE
REPONSE : oui, oui, y'a vraiment de quoi! Vous voulez vraiment lui faire de la peine ou quoi?

 

Jean-Marc (Champ de manoeuvres-Alger) (montpellier)

10/11/2006 19:46

Merci à Gerald pour ses photos "Panoramiques". Un vrai régal..... Un peu perdu dans l'environnement. "Louis BILLARD" et toute la partie en face des HLM a disparu... que c'est triste. En revanche le bleu et le blanc règnent en maître de BEO au champ de manoeuvres. Dis Gérald tu n'habitais pas au Batiment "M". Amitiés à tous

REPONSE : bonsoir Jean-Marc. Non, non, je n'étais pas du Champ-de-Manoeuvres. Mais un jeune homme de 80 et quelques années, Henri Garcia, m'a raconté ce quartier qui fut celui de sa jeunesse, puis de sa vie d'homme, il me l'a fait connaître et aimer. Que ceux qui ont aussi habité là, à leur tour nous racontent leur Champ-de-Manoeuvres... Celui du début des années 50 par exemple, avec son atmosphère dont je me souviens encore, même si j'étais bien petit. L'odeur des beignets italiens, le cirque... les cirques... la visite de la ménagerie, la vogue... Alors... à vous Cognac-Jay? Et puis merci de vos appréciations sur les panoramiques. J'aurais su, j'aurais fait un tour complet ! La prochaine fois...

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

10/11/2006 19:32

à Lias Charef, comment me procurer les photos de la rue Fourchault, prises lors des inondations de 2001, il y en a cinq, c'est pour offrir à l'ancien locataire de la serrurerie, qui a maintenant 83 ans, et qui serait trés heureux de les avoir. Merci d'avance. Jeanjean... de Belcourt.

 

Jacques Prat (1941) (Aix en Pce)

10/11/2006 19:07

Géniaux tes panoramiques, Gérald. Mais tu sembles dire que ça n'a pas trop changé... je trouve que c'est un bouleversement, ouais! On y retrouve à peine ses marques... dis, Yves Sendra et les autres "manoeuvriers", vous vous y retrouvez, vous ? Venez à ma rescousse... Où est passé mon marché Bel-Air ? Ils nous l'ont remplacé par une espèce de placette ! et où elle va faire son marché, mintenon, ma mére ? et ces échangeurs souterrains... un coup j'te passe dessur, un coup j'te passe en-dessous... c'est Los Angéles, ma parole... c'est avec la vente des biens vacants, qu'ils ont payé tout ça ?
Zarma! on s'y croirait ! Merci Gérald.
PS1: une dernière question, "pourquoi il y a des bagnoles coupées en deux dans les rues, Hein? Et pourquoi il y a des gens coupés en deux, aussi, Hein? ..."
PS2: si quand je parle, l'accent, i m'est un peu revenu, c'est parceque j'étais hier au soir à la conférence de Jean, au Cercle Algérianiste d'Aix : "Edmond Brua : classique pataouète malgré lui"... un régal, une excellente soirée comme je n'en avais pas passée depuis longtemps... ma parole

 

Blom Hervé (Alger Saint Laurent du Var)

10/11/2006 17:40

Ah quel plaisir de retrouver des moments de joie et d'inssuciance propres à tous les pieds noirs. Bien que trés jeune en 62 je me rappelle encore les moindres détails de la ville d'Alger. J'habitais rue d'Estonie avec vue plongeante sur le gouvernement général ce qui me permet de voir lamaison où j'habitais rue d'Estonie à chaque fois que les photos sontr edifusées dans la presse. En ce temps là j'avais des cuisses en béton à force de monter les rampes d'éscalier jusqu'à notre immeuble . J'allais à l'école de la rue Duc des Cars et je me rapelle de ces commerçants comme la boulangére Ferrer et le boucher Delay ou ce charmant pharmacien Michel plus tard assassiné dans son officine comme son neveu fut lui méme assassiné.

REPONSE : Bonsoir Hervé. Je me suis permis de rectifier une erreur concernant la disparition de Mr Michel. J'ai supprimé une précision qui ne correspondait pas, me semble-t-il, à la réalité. Il y avait maldonne sur les auteurs. Pour le neveu je ne sais pas. En tout cas, ceci sur Es'mma ne fait pas partie de ce qui s'y traite. En revanche, vos souvenirs personnels sur le quartier sont les bienvenus! Alors, à bientôt ? Gérald.

 

Richard Chéron (1943 - Télemly-Belcourt-Nantes)

10/11/2006 17:18

Le "riz (avec safran bien entendu)" d'Eliane de Belcourt me fait repenser que la première fois que j'ai mangé du riz en France (en 1962 donc) j'ai découvert avec stupéfaction que le riz était blanc. Je croyais que le riz c'était jaune !

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

10/11/2006 13:49

Mon dieu ces hommes avec leurs mains pleines de doigts, quatre messages d'amitiés, tous de le part "des zomes" ouf ! j'en suis tout retourné, j'ai le "rummel" qui fout le camp. bisous à tous, jeanjean....de Belcourt

 

GIL de COURBEVOIE (1932) (ALGER (6°)--COURBEVOIE (92400))

10/11/2006 12:46

Christian Ripoll "dynamisme créatif" tu as les termes exacts pour cette UIA créée au départ par un homme à la vision futuriste des affaires dans le monde du pétrole Nous nous sommes sûrement croisés car de plus j'habitais prés du cinéma Empire pas loin de la rue Meissonier. Amitiés GIL--- Mon Jeanjean "speedy gonzales" (il a raison Jean Claude) aprés de telle marques d'affection de tous ces pieds noirs Es'mmaiens et autres faut-il te répéter qu'on t'aime: le canari des iles= GILOU

 

Princesse Mouch-Mouch (El Djezaïr "toujours" dans mes rêves)

10/11/2006 12:18

La tartine "grillée" (ou de pain sec) frottée à l'ail et arrosée d'huile : un régal! (mais, René Drévot, fallait mieux frotter l'ail d'abord parce que sinon, balek les bagalis avec l'huile) les fèves "à la croque au sel "miamm" (sur les marchés "du nord" je surprend tout le monde avec mes "hemmmmmm donnez moi 2kg de fèves" (surtout qu'ils me les "donnent" pas les rares "marchands de fèves" de par ici!). Chez moi on disait : "7 dattes égal un bifteck" (autant dire que la "petite classe se dépêchait de boulotter les 7 dattes pour avoir un bonne (?) raison de refuser le steak!) en plus, moi, j'y mettais du beurre ou une amande dedans. Tu as oublié les figues "maison" séchées au soleil bien mielleuses que l'on fendait en 2 pour y placer à l'intérieur un cerneau de noix :suprême délice!
Les grenades dont les grains éclataient en bouche tout en nous éclaboussant de rouge et dont les petits pépins se faisaient indélogeables dans les interstices de nos quenottes enfantines.. Et les figues de barbaries.. et les amandes fraîchement cueillies (dont mon père me faisait avec de charmants "petits lapins", de même qu'avec les clémentines, des "petits paniers").. Et les jujubes.. Et les arbouses...
Et puis, en ville, nos bananes séchées achetées chez Tiazet (où elles reposaient en vrac dans un pot en grès) ... Mais, en ville c'était une autre histoire avec les beignets, les toupies etc. etc. Et qui se souvient du marchand ambulant de meringues du marché Meissonnier???

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

10/11/2006 11:56

à Roger, vu que tu habites à Cagnes, tu dois savoir qu'il y a de nombreux cyclistes Algérois qui sont tes voisins, Massip, JP Romeu, Y. Pouyaud? Marcel Farrudja, président du CCBO, Schneider, et bien d'autres. Tu sais pour ma mémoire je n'ai aucun mérite, car j'ai toujours trempé dans le vélo; j'ai suivi ma première course en 44 avec le père Pouyaud qui était president du RASA, et depuis j'ai continué à m'intéresser à la "pédale" mais pas celle qui craque, la vraie pédale. La semaine passée j'ai eu H. Ferrer, qui me demandait des photos de DOS REIS le marocain qui courait dans l'equipe d'AFN au tour de France, et je lui ai fourni plusieurs photos; dont celle ou il gagne l'étape du tour à Toulon devant M. Zelasco. Enfin c'est ma passion. à plus Jeanjean.... de Belcourt

 

RUBY ROGER ALGER BEO 1932 (CAGNES SUR MER)

10/11/2006 10:28

Merci à Jean Jean de m'avoir rafraichi la mémoire avec tous les noms des coureurs cyclistes de l'époque. Gil de courbevoie a raison, la mémoire de Jean Jean est admirable, mais il a un avantage sur nous deux, c'est la jeunesse, il est de 34 et,nous, de 32. Amitiés à tous.

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

10/11/2006 01:26

re moi. Ben oui, je suis une couche tard mais j'adore surfer le soir tout est tranquille. Gérald, tes pano ramiques sont supers, Paul a reconnu un tas d'endroits et la station service où il allait se ravitailler! Mais une tite question: les photos sont coupées (émoticone rire) j'ai même pas pu reconnaître la marque des voitures . Aïe aïe aïe mes oreilles !!!! Bonne nuit à demain. Laurence

 

Jo CABRERA/1926 (ALGER/MONACO)

09/11/2006 19:43

A Jean-Jean (exclusivement) .je constate que nous avons plus d'un point en commun : 1) notre attachement à Altea-Callosa; 2) nous sommes "aoûtiens" de naissance; 3) nous nous sommes mariés (pas ensemble!) le 9 février. Toi, en 1957, moi en 1948. C'est la raison pour laquelle j'ai un fils de 57 ans! Tu vois, tu me dois le respect! Bises à toute la famille. Jo
Gérald, j'ai un crédit de 1594 caractères. Je serai plus bavard la prochaine fois. Amitiés.

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

09/11/2006 18:55

coucou tout le monde, JAJA, quand Paul a vu le périple que tu organisais il m'a dit "j'irai bien" car il connait bien ce parcour. à une époque "déjà lointaine" il se rendait régulièrement à HASSI MESSAOUD pour le travail soit en avion soit avec sa belle toto la Versailles beige au toit vert. Donc il connaît Laghouat, Ghardaïa, Ouargla et enfin Hassi. Alors il m'a chargé de te dire:
soit nous avons la possibilité d'y aller
soit nous ne le pouvons pas
alors à ce moment là pourras-tu lui rapporter un SAROUEL car il en avait un super, noir avec des bandes blanches sur le côté. Ouala son message que je transmets. Bisous à tous et toutes. Laurence

 

jean claude

09/11/2006 18:52

jean jean si tu n'existais pas on aurait tu t'inventer!!! je vais t'appeler speedy gonzales de belcourt... elle est pas belle "notre vie"..sur esmma?

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

09/11/2006 18:26

Jean-Claude et Gil, vous faites exprés ou quoi? Le vélo m'est interdit, et là vous me donnez envie de remonter sur ma chère becane. pour le materiel, d'abord les cadres étaient en acier Reybolds ou Vitus, les selles le "top" était Brooks (j'en ai encore deux, dont une neuve jamais utilisée) et Idéale, les Boyaux, hutchinson, Dunlop, Pirelli, Wolber. freins Mavic, Lefol, Lam, Mafac, jantes Super Champion, et Mavic. Les derailleurs, Simplex, Huret, Super Champion. les roues-libres Moyne. les chaines Sedis. le top pour les moyeux c'etait BSA. les premiers double plateaux sont sortis en 48 avec les manivelles à clavettes et en acier. les premiers blocages de roues ont ete Gnutti. Les pompes Impero, et Zefal Mais les plus connues chez les cyclistes étaient les pompes Moildar !!!!!!! aie avisss ????? Tout ça a été balayé par Campagnolo le top du top, et maintenant Shimano. Quand aux cadres actuels, ils sont tous en carbone ou en titane. mais les prix ne sont plus les memes, un Beau velo Colnago en titane ou carbone équipé "tout" Campa arrive a Dix mille euros. Moi j'ai un Colnago Titanium tout Campa, je n'ose pas dire le prix, il coute plus cher qu'une voiture d'occasion. Et les petites chaussures, les plus belles étaient la marque Campione et les premières roue-libre n'avaient que trois vitesses, mais il y avait des bricoleurs qui soudaient une quatrième couronne devant la première, pour avoir plus de developpements. MARCEL ZELASCO le faisait trés bien, c'etait un as de la soudure. Bon voila pour la pédale, maintenant trouvez autre chose, car ça ne va pas interesser grand monde, et es'mma va perdre de l'audience. à Plus Jeanjean.... de Belcourt

 

jean claude (thonon)

09/11/2006 16:28

Tiens Gil!... juste pour te faire plaisir et pour mettre Jean Jean au boulot,,,, Notre jeune époque a vu la fin du serrage des roues avec des "Papillons" pour faire place au Serrage rapide...... pour les Selles en cuir le top du top c'était la marque Brooks... les freins a étriers Mafac, les pompes "Zefal", les boyaux "Hutchinson" que l'on prenait soin de coller sur la jante, sécurité oblige....etc etc... Jean jean doit étre déjà dans ses cales pieds pour nous répondre... amitiés à tous jean claude

 

René Drevot (1943) (Fontvieille (13))

09/11/2006 14:17

Les évocations par Eliane, des repas des mères pied noir et de notre cuisine riche des mélanges de toutes les origines et influences qui constituent notre "communauté" (au sens noble du terme) me remettent en mémoire (et en bouche) les souvenirs de quelques casses croutes ou gouters si délicieusement simples. Vous souvenez-vous de ces petits "plaisirs":
Une tartine de pain"nappée" d'huile, avec de l'ail que l'on frottait dessus
Des dattes avec du pain
Des fèves crues avec du sel (que je partageais avec mon père)
Et d'autres encore .....
Pour revenir à Camus et entre autres au " Premier Homme" (relu récemment), il faut, pour parodier le poète, que de la même manière "qu'après avoir aimé il faut aimer encore", pour notre prix Nobel après l'avoir lu il faut le lire encore. Amitiés . René

 

Yves Jalabert (1944) (R.P.94 (Alger))

09/11/2006 14:05

Hello... formidable photos de notre Gégé... panoramique, il a dit le Monsieur, entention balek... la classe... si ce n'est pas déja fait allez zieuter ça, c'est tout de suite en entrant, vous pouvez pas rater ça et le reste non plus... A très bientot pour vous conter d'autres histoires, en préparation... Bye Yves

 

LLORENS Jeanjean (ALGER Belcourt les halles)

09/11/2006 12:14

Eliane 48, ta rue qui commence par lala est la rue Lalahoum, à coté de la cathédrale, c'est la rue ou est née ma femme. à nous deux il va nous falloir un emplacement spécial dans es'mma, pour en laisser un peu aux autres. Bisous Jeanjean.... de Belcourt

 

LLORENS Jean-Jean 1934j (ALGER Belcourt les halles)

09/11/2006 12:09

Eliane "mon petit lingot d'or"; avec toi nous sommes sûrs de ne pas mourir de faim. Pour ton riz avec l'oeuf. j'en mange très souvent, car la Mémé Llorens, l'a appris à ma mère, et ma mère à ma femme, avec le reste du pot au feu, du dimanche, le Lundi tu recupères le bouillon, tu y mets ton riz à cuire et à la dernière minute tu nappes le tout avec un ou deux oeufs brouillés. et c'est bien bon. De toute façon tout ce que faisaient nos grand-mères était trés bon. Maintenant qu'arrive l'hiver, je vais en manger trés souvent. je penserai à toi. Bisous, Jeanjean.... de belcourt

 

Gérald Dupeyrot

09/11/2006 12:06

Message pour Coco: dites donc, "Coco", vous allez pas vous défiler comme ça, hein ? Alors, quels sont vos souvenirs du Cameo ? (ou du Vendôme, selon votre âge) Vous étiez du quartier ? Quels films y avez-vous vu ? Allez, un bon mouvement, qu'y ait pas que moi à me "dégraffer", quoi...

 

Christian Ripoll 1936 (Alger La Redoute)

09/11/2006 11:42

Oui, Gil, c'était bien l'UIA, belle entreprise qui entretenait et construisait de belles et grandes choses. Tous nos appareils de forage passaient par là, et certains donnaient lieu à des déplacements spectaculaires, vu leurs dimensions !
L'UIA, en effet devenue UIE, était née à Alger. Elle était devenue une puissante entreprise avec des ramifications nombreuses en Afrique. Un bel exemple de dynamisme créatif...

 

Jacqueline de Rome (Alger Centre)

09/11/2006 11:39

Scusez m’sieu, que j’ai pas vu avant…que je le referai plus j’vous jure... En tous cas, ce que je peux dire c’est que relisant ce livre aujourd’hui après 10/12 ans depuis sa parution, je l’apprécie davantage car grâce à Esmma (et là je te passe un peu la brosse à reluire… mais tu le mérites bien) il y a des tas de détails sur des lieux (surtout sur Belcourt, le Hamma, le Jardin d’Essai) et sur des coutumes, que je retrouve avec plus de familiarité. Ouala. Vive Nous. Bises

REPONSE : tu as mille fois raison, chère Romaine. Encourageons nos Es'mmaiens qui ne l'auraient pas lu à lire ce livre magnifique. Mais non, lecteur, je parle pas d'es'mma, je parle du "Premier homme" !

 

GIL de COURBEVOIE (1932) ( ALGERIE- FRANCE)

09/11/2006 10:51

Quand j'ai lu que RUBY abordait la question cycliste j'étais sur que mon Jean-Jean de BELCOURT allait répondre. Un message aprés gagné !! - RUBY il faut savoir que notre Jean-Jean grand spécialiste du vélo a connu et connait encore de nombreux champions d'Algérie et de l'hexagone !! Il posséde d'ailleurs de superbes photos !! Contacte le. Amitiés à vous 2 -- Christian RIPOLL, la sté de Maison Carrée route de Baraki (je crois qu'il est possible de citer son nom sans déroger à l'AVISS) c'était U.I.A. en face de chez RENAULT USINE devenue U.I.E. en métropole Le siège social à ALGER était rue Joinville dans les escaliers et à Maison Carrée c'était l'ancienne fonderie BECCARREL qui fabriquait entre autres des sabots de freins pour les C.F.A. Amitiés pétrolières - LAURENCE la "patos" en relisant des anciens messages je connais 'bréle' mais l'autre mot c'est baRzouk ou bazouk (çuila qu'a des gros yeux) Allez demande à PAUL ..Bises de GILOU

REPONSE: bonjour Gilou! Eh, on n'est pas sur TF1! Y'a marqué nulle part qu'on n'a pas le droit de citer des marques ! ni des noms des sociétés ! Au conraire, ici on ne s'en prive pas. Alors, allons-y, continuons à parler des marques et des entreprises de nos jeunesses!

 

éliane (1948) (belcourt)

09/11/2006 09:37

Ma petite michèle, tu as fait revenir en ma mémoire "les fournils du dimanche"
à l'époque nous n'avions pas tout l'électro-ménager de maintenant à belcourt - maman préparait des grands plats de gratin de pomme de terre, ou de l'agneau, ou notre fameux poulet du dimanche, et avec d'autres familles nous nous rendions chez le boulanger, à l'heure où le pain était cuit, et nous profitions de la chaleur du four pour faire cuire nos aliments du dimanche. Oh oui cela sentait bon dans les boulangeries en fin de matinée, pain, repas de midi, toutes ces odeurs, un vrai petit régal (voilà je suis repartie dans la nourriture) - mais que voulez-vous nos mamans étaient de fines cuisinières et il ne fallait pas compter (et tant mieux pour nous) sur les micro-ondes... J'ai en souvenir les têtes de moutons cuites dans ces fours avec des pommes de terre tout autour - maintenant certains seraient dégoûtés ; et bien c'était si bon et si connu parmi nous - l'odeur m'en vient aux narines alors même qu'il n'est pas encore 9 h 1/2
quant aux blagues faites à nos anciens, j'ai le souvenir des babas au rhum, bien imbibés, où nous changions (oh traitresses pour notre mémé) la crème patissière par de la mayonnaise - et bien, comme ta tante, Michèle, notre mémé était si gentille qu'elle ne savait qu'en rire...
Encore de la nourriture, pour les personnes d'origine espagnole et de milieu modeste, avez-vous connu cette recette délicieuse, que se préparait toujours ma mémé : riz (avec safran bien entendu), ail, huile, petits morceaux de pomme de terre, le tout cuisant avec de l'eau, et au dernier moment, ma grand-mère y cassait un oeuf - un régal... et qui c'est qui aspirait le jaune de l'oeuf avec un morceau de pain, en fin de cuisson.... pas la mémé... les enfants bien entendu, sous le sourire magnifique de cette mémé si aimante et si douce... affectueuse pensée pour toi mémé chérie... Bonne journée et bon appétit à vous tous ; pour moi le repas sera simple aujourd'hui.

 

éliane (1948) (belcourt)

09/11/2006 09:17

Bonjour yves, un correspondant, pas connu semble-t-il, sur LO mais qui le lit, m'a envoyé l'adresse des éditions Gandini, auxquelles j'ai commandé des petits livres. Je vous remercie de votre aide, mais je recherche des rues "illisibles" sur des actes de mariage d'ascendants et je vais devoir "arpenter" les listes de rues pour une rue commençant par "Lala..." semble-t-i. On se connaît, Yves, sur un autre site et nous avons déjà correspondu... mais j'étais dans ma période tristounette... - merci de me rappeler de belles vues de notre pays et je souhaite un bon voyage à ceux qui vous suivront dans le sud algérois - c'est une merveille... Amicalement - éliane

 

Jacqueline Simon (Alger/Roma)

09/11/2006 09:17

Bonjour à vous tous. Pardon d’enfoncer des portes ouvertes car vous devez déjà connaître ce que je vais vous dire. Michèle Rivieccio vient de reparler des « toupies » . Or, je suis en train de relire « Le premier homme » d’Albert Camus et que vois-je ? la description de cette fameuse friandise. S’en allant au cinéma (le Musset ? Jean Jean confirme!) « Le cinéma de quartier se trouvait à quelques pas de la maison et il portait le nom d’un poète romantique comme la rue qui le longeait. Avant d’y entrer il fallait franchir un chicane d’éventaires présentés par des marchands arabes et où se trouvaient pêle-mêle des cacahuètes, des pois chiches séchés et salés, des lupins, des sucres d’orge peints en couleurs violentes et des « acidulés » poisseux. D’autres vendaient des pâtisseries criardes, parmi lesquelles des sortes de pyramides torsadées de crème recouvertes de sucre rose, d’autres des beignets arabes dégoulinant d’huile et de miel »…Comme quoi mes amis nous avons les mêmes souvenirs qu’un Prix Nobel !!! Bonne journée.

REPONSE : Jacqueline, bonjour. Merci de nous rappeler que Albert Camus lui-même en personne s'adonnait à la toupie... Mais... Ceci est raconté dans la rubrique "coin des bonnes choses" d'Es'mma (colonne de gauche), avec en prime une photo de cette fameuse toupie entre les mains de ma propre mère à moi! Je crois que Es'mma est devenu un peu trop grand, on s'y retrouve plus, ou bien les Es'mmaiens se contentent de lézarder sur le Livre d'Or... Ce qui n'est déjà pas si mal, direz-vous. Encore que... Ce mois d'octobre écoulé, on a pulvérisé nos records en nombre de pages visitées. on publiera ça dans les prochaines kémias. Et toujours autour des 20.000 visites mensuelles. Es'mmaiens du Livre d'Or, ne vous sentez pas tout seuls! Et les autres, quand vous passez, montez donc, vous verrez le p'tit comme il est grand, et écrivez, ou laissez juste un mot, ça fait toujours plaisir.

 

éliane (1948) (belcourt)

09/11/2006 09:08

bonjour, d'abord un merci à yves jalabert qui m'a fait rêver sur des souvenirs si lointains semble-t-il!!.. alors, le pays se réveille, tant mieux, car j'en avais des souvenirs d'un autre âge. Peut-être a-t-il rencontré le marchand de tapis du centre de Ghardaïa qui nous a si bien reçus en 1984 dans sa maison et dans sa palmeraie ! Un accueil digne de rois...
pour lui, il avait fallu l'aider à arranger sa 2 CV avec des bouts de fil de fer et autres, et cela avait marché ; débrouillard le mécano de notre échappée belle... bon souvenir de cette ville couleur pastel... que tous ceux qui veulent voir de jolies choses suivent Yves en ce début de 2007... et qu'ils viennent nous en conter leur histoire - merci encore à yves pour tout ce qu'il fait. Vous voyez yves, je suis venue sur LO - bonne journée à vous tous! éliane

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

09/11/2006 08:29

Zaloprri le robot... il a coupé quand je souhaitais good night à tout le monde... Pour le petit lingot d'or, qui recherche les noms des rues d'Alger par ordre alpha. j'ai un guide des années 60 qui peut nous renseigner, pose ta question MA FILLE !! Salut à vous, Jacqueline, Rolande, Genevieve et vous toutes Mesdames et vous mes Seigneurs....!! A plus, Yves

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

09/11/2006 00:07

Hellotatousse, me r'vla revenu de mon périple Saharien et quand on revient y d'la lecture ! j'ai pas eu le temps de finir mon compte rendu du voyage de septembre et de finir de classer et monter mes photos que je suis reparti. Pour le compte rendu, Gérald a fait ça mieux que moi, pour les photos patience, il y a même celles de mon périple. Parti en repérage pour voir l'état des hôtels de la boucle des oasis, prévu en avril 2007, je suis descendu jusqu'à Ghardaïa. Conclusion: état des lieux tout à fait satisfaisant pour envisager ce circuit dans d'excellentes conditions, la plupart des hôtels ont été rénovés, les routes sont en bon état, les bus récents, les dunes à El Oued toujours aussi belles et le "pantalon cabinet" est toujours à la mode chez les Moutchous du M'zab. Voila le résultat succint de ce voyage à destination de ceux qui m'ont posé des questions. En ce qui concerne les voitures évoquées dans vos message: lors de notre périple de 1850 km, nous avons croisé et doublé pour les plus anciennes, des 203, 403, 404, Prairie Renault, 4CV, Dauphine, R16, Traction, DS, pas de Simca, un vrai musée roulant, parfois proche de l'épave... passeraient pas le contrôle technique.. Mais c'est celle que j'ai découvert du côté de Touggourt qui m'a le plus surpris. Imaginez, un ancien garage en ruine, et au milieu des gravas la carcasse d'une voiture de luxe des années 30, moteur 8 cylindres en V, des roues de camions, une carrosserie mi bois mi tôle mais en toles d'époque, du vrai blindage, à l'arrière deux rangées de siéges et une glace entre le chauffeur et les passagers, je n'ai pas retrouvé de marque mais je pense qu'il doit s'agir soit d'une Delage ou d'une Delahaye, un vrai trésor pour collectionneur. La question qui nous est venue à l'esprit est, comment se ravitailler en essence dans les années 30, dans cette oasis perdue (oasis de Tamelhat) et à qui pouvait appartenir cette magnifique automobile ?? J'ai fait des photos de cette cariole. DESOLES, LE ROBOT IL A COUPE ! LA SUITE, LA SUITE, LA SUITE, LA SUITE...

 

rivieccio epouse looten michele (gaye 51)

08/11/2006 23:44

Pour Eliane rue Dormans. C'est drole, ces jours ci je pensais à nos gateaux dominicaux, et mon gateau préféré était cette petite bougie rose avec cette fameuse crème bien blanche, il faut croire que ce merveilleux gateau avait plusieurs appelations... A notre table, ce gateau était un peu un amusement. Papa avait une habitude de taquiner notre tante Nanette et elle, aimait se preter au jeu, en mordant dans le gateau, Papa tapait sur la croute et vlan, ce gateau s'écrasait sur le nez de tata, elle riait et traitait Papa de brigand. Elle avait 90 ans, elle était sourde mais toujours souriante et un mot de gentillesse pour tout le monde.... La boulangerie patisserie du Marabout etait à l'arrêt des bus et s'appelait Perez. Leur petite fille s'appelait Josette. Nous étions amies et il m'arrivait d'aller chez elle, c'est là que je découvrais le travail du boulanger, la chaleur du fournil, le bruit du pétrin, le travail de nuit. A plus, bien cordialement, Michele

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

08/11/2006 23:30

0 Mr Ruby, l'autre cycliste de BEO etait Monsieur Legras. Puis il y a eu les cycles Gitane, magasin tenu par Monsieur, Medjebri, qui organisait des réunions sur piste au stade Municipal. Quant aux anciens coureurs de cette époque, en plus de ceux que vous citez, il y a eu Molines, Malinconi, Lauze, Abbes, Amar Lakdar, Maillot, Horosco, JP Romeu, Massip, Ferrer, A. Gomez, Velotti, V. Soler, les freres Chibane étaient deux, Ahmed et Hocine. Dans les plus jeunes il y eut les Frères Oustry, Gallo, Montero, Fraces, ed. Llorca, Y. Pouyaud, et dans les anciens un grand "pistard", Monsieur Lallo Harambour, G. Galéa, Pour les grandes courses il y avait bien sur l'Echo d'Alger, mais aussi le Tour d'Algérie, le Grand prix de la Montagne qui passait par Chréa, organisé par le Jounal d'Alger. et sur piste il y eut les 24 Heures d'Alger, et les six nuits. Avec les meilleurs pistards français et etrangers de l'époque. Que ceux que j'ai " oubliés" me pardonnent. à plus Jeanjean....de Belcourt

 

RUBY (ALGER - B.E.O. CAGNES SUR MER)

08/11/2006 20:00

LE PETIT VELO VERT.
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Place Desaix il y avait les cycles Canto, magasin qui vendait et surtout qui louait des vélos. Aucun de nous n'avait de vélo, et donc, après quelques économies, un jeudi de temps en temps, à 3 ou 4,nous allions louer des vélos chez Canto. Nous n'avions pas encore de grandes jambes, et il fallait des vélos à notre taille. Parmi ceux ci il y avait un vélo avec un guidon de course, de couleur verte, que nous avions appelé le petit vélo vert. Chacun de nous le voulait, et nous nous étions mis d'accord pour le prendre chacun notre tour. Partis de la place Desaix nous remontions l'avenue du Frais Vallon jusqu'au Beau Fraisier et nous attaquions la "cote du pont en fer", c'est à dire la montée vers El Biar ou se trouvait 3 ou 4kms plus haut un pont métallique que nous avions dénommé le pont en fer. Course à l'aller dans la montée, regroupement avant la redescente à toute allure pour rendre les vélos avant l'expiration de l'heure. C'était des moments de joie tout simples.
A BEO il y avait plusieurs anciens coureurs cyclistes qui faisaient commerce de cycles: Canto,Guercy,Chibane,et un autre dont j'ai oublié le nom.
Les cyclistes de l'après guerre ont bien contribué à faire évoluer ce sport en Algérie, on peut citer: Zelasco, Gercy, Kebaili, Zaaf, Chibane qui étaient parmi les plus connus et sans doute d'autres que certains d'entre vous voudront bien nous indiquer. Il y avait des réunions sur piste au stade municipal du Ruisseau avec quelquefois des coureurs venus de France, tels: Lapébie, Danguillaume, et autres grands noms de l'époque. Il y avait aussi les critériums de l'Echo d'Alger et de l'Echo d'Oran qui attiraient des grands coureurs venus de France pour y participer. Voila,c'était la journée du vélo en ce 8 novembre qui, il y a 64 ans fut un grand évenement pour nous avec le débarquement des "Américains" comme on disait à l'époque.

 

Anne Marie Schneider "la Redoutable (La bourgogne)

08/11/2006 15:47

Ohé, Gérald .je ne sais sur quel nuage je me trouvais ces temps -ci...PAS UN NUAGE COTONNEUX A TRAVERS UN CIEL BLEU... mais entre ciel et terre tout de même avec un nuage de microbes ...avec quelques feuilles de papiers d'arménie pour assainir....c'est vrai , cela commençait à sentir le sapin....avec un traitement "de cheval" ....l'animal s'en est sorti, la bête est à nouveau redoutable...Me voilà !
Mon dossier sur "les écoles" est bien trop lourd, il faut que je trouve une solution. Mes années de classes à la Redoute 1952-1962, hélas, je n'ai aucune photo de classe, alors si des redoutables me lisent, je lance un avis de recherche ...où est donc passait ma bouille? Merci , on ne sait jamais qui ne tente rien n'a rien.... A bientôt , amities à tous, bises à Gérald- Anne Marie

 

Marie-José Rachou (née Lopez)46 (Alger/Nîmes)

08/11/2006 14:23

Suzanne, Georges Busson dans son message du 4/11 nous indique que l'Abbé LECOQ est enterré à Trégastel, enfin c'est ce que j'ai compris. Georges pourrait-il nous le confirmer ? J'ai aussi un bon souvenir de "notre" abbé de St Charles qui nous gratifiait toujours d'un sourire bienveillant. On allait se confesser souvent le jeudi après-midi et effectivement avant d'entrer dans le confessionnal, c'était un véritable casse-tête pour dénicher "nos terribles" pêchés..... Enfin l'absolution était donnée par l'abbé, mais, pour notre pénitence, nous devions réciter un "Notre Père" et deux "Je vous salue Marie".
Heureux temps de l'innocence! J'ai croisé fin des années 60 l'Abbé Lecoq à Nice, il paraissait toujours aussi énergique. Je ne sais pas où il s'était établi définitivement.
Coucou Lucien ! J'espère que la forme est au TOP !

 

GIL de COURBEVOIE (1932) (ALGER/COURBEVOIE)

08/11/2006 12:14

08 novembre 1942 Je n'arrive pas à croire que j'ai vécu ce moment il y a 64 ans ni pourquoi ma mère pleurait ! Un grand souvenir pour tous les évenements de ce jour la et des pensées respectueuses pour ceux qui sont partis... Je vous embrasse à tous nous qui avons cette chance de pouvoir venir sur Es'mma...GIL

 

coco (centre Alger)

08/11/2006 11:50

Bonjour, sauf erreur de ma part Gerald a promis plus de photos sur le cinema du Brd Baudin le Caméo a Alger. merci d'avance...

REPONSE: oui, coco (pardonnez-moi la familiarité, mais c'est le nom que vous annoncez... de façon bien anonyme et mystérieuse), l'écran sur le Cameo fait partie des écrans qui s'enrichissent progressivement. Avec des photos, des articles de journaux, des souvenirs des uns et des autres, des annonces de la rubrique "spectacles" des journaux... Sur es'mma, on essaie de vous offrir autre chose que juste des trucs de bric et de broc (veinards!). Dès que ce sera mûr (enfin, quand ça me le semblera), hop, ça passera en ligne. Mais, jeune-homme, il me semble que votre impatience indique que vous avez des souvenirs, en tout cas un lien avec le Cameo... alors, et vous, qu'est ce que vous apportez, comme pierre à l'édifice ? G.

 

Dominique RENUCCI (1949) (Alger/Bodeaux)

08/11/2006 11:49

A Suzanne Busson: la réponse à votre question sur notre Bon Chanoine Le COCQ se trouve dans le message de G. Busson, du 4 novembre : "... J'ai mis quelques fleurs sur la tombe du Chanoine Francis Le Cocq, inhumé dans mon petit coin de Bretagne, à Trégastel exactement. Il est mort en 93. Il y a rejoint sa soeur. On le voyait régulièrement, fidèle à la soutane jusqu'au dernier jour. On échangeait quelques mots sur Alger quand l'occasion se présentait..." Une fois encore, nous trouvons sur Esmma les réponses à nos recherches, grâce à la mémoire et la bonne volonté de chacun. Baisers à tous. Dominique

 

Jacqueline Simon (1948) (Alger/Rome)

08/11/2006 11:24

Bonjour mes amis. Aujourd’hui 8 novembre, nous devrions fêter avec plus d’engouement ce que fut le débarquement des Alliés sur nos côtes algéroises. Prémisse de la liberté de notre pauvre France envahie, cette arrivée signifia beaucoup pour les générations qui nous précédèrent. Grâce au travail sous-jacent des populations de résistants avant l’heure, dont la composante juive fut essentielle, le débarquement fut un succès. La peur des Algérois, dixit ma maman, avant de comprendre qui donc arrivait sur nos plages, la joie de pouvoir enfin espérer, le soulagement des israélites qui auraient du prendre le bateau qui devait les conduire dans les camps ..que de sentiments mêlés pour cette journée de fête !! Ce fut aussi le début de la reconquête du sol français grâce au sacrifice de nos pères qui s’élancèrent avec entrain au coté des forces Alliés. N’oublions pas non plus les musulmans qui firent parti de ces forces armées et dont le courage a été un peu oublié …J’ai rencontré dernièrement un vieux Monsieur de 88 ans qui m’a raconté avec détail son débarquement en Italie, Cassino , Rome, Sienne et la route pour la France !!! Juste un petit moment de recueillement pour nos pères dont l’engagement n’a pas été vain. Bonne journée à vous tous.

REPONSE : bonsoir Jacqueline. Pour fêter dans la bonne humeur qui convient cet anniversaire, on peut aller lire les souvenirs de Marcel Aboulker, dans "lieux d'Alger", colonne de gauche, à la rubrique "Aletti". Marcel Aboulker fut de cette minorité courageuse qui prépara le débarquement du 8 novembre. Son "L'Hôtel Aletti s'en va t'en guerre" est un magnifique morceau d'Histoire et d'humour, et on peut essayer dans la foulée de se procurer son bouquin, on doit le trouver de temps en temps sur e-bay. Bises. Gérald.

 

"petit lingot d'or" (belcourt)

08/11/2006 11:21

bonjour à vous toutes et tous. Y a-t-il quelqu'un d'entre vous qui connaît un site des noms de rues d'avant 1962 d'Alger par ordre alpha pour mes recherches en généalogie ? Une parenthèse, pour jean jean, on ne peut se juger soi-même, et puis, il y a la timidité et la modestie des jeunes filles de belcourt... Avec tous mes remerciements, éliane

 

Christian Ripoll 1936 (Alger La Redoute)

08/11/2006 09:53

A propos du T100 Berliet, Michelin avait conçu ses pneumatiques à partir du pied de chameau ! Constatant qu’un chameau ne s’enlisait jamais dans le sable, les pneus reproduisaient les mêmes conditions d’appui. Le T100 n’a pas eu de succès car réalisé trop précipitamment: moteur et surtout boite de vitesses mal adaptés.
Pour Gil de Courbevoie, qd je travaillais à la Sn Repal, je faisais entretenir les Kenworth dans une entreprise à Maison Carrée, route de Baraki… Serait ce la même ? Nous serions nous croisés ??

 

Tambouille interne (euh, message de serv

07/11/2006 21:54

Pour ANNE MARIE RIERA ep PARISI : Bien reçu ton message. Je t'appelle.

 

Suzanne EXERTIER (Grenoble-Alger)

07/11/2006 21:44

Bonsoir à tous. Pourriez-vous me dire où se trouve la tombe du père LECOCQ ? Il m'impressionnait beaucoup et c'est à lui que je devais raconter mes péchés de petite fille. Fort heureusement le livre de catéchisme était là et je m'en inspirais lors de la confession pour trouver des idées ! Qu'est devenue l'église St Charles où j'ai été baptisée et où j'ai fait ma communion ? Je ne crois pas l'avoir trouvée en photo sur le site. Merci à tous.

REPONSE : Bonjour Suzanne. Si vous allez dans "retours", en colonne de gauche, page d'accueil, vous trouverez quelques notees de Jean Brua à ce sujet. Et si dans "lieux d'Alger" vous allez à "Saint-Charles", vous trouverez une sublime série de photos de l'intérieur de Saint-Charles du temps de nos enfances. Sinon, je suis passé devant en septembre... Jacqueline Simon et quelques autres, également. On a quelques photos intéressantes de détails qu'on mettra en ligne bientôt.

Pour le père Lecocq, allez dans "Les écrans Myosotis", toujours en colonne de gauche. Pour sa tombe, l'appel est lancé...

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

07/11/2006 20:05

Gil "mon petit canari des iles", je pense que tu as entierment raison, au sujet des belles filles, je t'accorde qu'il y en avait des belles dans toute Alger, mais sans être "raciste" c'est à Belcourt qu'il y avait les plus belles. Maintenant si les Belcourtoises ne sont pas d'accord, et bien qu'elle me le disent en face quand j'aurais le dos tourné. Pour revenir aux leçons de conduite de nos "vieux", ils n'avaient pas la patience des moniteurs d'auto-école, et les "pelfas" partaient vite, à la moindre faute tu te ramassais une "calbote" derière la tete. et en plus c'etait gratuit, mais ça reste de bons souvenirs. Bisous à toutes et tous, Jeanjean....de belcourt

 

Es'mma JiBé

07/11/2006 18:58

Toujours au chapitre voitures, nous avons tout appris des premières générations de clignotants, grâce à nos amis Jean-Jean, Christian Truchi et Jo Cabrera. Mais ce dernier, dans la relation de son défilé précoce avec les tirailleurs sénégalais, ne nous dit pas si son uniforme (peut-être pas à ses justes mesures) avait permis l'usage de son « clignotant à bras » au cours de la manœuvre. Voir Es'mmaJibé...

 

GIL de COIURBEVOIE (1932) (Place Hoche=Paris La Défense=)

07/11/2006 18:52

Le salon de l'auto est fini à PARIS mais il continue sur Es'mma je travaillais à Maison Carrée sur la route de Baraki dans une société qui réparait entre autre les camions Kenworth Dart équipés tres souvent de moteurs Cummins ou Caterpillar ainsi que la remise en état des plates formes de forage à terre (j'ai d'ailleurs encore le catalogue de "réclame" de cette boite) mon imbécile de frère lui travaillait chez Renault et j'empruntais souvent sa voiture une dauphine gordini customisée comme on dit aujourd'hui (il avait des prix sur les accessoires) alors que je roulais à la sortie de Maison Carrée juste aprés le passage à niveau un troupeau de mouton qui allait au marché tout proche a traversé devant moi magré les coups de baton du "berger" J'ai du négocier le prix de 2 moutons blésses car le vendeur les avait égorgés immédiatement sur le bord du fossé. Excuses moi GD c'est pas un grand souvenir mais c"était la bas...-A noter que le directeur de cette usine était le mari de la fille Capomaccio du vivier de sidi ferruch BONSOIR a tous et pour énerver mon Jean-Jean préféré y'avait pas qu'à Belcourt qu'il y avait de belles filles... bibis à la Zoune...GILOU

 

jacques CAMPS (38) (Couiza -11190- France)

07/11/2006 17:30

L'évocation des passages de permis sur les quais d'Alger a éveillé en moi quelques souvenirs......... J'ai commencé mes premières leçons avec mon père sur les quais et puis j'ai consolidé mes acquits par quelques leçons, mais je ne saurais dire combien. Ce dont je me souviens c'est que le moniteur d'auto école avait planté une allumette au milieu de la lunette arrière afin que cela me serve de repère, lors des créneaux en marche arrière.
Bref le 22 septembre 1958, je me présente sur les quais et lorsque mon tour arrive, l'examinateur me dit, en faisant un large geste de la main: " faites un tour", je grimpe dans la voiture (je ne me souviens plus si c'était celle de mon père ou celle de l'auto école) et me voila parti, arrivé au bout du quai, j'ai viré, mais au lieu de revenir vers le lieu d'examen, je suis parti sur les quais, en empruntant plusieurs voies......... au bout d'un moment, je me suis quand même posé des questions "comment l'examinateur peut-il juger si je conduis bien ou pas, puisqu'il ne me voit pas !", je suis donc revenu vers le centre d'examen et là, j'ai vu tout le monde debout, affolé, croyant que je m'étais sauvé avec la voiture! J'étais rouge de confusion. Inutile de vous dire que l'examinateur m'a passé un sacré savon, me menaçant de ne pas me donner mon permis. Je pense que le moniteur de l'auto école a plaidé en ma faveur, et au bout de quelques jours, j'ai eu mon permis N° 80962.
Par la suite j'ai peu conduit car mon père ayant peu confiance dans ce papier que représente le permis de conduire me laissait rarement le volant et lorsque il me le laissait, sa conclusion était toujours la même : " mon fils, tu conduis comme un c.. mais heureusement que tu as le compas dans l'oeil !" et j'étais très fier de cette appréciation.

 

Jo CABRERA/1926 (MONACO/ALGER)

07/11/2006 15:24

Je ne voulais pas remettre ça mais je me rends compte que mon message a été tronqué, mon crédit "mots" ayant été consommé! Alors, je termine mon histoire. Ayant été breveté instructeur, avec la possibilité de choisir mon corps d'affectation et la région, j'avais demandé le Train (permis de conduire oblige) et l'Allemagne.
Je fus affecté au 5ème B.C.P., en Kabylie! Je fis 3 mois de classe, alors que je devais être instructeur et que je devais être admis à l'école d'E.O.R. de Cherchell. Alors que, dès l'incorporation, j'avais déclaré que j'étais titullaire d'un brevet d'instructeur et du permis de conduire, l'on en tint aucun compte. Quelques semaines plus tard l'on demanda un volontaire pour apprendre à conduire les véhicules automobiles (pas les brelles bien sûr). Je me présentai, mais l'on me préféra une jeune recrue qui n'avait aucune connaissance en automobile. Voila comment se comportaient certains militaires en 1946! Je me rendis compte que de nombreux sous-off. étaient quasiment illettrés! J'ai pris mon mal en patience, jusqu'à ma libération en mai 1947. Amitiés à tous.

 

"petit lingot d'or" (belcourt)

07/11/2006 13:59

Flatteur Jean Jean, les Garcia ont été et sont nombreux, alors pour savoir que j'étais une des plus belles, il a fallu que vous ayez pu me voir sur les photos de Alger-Roi, et là encore j'étais bien sûr une jolie fillette, comme nous l'étions toutes mais maintenant !!!!! On ne sait jamais - enfin j'accepte ce beau compliment d'un homme galant comme vous avez pu le prouver le long de tous vos messages sur LO et je vais vous en dire plus, lors d'un de mes passages à l'école aumerat, il y a qq anées, la concierge, tant d'années après m'a dit "oh ! je te reconnais, toi ; tu étais belle, blonde avec les yeux bleus..." Nous devions être comme cela pour quelques unes d'entre nous, mais elle était si contente de me reconnaître !!
Maintenant que je suis grand-mère, je trouve toutes les fillettes que je rencontre si mignonnes (un peu plus les miennes... comme toutes les mamies) et les petits bonhommes (de l'âge du mien : 6 ans) si sympas et si dégourdis qu'ils en sont émouvants lorsqu'ils vous disent "je t'aime" au creux de notre oreille.
Ouf, de la nourriture des derniers temps, je passe à la tendresse de nos petits, et tout cela à cause de jean jean qui sait apporter à LO plein de gentillesse et de savoir sur notre passé - il est bien "l'historien que l'on aime bien" de belcourt et des autres quartiers - merci à lui. Et pour conclure, je vais vous citer un texte de Martin Gray que vous devez connaître pour qualifier LO
"il n'y a pas de plénitude
si l'on est un arbre solitaire
C'est la forêt qui donne son sens à l'arbre
et c'est elle qui le rend vigoureux"
voilà un petit mot de tendresse d'une mamie heureuse de l'être, même si comme pour nous tous le temps a passé... à plus tard - cordialement - éliane

 

jacqueline de Rome (Alger)

07/11/2006 13:27

Allo, Gérald , me reçois tu ??? As tu reçu la photo pour Rue de l’Union comme tu me l’avais demandé??..Allo..Allo..

REPONSE : reçue 5 sur 5, elle est bath, merci merci merci.

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

07/11/2006 12:23

à Eliane de la rue Guiauchain, la rue Dornan se trouvait en face de la rue Rigodit, ou en allant vers l'arsenal, sur le coté gauche de la rue de Lyon, avant d'arriver rue Adolphe Blasselle. à l'angle de la rue Dornan, d'un coté il y avait les chaussures Reynes, dont le fils etait marié avec la fille Fuentes, qui avait le bar Toni rue de l'Union, et à l'autre angle il y avait un opticien, qui etait le frere de notre concierge Mde Amar. est-ce que tu t'y retrouves ???? Pour Eliane de la rue Dornan, le café qui faisait de si bonnes Kemias, était la Brasserie Universelle, qui se trouvait sous les arcades et à l'angle de la rue Lamarck. à coté de ce café il y avait une grande teinturerie. Fressinet Neant. au 86 rue de Lyon. Gros bisous à deux des plus belles filles de Belcourt. Jeanjean....de Belcourt

 

Gérald Dupeyrot

07/11/2006 12:08

Message pour Anne-Marie : as-tu bien reçu ma réponse concernant les écrans sur les écoles ? Ma boîte a été saturée à plusieurs reprises d'affilée, ce qui explique que je n'aie reçu que le premier. Allo, Tango Zoulou Charlie, me recevez-vous ?

 

Christian TRUCHI (ABBO/ALGER) (EVRY (91000))

07/11/2006 09:53

Petit complément aux précisions apportées pa Jo Cabrera sur les clignotants... Après le bras du conducteur (et divers dispositifs plus ou moins originaux), puis les flèches lumineuses qui sortaient de la carrosserie, l'étape suivante vers nos clignotants actuels a été le lancement du "Clignoteur Jockey" ainsi appelé en raison de sa forme particulière qui l'apparentait à une casquette de... jockey. On peut s'en faire une idée sur le lien suivant: www.citroen-ta.eu/Webs_fr/jose%20franssen%20Traction%20Avant%20%20Nr_49%20Electrique.htm (un peu long!...) où le clignoteur figure en bonne place parmi des pièces de traction avant. Avant d'être adopté en série par les constructeurs, ce clignoteur était vendu dans une boîte (on dirait un kit, maintenant) en carton. J'en ai vu en vitrine (mais où?...) dans les années 48-49). Si mes souvenirs sont bons, la toute première 4CV exposée chez Renault (sous les Facs) en était équipée d'origine... Amitiés à tous.

 

"mon petit lingot d'or"

07/11/2006 08:53

Bonjour éliane, tous les messages signés jusqu'à présent éliane (1948) sont de moi, et bien sûr, j'avais "comme par hasard" 14 ans en 1962 et je ne connais pas grand chose de ce quartier qui avait l'air si intéressant - grâce à jean jean llorens, j'en apprends de plus en plus et maintenant grâce à toi, mon homonyme - je compte sur vous pour vous lire dans vos souvenirs, car pour moi ils sont minces. Dans ma maison à galeries de "ma rue d'Ornans" les souvenirs sont ceux d'une petite fille faisant des blagues, à des gentilles mamies qui habitaient dans la cour de cette maison - oh combien j'aimerais retrouver mes ami(e)s de l'époque, Nicole Agius, Michel et Damien Coin.
Un de nos jeux "un peu sadiques" étaient de mettre le souffre des allumettes dans leur boîte avec des petits pétards ronds et rouges des pistolets d'enfants et d'allumer le tout - ensuite on les jetait dans notre fameuse cour de jeux... bon rien à dire pour l'époque... les grands s'amusaient eux aussi à faire des bruits de ce genre.... enfin, de l'enfance les souvenirs qui restent le plus sont ceux des bêtises.... chut ! Encore, encore, des souvenirs de Belcourt (bien que jean jean en ait raconté beaucoup, mais il me manque ceux de mon âge aussi) - merci encore à jean jean et maintenant à toi éliane. Bien cordialement - éliane

 

"petit lingot d'or" (belcourt)

07/11/2006 08:36

merci jean jean pour toutes ces mémoires qui s'ouvrent à moi grâce à vous et le surnom que vous me donnez est très joli, alors j'adopte - à plus pour vos souvenirs que j'enregistre systématiquement dans "mes racines" sur mon ordi, surtout celles qui parlent évidemment de notre quartier - cordialement - éliane

 

rivieccio-mentheour (alger)

06/11/2006 23:09

Qu'es-ce que je lis? Eliane de Belcourt qui parle de Deveza; Guisto etc... Je me suis dis : ma vieille, tu ne sais + ce que tu as écrit ou quoi? + loin, j'ai lu qu'il y avait une autre Eliane, rue Dorman. C'était où la rue Dorman? Moi j'habitais rue Guiauchain et papa avait un café au coin de cette rue sur la rue de Lyon. Lui aussi faisait des kémia "soi-soi". Près de chez nous, justement dans cette rue de Lyon, il y avait un coiffeur... Mr Llinares. Si vous avez un petit moment, je vais vous raconter une anecdote. Un certain jeune garçon (qui était très cher à mon coeur de jeune fille de 14 ans) entre chez lui et lui demande "Faites-moi la barbe Mr LLinares". Mr llinares met la serviette, fait de la mousse dans le gobelet, trempe le blaireau et badigeonne le visage de mon bel hidalgo et.... va sur le pas de la porte regarder passer les trams. Il n'y avait pas de monde dans son salon, seulement le garçon sous sa mousse à raser. Au bout d'un moment il appelle, Mr Llinares, je vous attend!! Réponse du barbier belcourtois: moi, j'attends que çà pousse. Bon soir. amitiés es'mmanienne. Eliane

 

Jo CABRERA/1926 (MONACO/ALGER)

06/11/2006 21:15

J'ai été très bavard et je reviens, seulement pour vous dire au revoir. A la semaine prochaine, peut-être, si Gérald le permet. Amitiés.


REPONSE : QUOI ? ET LA SUITE ?
LA SUITE, LA SUITE, LA SUITE, LA SUITE, LA SUITE !!!!

 

Jo CABRERA/1926 (MONACO/ALGER)

06/11/2006 21:11

Eh, oui Jean-Jean, avant que les constructeurs d'automobiles songent aux clignotants l'on se servait de son brans gauche, sorti de la portière (bien, sûr, glace baissée grâce à la manivelle) et l'on agitait son bras de bas en haut ou de haut en bas (c'est comme vous voudrez) pour signaler que l'on tournait à gauche. Pour tourner à droite, le bras gauche formant un angle droit, la main repliée et l'index dirigé vers la droite. puis il y eut des flèches encastrées dans la carrosserie, entre les portières latérales. Elles sortaient lorsque l'on inclinait un petit levier, soit à droite, soit à gauche. Je me souviens du bruit "sec" que faisait la flèche en reprenant sa place Après sortirent les clignotants, que nous connaissons et qui furent perfectionnés au fil des ans.
Précision pour Gérald: C'est pendant la guerre, en tout cas après 1942, que l'on put passer le permis de conduire à 18 ans. Je "faisais" la préparation militaire 1944-1945 et j'espérais partir en guerre, des copains d'école, à peine plus âgés que moi, avaient été appelés dès 18 ans, en 1944. C'est pour cette raison que je passais le permis de conduire 4 mois après mon 18èmme anniversaire. Quand je voulus devancer l'appel, mon père s'y opposa (mon beau-frère et mon frère ainé étaient sur le front) et lui même grièvement blessé en septembre 1914, traîna dans les hôpitaux militaires jusqu'au 10 octobre 1918, date à laquelle il fut réformé, alors qu'il se trouvait à Gabès (Tunisie). Il m'avait dit " tu partiras lorsque tu recevras ta feuille d'appel".

Etant en P.M. et la Place d'Alger manquant de militaires, tout le monde ou presque, se trouvant sur les théatres d'opérations, je dus participer au défilé de la Victoire, en mai 1945, "déguisé" en tirailleur parceque la caserne d'Orléans abritait le 13ème R.T.S. Déçu, à plus d'un titre, je ne devins militaire qu'en 1946, affecté au 5ème chasseurs à pied, transféré de Remiremont (Vosges) à Fort-National (Kabylie) pou


DESOLES, LE ROBOT FOU A ENCORE FRAPPE ! LA SUITE LA SUITE LA SUITE LA SUITE !!!!

 

Es'mma JiBé

06/11/2006 20:08

On a beaucoup entendu parler, ces derniers jours, du permis de conduire que les plus anciens ont passé sur le port d'Alger (j'en suis, d'avril 57). Ayons aussi une pensée pour les risques que faisait courir cette circonstance aux courageux examinateurs du service des Mines. Voir Es'mmaJibé...

 

JOSEPH de TORCY.. 1952 (TORCY)

06/11/2006 18:18

Bonjour à Vous Tous. J'ai lu vos messages concernant vos voitures d'époque, malgré mon âge, je bavais quand je les voyais rouler dans nos rues d'ALGER. Aujourd'hui, amateur d'anciennes, je possède pas mal de Revues Techniques de celles-ci, de 1947 à 1980. Si vous êtes intéressé par celle qui correspond à la vôtre, et vous rappeler de leurs caractéristiques, je suis prêt à vous l'envoyer pour le Prix de 12 Euros envoi compris. Pour ma part, j'ai possédé: RENAULT 4CV Berline et découvrable, Dauphine, Fregate, Prairie, SIMCA Huit 1200, P60, et ma dernière MERCEDES 170V de 1949. Allez, continuez vos récits sur ces vieilles qui étaient bien plus fiables et belles que celles d'aujourd'hui. AmicalementPN !!

 

LLORENS Jean-Jean 1934j (ALGER Belcourt les halles)

06/11/2006 17:51

Eliane "mon petit lingot d'or" de "ta" rue Dornan pour aller au marché de Belcourt, tu devais passer par la rue Lamartine ou la rue Prevost-Paradol, la rue de Suez etait trop loin de chez toi, et il t'aurait fallu faire un detour par le Bd Thiers pour remonter la rue de l'Union. Quant au boudin à Deveza, tu as raison il était beau et bon, c'était sa réputation, comme les petits pâtés à Monsieur Woolf, et la soubressade à Serralta. Chacun avait sa spécialité. Mais il y avait un autre Deveza à côté de Carruel, sur la gauche de la rue de Lyon en allant vers le Monoprix de Belcourt. Quand je me suis marié le 9 Février 57, on avait commandé les "salés" chez Deveza, la pièce montée chez Giusto, et les petits gateaux chez Ferra "le Poussin Bleu" pour ne pas faire de jaloux, car nous étions amis avec les trois pâtissiers, mais j'ai eu une grande surprise le soir, car nous nous sommes retrouvés avec trois pieces montées, car Deveza et Ferra m'ont offert chacun une pièce-montée et Giusto m'a offerte la sienne en cadeau de mariage. Et de plus le soir ils sont venus tous les trois à l'apéritif au centre Clarté des Groupes Laiques. La concurrence n'existait pas chez nous, comme on disait là-bas "le soleil se leve pour tout le monde" De plus Monsieur Woolf nous avait fait les petits pâtés à la soubresade, et Deveza, "ton" charcutier, ceux à la saucisse. Pas de jaloux. Et tout était delicieux, et crois moi il n'en est pas resté beaucoup pour les pauvres de la paroisse!!!!!! Un jour je vous raconterai mon mariage, ça va plaire aux jeunes et ceux de mon âge vont rajeunir de cinquante balais. Je crois que nous avons encore pas mal de sujets à "développer". Eh ! attention j'ai dit mon mariage, pas ma nuit de noce, car ça je pense que nous avons tous fait pareil, à moins qu'il y est des acrobates à es'mma, à plus Jeanjean.... de Belcourt

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

06/11/2006 16:47

Coucou tout le monde. Ben alors ! Avec tout ce que je lis, il n'y a pas que Paul qui a conduit sans permis et qui a eu la voiture avant de le passer. Hein Gérald, mauvaise langue va, qui m'a dit qu'il aurait pu vous écraser amis ess'maiens. Vilain !!!! T'as vu Jacques, j'suis pas encore ni trop barzouk, ni trop brèle, j'ai tout compris et j'ai rectifié fissa comme une grande ouala. Allez bises à tous. Laurence

 

denis perchenet (1944) (alger/paris)

06/11/2006 16:46

merci georges d'avoir eu ce geste sur la tombe du père lecoq,curé de st charles. tu m'as rappelé en effet que son enseignement,avec celui de l'abbé chaumel,m'avaient permis d'avoir eu à gautier un prix d'éducation religieuse à l'étonnement de beaucoup d'entre vous et du mien en premier.....amities à tous.

 

René Drevot (1943) (Fontvieille (13))

06/11/2006 15:13

Comme Jean-Jean , j'ai passé mon permis à 18 ans et 1 jour, le 23 Août 1961 (eh oui! c'est comme çà avec les natifs de Belcourt!! et c'est pas un tchalef!) sur un Dauphine 3 vitesses!! ( et la marche arrière bien sur, des fois qu'y en aurait qui .....!). Mon permis est daté du 24 Août , purée ça allait vite à l'époque. Il n'était pas nécessaire de passer par auto école , on pouvait utiliser une voiture personnelle , la seule condition imposée était que le frein à main soit à la droite du conducteur, donc accessible à l'examinateur.... au cas où !!!. Mon moniteur a été mon père et comme beaucoup j'ai appris à conduire vers 14/15 ans sur les quais. Comme il y a prescription et que je sais que cela restera entre nous, j'avoue que je conduisais assez régulièrement , depuis plus d'un an,en ville et sur route, avant d'avoir le permis mais toujours ( ou presque!) avec mon père comme passager ( la conduite accompagnée quoi!!). Cela nous a , d'ailleurs , été fort utile lors de notre dernier voyage ( en touristes!) en France en Juillet 1961, car mon père ayant des gros problèmes de vertèbres lombaires est resté bloqué en plein voyage , avec impossibilité de conduire. Ma mère ne sachant pas conduire,j'ai donc assuré l'intérim ( bien que n'ayant pas encore le permisconduire)
pendant plusieurs jours , en priant St Christophe, d'éviter tout incident, accident et controle de police ou gendarmerie. Heureusement tout c'est bien passé jusqu'à ce que mon père puisse reprendre le volant

 

GIL de COURBEVOIE (1932) ( ALGER--COURBEVOIE)

06/11/2006 12:31

Genevieve a raison faut pas s'absenter ya trop à lire Bon entre les amateurs de voitures, les gourmands et les apprentis conducteurs je viens de lire par ailleurs ce qui suit dans un roman passe temps:"Tout comme le chene,si fort soit-il,s'écroulerait sans ses racines, de meme l'homme qui ne connait pas les siens sécrasera à terre sans réves et insatisfait.-Nous ne pouvons espérer nous comprendre si nous ne savons rien de ceux qui nous ont précédés.---- GILOU.-

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

06/11/2006 12:29

JO "mon gamin", il y a un truc qui me revient (c'est comme l'aioli) est ce que tu te souviens que sur les anciennes voitures il n'y avait pas de clignotants, alors pour avertir que l'on tournait à gauche , il fallait sortir le bras tendu en l'agitant et pour la droite , on sortait le bras et on l'agitait sur le toit de la voiture en faisant signe avec le doigt . et il y eu des petits malins qui avaient dessinés une main en bois ou en contre plaqué l'avait cloué sur un morceau de manche à balai; et quand il voulait tourner à droite il le sortait par la portiere de droite tout en l'agitant. Plus tard il y a eu les bras sur les cotés puis les premiers clignotants qui ressemblaient à des demi coquilles, . Je vois qu'à l'epoque le permis etait passé simplement, ce n'etait pas un commerce, et en plus ça ne revenait pas trop cher. Alors que maintenant les jeunes se ruinent en leçons en cours de code etc. C'est par tous ces petites choses que l'on s'apercoit que nous avons eu une belle jeunesse, tout etait simplifié pour nous rendre heureux, alors qu'aujourd'ui tout est fait pour emmerder le monde un maximum, et de plus avec toutes les interdictions, bientot on ne pourra plus rien faire. D'ici qu'ils nous mettent des vignettes pour les chaussures de basket, ou des impots sur les lunettes de soleil ?pourqoi pas, à l'allure ou ça va un jour il y en a bien un qui va nous trouver une taxe pour sortit de chez soi. à plus jeanjean....de belcourt

 

RUBY Adrienne 1928 (ANTIBES France)

06/11/2006 12:28

Qui ne se souvient de ces réflexions qui nous venaient naturellement aux lèvres :
- "Ow ! il te faut la Place du Gouvernement, ou quoi ?", s'adressant à quelqu'un qui s'étalait sans aucune gêne, sans se préoccuper du voisinage.
-" Oula ! çà date du temps de la Conquête !" , quand on voyait quelque chose de démodé ou lorsque l'on parlait d'une affaire ancienne.
La Conquête s'est étalée sur plusieurs dizaines d'années, comme chacun le sait. Mon arrière grand-père, Antoine MOURIES, y a participé.
Militaire de carrière, il a quitté TOULON, sa ville natale, à 24 ans. Il faisait partie de la 2ème Compagnie de Fusiliers de Discipline. La médaille militaire lui a été conférée par l'Empereur par Décret du 12 MARS 1866. Il est décédé à BOU SAADA, en activité de service, le 23 Avril 1875, à 49 ans. Mon arrière grand mère , restée veuve avec un enfant (mon grand-père), a obtenu une pension annuelle de 141 Frs., et l'octroi d'une boutique-bazar à ALGER ; elle disait à son fils : va devant le magasin, et amuse-toi avec les jouets, cela donnera envie aux clients d'entrer dans la boutique. Mon grand-père était né à AUMALE.

 

Rando René 1941 (Alger/Limoges)

06/11/2006 10:18

bonjour, pour ceux que cela intéresse, photo et article sur le Berliet T100"plus gros camion dumonde":

 

éliane 1948 (belcourt)

06/11/2006 10:17

re-bonjour
un peu ramollie la toupie de la photo par le voyage en train, mais c'est tout à fait "ma montagne" de belcourt
autre souvenir gastronomique les kémias du bar de belcourt, qui faisait le coin d'une rue ? avec la rue de lyon, où il y avait de délicieuses pommes de terre persillées tièdes. Je n'ai jamais réussi à les faire aussi bonnes - c'est quand l'heure de passer à table !!...

 

Geneviève Bordier 1942 (rue Denfert-Rochereau/Vergèze Gard)

06/11/2006 10:10

C'est le retour !...Bonjour à toutes et tous. Il y a au moins 6 pages à lire ! Peux pas tout faire ce jour !.. Je me contente donc de prendre le "train" en route, et puisque vous parlez de Dauphine et de Frégate et je ne sais quoi encore, je voudrais d'abord dire à Jeanjean que lorsqu'il a passé son permis de conduire à 18 ans et un jour, le 10 août 1952, moi, je fêtais mes...10 ans en vacances en Charente-Maritime, et que ce jour là, j'ai passé mon permis...vélo! Une petite copine de jeux, au village où nous étions, venait d'avoir un vélo pour son anniversaire. Et moi, je n'étais jamais montée sur cet engin. Je vois ma mère dans la splendeur de ses 34 ans, enfourcher un vélo et partir seule en ballade. "Ne pars pas sans moi !". Elle se retourne pour me crier : "Débrouille -toi !". Ma petite copine me supplie de prendre son vélo. J'ai une trouille monstre. Le désir de rejoindre Maman est le plus fort. Je démarre, en zigzag bien sûr, mais ça marche, et quelques minutes après j'arrive à la rejoindre, fière comme vous ne pouvez pas l'imaginer. Notre ballade fut un très beau cadeau d'anniversaire pour moi. Le lendemain on se rendit à Saintes, louer un vélo pour le reste de mes vacances. J'avais gagné une certaine autonomie.
Quant à mon permis voiture, il se déroula en juin 1960, sur une 4cv beige (moins cher que sur une dauphine), au milieu des grandes avenues entre les hangards du port, en bas de l'Agha. Il me coûta 110 francs. On disait "nouveaux francs" à l'époque. C'était un forfait pour 10 leçons, mais oui, ça existait à l'époque !...A l'heure actuelle, non seulement vous n'avez jamais le permis du premier coup, mais ce n'est surtout pas un forfait. Le clignotant était une sorte de petit "bitchou" posé sur le tableau de bord. Il fallait passer la main par-dessus le volant, l'incliner à droite ou à gauche (té pârdi !), mais surtout ne pas oublier de le remettre au centre ensuite. Et cela faillit me coûter mon permis !.. Failli..

 

Jo CABRERA/1926 (ALGER/MONACO)

06/11/2006 09:57

Bonjour à tous! Philippe REDON: la rue de Normandie aboutissait avenue des Consulats, à une centaine de mètre de l'Hôpital Maillot, lequel était longé par le bd. de Champagne.
Jean-Jean: j'ai passé mon permis de conduire le 16/12/1944, à Alger, bien sûr, avec une Citroën C4, que peu d'entre vous ont pu connaître. Je vais faire figure d'ancêtre! J'avais eu recours à l'auto-école CONSTANTIN (rue de Constantine) juste pour l'examen, sans avoir pris de leçon de conduite. Je me souviens avoir dù fournir à l'auto-école 5 litres d'essence, que mes cousins, entrepreneurs de transports, m'avaient offerts. Avec M. CONSTANTIN et un autre candidat, nous étions allés chercher l'examinateur, Inspecteur de T.P. retraité, à son domicile à El-Biar. J'avais pris le volant, à partir de sa villa jusqu'à l'Office de distribution du papier (c'était la guerre!) qui se trouvait après le Musée du Bardo, sur la gauche en descendant vers la rue Michelet. L'autre candidat prit le volant à la sortie de l'examinateur, de l'Office, jusqu'à la Préfecture. Nous avions obtenu notre permis. Je m'empressai, dès le lendemain, de récupérer le fameux petit "carton rose" à l'école-auto. Je dois vous préciser qu'en descendant l'avenue Fourreau-Lamy, croisant une grosse berline américaine, avec à son bord des officiers, je reçus - alors que la glace, de mon côté était baissée - un paquet d'eau en plein visage. La voiture américaine était passée sur une petite ornière remplie d'eau. Imaginez ma surprise!
Je vais arrêter là mon bavardage car vous allez penser que je commence à radoter. Ce n'est pas le cas, je vous rassure! Amitiés à tous.

REPONSE : cher Jo, nous raffolons de vos "radotages". Merci de penser aux plus jeunes, qui n'atteignirent jamais, à Alger tout au moins, l'âge de ce moment épatant qu'était le "passage" du permis de conduire. Continuez, je vous en prie... Amitiés, Gérald

 

jean Noguès (Caserne des Douanes-La Varenne)

06/11/2006 09:08

Le chanteur "Luc Davis" se nommait Lucien Lesdemia et je pense qu'il a joué un rôle dans la piéce "Julie la rousse".

 

éliane 1948 (belcourt)

06/11/2006 07:21

Me revoilà. Décidément, le froid ouvre mon appétit ! Et le boudin de chez Deveza, acheté en revenant du marché - nous passions par la rue Lamartine, je crois pour aller au marché ou la rue de Suez, je ne m'en souviens plus, mais la gâterie, c'était au retour, ce boudin fraîchement fait le jour de marché - nous ne le faisions pas cuire, bien sûr - cela aurait été une hérésie, hum!!! C'est peut-être gras de bon matin, mais voilà des souvenirs qui reviennent après tant d'années et c'est bon signe pour moi - alors merci de me prêter votre site pour les exprimer - bonne journée à vous tous - Eliane

 

éliane 1948 (belcourt)

06/11/2006 07:13

Bonjour à vous tous; Je vous lis tous les jours, et cela me permets de "prendre de la mémoire" que je n'ai plus sur notre vie d'avant - c'est surtout Jean jean qui m'aide, ayant vécu dans le même quartier que moi (rue d'ornans pour moi). En me réveillant j'ai eu au fond de la gorge un goût de "montagne", ce fameux gâteau de chez Guisto ou du Poussin Bleu, je ne sais plus, rue de lyon, face à ma rue. Ce gâteau était rose, le dessus était du glaçage et l'intérieur une sorte de meringue molle, le tout reposant sur un fond de tarte. J'en salive ! Eh oui de si bon matin ! D'autre part, ce patissier, le dimanche soir, faisait payer ses gâteaux moitié prix, une aubaine pour nous. Vous en souvenez-vous ? à bientôt - éliane

REPONSE : oh lala, oui, ces "montagnes", chère Aliane, c'étaient nos "toupies". Pour au moins en revoir une en photo, vite, allez dans "le coin des bonnes choses", à la rubrique "toupies". Il faudra qu'on réactualise l'article, car dans la dernière patisserie (à Marseille) où on en faisait encore, la toupie (ou la montagne) n'est plus ce quelle était, la crème à l'intérieur doit être "moussue", légère, n'est-ce-pas ?

 

mahfoud (kitchener)

05/11/2006 23:44

Qui va nous raconter des choses sur la 11 et la 15 de citroen? des photos seraient les bienvenues. dans les films policiers de l'époque, c'était la voiture préférée.....

 

Lydie DUCCESCHI/KAMERT (La Ciotat - Alger Agha)

05/11/2006 21:18

Bonsoir à tous, A mon tour de raconter ma petite histoire sur la Vedette, la Dauphine, la Simca Aronde et la R8 avec laquelle j'ai passé mon permis de conduire au port d'Alger le 9 décembre 1965 sous la houlette de "l'Auto Ecole Mustapha" de la rue Richelieu, (juste en haut des escaliers qui montaient de la rue du marché) (avec à l'angle le mozabite), et avec Mustapha lui même ..siouplé !!!!, fort jaloux de voir arriver, au volant d'une Fiat 1500 turquoise, mon Jean Claude, qui m'en faisait la surprise. Depuis, je suis toujours en possession de ce permis à trois volets rose, moitié plastifié et la Fiat 1500 (qui a servi aussi pour des copins lors de notre mariage le 16 juillet 1966 également au CGFA (Consulat Génèral de France d'Alger), a fini ses jours sur le parking de l'immeuble de Ris Orangis (où nous avions acheté notre premier appartement), car elle avait subi tous les vents de sable d'Hassi-Messaoud, (car manquant de graisse, le sable avait effacé le numéro) que nous avions eu envie d'aller visiter avant de quitter l'Algèrie et avons donc là, connu bon nombre de personnes de la SN Repal, mais aucun souvenir de noms. C'est un beau souvenir !!!! elle était immatriculée " A 4303 CT " ( Coopération Technique ). Mon père possédait en 1951 la Vedette Ford verte, mon copin qui m'a pretté sa dauphine l'a retrouvée cabossée, et enfin mon prétendu fiancé de l'époque qui se reconnaîtra possédait la simca aronde noire "350 CN 9A", avec laquelle j'allais en escapades à la Madrague ... avec robe vichy et travestis. Certes je ne manque pas de souvenirs de jeunesse et j'en suis heureuse, car, comme disait notre amie de l'Institut Pasteur : "beaucoup de gens n'ont pas de souvenirs, alors, cultivez les vôtres et ils fleuriront encore à votre vieillesse" ,elle avait raison et je suis contente de les arroser sur le LO avec vous.
Tous ces souvenirs sont inscrits sur des photos que je donnerai un jour à Gérald peut-être en 2007. Racontez encore v..... LA SUITE ?

 

Claudette (ALGER/ANTIBES)

05/11/2006 20:08

Salout et pesetas.
Hé Jacques, si toi tu SANGES de sujet je peux bien mettre mes enjoliveurs sur la calanque.

 

Gabriel Gomis (1934) (Alicante.Espagne.)

05/11/2006 19:41

pour René,le Berliet "Saharien"était le berliet T100 jusqu'a 115 t de charges utiles,moteur CUMMINGS 12 cyl.bi turbo 700cv.pneus h.2,20.L 1,00 poids 1t.pensé et fabriqué pour les pétroliers du sahara,l'usine BERLIET de Rouiba a quelques km d'Alger l'avait exposé en sept ou oct.57 apres sa sortie de monplaisir,avec l'indépendance de l'Algerie cette magnifique réalisation a été abandonnée.

 

Philippe REDON ( 1937 ) (St Avertin ( 37550 ))

05/11/2006 19:11

Pour Jeannine de Vedenne,au sujet du 1 de la rue de Normandie,en face de l'entrée del 'hopital Maillot si je me souviens bien...Y habitait ma grand-tante Jeanne Rousset, institutrice retraitée que j'allais viditer quelquefois...J'ai passé ce message pour parler d'a..... LA SUITE ?

 

Rando René 1941 (Alger/Limoges)

05/11/2006 15:25

Il y avait effectivement la "Prairie" et la "Savane" chez Renault. Je ne me souviens pas si c'était des 4x4, mais par contre je me souviens trés bien du 4x4 Citroën (eh oui!)... la 2cv saharienne avec deux moteurs, un à l'avant et un autre à l'arrière. Et qui se souvient du camion Berliet "saharien" dont les diamètres des pneus approchaient la hauteur d'homme. Si des anciens de la sn Repal lisent nos messages, ls doivent s'en souvenir.

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

05/11/2006 15:02

Ouch!!! Je n'avais pas envisagé les choses sous cet angle... Mais après tout, pourquoi pas?

 

Gabriel Gomis (1934) (Alicante.Espagne.)

05/11/2006 14:39

Bonjour a ttes,ts.effectivement Jean Jean il y avait chez simca un modèle "plein ciel" et un modèle "océane,un avec hartop et l'autre avec capote (ojo los listos)sur http:www.philseed.com/simsports.html
vous pouvez voir tous les modèles de SIMCA.Jean Jean est-ce que tu te souviens que Roland E.le petit fils de mme Honoré (bar Royal)s'était tué dans un accident au volant de sa magnifique simca "grand Large"au carrefour de la mort a Maison Carrée en revenant du bal le Dauphin Vert,a la verte rive.il se mariait le lendemain.oui il y eut bien des Renault "Prairie" et "Savane" (déjà des 4x4)au sinon demandez a mon ami Hubert Pons le plombier d'El biar qui en revenant de la fête des cerises a Miliana avait garé la sienne,sans lever le rideau met. de son garage.certains ont parlé de la kermesse de la caserne des douanes,je m'en souviens parfaitement,mais personne a nommé ce magnifique chanteur qui y habitait "Luc Davis"pour ne pas le citer,il chantait avec l'orchestre du bal de l'entraide Feminine, rue Valentin.les fêtes de fort de l'eau étaient connues c'est sur,mais quand venait l'été tous les villages cotiers de l'algérois avaient les leurs, ainsi que tous les quartiers d'alger capitale,et puis l'hiver toutes les salles de bal, ce serait trop long a énumérer tous ces lieux oú la jeunesse malgré les évènements savait encore s'amuser,ils sont encore tous là dans mon coeur et dans ma tête.allez bon dimanche a tous.rdv a la sirène a Fort de l'eau.

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

05/11/2006 14:35

j'ai passé mon permis auto à I8 ans et un jour. le IOaout I952, à l'epoque c'etait le petit permis à une seule feuille. on le passait en bas des halles, au port, à coté de l'usine Tamzali. l'examen consistait de partir devant la "gargotte" les gueules noires, faire environ cent metres puis faire un demi tour ( sans toucher les trottoires) et revenir au point de départ, pour nous c'etait de la rigolade car pendant des semaines avant le permis, on faisait toutes les manoeuvres, le soir quand il n'y avait plus de circulations sur le port, le plus "difficile"" etait le demi tour dans une des rues, qui avait la particularité d'etre bombée un maximum, il fallait arriver bien à droite et tout braquer à gauche sans toucher le rebord puis repartir en marche arrière en contre braquant et reculer sans toucher le rebord. puis repartir dans l'autre sens, le moniteur descendait de la tire et nous regardait faire, et en plus il ne fallait pas caler sinon " à la casa" mais au bout d'un certain temps on le faisait les "yeux fermés" tellement on etait entrainé. je l'ai eu du premier coup, mais je me suis fait remonter les bretelles, parceque je suis arrivé en voiture, comme un grand, et le moniteur m'a demandé qui m'accompagnait, je lui ai repondu moi tout seul, ça ne lui a pas plu, mais comme de l'endroit ou on passait l'examen on voyait ma maison, je lui ai dit :je viens juste d'en face, seulement des halles il fallait prendre par la rue sadi carnot jusqu'a la rampe poirel puis prendre la route moutonniere, sur environ un kilometre et arriver sur le lieu de l'examen. enfin apres trois questions sur le code il me l'a donné. mais à l'epoque il n'y avait pas la circulation d'aujourd'hui, et les voitures etaient moins nerveuses. J'ai passé mon permis avec une 202 Peugeot, c'etait tres maniable et pas trop encombrant, pour les manoeuvres , tres pratiques. bonne journée à tous Jeanjean....de belcourt

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

05/11/2006 11:31

Allez, juste pour sanger de sujet : le terme aronde est toujours utilisé en français et il désigne un mode d'assemblage utilisé en ébénisterie - notamment des côtés d'un tiroir - où le tenon a la forme d'un triangle isocèle dont le sommet attaché à la façade considérée est tronqué et forme donc comme une queue d'hirondelle : assemblage en queue d'aronde. Une autre forme est le tenon droit dont les faces internes sont biseautées à 45° et forment donc également une queue d'aronde mais dans le plan perpendiculaire.

REPONSE: mais c'est la Kama-Soutra que tu nous refais là, Jacques !

 

Dompinique RENUCCI (1949)

05/11/2006 11:12

Pour Jeanjean: j'ai oublié dans mon message précédent de préciser que Maman, Tatie et Michelle habitaient Belcourt, rue Albert de Mun... Donc chez vous! Bon dimanche, et encore de gros bisous. Dominique

 

Dominique RENUCCI (1949) (Alger/Bordeaux)

05/11/2006 11:10

Pour Jeanjean : oui, en effet, il y a eu les modèles Plein Ciel et Océane. La première, contrairement à ce que pourrait laisser entendre son nom, était un coupé. L'Océane quant à elle était bien le cabriolet décapotable. En 1960, ma maman, après quelques mois au volant d'une Aronde grise très stricte, avait acheté ce joli "joujou", blanc à l'intérieur rouge. Et nous filions, cheveux au vent, sur les routes des plages... dans cette voiture exclusivement féminine, puisque nous étions 4 représentantes de la gent "sexe faible" : Maman (32 ans) la conductrice, Tatie (sa soeur de cinq ans sa cadette), Michelle ma petite soeur (7 ans) et moi (10 ans)... Croyez-le si vous voulez, mais cette petite auto me manque! Bisous à vous, cher Jeanjean.

 

Rando René 1941 (Alger/Limoges)

05/11/2006 09:27

A ma petite fille:
Dis,papy, regarde les oiseaux dans le ciel, où vont ils?

L'hiver arrive, il faut partir,
Laisser le nid jusqu'au printemps.
Notre amie,la cigogne,sans soupir,
se prépare à son voyage épuisant,
Qui, de l'Alsace verdoyante,
L'emmenera vers l'Afrique chatoyante.
Une fois la France traversée,
Elle franchira la méditérranée,
Puis une fois arrivée à Alger,
Après avoir survolé la kasbah,
Elle obliquera vers Hussein dey,
Et s'arrêtera à L'Alma.


 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

05/11/2006 00:45

je crois qu'avec les bagnoles on a pas fini de jacter. Il y avait je crois un modele Plein Ciel, je ne me souviens pas si c'etait un cabriolet ? Qui pourra me le dire ? Il peut le dire!!!!!!!!!!! bonne nuit à tous, à plus Jeanjean....de Belcourt

 

Georges Busson 1943 (Lannion (Bretagne))

04/11/2006 18:18

Aux enfants de Saint Charles de l'Agha: bien qu'ayant été éduqué religieusement à Saint Bonavanture, dans ce bas quartier périphérique de Belcourt (non, je plaisante...), j'ai pensé à vous qui gardez le même souvenir ému de votre Abbé. J'ai mis quelques fleurs sur la tombe du Chanoine Francis Le Cocq, inhumé dans mon petit coin de Bretagne, à Trégastel exactement. Il est mort en 93. Il y a rejoint sa soeur. On le voyait régulièrement, fidèle à la soutane jusqu'au dernier jour. On échangeait quelques mots sur Alger quand l'occasion se présentait.
Désormais, s'il veut continuer à discuter, il a "voisin" immédiat "à la hauteur", si vous excusez ce mauvais jeu de mots. Il s'agit d'Ambroise Roux, grand patron des patrons, homme d'une exceptionnelle qualité et très accessible.
Voilà, Amis de Saint Charles, et à toi spécialement Denis, qui n'as pas encore tout perdu de tous ces bons enseignements dispensés de l'autre côté de ta rue, j'ai fait pour vous, devant cette tombe le signe de recueillement que vous auriez fait. Vous avez tous le salut du Breton.

 

Claudette (ALGER/ANTIBES)

04/11/2006 17:53

Et les mecs, si on ne peut plus se tromper, où allons nous je vous l'demande? c'est vrai que je trouvais ça drôle calanque, mais bon c'est comme SIMECA; pourtant je prends des vitamines... Je vais donc me faire des brouillons à partir de la prochaine, si on est surveillé comme ça. Bientôt vous allez me corriger mes fôtes en rouge! Sans rancune, ça prouve que vous lisez. Et même que je vous embrasse.

 

jean Noguès(1940) (Berthezène Alger-La Varenne)

04/11/2006 17:49

Chère Claudette HUMBERT. C'est à 19ans que j'ai obtenu mon permis de conduire sur le port d'Alger... et non 21 (Giscard n'était pas encore passé par là!)... mais ce n'est qu'à plus de 30 ans que j'ai pu l'utiliser à Paris sur une magnifique MG1100 blanche à sièges en cuir rouge.
La SIMCA PIGEOT était fabriquée à Poissy car Peugeot Talbot avait repris le site. Je l'ai découvert alors que des boulons volaient dans les ateliers... autres temps autres moeurs!

 

Claudette (ALGER/ANTIBES)

04/11/2006 17:42

Oh! Marie, mais qu'est-ce-qu'tu fais ma fille, tu sautes des pages ou quoi? Alors comme ça je n'ai pas parlé de la Dauphine? même que j'ai rajouté que je l'avais vendue dans la rue, comme un marchand des habits, la pôvre. Elle était grise très claire, avait le toit ouvrant et les flancs des pneus blancs!! classe hein. C'était en 62, on c'était rapatriées toutes les 2 (ou expatriées) et comme ma soeur venait de se marier (un des premiers mariages au consulat d'Alger) j'avais laissé la "Dauphine" à Marseille pour que ma soeur et celui qui était devenu mon bof s'en serve pour leur voyage de noce. Et voila! tout le monde est revenu au Pays - avec la Dauphine bien sûr - jusqu'en 64.
J'étais allée me réfugier dans le "giron de la mère patrie", au moment des fêtes (des autres) de l'indépendance, parce que le bruit courait que le corps médical et para médical, dont je faisais partie, risquait de se faire réquisitionner en cas de festivités trop intempestives, ce qui n'a pas été le cas je crois. J'ai donc réintégré mon centre médical de la M.G.E.N. réservé à l'éducation nationale à l'origine et qui est devenu le centre médical de tous les fonctionnaires Français et Musulmans par la suite. J'ai eu de ce fait la joie et l'honneur de travailler dans un bâtiment où flottait encore le drapeau Bleu Blanc Rouge et le drapeau algérien. Bises à tous. Qui va à AIX?

 

jean claude (74)

04/11/2006 16:45

Il a du s'en passer des choses dans vos Simca sur la route moutonniere en rentrant de fort de l'eau.. je rigole bien sur... amitiés a tous jean claude

 

Christian TRUCHI (ABBO/ALGER - EVRY) (EVRY (91000))

04/11/2006 16:11

Et oui! La Prairie était bien une RENAULT et non une SIMCA. Elle e a eu une "soeur" (un 4X4 avant l'heure) dotée de deux ponts qui s'est appelée Savane. Avant, il y avait la Frégate dont le haut de gamme était la Frégate Amiral. Et puis aussi, la Floride qui avait hard-top et/ou capote relevable et un autre modèle dont le nom m'échappe.
Chez Ford, on produiait la Vedette qui possédait un excellent V8, mais n'avait pas une tenue de route irréprochable... par rapport à une traction, voire une 15-6 de chez Citroën. Ford a également commercialisé une Comète pour faire la pige aux Loride et Simace Sport... C'était quand même autre chose (je l'ai conduite...) que les petits joujoux français (aïe! je vais devoir affronter les foudres de Geneviève qui semblit bien fan de la Simca sport).
Un sourire pour finir... Il paraît qu'on pouvait aussi traduire le sigle SIMCA par "Société Italienne de Mécanique à Capitaux Américains"!...
A plus...

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

04/11/2006 15:14

Hé, Claudette, on peut être fan du midi mais de là à trouver des enjoliveurs chromés sur les calanques! Quoique... Ouais, je sais, c'est l'andex qu'il a fourché, le traître! C'est comme pour la Prairie : rêve-je ou fou je suis? C'était pas une Renault? Ou alors je confusionne aec la Frégate? Zallez me faire tourner raide dingue métenant que je doute de tout et surtout là où je me croyais imbattable : les marques de bagnoles. Comme quoi la vieillerie nous (me) gagne. Horeusement que y'en a qui doivent aouar des éléphants dans leurs ancêtres : les Quid d'Es'mma, c'est eux (et elles, eh! pas de procès en sexisme, hein?)...

 

Christian Ripoll 1936 (Alger)

04/11/2006 14:58

Pour revenir à SIMCA, Sté Indus de Méca Auto, comme le précise si justement Jacques, on peut encore préciser que cette entreprise était à l'origine une émanation de la FIAT italienne, d'où les similitudes des premiers modèles.
Plus tard, vers 1955, 56, (ou plus tard, qui pourrait le préciser ?), Ford France qui produisait les Versailles; Trianon, etc (voir la liste exhaustive donnée dans les messages), lâché par Ford USA a été rachetée par SIMCA. C'est ainsi que ces grosses voitures pas conçues par SIMCA sont devenues des SIMCA, aux côtés des Aronde, P60 et autres.
C'est à la faveur de ce rapprochement que SIMCA a eu l'idée étonnante de monter dans la grosse carrosserie d'une Versailles le petit moteur d'une Aronde, le moteur "Flash", à la place du gros V8 d'origine. Véhicule hybride nommé Ariane qui a connu, contre toute attente, un vrai succès : confortable, spacieux, et économe. A une époque où la majorité des déplacements étaient limités en raison de la situation, c'était bien suffisant.
Une anecdote : l'un de mes oncles parti pour un long voyage en Espagne avec son Ariane a claqué son joint de culasse. Il a été dépanné, dans un trou perdu, par le bourrelier du coin, qui lui a taillé un joint en cuir ! Les mécaniciens apprécieront. Ce joint a tenu des milliers de kilomètres, mon oncle ne l'a jamais fait remplacé…
Encore plus tard, vers 1962/63, SIMCA a sorti une Ariane 8, avec le gros moteur V8.
Puis SIMCA est devenu CHRYSLER, je ne sais plus qui a racheté l'autre…

 

Christian Ripoll 1936 (Alger)

04/11/2006 14:56

Merci Boitaoutil pour tes précisions concernant la transmission du LO. Ce qui ne me rassure pas ! Dans quel état de vétusté se trouve donc mon ordi ?? Même une bombe de "nettoyant contacts" ne parviendrait pas à le booster suffisamment... Bref, dés que je pourrai, il partira à la retraite ! D'ici là, dans qq jours, je retrouverai ma bonne bécane, rapide, performante (pentium 4, 2 mega, ou giga, je ne sais plus), et... déjà complètement dépassée avec ses 3 ans d'age !

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

04/11/2006 13:52

Claudette, ma FI, on voit que vous vivez prés de la mer, mais plutot que de mettre des enjoliveurs aux calanques, il vaudrait mieux les mettre à la calandre. C'est comme moi l'autre jour j'ai confondu calfeutrer avec calfater. vive nouzotres. bisous Jeanjean....de Belcourt

 

Claudette HUMBERT (ALGER/ANTIBES)

04/11/2006 13:14

Hé là hé là! René j'ai écrit SIMECA avé l'accent marseillais t'ias pas reconnu? y a bien quelqu'un qui a dit que ARONDE c'était l'ancien nom de l'HIRONDELLE! (ou vice et versa) alors qu'une Hirondelle, même si elle ne fait pas le printemps, s'appelle ARONDE (ou vice et versa) à moins que de vivre en France depuis pas mal de temps je ne sache plus m'exprimer en français! c'est un comble.
Moi aussi j'ai passé mon permis sur une 4 CV et sur les quais; mon auto école s'appelait AUTO ECOLE DE LA FEMME, on m'avait fait payer 10 leçons et j'ai passé mon permis au bout de.....8 seulement! pas mal hein, alors au lieu de me rembourser les 2 leçons, on m'a fait prendre un coussin pour le même prix et pour le siège de la voiture. J'ai eu ma voiture 2 jours avant mon permis, c'est mon "tonton Albert" qui est allait la sortir du garage Renault - avec moi - C'est pour celà, que je vous expliquais dans un précédent message, que mon permis qui date de 1955 (il fallais avoir 21 ans pour le passer) je ne m'en séparerai jamais, il mentionne: Préfecture d'ALGER - REPUBLIQUE FRANCAISE. Je ne sais plus si l' immatriculation de ma 4 CV était AL, 91 ou 9 A mais c'était un département Français. J'ai quand même eu quelques contrôles de gendarmerie ou de police sur les routes, mais à part le conseil: il faudrait le faire changer (le permis) je n'ai jamais eu l'obligation de le faire ; de toutes façons je ne l'aurai jamais fait, je l'aurai déclaré " volé ou perdu" quitte à le repasser.
Oh! ma 4CV c'était le modèle le plus bas, c'était la 4CV affaires, elle était grise (il n'y avait que 2 couleurs ds ce modèle là : gris et vert, et au lieu d'avoir une poignée intérieure pour ouvrir la portière il y avait un cordon. Il n'y avait pas d'enjoliveurs chromés sur la calanque,
mais ça a été ma première voiture; je ne l'oublierai jamais, elle fait partie de mes premières amours.
Salut à tous.

 

ANDREU (Nimes (gard))

04/11/2006 12:29

Dans la rubrique Simca , mon père possédait une CHATELAINE
Une éspece de break qui avait succédé à une PRAIRIE ou nous montions à plus de 8 pour aller à la plage de SIDI-FERRUCH.

 

DanièLe l'estro pied-noir (AHAAAALGER/PARIS)

04/11/2006 12:26

Après 2 PC en rade entre septembre et octobre, me voila maintenant avec un bras en quenouille (emplâtré suite à un exercice de haute voltige dans mon jardin, style double salto arrière : tentative totalement déconseillée pour une gamine de mon âge!) Ainsi suis-je donc réduite au silence informatique si je ne veux pas me retrouver, de surcroît avec un pouce et un index ankylosés. Néanmoins (flûte!aussi?), sachez que je vous garde à l'oeil (le bon, bien sûr). Amitiés; DanièLe
P.S. :aïe, aïe,aïe, rien qu'y en a qui sortentz'entrez'eux à Aix dans des soirées "éspéciales Brua" que nous les pôv exilés ailleurs on en crève de jalousie! Alorss ammusez-vous bien les "esmm'ami(e)s".

REPONSE : on te racontera, ma caille. Mais en attendant arrète le saut à l'élastique du haut de ton cerisier, y'a pas assez de recul !

 

m@rie de BEO (avant en haut - maintenant en bas)

04/11/2006 12:19

Et la dauphine ? personne n'en parle ..... raciste ! Mon tonton en avait une, vert d'eau, moteur à l'arrière s.v.p et papa, qui la conduisait souvent, mettait un sac de sable devant dans la "malle avant" !!!!! because la tenue de route (on risquait de s'envoler). Ah que de souvenirs avec cette voiture immatriculée 9A. Gros bisous.

REPONSE : mais biensûr qu'on en parle ! Betty Reybaud nous a gratifié d'un excéllent texte sur le sujet il y a déjà un certain temps

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

04/11/2006 12:11

Denise Odette Joséphine Delbays (ouf!), la meilleure manière de retrouver du monde est ... d'être retrouvée par lui et ça passe par l'inscription dans un annuaire, par exemple celui dont l'adresse figure en haut de cette page. Parmi ceux qui visitent le site d'Es'mma, il y a quelques réfractaires à l'inscription - chacun voyant midi à sa porte - mais beaucoup le consultent régulièrement. Et puis, est-ce qu'on peut retrouver une bouteille jetée à la mer avant qu'elle n'ait été jetée? Là c'est pareil et dire qu'on existe (toujours) est le premier pas qui s'impose (voir par exemple le message de Jeanine Molines du 3/11 et la réponse juste au-dessus).

 

Lucien MONJO (Carnon (34 ))

04/11/2006 12:04

Encore SIMCA
Pour tous ceux que ça interesse un site à voir:


REPONSE : le GDLLDB remercie vivement.

 

Es'mma - cesoironsortentrenouzôtres

04/11/2006 09:59

Conférence au Cercle algérianiste d'Aix en Provence (Maison Alphonse-Juin, av. de Tubingen)
jeudi prochain 9 novembre à 18 h
"Edmond Brua : classique pataouète malgré lui"
par notre e'smmaien d'honneur, JiBé

 

Es'mma - boitaoutil

04/11/2006 09:28

Pour Christian Ripoll qui trouve, qu'en connexion basse vitesse, la page du LO met un temps infini à s'afficher : ne reculant devant aucun sacrifice, nous sommes passé de 30 messages, à 20 messages par page, soit en moyenne à une journée de tchache... ça devrait être bon, Christian ?... sinon, mets un peu d'huile de ricin dans ton Rumi... il parait que ça booste !
Précision : au premier écran du LO seule la dernière page est affichée... oeuf corse ! autroment j'te dis pas le temps de réponse, t'ia l'temps d'aller à pied aux Deux Moulins et de rev'nir par le front de mer... A noter que depuis le début d'année, vous avez écrit 161 pages.... soit plus de 3200 messages... soit 2 fois plus que l'année dernière... alors t'ia qu'à voir...

 

denise delbays (alger)

04/11/2006 09:06

Je cherche désespéremment à retrouver mes copines de classe soit à St Elisabeth au Telemly soit à l'école de la rue Daguerre ou j'etais jusqu'en 1962. En ayant vu les photos sur ce site je crois reconnaitre des visages de filles qui ont pu être dans ma classe plus jeunes.
Je suis née en 1950.
Merci de me contacter si mon nom vous rappelle quelquechose.
Mes copines et moi étions folles de danse classique et dansions à la maison en rentrant de l'école...
Je vais m'acheter de quoi scanner les photos de ma classe a Daguerre pour plus de précision. Patience!
Denise Odette Joséphine Delbays!.

 

Ph. Jollivet ( 1940 )

04/11/2006 08:25

A Jacques Ventre: c'est ce qu'on appelle faire un tête à queue ... d'aronde. Jean-Jean : il y avait aussi la Chambord. ( Plus grosse et plus luxueuse que la Chambord, avec une roue assortie à la carrosserie sur le coffre arrière. De mémoire, le couturier Michel Tellin posséda la première à Alger, toute noire. Alain Gerbi, qui habitait l'immeuble qui surplombait le magasin, devrait pouvoir confirmer.

 

Richard Chéron (1943 - Télemly-Belcourt-Nantes)

04/11/2006 08:07

Oui Jean-Jean il y avait la Beaulieu et pour essayer d'être exhaustif: Versailles, Trianon, Régence, Marly, Ariane, Beaulieu, Chambord et Présidence Tout ça c'était des Vedette (V8), sauf l'Ariane qui était plutôt une descendante d'Aronde. La Marly était un break.

 

marie (1947) (alger/gard)

04/11/2006 07:18

bonjour à tous! Je lis tous les jours vos messages et aujourd'hui je voudrais faire appel à vous pour retrouver la trace d'un portrait. Quelqu'un d'entre vous a-t-il vu (et à quel endroit) un portrait dit:"l'étudiant" peint à Alger par Louise BOSSERDET? L'étudiant en question est un membre de ma famille aujourd'hui disparu et nous aimerions avoir au moins une photo de cette peinture. Je sais qu'ESMMA est un formidable lieu de rencontre , d'échange et de connaissance et j'espère que l'un d'entre vous pourra m'aider. merci

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

03/11/2006 23:11

coucou tout le monde. Ben, d'après ce que je vois il n'y a que mon papa qui a eu une "ARONDE" si môche, faut dire que noire, ce n'était pas très attrayant . Par contre Paul à Alger a eu avant les voitures, une moto une 125 mais comme il s'était cassé la figure deux fois avec, il a opté pour une quatre roues . D'abord la fameuse FORD, sortie du garage sans permis et ensuite une "VERSAILLES" de couleur crème avec le toit vert. Elle ne devait sûrement pas passer inaperçue mais je me rappelle qu'à une certaine période, c'était la mode des voitures deux couleurs. GILOU, as tu fait la bise à ta "TATA LLOPIS" de la part de Paul ? Allez zou l'heure d'aller au lit, bonne nuit. Big bisous, à demain. Laurence

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

03/11/2006 18:44

"Chez" SIMCA il y avait dans le modele Aronde la P60 Monaco Grand Large, deux portes, et bi colore, celle de mon pere etait bleue ciel et le haut bleu marine, il y avait aussi l'Ariane, et je crois la Beaulieu ? dans les vieux vieux modeles, il y avait " la 6 Cylindres pot au feu, qui marchait au bouillon Kub. mais elle n'etait pas tres rapide. Elle avait tendance à tourner tout droit dans les virages. à plus jeanjean....de Belcourt

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

03/11/2006 18:33

JEANINEEEEEEEEEEEEEEEEE! Josette Mascaro, ben elle est dans l'annuaire! Et pour savoir qui c'est qui habitait rue Camille Douls, ben faut faire une recherche avec douls comme critère : actuellement, y'en a 20 soit qui y habitaient, soit qui allaient à l'école du même nom.....

 

"chamaneuv" 38 Alger (Rhône)

03/11/2006 10:59

Pour compléter comme Jacques Abbonato: l'ARONDE est l'ancien nom de l'hirondelle

 

jeannine.MOLINES (vedene)

03/11/2006 01:55

Bonsoir. Je recherche des personnes que j'ai connues soit où j'habitais, 97 rue camille Douls. Et rue de normandie au 1. J'allais le jeudi passer la journée avec les soeur de saint joseph. J'aimerais avoir des photos si vous y etiez. Ou alors des photos de classe maternelle et grande école de la rue camille douls . J'ai travaillé a la banque James Rosa, puis comme vendeuse au Petit Duc, rayon femme. Sur le site "nee à bab el oued" j'ai deposé une photo de la banque et une avec une fille que j'aimerais bien retrouvee josette mascaro si ma mémoire ne me fait pas defaut. je serais tres heureuse de retrouver tous ce petit monde. Et un garcon qui travaillait au salon de coifure pour homme qui était rue de Picardie près du magasin de Josiane Andreo qui faisait l'angle. Nous allions quelquefois au forum et j'étais toujours derrière la moto de ce coiffeur, en toute amitié bien sur. Je vous remercie de m'aider. Amicalement. Jeannine

 

Bernard (France)

02/11/2006 21:17

Ce site est tres beau. Moi même j'en ai fait un car étant né a Alger je recherchais mon frere. Grace a mon site j'ai eu des reponses, je souhaite que toutes les personnes obtiennent les mêmes resultats que moi grace à ce site. Je vais encore lancer mes recherches: qui aurait connu mes parents en Algérie à Alger même. Pour de plus amples renseignements venez sur . Je remercie le webmaster de ce site si sympathique et tellement de chez nous je souhaite une longue vie a son site pour lui pour nous pour nos souvenirs heureusement grace a Internet nous pouvons nous retrouver. Merci pour ce site si chaleureux et toutes mes amities au webmaster. Bernard

REPONSE : je suis allé voir votre site. J'ai été ému de la détresse qu'on ressent dans votre recherche de racines, dans la quête de votre frère... Je vous souhaite de réussir, et j'encourage nos amis Esmmaïens à vous aider quand celà leur serait possible. Bonne chance. Gérald.

 

VENTRE Jacques (Alger - Grenoble)

02/11/2006 17:43

Continuons nos souvenirs en Simca - Aronde ! C’est lors de mon 1er hiver à Marseille en 62/63 que j’ai eu ma frayeur du siècle: en allant de Marseille à Martigues il y avait une grande ligne droite qui montait légèrement, j’étais à fond, bien sûr 110/120 compteur et lors que devant moi en haut de la côte, surprise : toute la route était blanche de givre, moi qui venais de quitter notre soleil, je ne connaissais pas ça.
Cramponné au volant, je suis parti en tête à queue, je me souviens avoir croisé à ce moment là une voiture, je devais être à 100 km/h en marche arrière. Lorsque la voiture a bien voulu s’arrêter, sur la droite, bien garée, moteur calé, j’ai essayé de repartir, mais je tremblais tant que j’ai recalé! Il m’a fallu marcher un peu pour tout remettre en place. Ca m’a permis de compter les zig zag que je venais de décrire sur la route, bien nets : 2 tours et demi puisque j’étais garé dans le sens du retour! Bien cordialement. Jacques

 

Jo CABRERA/1926 (ALGER/MONACO)

02/11/2006 17:13

A Jacques ABBONATO. La SIMCA 5 était,en fait, une réplique de la FIAT 500. J'ai possédé, en 1952/1953 une SIMCA 1200 (avant la sortie des Aronde) elle était tout arrondie et avait un long levier de vitesse, au plancher, dont le pommeau arrivait au genou. En même temps que les Aronde sont sorties les grosses berlines "Versailles" , "Chambord" et "Régence" (si ma mémoire est encore bonne!!). En 1954 je suis passé chez Renault, avec la 4 CV, puis la Dauphine. Amitiés.

 

Jo CABRERA/1926 (ALGER/MONACO)

02/11/2006 16:52

A Roger RUBY - Le magasin "Coco et Riri" appartenant à M. TUDURY. On y trouvait des articles d'écoliers, des bonbons etc... Ce magasin se trouvait à l'angle de la Place Lelièvre et de la rue Jean Jaurès, en face de l'école (je n'ai pas connu le collège). Après le certif. il n'y avait qu'une classe, la dernière, qui était le cours complémentaire.
Après, c'était le lycée ou l'E.P.S. La Place Lelièvre comportait, en son centre, le kiosque à musique, à droite le boulodrone, à gauche la partie "piétonne". En face du kiosque
il y avait l'entrée de l'église St. Joseph. J'habitais derrrière l'église, au 5 de la rue du Dauphiné. J'ai entendu les cloches durant de nombreuses années..... Le curé de la paroisse était bien le Père Castéra. Pour ma part, j'ai fréquenté l'école Sigwalt (transférée de la rue Rochambeau aux Messageries en 1936/1937) et j'ai fait ma 1ère communion à la Redoute, à l'Eglise Ste Anne (aujourd'hui démolie) parce que je pratiquais la gymnastique au patronnage!
Je précise que, partant de la place de l'Alma (principal arrêt des T.A.) l'on arrivait à la place Lelièvre par la rue de Chateaudun, laquelle longeait le grand marché couvert de Bab-el-Oued. Je vous remercie de m'avoir permis de revisiter des lieux que j'ai bien connus. Avec toutes mes amitiés "es'mmaiennes".

 

RUBY ROGER 1932 (ALGER B.E.O. CAGNES SUR MER)

02/11/2006 15:55

Je ne lis pas le site depuis longtemps, peut etre que certains auront déja parlé de ce qui suit : j' aimerais un commentaire des anciens de la place Lelièvre ou il y avait le collège du mème nom. A coté il y avait "Coco et Riri", un magasin ou on pouvait jouer avec ce qui est devenu plus tard le flipper en payant quelques centimes (l'équivalent du prix d'un beignet). En face le collège il y avait l'église St Joseph tenue d'une main autoritaire par l'Abbé Castéra. Pour ceux qui l'ont fréquenté ils doivent se rappeler du coup de claquoir derrière le crâne auquel s'exposait tout enfant du catéchisme retardataire à la messe du dimanche. Le catéchisme se tenait dans la salle du patronage, ou l' on passait aussi du cinéma de temps en temps, cette salle était dans un autre endroit dans une rue voisine.
Je ne suis resté qu'un an en 6è à la place Lelièvre, l'année suivante j'ai été au collège Guillemin, c'est une autre histoire sur laquelle je reviendrai une autre fois.

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

02/11/2006 13:42

Coucou tout le monde. Allez je vous envoie plein de soleil car il brille ici. Je reviens sur "l'ARONDE" de mon papa. En plus de la corvée de la pousser pour la mettre en route et oui on servait de manivelle, côté confort, c'était un vrai "tape cul" et cette couleur noire, beurk horripilant et des "PANHARD" vous vous en souvenez ? Allez bises et bon après midi. Laurence

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

02/11/2006 12:21

Allez, j'y vais de mon grain de sel : SIMCA est un sigle qui signifie Société Industrielle de Mécanique et de Construction Automobile... La première que j'aie jamais connue est la SIMCA 5, une espèce de boîte de sardine aussi petite que la Vespa 400 mais de la même forme que la VW Coccinelle, si mes souvenirs sont bons, avec une grille façon Pijou 201 à l'avant et un coffre façon traction avant avec l'empreinte de la roue de secours en relief à l'arrière et deux portières (à voir ici : ). Sont venues ensuites la série des Arondes (voir là , puis celles des 1300 et 1500, mais celles-là, c'est en fin 1962 ou début 1963 : une révolution du point de vue de l'espace intérieur.

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

02/11/2006 12:14

Avé... Ah la Simca mille Pigeo... La simca Aronde fut ma première voiture en 1965 quand je suis sorti de l'armée, j'avais pris le temps pendant mon service, dans le var, de passer mon permis. Ouala, je passe en vitesse pour vous saluer avant mon départ demain matin pour Alger, je vais "inspecter" les hôtels pour préparer le circuit de la boucle des oasis en avril 2007, que beaucoup me demandent, je descend jusqu'à Ghardaïa, je vais aller voir les "Moutchous" Salut à vous. Yves

 

Rando René 1941 (Alger/Limoges)

02/11/2006 07:19

bonjour à tous, et à claudette qui se souvient de la" Simeca", àmoins que ce soit la "SImeuca"? Pardonne moi chère Claudette de me moquer! C'est indigne! Non je plaisante, mais c'était bien la SIMCA Aronde. Mon père en avait acheté une en 1956. C'était le modèle Break qui s'appelait "SIMCA Chatelaine" elle était bleu méditerranée et nous l'avons vendue à la mort de mon père en 1959. Quant à moi j'ai passé mon permis de conduire route moutonnière dans une 4CV. L'examinateur me disait d'aller plus vite mais à 80Km/h on aurait dit que la voiture allait s'envoler. J'ai quand même eu mon permis!

REPONSE: merci René, merci Claudette, et merci aux Es'mmaiens qui voudront bien continuer à nous parler de cette voiture, qui était, semble-t-il, pas très "sûre". G.

 

Jacqueline Marlin (Besançon)

01/11/2006 23:28

Grand merci à Anne-Marie Jory et Georges Lévy pour leurs informations sur le peintre Rochegrosse. Et merci à Essma. En ce jour de Toussaint, je voudrais dire que lorsque le passé se fait présent- et c'est le cas sur ce site- les voix chères qui se sont tues ne cessent de parler en nos coeurs. Mes amitiés à vous tous.

 

Claudette Humbert (ANTIBES/ALGER)

01/11/2006 18:47

Salut à tous, jour du souvenir oblige. Ho! la la je ne me rappelle plus du tout si la SIMECA Aronde que j'avais rachetée à mon Père (le pôvre il avait eu un accident et ma Mère avait été gravement blessée, il ne voulait plus la conduire) avait une hirondelle ou pas. Elle était de 59/60 et avait 2 couleurs: le corps bleu foncé et le toit bleu clair. J'ai eu une sacrée aventure avec en 63 mais c'est un peu long alors une prochaine fois; la seule chose que je peux vs dire c'est que j'ai passé de longs moments au commissariat central à essayer d'expliquer ce qui était difficile à croire et surtout à aider ces nouveaux OPJ à taper leur rapport!
J'ai commencé "ma carrière motorisée" en 53 par un scooter, un LAMBRETTA , quelle merveille! Avec les VESPASIENS -c'est pour ça que j'ai préféré les LAMBRETTA- ns sortions faire des ballades ts ensemble, pas trop loin bien sûr, évènements obligent, malgrè le risque c'était sympa mais on se tirait la bourre car ns étions Amis mais adversaires quand même.
J'ai continué avec une 4 CV RENAULT, une DAUPHINE (vendue dans la rue, à un militaire, avant le départ en 62) et la SIMECA de Papa (j'étais revenue à ALGER de 62 à 64) En arrivant en "Métropole" je n'ai plus voulu de voiture française, j'avais la haine, pendant une longue période je les ai boudées et je suis passée aux OPEL. Bon tout ça n'arrange pas nos affaires, j'ai perdu le fil de la SIMECA ARONDE avec l'hirondelle, je n'ai retrouvé que la SIMECA ARONDE MONTLHERY je crois, mais je n'en suis pas certaine.
C'est vrai l'immatriculation à ALGER c'était 91, puis 9 A mais avant il n'y a pas eu AL? il me semble que mon scooter était ...AL. Bonne soirée à tous malgrè les souvenirs tristes qui nous enveloppent mais qui restent nos souvenirs.

 

VENTRE Jacques (Alger - Grenoble)

01/11/2006 18:17

Bonjour à tous et toutes. Ah, l’aronde, c’est sur le modèle Elysée de 1958 que j’ai passé mon permis de conduire ! Elle appartenait à mon père qui est décédé en 1959 et ma mère l’ayant gardée, je me suis entraîné et c’est le 3 juin 1961 que j’ai passé ce permis. Pour la petite histoire, je ne suis pas passé par une auto-école, et c’est avec ma mère que je me suis rendu sur les quais du port d‘Alger. L’inspecteur après m’avoir posé quelques questions sur le code m’a annoncé que la Simca qui n’avait pas de frein à main au milieu (il se trouvait hors de sa portée sur le flanc gauche) ne pouvait prendre place à mes côtés. Il m’a laissé tout seul au volant en me demandant de faire quelques évolutions sur cet immense place. Bien sûr j’ai eu mon carton rose et je suis reparti au volant! Cette voiture, qui avait devancé une autre Simca 1100 a été le début une longue lignée. Pour le dossier que vous préparez, je dispose d’une bonne documentation et de quelques photos. Bien cordialement. Jacques

 

Danièle Martinez (en Provence)

01/11/2006 17:20

Bonjour, Je regarde tous les messages. j'envoie encore un SOS aux amis de La Redoute et Birmandreïs, mais où êtes vous passés ???? Je suis toujours à la recherche de mes 2 copines Anne Marie Picot et Anne Marie Thérèse De Larosa. Nous n'étions pas à l'école ensemble à Birmandreïs, elles habitaient le lotissement Mont Riant. SVP .... trouvez les moi. Bravo, grand bravo pour ce site, c'est une mine d'or et quel plaisir de se ressourcer un moment. A très bientôt à tous - Danièle

 

Christian Moignet (Eckbolsheim (France / Alsace))

01/11/2006 13:29

Petite erreur ! L'orthographe du nom de ma soeur Nicole est "Moignet" et non "Moigné" à "École Daguerre CM1, 1951 / 1952. Bien cordialement

 

Balaguer Lucien - 1935 - Alger (hds)

01/11/2006 12:55

En cette journée de recueillement et de souvenir, pensons à ceux qui n'auront pas une fleur sur leur sépulture abandonnée mais qui recevront tout notre amour et qui nous fera revivre les moments de bonheur priviligiés que nous avons vécus avec eux. Tu vois ES'MMA toi qui est devenu le lien entre nous (dont une grande majorité ne se connait pas), tu es également le lien avec nos chers disparus qui sont la base et le fondement de notre communauté. Pardonne mon message peut être un peu ...décousu, mais c'est un coeur bien lourd qui s'exprime. Amitiés toutes et tous, Lucien

 

Jean Claude (74)

01/11/2006 11:54

Pour ceux qui voudraient passer un petit moment gratuit d'émotion .. Revenez un peu en arriére sur le livre d'or... foncez jusqu'au 31 Octobre 2005.. il y a un tres beau Poeme de notre amie Renée sur les terrasses d'Alger, et puis un clin d'oeil de notre ami Georges...
amitiés a vous tous. Jean-Claude

 

SERNA Roger-Philippe 1956 (Rambouillet)

01/11/2006 07:14

Merci à Jean Brua pour son récit concernant les contes du parapet. J'y ai retrouvé le quartier où j'ai vécu de 1962 à Aout 1971. Nous habitions au 8 rue Emile Lacanaud dont l'entrée se trouvait juste en face du garage américain. Garage dans lequel je passais une grande partie de mes vacances scolaires à bricoler sur les voitures. Il y avait également un peu plus bas, en descendant la rue Duc Des Cars un autre garage, le garage Jean Macé où mon père stationnait son véhicule. Je suis retourné à Alger en Juin de cette année et j'ai eu la joie de retrouver le propriétaire Algérien, Marfoud, de ce garage Américain qui lui avait été laissé au moment de l'indépendance par son patron Français. Pour ceux d'entre vous qui seraient interressés par des photos du quartier n'hésitez pas à me solliciter c'est avec plaisir que je vous les adresserai. De plus ce parapet me rappelle le souvenir de mes frères, un peu plus âgés que moi, qui passaient leur temps à cet endroit là avec les copains du quartier. Merci pour ce site qui nous permet d'entretenir notre mémoire.

 

Levy Georges (1938) (Alger (1938-1962)-Israel (2006))

01/11/2006 06:44

La Toussaint.

Ce matin,lorsque vous serez levés,
Et que vous pousserez vos volets,
Vous verrez, dans la rue mouillée,
Des femmes enchapeautées,
Et de noir voilées,
Des passants sombrement vetus,
Dans le calme de la ville enfin revenu.
Ils serrent dans leurs bras un missel,
Ou simplement, de jolies fleurs des champs,
Car c'est un devoir universel,
Que de celébrer le souvenir de ses parents.
Dans le calme de ce jour férié,
Ils vont tous au cimetière,
Bien désherbé, et de couronnes orné.
Et je pense en moi-meme,dans ma douleur altière,
Que ces gens à l'air triste, sont bien heureux,
De pouvoir prier, sur la tombe de leurs Aieux.
Ce jour de deuil, qui unit les Francais,
Ravive en moi, les heures sombres du passé:
Je n'ai pas de tombe, où pouvoir m'incliner,
Et lire, à demi-effacés, les noms de mes bien-aimés.
Et après tant d'années, je m'efforce de revoir, le soir,
Le chemin des tombeaux,qui s'efface de ma mémoire.
Et je n'ose penser, si ce cimetière a été profané,
Ou s'il en reste encore des débris, éparpillés.
Ce Premier Novembre, cet implacable anathème,
Je ne sais pas meme, ou poser ma chrysanthème,
Alors, je la donnerai à une pauvresse,
En souvenir de ces morts, qui n'ont plus d'adresse.
G.L.

 

jean claude (74)

01/11/2006 06:34

Que ce soit un Mercredi comme aujourd'hui!!!! Où un Lundi comme celui ..du 1er Novembre 1954. Les Cylclamens de notre enfance, les Cyclamens de "Baïnem" auront toujours une place dans nos coeurs.. car ils symbolisent ce que nos anciens nous ont laissé en héritage.


 

alain wallier (gap france)

31/10/2006 23:45

je suis né en 1955 à Alger. je suis la 4éme génération pn et je veux connaitre notre histoire. Toute ma jeunesse j'ai entendu des noms de rue ou de quartier d'Alger, des expressions et l'accent. Aussi j'aimerais retrouver des gens qui ont connu la charcuterie de la nouvelle poste qui appartenait à mon grand-pere M. Amiaud et qui se trouvait au 22 rue Alfred Lelluch. merci. alain wallier

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

31/10/2006 22:33

bonsoir tout le monde, Pas beaucoup de monde en ce moment, les coeurs sont en berne. La mauvaise saison s'installe mais cela ne m'empêche pas de venir vous lire et aussi de faire un plongeon dans le passé. Avant de vous laisser pour ce soir, une pensée à tous nos anciens qui sont restés "au delà de la Méditerranée" mais qui ne nous quittent pas dans nos souvenirs. à demain. Laurence

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

31/10/2006 17:12

Trés chere Michele, bien sur qu'il y avait des méduses, de notre coté de cette "Belle Mer", mais elles avaient déteint sur nous, elles avaient bon coeur, et ne nous faisaient pas trop de mal. Les oursins étaient beaucoup plus "dangereux" il valait mieux mettre ses pieds ailleurs, que de leur marcher dessus. Quel boulot pour enlever ces p......d'épines une par une, des fois il y en avait pour la semaine, car il y en avait toujours une qui se faisait le jacquette dans les profondeurs du talon, et pour l'avoir il fallait de la patience et une épingle bien pointue, qu'on faisait rougir avec un briquet, pour la "désinfecter" et après vinga que je te charcute pour la sortir. après pour finir, on mettait un peu d'anisette, et le tour etait joué. bisous , à plus Jeanjean....de Belcourt

 

Michèle (Aude)

31/10/2006 15:12

Ce message s'adresse à Marithe (Lycée Fromentin). J'ai bien reçu vos deux messages du 13 / 10 et de ce jour le 31 / 10 et surtout le précieux contenu du premier.................... des photos qui m'ont fait chaud au coeur. Pour les "zotres", une esmmaienne courageuse dont je tairai le nom (elle se reconnaitra) s'est baignée dans l'eau tiède de notre MARE NOSTRUM le 28 octobre 2006 "en slalommant" entre les méduses! Question pour Mr Jean Jean "Les méduses en Algérie cela existait ?" dit tonton?

 

Suzanne EXERTIER (Grenoble)

31/10/2006 11:52

Bonjour, Merci à Gérald pour nous avoir si bien raconté et fait partager son dernier séjour à Alger! J'avais presque l'impression d'y être. Le tout est rempli d'émotion mais aussi d'humour. Bravo à vous (mais je n'ai pas revu ma rue : la rue Berlioz, à côté du Bd Baudin ! ce sera pour le prochain voyage !) Amitiés à tous

REPONSE : ah, Suzanne, mais il fallait juste demander! Yves, Gérald, ou un autre Es'mmaien se serait fait un plaisir de vous en rapporter des images! Oui, c'est noté, ce sera pour la prochaine fois...

 

Ferra Danielle (Alger/ Paris)

30/10/2006 23:57

Bonsoir à toutes et tous. La prochaine réunion des Esmaiens de Paris se tiendra le 15 novembre, désolée Claude, et ceux qui m'avaient contactés pour une période précise, il ne nous a pas été possible de les retenir, trop d'esmmaiens n'étaient pas disponibles pour ce moment là.
On essaiera de faire notre possible pour la prochaine fois, qui semble t-il sera la galette des Rois. A vos agendas.
Gros bisous à toutes et tous, et pardon à tous ceux auxquels je n’ai pas écrit ou téléphoné ces derniers temps, mais qui sont néanmoins dans mon cœur, André tu es le premier avec Paulo.

 

GIL de COURBEVOIE ( ALGER = COURBEVOIE)

30/10/2006 18:38

BAINS ROMAINS n'ayant pas de LO, je viens sur notre ESMMALO avec beaucoup plus qu'une pensée pour la famille du Bainsrominois car le coeur se serre quand un des notres s'en va Toute mon affection l'accompagne nous avons des racines communes et nous nous rejoindrons un jour Chounet j'ai pleuré devant son site Adieu GILOU

 

Alirol Béatrice (Choisy-le-Roi)

30/10/2006 17:16

Bonjour à toutes et tous ami(e)s de là-bas. Un grand merci à J. Brua pour m'avoir permis de revoir une partie de mon quartier, je demeurais au 14, rue Duc des Cars, et ravie de voir que "mon immeuble" est encore bien entretenu. Je profite de ce message, pour vous signaler également le site d'une de nos compatriotes artiste peintre qui nous présente quelques unes de ses oeuvres à voir et à acheter : Nicole Baissat-Boiral. Le site:
boiral-art.com

 

Dominique RENUCCi (1949) (Alger/Bordeaux)

30/10/2006 09:26

Pour le sujet "Simca": La première arrivée dans la famille en 1959 appartenait à Maman ; elle était grise, avec la "moustache" rectangulaire. Maman ne l'a pas gardée longtemps, et remplacée un an plus tard par une "Océane" décapotable blanche à l'intérieur rouge.
La seconde a été achetée par Papa en 1961 ; noire, au pare-chocs rectiligne, qui lui donnait l'air toujours en colère ! Ces véhicules ont probablement terminé leur "vie" là-bas, car aucune n'a pu être amenée en métropole. Quant à la dernière, acquise en 1965 à Bordeaux... Mais là, c'est une autre aventure. Voilà un tout petit bout de l'histoire de cette automobile mythique... Baisers affectueux à tous. Dominique

 

ES'MMA MYOSOTIS

30/10/2006 07:57

Nous apprenons la diparition, le dimanche 22, de notre compatriote Georges "Chounet", l'initiateur et animateur du site de Bains Romains, l'un de nos sites "petits frères" algérois. A Es'mma on appréciait énormément son travail. C'est un site joyeux, animé et bien fait, constitué comme ici des souvenirs des uns et des autres. Il devrait néanmoins continuer.

« Avant d'être Citoyen du monde, Européen, Français, Chartrain, Français d'Algérie, disait Georges, je suis Bainsrominois. Si j'ai des racines, elles sont profondément ancrées dans le sol de Bains Romains ».
Il aimait à citer Jankélévitch qui observait que l’homme qui retourne à son origine, revient où il n'est jamais allé et revoit ce qu'il n'a jamais vu. Il était retourné dans cette zone où l’on ne peut retourner que seul, et que, pourtant, on peut essayer de raconter à ses amis. C’est ce qu’il avait fait, et avec tellement de talent !
Découvrez ou redécouvrez son site, avec lui, visitez le monde de sa jeunesse de A à Z, grâce à l’abécédaire qu’il nous avait patiemment et passionnément tissé. Tout ici sent le pin, la résine, le sel et les embruns, le poisson grillé le soir sur la plage, et tous les parfums de ce lieu élu des dieux (c’est ici qu'Enée aurait fait naufrage !) qu’était le village de son enfance. Il cultivait son site comme un jardin, et j’enviais le talent naturel qu’il avait pour ça, je le lui avais écrit un jour, et il m’avait fait l’amitié de faire figurer ma remarque parmi des citations de gens moins inconnus.

Il était comme ça. Curieux de tout, ouvert aux autres… Son humour, sa tendresse, sa culture, sa gentillesse vont nous manquer. Mais il aura su nous offrir un pan du monde, le sien, et de ceci nous lui en serons, jusqu’à notre propre fin, reconnaissants.

« Etait-ce une boutade, une provocation ou un profond désir, un jour il avait dit à son épouse que plus que des fleurs, il souhaitait pour ses funérailles des beaux oursins... Si vous avez l'occasion d'en déguster ces temps-ci, gardez une pensée pour lui ». Et sinon, de toutes façons, même si en ce moment vous êtes un peu à court d’oursins, ayons plus qu'une pensée pour Chounet, aujourd'hui donnons-nous rendez-vous sur son site. G.

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

29/10/2006 13:11

hello tout le monde, zavé pas oublié de reculer vos horloges, j'espère. Alorsse ouala pour l'Aronde, m'sieur l'aviss, mes parents en avaient une beurk toute noire et promis c'était pas la P60 ; elle était ronde de partout . Il faut dire qu'avant, on avait eu deux 302 avec les phares devant tout rapprochés, la première était couleur verte et après avoir roulé 200 m avait une bielle coulée, et l'autre était couleur tourterelle mais il fallait 5 litres d'essence pour faire un km; Il aurait bientôt fallu transporter un aléoduc avec nous . Alors papa a mis son choix sur une Aronde mais si vous vous rappelez, elle n'avait pas de manivell et comme on habitait le nord de la France, les hivers étaient rudes et quand il gelait faire démarrer l'aronde n'était pas une sinécure . A chaque coup de démarreur, ça faisait chouffa et comme la manivelle était aux abonnés absents, il fallait opter pour pousser la voiture dans une pente pour la faire descendre
mais ouala, la pente était inversée alors maman, ma frangine et moi qui étions gamines, soufflions comme des "boeufs" plutôt "vaches" pour lui faire remonter la pente et la présenter pour qu'elle la descende, et là miracle, mon papa se mettait au volant passait une vitesse et se laisser glisser et d'un seul coup un hoquet et la voiture démarrait; Mais comme chez nous, l'hiver durait pas mal de temps pas comme "au delà de la Méditerranée" papa en a eu marre et il s'est débarrassé de l'Aronde pour acheter une "deux pattes" et plus de problème. ouala ouala. Allez la bise à tous. Laurence

REPONSE : merci Laurence. Allez, à vous zotres, maintenant...

 

zedigua oukarmous (alger-algerie)

29/10/2006 12:28

Bonjour,
pas mal la rubrique de Gérald, clac clac !!!
Le produit pour cafard est-t-il efficace?!!!
Fleur de barbarie sans cloc bonne journée

 

Es'mma JiBé

29/10/2006 08:33

Les souvenirs du stage de Jean Solivérès à la pharmacie Michel de la rue Duc-des-Cars ont fait BOUM dans le Livre d'or, maiS il semble que les dégâts ne soient pas très importants.
Voir en EsmmaJibé :

 

ES'MMA

28/10/2006 19:31

Avis à la population des es'mmaïens!!!! Ceusses qui ont des souvenirs de la Simca Aronde (ontontion, celle avec l'hirondelle, pas la P60 !), soit que leur famille elle en avait une, soit qu'ils aient une anecdote au sujet dudit véhicule, sont appelés à se manifester. Sinon, qu'ils se taisent à jamais (c'est pour un écran en préparation).
Le GCHAT (garde champêtre avec tambour).

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

28/10/2006 18:46

hello tout le monde. Tout d'abord un petit mot pour toi Gérald; ça a été un superbe plaisir de t'avoir au téléphone car cela renforce les liens d'amitié même si l'on ne se connait pas, et j'espère bien qu'avec mon "maestro" (émoticone rire) nous puissions rencontrer quelques uns d'entre vous, avant qu'il ne soit trop tard.
Sur ce, il faut que je vous raconte comme me l'a fait ma super "belle maman Rose". Il a failli d'un poil que vous ne connaissiez pas "l'homme à la soucoupe" car le petit "Paul" était un garnement déjà tout petit, il était menu comme un stokafitche et se faufilait partout. En 1930, mes beaux parents étaient à ce ce moment là à LAGOUAT, à la frontière du désert, Paul avait alors trois ans et il fallait toujours l'avoir à l'oeil car il courait partout et surtout il arrivait à passer entre les barreaux du portail. Un jour que maman Rose était au jardin avec lui, tout en le surveillant, elle discutait avec des amis et voilà que d'un seul coup plus de Paul. Elle le cherche partout et commence à paniquer ; soudain l'idée lui vient d'ouvrir le portail et de regarder où il pouvait bien être allé. pas de Paul mais des caravaniers sur des dromadaires qui repartent vers le désert. L'instinct d'une maman, elle se dirige vers l'un deux qui semblait tenir quelque chose contre lui et lui tire la sorte de manteau qu'il portait et devinez ce qu'elle découvre ! Paul tout ébouriffé mais qui ne disait rien. Elle l'a tirée des bras du caravanier et a vite rejoint la maison et là ses fesses ont dû rougir. Peut être pour cela que nous sommes nous aussi nomades, allez saouar. Bises à tous, Laurence

 

Jean Soliveres (1938) (Villeneuve d'Ascq 59493)

28/10/2006 18:37

La SUITE…la SUITE… la voilà Je reviens après un long silence de 2 jours.. que voulez vous un retraité c’est très occupé! Sur le sujet de la Rue Duc des Cars et de la Pharmacie Michel: des gamins du quartier nous demandaient de leur vendre un produit chimique «A». Ils nous ont alors expliqué que ce produit mélangé à un produit «B» leur servaient à faire partir des petites fusées, et le mode d’emploi nous a été détaillé. Les deux stagiaires de la Pharmacie, avec l’accord de Mr Michel, toujours ouvert à toutes ces fantaisies, avons essayé de confectionner une fusée. Les produits mélangés, mis dans un tube d’aspirine vidé de ses comprimés, puis enflammés, mais compte tenu de la chaleur dégagée, tout a fondu, et dans la pharmacie il y avait une fumée bleuâtre, très opaque. Nos informateurs se sont copieusement moqués de nous, et nous ont suggéré d’utiliser des capsules vides de gaz carbonique qui servaient à fabriquer de l’eau de Seltz. Nous n’en n’avions pas, par contre nous avions des cartouches vides de recharge de gaz pour nos briquets SylverMatch. Le résultat fut catastrophique: à peine allumée la fusée nous suivait (pour ceux qui connaissent: comme les Coets à la fête de Elche en Espagne), et là une explosion de la chose et une belle plaque noire sur le trottoir devant la Pharmacie. En effet ces cartouches étaient constituées de 2 capsules soudées à l’étain: étain.. ou aluminium… c’est kif kif! Dans le deux minutes une patrouille de CRS était sur les lieux, nous demandant si nous avions entendu une explosion, en regardant la tâche noire, et nos complices, les gamins, leurs disant d’un ton énergique en leur montrant le bas des escaliers de la rue Lacanaud : «c’est là-bas». La patrouille est partie, mais pas convaincue.
Peut être que parmi les Essmaïens nés en 43, 44, 45 certains se reconnaîtront.
Aïe, Aïe, Aïe… balek ! le Sécateur ! A+ JEANNOT

 

rivieccio-mentheour (alger)

28/10/2006 11:35

salutatous. Fort-de l'eau! quelles belles fêtes nous avions. Tout l'été ça tournait, ça tournait. Il y avait bien sûr pour nous les filles Rivieccio, Jean-bart, La Pérouse (avec ses petits marins), cap-matifou, Jean-bart, et les bains romains de l'autre côté, baïnem , catiglione une fois... Oh, que nous étions belles, coiffées, maquillées depuis le Samedi après-midi et surtout nos jolies robes bien gonflantes et nos gants blancs... vous vous souvenez les filles? En plein été nous mettions nos gants blancs pour aller au travail, en rentrant à midi, nous les lavions et les réenfilions, preques secs. Fort-del'eau est aussi pour moi la soubressade et le pain mahonnais. C'est aussi à Fort de l'eau que j'ai vu pour la dernière fois Claude Cardell, mon voisin de palier, mon frère. Le lendemain il se tuait en moto. Oui Jean-Jean, tous nos souvenirs ont bati une armure qui, j'en suis sûre, pour vous aussi, a permis de passer entre les mauvais coups de la vie. A bientôt mes amis. Eliane

 

Rando René 1941 (Alger/Limoges)

28/10/2006 09:15

Je reviens pour dire à jeanjean que je viens de lire 'information sur les sources "ben haroun" grâce au lien mis sur son message. Merci jean jean c'est vrai que finalement grace à internet on découvre une aAlgérie qu'on n'a pas eu le temps de connaître. tchao et bon week end

 

Rando René 1941 (Alger/Limoges)

28/10/2006 08:52

Bonjour,alors Gilou tu n'as jamais regardé "repertoirpn.net", l'annuaire au dessus de"AVISS". Alors vas y et clique dessus. colonne de gauche, cherche"album", clique dessus et en cherchant par ordre alphabétique, tu trouveras jeanjean et son bob et des photos de plusieurs de nos compatriotes et même tu pourras en mettre des tiennes. j'en profite pour dire à tous nos amis de s'inscrire et si possible de mettre leur photo. j'ai moi même retrouvé un copain de cm1 grace à çà;Il faut remercié jacques Abonnato pour sa réalisation. amitiés
Pour jeanjean, c'est bien "calfater". Moi aussi je l'ai fait. Aprés avoir décapé le dessous du"canote" ou de la pastéra, on passe un coup de peinture à la jointure des planches, puis on enfonce de l'étoupe entre les planches à l'aide d'un spatule, puis on mastique, on laisse sécher, on ponçe et enfin on peint le tout avec de la peinture "sous marine" (ou si c'est trop vieux, du goudron) une fois l'engin remis à neuf il ne reste plus qu'à le mettre à l'eau, prendre un "carreau" (petite caisse avec un vitre en guise de fond), une longue gaffe et partir "aux ousins"... et oui, finalement nous avons eu un belle jeunesse!

 

GIL de COURBEVOIE (1932) (ALGER--COURBEVOIE--)

28/10/2006 01:51

KADI bienvenue chez les Ex jeunes d'Es'mma! Pour les souvenirs donne nous des noms, raconte tes souvenirs, il y a preneur ici! --Jean-Jean "calfeutrer" heureusement que t'as rectifié sinon le rouge à la figure.. PAUL/LAURENCE des cousins germains à ma maman FERRANDIS Antoine père Antoine fils un autre fils Michel et la mère Roséfà était venu habiter à BEO la Basseta mais je ne sais pas s'il venaient de Koléa ??? A la Basseta Je me souviens d'une petite rue en haut d'une montée avec tous les petits appartements identiques la porte ouvrant directement sur le trottoir aprés 2 marches à descendre le soir les gens sortaient des petites chaises devant leurs portes et ça discutait ferme, souvent en espagnol, jusqu'a des heures tardives les soirs de grosse chaleur, oui il y en avait.. c'est peut etre ça Radio Trottoir mais les potins circulaient mieux que par les quotidiens .... Antoine FERRANDIS fut victime d'un accident devant le cinéma l'Empire au carrefour 2 voitures se sont heurtées puis déportées sur le trottoir le coinçant contre la vitrine du cinéma Il lisait son journal en attendant de prendre son travail à l'EGA juste en face.. JCH tu m'as régalé mon fils en rappelant les bals des beaux jours (oui il en avait aussi) j'en ai fait certain mon frère jouait parfois avec Micky Gesnay (Michel Gésina) ou Starway (Seror) et les détails sur les tenues vestimentaires Super...Ou lala j'avais pas vu l'heure BONANITE à tous GILOU

 

KADI GOURAYA (Birmandreis Alger)

27/10/2006 21:05

Merci de nous permettre de rajeunir par la pensée.J'ai 71 ans maintenant; que de souvenirs, mais qui se souvient de moi ? Je me souviens de mes camarades de classe , mes anciennes voisines, mes institutrices, les bals sur la place de la MAIRIE, et j'adorais la cérémonie des rameaux, qui le lendemain, mes camarades me donnaient une toute petite branche, symbole de porte bonheur, mais, j'avais peur de toucher religion oblige.A tous, bonne chance.

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

27/10/2006 19:52

Oh ! la honte j'ai dit qu'il fallait calfeutrer le bateau, non c'etait calfater, je ne suis pas sur de lortografe. entre chaque lamelles et la coque on mettait une sorte de chanvre qui ressemblait à de la ficelle avec un produit vert et avec une spatule on mettait ce truc d'un bout à l'autre de la barque, qui bien sûr était retournée et posée sur des treteaux en gros rondins de bois. c'est pour ça que l'on pouvait dormir en dessous. et maintenant on s'étonne quand on a mal au dos, le matin quand on se réveillait on était tout humide et la couverture recouverte de rosée. Mais je donnerais tout ce que j'ai pour retrouver ces moments là. Et c'était le même tarif pour les filles sous une barque il y avait les gaçons et à coté les filles, mais attention balek, fallait pas rigoler, c'etait pour dormir, les dimanches matins on était réveillé par les premiers baigneurs qui arrivaient avec leur parasol et leurs guitounes, ils devaient nous prendre pour des clodos. Toute la nuit, (très courte) ça ronflait, ça rotait, ça pétait de tous les cotés, un vrai feu d'artifice, et on se poilait, quand il y avait un ou une nouvelle, ils s'imaginaient, être tombé dans un truc de dingues. Celui qui n'a pas connu ça, n'a rien connu, et encore je ne vous dis pas tout. Dommage que nos enfants n'aient pas connu ça. On a eu la plus belle des jeunesses, entre deux grands évènements, mais ça on n'y pouvait rien, c'est le destin. Et quand nous sommes tous en famille et que l'on raconte tous ces trucs, nos enfants nous regardent avec curiosité, et mon fils souvent me dit: tu plaisantes ou tu rigoles, tu n'as pas fait ça... et quand ma mère lui confirme, il me regarde d'un air "tout drôle". Et il me dit : c'est un truc de barge. et on se marre, et c'est une source inépuisable de souvenirs, bons et mauvais, mais personne ne pourra nous les enlever. Qui aprés nous, pourra leur raconter tout ça ?????? à plus Jeanjean....de Belcourt

 

Jory georges (1946) (le Hamma Alger-gonesse)

27/10/2006 18:52

un cinephile pourrait-il nous donner plus de details : d'apres le site www.l2tc.com repertoriant les lieux de tournage de film, certaines scenes de TARZAN L'HOMME SINGE auraient ete tournees en1932 au JARDIN D'ESSAI DU HAMMA. AMITIES

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

27/10/2006 16:33

à Rné(comme le mari de Celine Dion), pour les sources de Ben Haroun, tu tapes Google : algerie sources de ben haroun, et tu as toute l'histoire de ces sources. et tu en as pour un moment. est-ce que ça bouche ton trou? attention aux courants d'air !!!!!!!! à plus jeanjean....de belcourt

 

Jo CABRERA/1926 (ALGER/MONACO)

27/10/2006 16:31

J'ai pris un énorme intérêt à la lecture de "CLIC-CLAC", par Gérald Dupeyrot, texte agrémenté par de très jolies photos, ainsi que des "CONTES DU PARAPET", par Jean BRUA, avec la collaboration de Betty REYBAUD, J.C. HESTIN et J.P. FOLLACCI. Si je connaissais la rue du Dr Trolard parceque l'oncle de mon épouse, M. SERRA, possédait le grand garage situé au n°7 (si j'ai bonne mémoire), acquis par le Dr Brincat, qui y fit édifier un grand immeuble, je crois n'avoir jamais emprunté la rue Duc des Cars. J'ai l'impression d'avoir connu cette rue ainsi que les personnages décrits! Je vous remercie tous de m'avoir permis de partager vos délicieux et émouvants souvenirs. Avec toutes mes amitiés.

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

27/10/2006 14:18

à René Rondo, la plage est celle de la Verte-Rive à côté de Fort de l'Eau, et le "paquebot" est un bateau en bois fait à la main par des italiens qui habitaient près du cimetière de st Eugène. Des cadors en menuiserie . Au début elle était à rames, et après mon père a acheté un moteur. L'hiver il fallait le gratter, bien le poncer, le calfeutrer, et le vernir pour l'année d'aprés. Après les bateaux en "plastique" ont fait leur apparition avec leurs caissons avant et arrière, qui leur permettaient d'être "incoulable" même plein d'eau. à plus jeanjean ....de Belcourt

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

27/10/2006 13:37

Bonjour tout le monde,
Je vous lis mais n'interviens pas toujours, c'est un régal vos souvenirs que je communique à Paul
GILOU, Paul se permet de faire un gros bisou à ta "Tata LLOPIS" ; il me dit que ce nom ne lui est pas du tout inconnu
si elle habitait Coléa et toi si tu connais bien, rappelle toi la caserne sur la route de Berbessa
et à côté du château d'eau, il y avait des grands bâtiments, ben là la "mémée BORELLO" après la brasserie, s'est occupée de toute la lingerie de la caserne
et en face du château il y avait la ferme "FERRANDIS" dont l'une des habitantes était la marraine de Paul
ouala encore quelques uns de ses souvenirs
amitiés sous un ciel mitigé
laurence

 

GIL de COURBEVOIE (1932) (Alger=Courbevoie)

27/10/2006 11:37

Comment ki fo fer pour voir Jeanjean avec le BOB ??? RR dit nous tout--GILOU

 

Saupagna Andrée (1939)2 rue d'estonie (HAUTMONT (59).CARNON (34))

27/10/2006 10:31

Coucou c’est encore moi.
Juste pour vous dire qu’il y a vraiment une grande entraide grâce à Es’mma.
A la suite du dépôt de mon message du .25 octobre , j’ai reçu plusieurs photos de ma maison, de la maison de ma grand’mère, du quartier vu du bas, du haut, enfin bref dans tous les sens.
Merci à J.B., R.Cheron et à Renée Pistoresi.
Je peux ainsi montrer à mes enfants et petites-filles les endroits ou j’ai vécu.
J’ai commencé le récit de mon enfance là-bas il y a déjà pas mal de temps et ainsi avec les photos cela sera plus évident pour eux de comprendre ce que j’avais voulu leur décrire.
Amitiès à tous

 

Rando René 1941 (Alger/Limoges)

27/10/2006 07:54

bonjour à tous.pour jeanjean,je viens de regarder l'album photo sur le sîte de l'annuaire.tu es drôlement chouette à côté de la pastéra ,avec ton bob sur la tête.c'est vrai que le "vrai bob" a eu son heure de gloire.à propos c'était sur quelle plage? pour sauter du coq à l'ane,dans les rubriques d'ES'MMA,j'ai vû un cendrier des sources Ben Haroun.j'ai le même.à l'époque les objets publicitaires n'étaient pas en plastique,c'est du Gien! quelqu'un pourrait il nous parler de ces sources.je connaissais celles d'hammam el ouane,mais oû se trouvait "Ben Haroun? j'ai un trou là....

 

Hestin jean claude (thonon 74)

27/10/2006 06:41

Non !! Jean Jean je n'ai rien oublié et surtout pas Fort de l'Eau, te connaissant, je savais que tu n'allais pas tarder à réagir....La preuve!!!eh bien voilà un bien beau sujet de discussion entre nous, je laisse à nos autres amis d'Esmma le soin d'évoquer les fétes, les bals, les Corsos de notre jeunesse...
en ce qui concerne le décollage completement raté du Ballon sur la place du Forum.... la panier en osier est restè coincé etc etc...
je n'arrive pas a savoir a quelle occasion, et pourquoi et pour qui tout cela avait etè organisé ? quel était le but de son voyage? et de quel équipage s'agissait 'il?
a vos mémoires!!! amitiés

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

26/10/2006 23:54

La suite, et bien la voilà, 5o années que ça dure, avec des hauts et des bas (comme chez Dim)des joies et des peines comme tout le monde, un beau garçon de 49 ans, (aprés en avoir perdu trois) deux belles petites filles de 27 et 24 ans et arriere petite fille de 3ans. une belle maison à coté de Perpignan, au bout de 44 années de boulot sans beaucoup de vacances, Ma maman toujours là à 9I ans, et toutes ses dents. ma "ptite soeur" "La zoune" 7O ans la soeur la plus formidable du monde, ma conseillere, ma confidente, mon meilleur remede pour tout, et en plus super rigolotte comme moi, mais quand on la chatouille un peu elle est meconnaisable, comme son "grand" frere. c'est ma cavaliere pour la valse, et comme moi ,elle adore la musique. Et surtout elle adore ma femme, on dirait deux soeurs, elles ont toujours des choses à se raconter, comme elles ont le meme age, alors ça va comme sur des roulettes. C'est bien une famille comme ça, jamais de lezard, tout baigne, et dans les coups durs, on est tous là present. ça donne une force terrible, mais je suis en train de vous ennuyer avec ma vie, qui n'a rien d'exceptionnelle. j'espere que vous aussi vous en tirer un max de satisfaction ou du moins je vous le souhaite de tout coeur. Bonne nuit , à plus Jeanjean....de Belcourt

 

Jean Noguès(1940) (Caserne des Douanes/La Varenne)

26/10/2006 19:27

Merci à jeanjean de m'avoir permis de découvrir des rites festifs de La CASERNE que j'ignorais étant né aprés leur extinction,et grace à Rose Gatto dont la famille était ma voisine du dessus!:
J'ignorais que des bals dominicaux avaient eu lieu à la cantine ...avant ma naissance ...cause à effet?
Qui se souvient des bals organisés par les PROVINCES de France,pour moi c'etait les catalans d'Alger où j'ai fait parti du groupe folklorique,ce qui m'a permis d'apprendre la sardane et d'autres danses du terroir roussillonnais (que jeanjean a du assimiler sans peine) ...à Alger,
et de concourir face aux Bretons,basques corses et autres saveurs du terroir métropolitain?

 

CAMPS Jacques (1938) (Couiza -11190- France)

26/10/2006 19:26

Sincères félicitations aux auteurs, pour "les contes du parapet", on s'y croirait........je dis cela parceque ma vie de lycéen et d'étudiant, était axée par le carrefour des Facs et la rue Michelet, mais jamais je n'avais emprunté les rues Trollard et Duc des Cars.
Certes, à certaines occasions ( et quelles occasions !) je suis monté au Forum, mais jamais je n'ai gravi ces rues sinueuses et pentues qui menaient "aux 7 Merveilles"et pourtant en lisant vos souvenirs, j'avais l'impression d'avoir vécu là , d'avoir déjà arpenté ces rues. C'est vous dire si votre évocation est riche de souvenirs qui arrivent à nous émouvoir, à nous troubler, à nous donner l'illusion de..........
Merci à vous, pour tout cela

 

LLORENS Jean-Jean 1934j (ALGER Belcourt les halles)

26/10/2006 18:43

Mon Jean-Claude, tu as oublié la plus belle de toutes les fetes de village, celle de Fort de l'Eau, qui se deroulait la semaine du I5 aout, tous les ans, c'etait grandiose, Comme aux halles j'etais Gerant du Syndicat Agricole de Fort de l'Eau, j'avais un paquet d'invitaions, pour la semaine entiere, alors les copains et les copines en profitaient un maximum, et je n'avais pas de mal à avoir de belles cavalieres. Tu as raison pour les habits, à les beaux pantalons bleu ciel avec le pli super droit, et la chemise blanche avec les manches retroussées jusqu'au coudes, et les petits mocassins noirs ou blancs. et ça finissait tous les soirs à deux heures du matin, resultat en rentrant se coucher à la verte-rive, pour nepas reveiller les "vieux" on prenait une couverture et nous allions nous coucher sur la plage sous les pasteras, ça c'etait les samedis et les dimanches, mais les autres jours de la semaine , on descendait avec les maraichers, qui nous ramenaient jusqu'aux halles, pendant que les copains et les copines allaient se coucher, Jeanjean, lui allait directement au boulot, à onze heures j'avais les yeux qui se croisaient les bras, heureusement je faisais la sieste l'apres-midi, et ça repartait pour un tour le soir. Et un jour d'Aout 55 j'ai reçu ma feuille de mobilisation,. Ils m'ont donné rancard à Bougie au 3° Zouave le jour du I5 Aout, en pleine fete de Fort de l'eau, crime de lese majesté, je suis arrivé à Bougie le I8 aout, et directement aux gnoufs. aprés ils m'ont envoyé à Guelma aux I5° RTS, et là j'ai dit bonjour Monsieur, à un type habillé en militaire, manque de pot c'etait le colonel, mais nous n'avions pas été presenté, je ne pouvais pas savoir, resultat encore un passage aux gnoufs, . Mais j'ai gardé un bon souvenir de la fete de FORT DE L'EAU 55, C'est là ou j'ai rencontré, ma femme. en une danse le colis était emballé. Comme elle aimait les coups et la misere, avec moi elle a été trés heureuse et en Fevrier 2007, 50 années....
LA SUITE !! LA SUITE !! LA SUITE !!

 

Jean claude (74)

26/10/2006 18:00

la suite//// La piste nous appartenait bien sûr!! Tangos, Pasos, Cha Cha, Rumba, Mambo, et bien sur les classiques Rock et Slows... Mais là on se tenait à carreau, il y avait toujours un oeil ennemi pour nous surveiller, les parents ça pouvait aller, on s'arrangeait toujours, mais alors les grands frères je ne vous dis pas!! il y avait " Danger".
malheur à celui qui approchait de trop près la Frangine... Le temps a passé, les souvenirs sont encore là, j'ai une pensée trés forte pour un copain, un danseur hors pair, Christian Borras né en 34/35, il habitait au gouvernement Général, sa Mère était la gardienne de cet édifice, et aussi pour une femme d'exception Josiane Molto, enfant de Guyotville, femme de notre ami Raymond de Cité Picardie. Josiane était une trés grande danseuse, quand nous allions danser avec Christian à Guyotville, elle assurait notre sécurité avec les grands frères, mais qui nous avaient quand même bien acceptés. voilà j'arréte la pour ce soir, amitiés a vous tous et bon week end

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

26/10/2006 17:47

Re Moa...! j'ai oublié, comme il se doit, de souhaiter un anniversaire à Jean Claude, c'est fait, avec trois bises... et également bonne fin de ramadan .. pas trop de Makroud, balek.. Yves

 

GIL de COURBEVOIE (1932) ( Ex Algérois)

26/10/2006 17:23

Jean Claude de Thonon "la source des petits cochons" quel souvenir ! bien peu doivent encore s'en rappeler -- Un syndicat avait peut être envisagé une exploitation en 1961 mais en 62 un cas de force majeure en a fait sûrement oublier l'idée--Nous y allions pour boire, je revois le fond d'un ravin et surtout pour acheter les produits frais (oeufs/légumes) que vendaient les autochtones--Nous allions de l'autre coté sur la route de Mazafran chiper les fruits du jujubier présent encore dans la mémoire de PAUL (j'en ai gouté ici à Paris!!! rien à voir aucun parfum et sèche). PAUL ma tata LLOPIS vit toujours ici 94 ans la forme elle se plaint seulement de ne plus aussi bien voir "qu'avant"... Pour le GRAND bal annuel de la caserne des douanes je crois que l'on pouvait gagner des lots provenant soi disant des saisies douanières?? Mais pour draguer ouallou les mamies faisaient bonne garde et attentives!! Beaucoup plus jeune pour ma part avec des copains nous avons essuyé un "caillassage" dans les escaliers en montant à gauche Peut etre un Esmmaien aujourd'hui ...et nous avons vu cette montgolfière se déchirer contre le lampadaire du GG tous les gens criaient ''attention au gaz'' et panique dans la rue devant la caserne Je ne sais même pas si c'était du gaz ou de l'air chaud-GL à toi de jouer!! Bon un dernier coup de chapeau pour les contes du parapet quels bons souvenirs qui viennent se mélanger à tous ceux que nous avons déjà-- J'ai laissé la toute nouvelle fourche télescopique de ma moto dans l'arrière d'un trolley qui s"était arreté brutalement pas très loin de ce parapet -- Pardon pour ce flots de paroles c'est comme dans les réunions PN on voudrait parler de tellement de choses à la fois c'est la cacophonie heueusement sur le LO chacun son tour--GILOU--

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

26/10/2006 17:23

Salut à vous... LE BALLON gonflé au gaz... qui à fait tchoufa, du moins il s'est déchiré, je crois que c'est sur une pointe des grilles du square Lafferière. Ce jour là j'étais avec mon pére, ça devait être un dimanche matin, au milieu des années 50, c'était l'Evènement, une mongolfière qui devait s'envoler en plein centre d'Alger... gonflée au gaz, tout autour de cette Mongolfière, la foule était là attendant l'envol... Au moment du décollage, à peine avait-elle quitté le sol, que l'accident se produit, l'enveloppe remplie de gaz se déchirra complètement, laissant échapper le gaz. J'entend encore mon père crier "éteignez vos cigarettes ça risque d'exploser!!!" Et tout le monde s'est mit à courir,.. au cas où!!! Gérald, je pense que tu dois pouvoir retrouver dans les journaux de l'époque l'annonce de cet évènement ainsi que son échec. Avec le recul du temps je me dis que l'on est peut être passé à coté d'une catastrophe. Et ouala... Yves

 

Hestin jean claude 1940 (thonon les bain (74)

26/10/2006 16:39

A nos amis et copains musulmans fidéles d'Esmma, je voudrais leur souhaiter en cette fin de Ramadan un bon AÏN el FITR.. que la Paix soit dans tous les coeurs des enfants du Pays du Soleil, des Zalabias et de la Calentita.
Quant à toi ami Jean Jean ,, mémoire de notre mémoire" tu as raison d'évoquer les bals qui ont enchantés notre adolescence, le Bal de la Douane rue Berthezéne était grandiose, il y avait une tombola monstre, les lots étaient les saisies faites, sur la contrebande, des cartouches de cigarettes, les Pall mall, les lucky strike etc etc....je me rappelle de la cour intérieure de la caserne c'était comme si c'était hier...
les familles Salaska, Jaillet et bien d'autres encore.
Comment ne pas parler des bals d'Hussein dey, de Kouba, de Castiglione,Guyotville,... Magnifiques...les Orchestres de grande qualité. On avait interet à savoir danser, je vous prie de me croire... Car on pouvait faire une danse avec sa cavaliére, mais si on était mauvais il n'y avait pas de 2éme chance...quoi que!!! on avait la nuit pour se rattraper et se faire pardonner, en effet le couvre feu aidant, soit on rentrait à la maison avant l'heure fatidique, soit on restait a l'intérieur ....jusqu'au petit matin... j'imagine la téte des parents qui ne voyaient pas leurs filles rentrer...mais on avait un ALIBI en béton.
Question habillement on était sapés à mort, petit pantalon en popeline, taille basse, petite chemise, chaussures blanches; on se mettait pour "un Homme de Caron" qui était le parfum à la mode,on avait etè chez notre coiffeur se faire faire une "coupe au rasoir" vous vous souvenez il nous mettait un filet sur la téte pour maintenir les cheveux en place, un coup de laque et c'était parti pour un tour,...Il gardait le filet bien sur!!!!!!
Les petites cailles étaient superbes, grande classe, je les revois assisent sur leurs chaises attendant d'étre invitées, on se regardait .un regard et ( de temps en temps çà marchait) La piste de danse nous ap
LA SUITE... LA SUITE...

 

Jean BRUA (1934) (Nice)

26/10/2006 16:10

Suite au message de Jean Solivérès, citant l'un de ses caillasseurs des «garreras» Douanes-Duc-des-Cars (ça aurait pu être moi, atchidente !). Jacky Giausseran-Gherardi était l'un de mes très bons camarades de la rue d'Estonie. Sportif émérite, il était à vélo le meilleur d'entre nous et s'entraînait régulièrement dans des randonnées avec son père, décorateur à qui l'on doit le souvenir de belles vitrines de Noël des Galeries de France.
Quelques mois après la mort de Jacky dans la fusillade du 26 mars, et l'exode qui avait suivi, j'ai eu la surprise émue de croiser ses parents près de la gare de Nice avec leur petit-fils orphelin d'un ou deux ans. Ils ne m'avaient pas vu depuis assez longtemps (j'avais quitté Alger en octobre 61) mais, en me reconnaissant, ils sont tombés dans mes bras et nous avons pleuré tous les trois devant le bambin, bouclé et blond comme Jacky, qui se demandait ce qui se passait...

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

26/10/2006 13:41

ce qu'il y a de bien avec ces "gamelles" c'est que quand on cherche un truc on tombe sur un autre tout aussi interessant. je cherchais le bal de cervantes à Belcourt, et j'ai trouvé les bals de la caserne des douanes à Alger, Je pense que vous n'avez pas attendu aprés moi, pour trouver ça, mais si des fois vous ne l'avez pas lu, il faut aller à Google : alger bal de la caserne des douanes: et aprés cliquer sur recits et souvenirs de l'Algerie Française, et il y en a une bonne tartine ecrit par Rose Gatto.

à plus Jeanjean....de Belcourt

 

Geneviève Bordier 1942 (rue Denfert-Rochereau/Vergèze Gard)

26/10/2006 10:48

Impossible d'entrer hier sur es'mma !... zut !... Ca y est la circulaire "restons français non d'une pipe en bois", est entre les mains de Gérald.
Au sujet du " Clic-clac" du voyage de notre GDLLDB, dont j'apprécie tellement les détails pas à pas, les émotions même contenues, je voudrais revenir sur deux choses:
* il question du bar du trou des Facs. Un certain M. Spips, distribuait des billets à qui aurait à la main une bouteille de cette boisson (totalement inconnue pour moi ! qui en a bu?) ou une capsule de ladite bouteille. L'article continue : " M. Spips parcourt Alger et son IGAMIE...". Serait-ce un dérivé de IGAME? Vous vous souvenez de nos cours de droit civique, au cours desquels nous avions appris que notre préfet portait également le titre de IGAME: Inspecteur Général de l'Administration en Mission Extraordinaire. Je ne vois pas d'autre explication. Si je me trompe, dites-le moi.
* Ensuite, toujours dans le trou des Facs, Gérald nous expose deux photos d'une salle de spectacle, vue la position des sièges, avec des néons rutilants. Késako?
Je m'absente ce soir pour une semaine, mais suis joignable sur le mail indiqué ce jour. N'écrivez pas trop sur le L.O. ! pensez à ceux qui vont faire des heures sup. pour vous lire au retour.
Non, je plaisante !... Ecrivez...écrivez !... Je me régââle! Bise à tous.

 

Jean Soliveres (1938) (Villeneuve d'Ascq 59493)

26/10/2006 10:33

Merci à Jean Noguès pour ces souvenirs en partie oubliés. Ok pour le Ballon gonflé au gaz!!! qui s'est accroché au premier lampadaire sur le forum. Sur le problème de ceux d'en haut et de ceux d'en bas, j'étais un de ceux d'en bas.. (de l'autre côté du Bd Laferrière, au 19, j'aurais du aller à l'école de la rue Négrier, mais sans savoir pourquoi, j'étais à l'école de la Rue Duc des Cars) J'ai été cailassé par ceux d'en haut (7ans, cours de Mme Mas) par Jean André (qui avait redoublé et s'est retrouvé dans la même classe que moi) et par Géraldi, un beau gosse blond, avec lequel j'ai sympathisé par la suite mais qui est décédé malheureusement l'après midi du 26 mars 62. Une pierre ronde à la tempe, et ça saigne, en plus j'avais peur de me faire engueuler par ma mère: j'avais une chemise blanche!!!
Beaucoup de copains habitaient la Douane: Ibanez, Salaska, et bien d'autres dont les noms me font défaut. Merci aussi pour les souvenirs concernant la salle de cinéma de la douane, les épreuves d'escrime etc... Je devais faire partie des anciens (deux ans de plus!! à 7 ou 9 ans, c'est une autre génération!!), je connais bien JP Multédo, J Ch Michel, Marc Lafaurie et tant d'autres, car nous faisions partie d'une communauté: ceux de la Rue Duc des Cars.
La Pharmacie Michel, je l'ai connue plus tard, lorsque j'effectuais mon stage de Pharmacie 1957-58, et évidemment ce fameux parapet d'où, Christian Santapau, mon costagiaire et moi nous pouvions suivre les évènements du 13 mai "in live" comme on dit maintenant , et baratiner quelques petites cailles qui s'y trouvaient. Mais régulièrement nous nous faisions rappeler à l'ordre par Mr Michel, le Pharmacien qui préférait nous voir dans la pharmacie plutot qu'en blouse à une trentaine de mètres de là.
Toujours dans ce quartier, j'avais un bon copain rue d'Estonie, son père était journaliste au "Journal d'Alger" ce qui m'a permis de rencontrer le "Père" de Chipète et de Roro, quel évènement pou
LA SUITE LA SUITE LA SUITE LA SUITE !!!!! (désolés, c'est pas nous, c'est le robot-sécateur !).

 

Jean Noguès(1940-Caserne des Douanes- (Alger Berthezène-La Varenne(94))

25/10/2006 17:22

J'ai pris un coup au coeur, ce qui n'est pas peu dire vu la richesse des messages quotidiens d'ESMMA en découvrant "les contes du parapet". Que le quarteron de responsables en soit remercié mille fois encore. A ce parfait chef d'oeuvre où j'ai retrouvé école,pharmacien et coiffeur, je ne peux qu'ajouter en qualité de fils d'un modeste douanier catalan, étant né et demeuré à la Caserne des Douanes les points suivants:
1/Enfant sage de la Caserne je n'ai pas participé à la castagne avec ceux du haut (il manque un bout essentiel à la carte du quartier), mais à des courses à pied et injustement accusé de tirer une sonnette d'un immeuble qui donnait sur les escaliers conduisant à l'Ecole.
Sans doute les auteurs n'ont-il pas fréquenté pendant la guerre la classe commune qui se tenait dans la salle de cinéma de la Caserne (j'étais desespere à 3 ans de ne pas comprendre la preuve par neuf enseignée aux grands), ni le cinema hebdomadaire,ni les bals, ni les compétitions de fleuret dans la cour de la Caserne.
2/LA CITE était le nom de" l'immeuble traversant", j'y ai passé, la nuit de la naissance de ma soeur à la Caserne sous la houlette du Dr COSMAN, chez le couple KEM SEN qui tenaient le rez de chaussée stratégique. Nos amis catalans étaient les Pajot et leur fille Nicole.
Mon père avait raclé ses maigres économies pour acheter au rez de chaussée (2eme plateforme) l'appartement de nos amis Sellem (fils Michel)... qu'il a fallu abandonner, sans l'habiter en 1962!
3/La montgolfière a fait chouffa en dégringolant les escaliers du GG.
4/Mon épouse aquarelliste m'a fait découvrir les FLEURS d'eucalyptus rouge ou jaunes du marché de Saint Maur, que je n'avais jamais vu jaillir de leurs cônes ni là bas ni à Baïnem....
5/Je fus champion minime de Volley au stade Leclerc grâce à mon ami J.L.Brémond.
6/mes amis proches étaient G.Descamps, Jean Masson, J.Soler et J.P.Pompei entre autres, mes aînés JP Multédo, René Thomas...etc

 

Saupagna Andrée (1939) 2 rue d'estonie (59 Hautmont...34 Carnon)

25/10/2006 17:20

Un grand merci à Jean Brua, Betty, J.C.Hestin et J.P. Follaci d’avoir décrit ces rues si chères à mon cœur.. Que de souvenirs remontent à la surface. Vous parlez des garçons, mais il y a avait aussi des filles (minoritaires je l’avoue) qui n’avaient droit aux barres qu’en l’absence de ces messieurs. Bien souvent nous en étions chassées par le grand père d’une copine que nous appelions le père Lacacane, car il tapait sa canne sur le balcon en nous intimant l’ordre de déguerpir et je dois avouer que nous en avions un peu peur.
Notre terrain de jeu pour le jokari était à côté de l’immeuble de Jean Brua entre la maison Jaune de la famille Yvars et l’immeuble qui lui faisait face. Pour descendre chez notre grand-mère qui habitait au 16 Rue duc des cars, immeuble face à la pergola nous empruntions souvent la maison transversale ou alors nous descendions par le ravin qui se trouvait entre l’épicerie Hestin et l’immeuble de Renée Pistoresi, et qui aboutissait chez le marchand de légumes (Ali je crois). Je crois que je vais arrêter là, car il y a un tas de noms et d’anecdoctes qui me reviennent et je risque d’être censurée. Encore merci pour ces recits. Toutes mes amitiés.


REPONSE: censurée? Mais pas du tout, ma fille, pas du tout. Raconte nous un peu, qu'est ce qu'ils avaient encore fait comme bêtises, hein ? Allez, n'aie pas peur, dis le moi dans l'oreille, je répète pas. Hein? NOOOON ? Eh ben, quand on va raconter ça...

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

25/10/2006 16:59

coucou tout le monde, merci pour ces fameux "contes du Parapet" que Paul a lus en ma compagnie et très bien illustrés, l'anecdote de la tondeuse l'a bien fait rire; vous êtes des supers conteurs; au fait, j'ai oublié de dire que le papa de Paul, Jules avait eu deux fonds de commerce en droguerie, l'un dans le quartier de l'Agha, rue Auber et l'autre rue Anatole France, vous avez peut être connu ! Et encore en 1954, le 27 juin, a eu lieu à l'Opéra d'Alger une manifestation corse dont le président était Monsieur SALINI, peut être, pour certains, y êtes vous allés? Paul y jouait le rôle de Napoléon et sa soeur Josette celui de l'Instutrice? J'ai le programme que je tiens à la disposition de Gérald à mettre ici et bien d'autres documents. Amitiés à tous mais sans soleil, il fait gris............ Laurence

REPONSE : Laurence, si tu veux bien me laisser ton téléphone sur ma boîte perso, je t'appelle. Merci.

 

Levy Georges (1938) (Alger (1938)-Israel (2006})

25/10/2006 16:37

A Jean-Claude Hestin,
Qui à Thonon-les-Bains,
Se lève chaque matin,
Un centimètre en moins
(C'est de Brua le dessin !),
Malgré ce triste destin,
Qui est le sort des plus malins,
Te souhaitons à moitié-chemin,
Une vie longue, et un grand festin,
Une tournée des Grands-Ducs enfin,
Et pour tes 66 ans, ce verre de Rhum,
Nous le leverons en souvenir du Forum,
Du parapet, de tes aventures de jeune-homme.

 

alain mourareau 1946 alger (bois d'arcy FRANCE)

25/10/2006 15:35

Un grand merci pour le travail effectué par jean et son équipe sur les contes du parapet. Et oui j'ai vécu 16 ans jour pour jour (28/06/46 -28/06/62 date de notre départ pour toulouse) dans cette rue duc des cars au N° 18. Sur la photo de la pergola en annexe en page 2, on apercoit notre coin du balcon (immeuble de droite où est fixé maintenant une antenne parabole ainsi qu'un rideau à rayures bleu et blanc pour se protéger du soleil). C'est mon pére qui avait fabriqué et fixé sur ce balcon les supports en fer de soutien du rideau.
Je suis un Ducdécarien pur souche mais né à la clinique solal. J'allais faire les courses pour ma mére à l'épicerie Hestin et acheté quelques friandises en sortant de l'école primaire. Sur la photo de l'immeuble situé face au GG nous étions tous les jours pendant les événements sur la terrasse avec la famille Jeantot qui habitait cet immeuble ; leur fenêtre de la salle à manger donnait dans la rue duc des cars à côté du parapet (j'ai retrouvé jean-pierre Jeantot et les camilléri (eux habitaient à coté du coiffeur, grace à Esmma) Je me souviens d'une aprés midi de 58 ou Alger a été envahi de sauterelles, sur la terrasse c'était la course pour les attraper. L'entrée de l'école primaire que de souvenirs, je me souviens de M BRUNET notre directeur qui le matin se tenait à l'entrée et inspectait nos mains, et nous faisait respecter le silence, on entrait et on montait une dizaine de marche pour aller en classe. Et dans la cour les jeux avec les noyaux d'abricot ou nos images à collectionner et à échanger que de souvenirs, et pourtant il me semble que c'était hier !!! le LO est pour moi une grande joie de vous lire tous et de voir que nous sommes encore et pour toujours trés attachée à cette ville. j'espére que trés bientôt apparaitront les photos de classe de l'école duc des cars que je vous ai envoyées, je sais que vous avez beaucoup de travail pour enregistrer tous les documents et archives. amitiés à tous

 

jacqueline romana (1 rue Barnave, Alger)

25/10/2006 14:46

Depuis ce matin j'ai essayé d'écrire mais en vain peut-être que l'Italie a coupé les frontières avec l'Algérie française? enfin voilà ce que j'avais envie de dire a peine j'ai vu le KOLOSSAL écran: "Oh putain que c’est beau… jamais je n’ai vu une chose aussi complète avec toutes les explications pour ceux qui ne connaissent pas bien… comme moi. ça vous donne envie d’aller faire un voyage exprès tiens ! rien que pour faire à rebours la montée de la Rue Ducs des Cars! Bravo. Mais quel talent! A vous faire venir l’envie pour nous de la rue Meissonier/Auber/Hoche ... que nous on fait rien ! Merci Jean, Betty et tutti quanti de ce petit chef d’œuvre. Je profite aussi pour remercier Jacques de ses explications, qui la purée de moi, sont encore sibillines pour ma pomme... j'ai quand même compris que nous sommes toujours à la merci des spameurs en tout genre. Pas sur Esmma en tout cas!! La bise à vous tous.

 

Es'mma JiBé

24/10/2006 22:44

On n'a pas l'habitude de célébrer les anniversaires sur Esmma (aussinon, ça explose), mais on fait une exception pour Jean-Claude Hestin (66 ans aujourd'hui). Non seulement parce qu'il est l'un des intervenants les plus sages et les plus estimés, mais également parce qu'il est la mémoire vivante, le «conservateur» de la rue Duc-des-Cars.
C'est donc à toi, Jean-Claude, que sont dédiés:

1) Le dessin visible en EsmmaJibé...


2) Le nouvel écran «Contes du Parapet» de Jean Brua, qui doit beaucoup à la collaboration de Jean-Claude.

 

Hélène DESLIONS PONTI (1949) (Alger / Ollioules)

24/10/2006 20:30

Yves merci pour le contact, je vous ai répondu par email, si la mission est difficile, voire impossible je ne vous en voudrais pas. Je suis déjà toujours très sensible à toute cette amitié si chaleureuse qui se transmet par le site Es'mma...

 

Jean Claude (thonon les bains)

24/10/2006 19:07

Voilà encore quelques cacahuétes pour nous faire plaisir...
A: Abbo-Aumale-Aumale Masqueray.
B: Bellefontaine-Borely la Sapie-Brazza-Burdeau.
C: Carnot-Cavaignac-Champlain-Changarnier-Charon-Chiffalo-Crescia.
D: Dalmatie-Damiette-de Foulcaud-Desaix-Duperre-Dupleix.
F: Felix Faure-Fontaine du Génie.
H: Hanoteau-Hardy-Haussonvillers.
I: Isserville
J: Jean Bart-Lafayette-Laperouse-Laperrine-Lavarande-Lavigerie-Le Corso-Le Puits-les Isserts-Littre-Lodi-Loverdo.
M: Marceau-Marechal Foch-Marengo-Marguerite-Massena-Menerville-Michelet-Moliere-Montebello-Montenotte.
N: Nelsonbourg-Novi.
P: Paul Cazelles-Paul Robert-Pointe Rouge-Port Guyon.
R: Rebeval-Reibell.
S: Saint Ferdinand-Saint Pierre Saint Paul-Sainte Amelie.
T: Taine-Trolard-taza.
V: Vesoul Benian--Vialar-Voltaire.
Z: Zurich.
Eh bien voilà mes amis en quelques lignes la liste certainement incomplète de tous ces villages, bourgs, aux noms si beaux... aujourd'hui effacés des tablettes, je les ai patiemment notés a votre attention pour que que vous puissiez les mettre dans un coin de votre coeur à jamais..
J'ai ce soir, une pensée affectueuse et amicale pour tous nos anciens petits camarades écoliers de l'époque. Ils étaient loin du quartier de l'Agha et du centre ville d'Alger et pourtant ils n'etaient pas trés éloignés, leur régions, Le Chelif-Le Zaccar-le Titteri-La Kabylie-La Basse Mitidja-La Mitidja-Le Sahel. etc.. Il y avait une Vie Forte, intense et difficile dans le "Bled" , à lire tous les entrefilets que la Presse Algéroise leur consacrait tous les jours je peux vous dire que çà laisse rêveur! si vous souhaitez en savoir plus n'hesitez pas je me ferai une joie comme toujours!!!!! Amitiés. Jean-Claude

 

Yves Jalabert (R.P. 94 (Alger))

24/10/2006 19:03

En passant vite fait... pour Hélene Deslions, j'ai un petit groupe qui part vendredi sur Oran, on se contacte sur nos boite perso. Pour les détails. Tchao, Yves

 

LLORENS (ALGER Belcourt les halles)

24/10/2006 17:04

Andrée e Jo, je vous ai envoyé un message l'avez-vous recu? Jeanjean

 

Jacques Abbonato(41) (Rennes)

24/10/2006 17:00

Oh, Jeanjean, dit comme ça ça ressemble à une ansulte, ton Que Navo, qui se dit (et s'écrit) comme ça : kénavo. Eh, j'ai pas trahi la famille en mariant une Bretonne pur sucre pour rien, hein? Enfin, trahi, faut pas ézagérer, je m'étais fait larguer avant, à peine sorti de l'armée (12/62), par une PN, pur sucre elle aussi, alors la trahison...Ca, c'était pour le côté : vous en reprendrez bien une petite couche en plus du reste, non?

Jacqueline, les stats dénotent moins une frénésie des ricains à fréquenter l'annuaire qu'une chose bien plus comment dire? mercantile: ce sont leurs robots qui traquent les sites de la planète entière, en visitant systématiquement toutes les pages qui les composent. Ces robots scannent les lignes où transitent les données (le réseau, donc), à la recherche de pages contenant le caractère @, signe évident qu'il y a là une adresse de messagerie à glaner pour leur p... de spam. D'où la nécessité absolue que ce symbole soit absent dans une adresse, ce qui est le cas dans l'annuaire où il est systématiquement masqué (donc pas de vol possible à la volée (hi, hi)) sauf à l'inscription pendant le premier transfert sur le site mais, là aussi, si on suit la recommandation qui consiste à remplacer ce caractère par son équivalent interne (fourni), on est totalement protégé. La France n'en est pas encore au niveau des amerloques mais elle s'en rapproche fissa, on peut faire confiance aux goulafres en pognon pour ça: on en a de bons, nous aussi, faut pas croire...

Pour les autres stats, si le chiffre est compris entre 1 et le nombre de visites (plus de 27.300 actuellement) multiplié par les 3 à 5 pages consultées en moyenne par visiteur, alors il est "honnête" et correspond à des visites effectives (hors piratage). Les Hits correspondent au nombre de clics dans les pages, donc hors de portée des robots qui ne savent pas faire ça (mais pas des gens payés pour!): c'est un bon indicateur d'activité.

 

Jean-Louis Jacquemin (Poitiers)

24/10/2006 16:19

Chère Danielle et chère Christiane, je ne lis pas le LO tous les jours et suis souvent absent de Poitiers, parfois pour de longues périodes. Je suis désolé (pour la première) si je n'ai pas vu passer votre message. Je viens d'y répondre comme à Christiane. Soyez bien sûres au contraire, que rien ne me fait plus plaisir que les nouvelles de mes amis ou camarades d'enfance ou le souvenir de mes voisins de quartier. Sauf accident, j'y réponds toujours rapidement. Au passage, puisqu'on y est, des nouvelles de Lucien Ramel, François Mora, Georges Vassiliadis, Sante Martinuzzi et Sérisci, tous de l'école Daguerre, me feraient très plaisir. Bien cordialement, JLJ

 

Hélène DESLIONS PONTI (1949) (Alger / Ollioules)

24/10/2006 15:25

Bonjour à tous. Tout d'abord merci à Gérald pour ce reportage très émouvant sur son retour en Algérie et merci aussi à Yves pour les photos). J'ai une demande à formuler: quelqu'un aurait-il un contact sur Oran ? Je sais bien qu'Es'mma est Algérois mais là j'ai vraiment, vraiment besoin de pouvoir contacter un oranais qui puisse prendre des photos et me les faire parvenir par email... Amitiés à tous

 

LELONG (france)

24/10/2006 14:47

Message pour CLAUDE JP : je n'ai malheureusement pas eu de nouvelle suite à mon message du mois de septembre. N'auriez vs rien retrouvé ?

 

LLORENS Jean-Jean 1934j (Alger belcourt)

24/10/2006 14:16

à Y;Sendra, il se peut que ton ecole des HBM, soit l'ecole Chauzy, qui se trouvait au RDC d'un batiment des HBM, rue sadi carnot en face de l'entrée du dépot des CFRA à la rampe Poirel. On y formait des tourneurs, fraiseurs, électriciens... Henry, l'accent je l'ai bien, et je me le garde comme un trésor, mais quand j'ecris mes betises, je ne parle pas fort, car je suis concentré sur ce que je fais, et je le fais directement sans brouillon, tout de tête, c'est pour celà que des fois les phrases sont patraques, avec un drole de "style", mais je sais que Gérald, me corrige et vérifie si je ne depasse les bornes d'Es'mma. Je crois que je l'ai un peu plus que certains PN, du fait que je parlais beaucoup en Arabe, et en Espagnol, et en Italien, eh oui chez nous c'etait l'ONU avant l'heure. Un peu le Kabyle, et un peu lAnglais, et jusquelques mots en Allemand. Je voulais me mettre au Chinois, mais j'ai pensé que parler avec des baguettes dans la bouche serait trop difficile, alors j'ai laissé tomber, j'ai oublié, pendant trois ans à Morlaix en Bretagne, j'ai un peu appris le breton. Pour une fois je vous dirais au revoir en breton. Que Navo !!!! Jeanjean.... de Belcourt

 

Jacqueline (1948) (Alger/Roma)

24/10/2006 13:05

Jacques, je viens d’aller faire un tour sur “notre” répertoire.. dans le chapitre Statistiques ..j’y vois une proportion ENORME de visites des Usa, par rapport à notre Métropole (!) ..je ne parle même pas de l’Italie qui est toute riquiqui… Tu nous expliques? La bise à vous tous.

REPONSE: alors c'est peut-être parce qu'y a trop d'américains qu'y en qui rechignent à s'inscrire ? Oh pardon...

 

LAZARO Henri (Alger/Meudon)

24/10/2006 11:32

Bravo Gérald, pour les photos et les textes. J'en profite pour saluer le retour de Jean Jean, il est vrai que je ne laisse pas beaucoup de message mais je vais tous les jours sur le site, et je me régale de tout ce que je lis. Vos souvenirs sont bien plus important que les miens, très enrichissant aussi. Je me régale avec le plus de Jean Jean, sa pointe d'humour quand je lis ses messages, je les lis avec l'accent, je ne sais pas pourquoi, je le vois très bien tapant sur son clavier en disant ce qu'il tape à haute voix et je me l'imagine avec un purée d'accent, que l'on pourrait s'en servir comme porte-manteaux. Dommage que l'on ne puisse pas t'entendre em plus de te lire, amitiés à toi.
Bonne journée à vous tous, accrochez-vous bien (à l'accent de Jean Jean) la tempête fait rage... à bientôt Henri

 

Yves SENDRA (Alger/Nice)

24/10/2006 10:54

Dans le Nice-Matin de ce jour, Mardi 24 octobre 2006, un article et une photo de classe. Le titre de l'article: Alger, 1re classe de l'école HBM Champs-de-Manoeuvre, 1935. Je l'envoie à ES'MMA car cela peut permettre à nos aînés de retrouver des copains. Le nom de l'école me conduit à une série d'interrogations:
Cette école était-elle devenue le groupe scolaire Lutaud ( que j'ai fréquenté de 49 à 51-52)?
Si oui en quelle année "l'école HBM Champs-de-Manoeuvre " est-elle devenue "le groupe scolaire Lutaud"
Si non où était située cette école ??
A propos où puis-je déposer ce document ? merci de me réponse directement
Amicalement Yves ( yves.sendra@unice.fr)

REPONSE: bonjour Yves. Merci de cette vigilance, et de ce document. Merci de bien vouloir l'envoyer sur ma boîte perso. Je t'en rappelle l'adresse en direct dan ta boîte. Pour le reste, voilà de nouvelles questions qui appellent des réponses... Es'mmaiens, à vos docs, ou à vos mémoires !

 

Sellam de Suède (Suède)

24/10/2006 08:06

Bravo Gérald pour ce beau reportage (le retour)!
Saint eugénois en Suède depuis 63.

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

24/10/2006 01:48

désolée, j'ai oublié un passage; "en contrebas de l'hôpital et de la route qui mène au "pont de Mazafran" existe un jardin botanique "le jardin des Zouaves"; et surtout en passant devant le cimetière européen et en arrivant au virage existait un super "jujubier". Amitiés. Laurence

 

CHATAIN Huguette ep SEGUI (GARD)

24/10/2006 01:21

Je recherche pour une personne de ma famille qui n'a pas Internet, un monsieur né en 1931 - son nom "GROS" son prénom Titou, il a fréquenté le Collège Guillemin de 1943 à 1946; son papa était négociant en vins à Alger; si vous avez des renseignements sur cette personne, merci de me laisser un message sur le site. Bien cordialement Huguette CHATAIN ép SEGUI

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

24/10/2006 00:40

Ouala, comme promis, je viens tard mais je viens. Souvenir de Colea que PAUL a encore très en mémoire car là habitaient sa "mémée" et son oncle qui avait 13 ans de plus que lui. Cette "mémée" j'en ai entendu parler, il l'adorait, elle le gardait souvent ; comme vous tous, elle est rentrée en 62 elle avait 82 ans et un an après elle nous quittait. Donc voilà les souvenirs qu'il m'a chargé de vous transmettre; il a même fait un plan. COLEA (il a toujours préféré cette ortographe) est situé à mi pente de la haute colline du Sahel du côté de la plaine de la Mitidja
GIL, tu dois te rappeler; devant la mairie il y avait une grande place bordée d'arbres avec des bancs et au milieu de cette place un kiosque à musique; puis sur la route de Colea vers la Mitidja, au niveau de cette place mais de l'autre côté route, il y avait un jardin et en haut étaient implantées une pharmacie, une banque et une grande épicerie
Il se souvient aussi du square Carnot avec le monument aux morts et la quincaillerie DESARBRES. Puis dérrière la mairie, la salle des fêtes en contrebas et del'autre côté de la rue, le Garage GIRAUD où son oncle travaillait leur fils Claude a été Sous Préfet des Alpes Maritimes et connaissait bien Paul; en plus sa "mémée" tenait une brasserie mais il ne se rappelle plus le nom; peut être que toi tu t'en souviendras ou ta famille, sa super grand mère s'appelait Marie Antoinette BORELLO. Ouala, mon message est long, je m'en excuse . Je vous souhaite bonne nuit et vous dis à demain. Amitiés. Laurence

 

Yves Jalabert (1944) (R.P. 94 (Alger))

24/10/2006 00:14

Me re'vla... j'ai trop de choses sur le feu en ce moment... mais je lis tout.. et vous en écrivez, difficile à suivre... Kek j'aurai voulu dire à tout ces chikaïa, dabord à Jeanjean, fézé pas l'con, tu donnerais raison aux cons... mais comme tié rev'nu, mon (grand) frère, alors on est tous content.. que OUI les photos de la pharmacie Colinet, elles sont entre les mains de Marie Claire. Super, ton texte Gégé.... (merci pour mon agréable compagnie.....) et puis alors le dessin de JiBé... pas le dessin, qui est superbe, mais tout ce qu'il représente... à méditer longuement. Merci également de te soucier de mon silence, mais je prépare des textes (divers et variés...), un diaporama, avec musique, je t'en enverrai une copie et puis on me demande déja les dates des prochains départs pour Alger... ça vient..en avril et mai 2007... et puis en février il y à le Hoggar au départ de Tamanraset. Je vais à Alger le 3 novembre, je descend jusqu'à Ghardïa pour "inspecter" les hôtels pour le prochain circuit, "la boucle des oasis" en avril. Voilà, à part tout ça, la vie va, continez tous à faire vivre ce site merveilleux ou l'on se retrouve en famille et, comme dans une grande famille, il y à de tout et surtout des histoires de famille qui se finissent toujours bien.. en général.. bises à tous.. Yves

 

danielle rousselot alger(le telemly/marc (alger)

23/10/2006 21:39

Bonjour christiane, moi aussi j'ai essayé d'avoir jl jacquemin au sujet de ses histoires sur les carioles au bd du télemly, sur son ami Robert, et certainement sur les autres amis d'enfance du quartier. Nous devions nous connaitre c'est sûr. Mais hélas il ne répond pas. J'espere que tu auras plus de chance que moi. AMITIES danielle

 

Anne-Marie Jory (1944) (Alger/Lyon)

23/10/2006 21:12

Pour Georges Lévy et Jacqueline Marlin: En ce qui concerne le peintre Rochegrosse, des informations ont été données dans la "Chronique des Chercheurs" de la revue L'Algérianiste n° 46 de juin 1989 (Réponse d'Alfred Boissenot). La revue peut être téléchargée sur le site suivant :
.

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

23/10/2006 20:58

re moi pour ce soi. Je sais maintenant mon engouement pour vous tous. Dans mes recherches généalogiques, j'ai trouvé une de mes ancêtres décédée à El Biar en 1892. Peut être, avez vous connu des Fleurquin, c'est mon nom de jeune fille, allez saouar. Je reviens taleur avec la mémoire de Paul sur COLEA ; vous avez réveillé sa mémoire de souvenirs. amitiés Laurence

 

Pierre GENRE 1946 (annecy/alger)

23/10/2006 19:34

je reviens des Baléares (majorque) et qu'elle fut ma surprise lors d'un spectacle de danses folkloriques dans une maison du village de SELVA de voir une banière dans une vitrine avec l'écusson de la ville d'Alger. Comme inscription il y avait : comité des fêtes de la ville d'Alger. Mais aucune date. Le guide s'est renseigné auprès des danseurs mais personne ne savait ni pourquoi elle était là, ni de quelle année ils possèdaient cette banière. Y aurait-il un majorquain parmi nous qui aurait ramené cette banière? à bientôt de vous lire. Pierre

 

jean claude (thonon les bains)

23/10/2006 18:32

Juste un petit clin d'oeil à notre ami Gil.... ta façon d'écrire Koleah ou Coléa m'a interpellé.... j'ai fouillé dans la presse, pour l'Echo d'Alger de l'époque c'est Coléa et pour le Journal d'Alger c'est Koléa. Sans "H". L'équipe de foot portait le nom ronflant de l'U.S.S.K.
Et tiens encore une juste pour rire" 10 et 11 septembre 61 le "Journal d'Alger" dans la rubrique Koléa; parle de la création d'un syndicat pour "la Source des Petits Cochons" réunion prévue à la mairie le lundi 11 à 10 heures...je connaissais la source Leblanc et la source de Bouharoun mais celle là je n'en avais jamais entendu parler et toi? Amitiés jean claude

 

HELENE MAHIQUES (Alger/Mulhouse)

23/10/2006 17:43

Merci Gérald pour ce magnifique reportage. Je suis retournée à Alger en mai, mais je me rends compte que j'ai manqué beaucoup de choses. Je me dis, comme toi, qu'il faudra que j'y retourne.

 

GIL de COURBEVOIE (1932) ( ALGER= COURBEVOIE)

23/10/2006 16:53

Pardonnez d'encombrer si souvent le site mais c'est plus fort que moi c'est ma drogue-- LAURENCE j'étais sur que tu étais plus PN que les PN eux memes j'ai connu des cas similaires (no comments)-- Pour PAUL mes grands parents maternels vivaient à COLEA (ou KOLEAH) et mon oncle travaillait au crédit foncier sur la grande place Mon grand père bossait à la carrière, spécialiste en explosifs-- Ma grand mére était ménagère comme on disait à l'époque elle foutait rien du tout qu'à élever ses six enfants-- Mon oncle a fait la campagne d'Italie avec les"indigénes" qu'il était lui même d'ailleurs car né à KOLEAH avec un nom tres indigéne LLOPIS Vincent -- Vous connaissez peut étre ? APLUSS GILOU--

 

ACQUATELLA (BLIDA 1927-Alger) (BEZIERS)

23/10/2006 15:47

coucou, je viens un peu me resourcer et prendre un peu de votre soleil si vous en avez en rab. Il fait d'un gris ici et le moral en prend un sacré coup ; même pas le courage de passer le chiffon à poussière. Merci à "l'ennemie", quand on sera décidé à refaire nos passeports, je prendrai contact. Qui connait "VIALAR" Paul avait un oncle qui dirigeait une tite société de transport. Allez je vais tâcher moyen de me bouger. Amicalement. Laurence

 

Jacqueline Simon (Alger/Roma)

23/10/2006 14:53

Mes amis, juste un précision. Moi, j’ai aussi une carte d’identité rital. J’ai bien écrit DZ. Si, quoique française je fusse née en Allemagne (j’ai risqué d’ailleurs par rapport au papa militaire.) j’aurais écrit D . Vous me suivez ? Je ne crois pas que le fait d’avoir une lettre qui correspond à une plaque minéralogique nous soit néfaste (à propos c’était 91 pas 92 et ensuite 9A)…Ce qui est moins réglo c’est de devoir prouver notre nationalité… Je glisse. Claudette Humbert, chapeau pour ton inventaire à la Prévert.. tu m’as fait bien rire par tes écrits …quoique il n’y ait vraiment pas de quoi rire, hélas pour nous ! Je propose que nous nous considérions des privilégiés pour tous ces adjectifs et substantifs qui nous collent à la peau !! Ou que nous nous qualifions nous-mêmes de spéciaux (ce que nous avons déjà fait). Gérald, ta réponse à Geneviève m’a beaucoup plu. Je suis dans les mêmes conditions, comme beaucoup de ceux qui ont traversé la grande bleue : il faut que j’y retourne parce que j’ai trop de choses encore à voir et à vérifier, d’ailleurs cela ne devrait tarder. Je ferais bientôt l’allée retour entre ma rue Barnave et mon Lycée Delacroix, comme je le fis 4 fois par jour il y a à peine 44 ans. Si dans ce parcours un immeuble vous intéresse, je suis prenant pour vous le photographier. Bises romaines.

REEPONSE : bonsoir, chère Romaine. A propos du passeport avec DZ, tu n'as peut-être pas tort, t'y as pas raison non plus. Surtout si tu as à aller faire quelque chose aux Etats-Unis, et qu'à cause de ce DZ tu te retrouves habillée en orange dans un bled appelé Guentananmo. Les allemands nés dans les Sudètes, ils ont quoi sur leur passeport ? Nés en Allemagne ou en Tchéquie ? Oh, et puis zut ! Je t'embrasse. A bientôt.

 

PONS (Alger)

23/10/2006 14:42

J'ai été très intéressée par l'article de Jean Louis Jacquemin à Propos des carrioles. Je suis la soeur de Robert Pons. Amitiés. C PONS

 

Levy Georges (1938) (Alger (1962) Israel (2006))

23/10/2006 14:21

Pour completer la reponse au message de Jacqueline Marlin et en ce qui concerne le Peintre Rochegrosse dont nous avions parle plus haut,j'ai trouve sur le site des "Pages Tambour", un tableau de ce peintre qui représente le tombeau de sa femme décédée en 1920, Marie Leblon. Ce tombeau, situé dans sa villa à EL-Biar, a été dessine par le grand architecte Darbeda, et realisé par l'entrepreneur Vidal. (qui a du laisse son nom au chemin..) Dans cet article,chercher le mot "Rochegrosse" pour atterir a ces details :

 

Genevieve Bordier 1942 (rue Denfert-Rochereau/Vergèze Gard)

23/10/2006 13:12

Comme chaque lundi, lorsque je reviens au bureau et que je vais sur Es'mma, je sais que je vais avoir de la lecture. Mais là alors! De bonnes âmes m'ont prévenue ce w-end: " tu vas ouarr skiss'pass !". Je viens de remonter deux pages, et j'ai pas encore tout lu, ni tout compris. Sauf le résultat évident: Jeanjean voulait nous quitter. Il sait toute l'amitié que je lui porte, même si ce qu'il raconte parfois m'est totalement étranger. Mais puisqu'il se fait plaisir, et fait plaisir en retour à d'autres, je ne vois pas de quel droit je lui dirais que sa place est ailleurs! Et puis au fond, l'effet de surprise passé (de trouver ici, autre chose que la vie du centre d'Alger), je me dis que cela me fait visiter ce que je n'ai pas connu, et c'est loin d'être un inconvénient. Les choses se tassent, et Jeanjean est de nouveau présent. Qu'il soit remercié pour sa grandeur d'esprit.
Et puisqu'on est dans les merci, un bien spécial à Gérald. Là encore je n'ai pas tout lu, mais je vais imprimer pour prendre mon temps. Je me suis jetée sur les photos, et si certains détails m'émeuvent, et d'autres me stupéfient, c'est tout de même mon Alger. Ce qui est incroyable c'est de prendre conscience combien nous avons eu d'occasions de nous croiser, de fouler les mêmes lieux. Sans nous connaître.
Enfin: en ce qui concerne le renouvellement de vos pièces d'identité, et l'obligation qui nous est (parfois) faite de prouver notre nationalité FRANCAISE, je le dis, et le redis : j'ai le texte de la circulaire d'application de 1993 INTERDISANT que l'on demande aux français nés avant 1962 en Algérie, d'avoir à prouver qu'ils sont français.
Toutes les personnes à qui je l'ai fait passer n'ont plus eu aucun problème. Je vais amener d'urgence ce doc au bureau, le ferai scanner, et l'enverrai par mail à Gérald qui vous le mettra dans les Kémias. Vous n'aurez plus qu'à l'imprimer et le joindre à votre dossier.

REPONSE : même que ça ne soit pas la vocation d'Esmma, on va faire ça, si ça doit rendre service! Merci Geneviève. Aussi merci pour tes mots sur mon récit de voyage. Ben, oui, on est "pays", tu sais... Et je n'ai pas fait à Alger le dixième de ce que j'avais envie de faire. Pour bien faire il faudrait constamment monter par une rue, et redescendre par la rue parallèle, et recommencer, encore et toujours, et ne pas oublier les rues tranversales, et savoir tous ceux qui ont travaillé ou habité à chaque endroit, et savoir ce qui s'y est passé, bref, c'y pas possible! Alors... j'ai plus qu'à retourner ! Mais tout change, et vite, maintenant, normal, après bientôt 50 ans... Alors je ne vais pas attendre 22 ans comme depuis la dernière fois. Allez, "payse", je t'embrasse.

 

L'ennemie de BUCK DANNY

23/10/2006 11:16

Bonjour à tous, je sais que ce n'est pas le bon guichet, mais Gérald, je m'inscris en faux dans ce que tu dis, non pour les écrits à Nantes, ça, nous le savons tous depuis longtemps hélas, mais pour le passeport, ou alors ton passeport est de type "Delphine" !
Sur le mien, "l'électronique", il n'y a qu'ALGER c'est tout!
Par contre, pour tous ceux qui le feront ..ce nouveau passeport électronique: bon courage pour les photos! Il faut avoir la tronche adéquate, qui rentre bien dans le moule prévu, attention à vos coiffures et lunettes mes amies, pour les hommes, pas de barbe,pas de lunettes... ACQUATEllA, si l'envie vous prenait de faire un tour en face, et que vos passeports soient à refaire, je vous donnerai l'adresse d'un seul et unique photographe dans votre ville, qui fasse du premier coup les bons clichés! Sans cela, vos passeports, vous pouvez les attendre quatre mois, ils partent, reviennent "photo non conforme" et rebelote, deux, trois voir quatre fois pour certains!!!Et oui, mais en compensation, pas de DZ! Passeport Français! Né ou née à ALGER! Basta!
Allez, sur ce, fissa, bonne journée à tous, le lundi, il y beaucoup à faire! Je me demande comment il fait le GDLLDB pour tout gérer! Bravo! et merci surtout. Amicalement !

 

Claudette HUMBERT (ALGER/ANTIBES)

23/10/2006 10:28

Je suis un peu ennuyée parce que...
- Les Corses partent sur le continent, nous ns partions en Métropole et on setrouvait au même endroit!
- Des Français de France on disait des Métropolitaions, des Arabes (ceux de chez nous) des Musulmans et ns des Français tout simplement, depuis ns sommes devenus des Français d'Afrique du Nord et ça ne rentre pas sur ma carte d'identité (mon permis de conduire a été délivré par la préfecture d'ALGER," République Française" signé par le préfet, je ne l'ai jamais changée) - Je n'ai pas fait les "barricades" pour rien quand même-!
- Quand on m'a fait partir de chez moi j'étais FRANCAISE, en arrivant ici je suis devenue PIED NOIR!
- Je me suis faite "expatriée" en quittant mon pays LA FRANCE, en arrivant en FRANCE je suis devenue "rapatriée!"
- Je suis née au NORD (de l'Afrique mais au nord quand même) ici je me retrouve au SUD (j'ai plus de chance que beaucoup d'entre vous mais faut pas pousser!)
- Quand j'allais tapper le bain à MORETTI - et oui - ns restions jusqu'au coucher du soleil, il se couchait dans la mer (même qu'on attendait le
rayon vert) ici je l'ai dans l'dos (le soleil bien sur) J'ai toujours cru que le soleil se couchait dans la mer! bon peut être que dans les autres mers il y va encore mais à moi on me l'a jamais dit, pourtant je ne suis pas simplette, je ne descends pas de CHERAGAS par la traverse!
- mon département avant c'était 9 A sur les plaques minéralogiques, on l'a donné aux Corses; après il est devenu 92, on ns l'a piqué aussi et maintenant nous sommes des Français nés à l'étranger! même ZIDANE il est né en France! (pardon pour les footeux)Heureusement que nous sommes Pieds Noirs et qu'on comprend assez vite, parceque les autres......
Bon, je vais quand même aller me reposer l'esprit, ça m'a fatiguée cette récapitulation.
Si vous avez une suite, c'est avec plaisir.
e vous embrasse à tous, même à la madame pathos! (ou franglaouie) pas fachée hein, c'est d'bon

 

LLORENS Jean-Jean 1934 (ALGER Belcourt les halles)

23/10/2006 09:34

La grande librairie à l'arrêt du Musset, était la Librairie, Pons, et le "poussin bleu" était tenu par les fils Ferra. Qui avaient aussi un magasin de maroquinerie en face de l'arsenal. à plus jeanjean....de Belcourt

 

gisele vinkler (Lyon)

23/10/2006 08:28

Bonjour. Si je ne veux pas déclencher de polémique , je veux simplement exprimer mon amertume et ma tristesse. Mon fils voulant renouveler sa carte d'identité , s'est rendu à la mairie de Colombes (92): on lui a demandé une photocopie de ma carte d'identité , car pour eux je suis née à l'étranger, même si jusqu'en 1962, l'Algérie était composée de départements français et la personne lui a expliqué qu'à mon décés il faudrait conserver mes papiers pour prouver que je suis française. Je trouve inadmissible , 44 ans aprés d'avoir à faire avec ce genre de discrimination, due à un manque de connaissance : c'est trés triste!!!!

REPONSE : ceci est effectivement l'un des problèmes, tout à fait inacceptables, que rencontrent les anciens d'AFN quand ils ont à faire réaliser de nouveaux papiers. Moi-même je suis allé à Alger avec mon nouveau passeport selon lequel je suis né à Alger, DZ. Ce qui est, bien entendu faux, DZ n'existait pas lors de ma naissance. Les administrations, dans leur pesanteur, et aussi leur asservissement aux nouvelles contraintes imposées par les américains, comptent bien sur le temps et la lassitude pour que rien ne change plus. Plusieurs associations de "rapatriés" s'étaient attaquées au problème, il me semble que pas grand chose ait bougé. Je publie votre message par courtoisie, mais nous sommes hors du propos d'Es'mma. Merci à nos visiteurs de ne pas réagir à ce sujet, non qu'il n'en vaille pas la peine, mais ce problème est hors des compétences de notre site. En parler serait juste histoire de brasser du vent, ici on n'y peut rien, c'est pas le bon guichet. G.

 

mclaire colinet (alger/ecquevilly)

23/10/2006 06:42

Bonjour nostre GGDLLDB. Yves m'a envoyé dès son retour des photos de la pharmacie dehors, dedans, ouverte, fermée, enfin tout quoi ! Très très émouvant.
Dis moi : y'a un truc pour t'envoyer des articles ? Depuis le mois de mai les miens font l'aller retour entre ta boîte et la mienne... dès qu'ils arrivent chez toi, ils trouvent qu'y a pas assez de place alors ils reviennent fissa !!!!! Allez, sans rancune ! Je recommencerai... tout est prêt.

REPONSE : si tu fais ton envoi là maintenant tout de suite, ma boîte est disponible. G.

   
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