LES KÉMIAS DE BRUMAIRE


   Oui, nous sommes en Frimaire, et c'est pas parce qu'on a remplacé les noms des mois du calendrier par leurs homologues révolutionnaires que ça changera quelque chose au retard dans la parution de nos kémias !! Brumaire, c'était le mois dernier ! C'est entendu, mais vieux motard que jamais, non !? D'autant que cette édition-ci (évitons le mot "mois"), on vous a trouvé des sujets de kémias plutôt sympas, des petites choses amusantes ou émouvantes (et des fois les deux à la fois) sur notre ville. Ce qui nous changera de nos grands et mini sujets de conversation bateaux, mais qu'on aime tant, ceux-là mêmes que nous recensait malicieusement notre ami Jalabert il n'y a pas bien longtemps sur le Livre d'Or. Bonne lecture ! Et gaffe aux frimas !

Le GDLLDB



LE COIN DES MÉLOMANES


DIMANCHE 26 JUIN 1938 :
L'INSTITUT MUSICAL DE MONSIEUR RODRIGUEZ

(ET DE MAUGEIN FRÈRES À TULLE POUR LES ACCORDÉONS)

Un document exceptionnel qui nous fait revivre
le quartier de Belcourt un peu avant la guerre de 39-45,
nous est envoyé par Jean de Crescenzo
.




   J'ai retrouvé parmi les documents que nous a laissés mon cousin René Hassen, le programme de la fête de l'Institut Musical du 26 juin 1938, à laquelle il a participé avec son accordéon.

   L'Institut Musical était un cours de musique, animé avant la guerre de 1939, par son directeur M. Rodriguez, Professeur diplômé du Conservatoire de Madrid, Compositeur de Musique diplômé (!!). Dans ce cours qui comptait plus de 70 élèves, garçons et filles de tous les âges, M. Rodriguez et son adjointe, Miss Ada Mac Kay, apprenaient le solfège, la théorie et la pratique de plusieurs instruments : piano, violon, clarinette, saxophone et accordéon. Chaque année, M.Rodriguez organisait une fête annuelle, où ses élèves venaient interpréter devant parents et amis leur chef-d'oeuvre de l'année.

   En plus du programme, il y a deux photos prises sur un escalier monumental (je me demande si ce n'est pas celui qui descendait du Musée vers le Jardin d'Essai). L'une des photos regroupe tous les élèves du cours (ce n'est pas la même que la photo du programme) : René Hassen est le premier à gauche au 3ème rang. L'autre reprise en page 7 du programme, concerne le groupe des accordéonistes (René Hassen est le grand au milieu du dernier rang : il avait 17 ans).

   On trouve également sur ce superbe programme des réclames pour des marques que nous avons connues (Bastos, Camélia Sport, Cafés Nizière, BataŠ). Il y a également toute une série de commerces et boutiques de notre quartier : l'un d'entre eux n'hésite pas à faire sa publicité directement en espagnol ; sans doute un ami de M. Rodriguez... Et qui sait, solidarité oblige, peut-être tous ces Espagnols autour de M. Rodriguez étaient-ils rapprochés par la guerre d'Espagne, qui venait de se terminer.

   Parmi les noms des participants à cette réunion, peut-être chacun trouvera un parent, et certains, parmi les plus jeunes de la photo, se reconnaîtront-ils ?

Jean de Crescenzo




À partir d'ici, CLIQUEZ sur toutes ces images pour les agrandir



















   




Un envoi de "Monsieur CHOC"
(dit "le CHOC des photos")



NOS MINORITÉS ETHNIQUES (suite)


22 MAI 1952 : L'AUTOMOBILISTE ALGÉROISE



(ou : le sexisme paternaliste et goguenard...)


   Avec sa Dodo noire, notre amie Betty nous a rappelé les joies d'une première voiture... D'autres Es'mmaïennes et Es'mmaïens se sont souvenus des leçons de conduite sur le port et du passage du permis... Voici un article délicieusement et odieusement misogyne de Henri Torregrossa dans l'Écho d'Alger du 22 mai 1952.



Pour lire l'article, cliquer !





Le petit dessin dans le corps de l'article est de Jean Brune,
celui du gardien au téléphone est de Jean Brua.




Également paru dans l'Écho d'Alger...











LE DON PAISIBLE



Pour voir la page des spectacles de ce 27 mars 1958, CLIQUEZ !



LES 4 PLUS HAUTES AUTORITÉS SPIRITUELLES D'ALGER
ENCOURAGENT ET RECOMMANDENT...

LE BRAS DONNEUR !

ET ELLES JOIGNENT LE GESTE À LA PAROLE !




Pour les voir tendre leur bras donneur, CLIQUEZ !





Pour lire l'article, CLIQUEZ !









RUBRIQUE "PIPOLE"

ET

PARMI NOS LIEUX D'ALGER : LA RUE DUGUAY-TROUIN





COCO ET "LES BAS-FONDS D'ALGER"





Comme l'indique ci-dessous l'annuaire de 1922, la ruelle est plus qu'étroite ! 2 mètres à peine !
On distingue par les fenêtres le mur d'en-face qu'il est tellement près qu'on dirait qu'on a muré le bistrot.


   Ces 2 cartes postales des années 30, ce sont des épaves d'une époque et d'un quartier dont rien ne subsiste. Encore moins que le reste ? Oui, encore moins que le reste. Ce quartier c'était le vieux quartier de la Marine. Il avait été le coeur de la première ville française... Le coeur de sa vie mondaine, administrative, militaire... Puis le centre se déplaça, le beau monde aussi... La Marine n'abrita plus alors qu'une population de toutes origines... Mais toujours des pauvres, des humbles, des petits, toute une vie grouillante et harassée. Un siècle passa, les immeubles se délabrèrent... La Marine peu à peu devint la mauvaise conscience d'une capitale affairiste et vaniteuse qui ne s'embarrassait pas de considérations sentimentales... Qui rêvait d'Arts Ménagers et d'urbanisme "moderne" et hygiénique... Pour noyer son chien on l'accuse de la rage, on argua de l'insalubrité du quartier. Il fut rasé à partir de 1930 et jusqu'à la fin des années 1950, sans une ombre de pitié. Dans une indifférence quasi générale. Pour lui substituer cette sorte de désert urbain qu'est le quartier d'immeubles sans âme qui est toujours là aujourd'hui.

   Ces deux cartes, avec toute la misère et le dérisoire qu'elles laissent deviner (regardez le regard que le patron à droite pose sur le petit Coco cultivant sa cirrhose !), nous disent assez ce que fut la Marine. Ayez une pensée pour Coco, le petit nain qui faisait rire les militaires en goguette...




Voici où se trouvait la rue Duguay-Trouin.
Elle ne comportait que 5 numéros pour ses 39 mètres de long !
Là où elle s'élargit, c'est déjà la place Duquesne.
À gauche au milieu, on aperçoit l'angle de la place du Gouvernement.
Difficile sinon de se repérer dans ce quartier dont il ne reste rien ou presque.
Découvrez l'ancien quartier de La Marine en 1878 en cliquant sur la carte.
Et ne manquez pas la rue et la place sainte Philomène !








Les habitants de la rue en 1922... Pas encore de trace du bistrot "Les Bas-Fonds d'Alger" !






Un envoi de "Monsieur CHOC"
(dit "le CHOC des photos")



NOS INVENTEURS

29 JANVIER 1955 : ÉMILE GRANELLA CONTRE LES SEISMES


Pour lire le texte, CLIQUEZ !



   C'est dans le journal : Émile Granella vient d'inventer une machine à prévoir les tremblements de terre. Selon l'observation qui veut qu'un tremblement de terre soit généralement précédé de petites secousses sismiques avant la grosse qui va tout emporter, l'appareil de Monsieur Granella n'est rien d'autre qu'un avertisseur de petites secousses. Son appareil devrait permettre de prévenir les populations d'un seisme imminent, et de prendre préventivement les mesures en conséquence. C'est bien, non ?

   Oilà oilà...

   L'invention de Monsieur Granella est bien, il est dommage qu'elle lui ait été inspirée APRÈS le tremblement de terre qui quelques mois plus tôt (la nuit du 9 septembre1954) avait fait 1.450 victimes à Orléansville... Notons que le suivant, à El Asnam (le 10 octobre 1980, 5.000 victimes) sera toujours aussi meurtrier. Notons encore qu'El-Asnam était le nouveau nom d'Orléansville, et que ce nom en a encore été changé en Schlef.

   Mais on a beau changer d'identité, les séismes vous rattrappent toujours, surtout si vous ne changez pas de place.

   Mais alors, y'a un os ? Et l'invention d'Émile, alors ?

   Qu'Émile se console, 50 ans après son invention, la prédiction des tremblements de terre est toujours une science inexacte et qui est encore à peu-près au point zéro, à peine si les Chinois ont pu, une seule fois, en 1976, prévoir un grand tremblement terre et évacuer à temps les populations menacées... Le reste du temps...

   Émile Granella était Directeur de l'OPEMDA à Fort de l'Eau. On a regardé dans l'annuaire de 1961, effectivement il y avait un OPEMDA à Fort de l'Eau, mais on n'est pas plus avancé pour autant...



Texte du GDLLDB, dessin de Jean Brua




COIN DES BONNES (?) CHOSES

NON, CE N'EST PAS UN TRUCAGE !

2005 : VOICI LE SELECTO "FACE DE CITRON"




   Eh non, ce n'est pas un trucage ! On n'a pas changé le rouge de l'étiquette en jaune ! En achetant quelques hectolitres de SELECTO chez le Turc du coin pour célébrer dignement le dimanche 20 novembre mon anniversaire et celui de deux autres scorpionnes, qu'est ce que je vois dans sa boutique : une rangée de bouteilles de Selecto avec étiquette JAUNE, à côté des classiques bouteilles à étiquette ROUGE. Diantre !

   Figurez-vous que notre cher Hammoud Boualem, piqué par les démons du marketing a décidé d'innover et de proposer à sa clientèle un SELECTO "AU CITRON"! J'en ai quand même acheté une... Pour goûter... À l'occasion de ce déjeuner d'anniversaire, on a fait un test-dégustation avec un panel composé de mon fils Raphaël, de mon fils Antoine (c'est lui qui tient la bouteille), et de quelques uns des amis de ce dernier, déjà fins connaisseurs en SELECTO et autres majorquines. Bon, faut-il vraiment vous en donner le résultat ? Continuez à déguster le SELECTO "classique", rien de nouveau (qui soit notable) sous le soleil. Il n'y a pas que les travailleurs importés de Chine dont parlent les journaux qui constituent le péril jaune planant sur l'Algérie, moi je vous le dis !

GÉRALD







BOURRICOS, RAMOS ET PHOTOS (STOPS)

   Sur le bourricot, le Ménervillois Rémy Laven, ici en 1948. Il sera un jour élève de l'École Normale de la Bouzaréah. En 1960, il fera ses débuts comme musicien (Radio et Télé Alger, bals d'étudiants, concerts salle Pierre Borde, etc.).

   Il passera professionnel à partir de 1976, et ce sera vingt ans au trombone avec Marc Laferrière. En 2005, il joue toujours à Paris avec les Dauphins, un orchestre essentiellement composé de pieds-noirs, et chante avec la chorale Kellermann de la Garde Républicaine.

   Cultivateur d'amitié et infographiste (sites, traitement d'images, modélisation, développement). Rémy est ami - entre autres - de Roland Bacri, notre "Roro de Bab-el-Oued", qu'il a aidé à faire son récent site perso.

   Rémy a également mis en écrans les reportages de Sylvette Leblanc à Alger en septembre dernier. C'est cette dernière qui nous a envoyé le "Photostop" suivant :


"Je suis avec une cousine du côté de mon père, plus âgée, décédée aujourd'hui".



LES RAMEAUX DE JACQUES





   Jacques Aurichio et ses rameaux : "Je peux vous dire que j'étais très impatient ce jour là que la messe finisse, que notre bon curé les bénisse et tout et tout ... Ce qu'il y avait dessus m'excitait terriblement... qu'ils étaient bons les chocolats !!!". Merci, Jacques.






L'OPÉRATION FRANKENSTEIN CONTINUE !

LE BON DR DIDIER : ET MAINTENANT, IL BOUGE !



Mais si mais si, il bouge !
Passez la souris sur n'importe lequel des bords de la photo,
et vous verrez s'il ne bouge pas !
Au besoin insistez en passant et repassant dessus, ça DOIT marcher !






...ET AUSSI, IL ÉCRIT ...


   Tout, souvenez-vous, avait commencé par un premier fascicule envoyé par notre chère LADY X, et par deux cartes postales achetées sur eBay... Au commencement, nous ne savions rien, ou presque, du fondateur de l' "Institut Naturiste"... Deux fascicules supplémentaires plus tard, dont celui-ci dessous, et nous commençons à en savoir un peu plus sur le bon Docteur (bon en tout cas pour les pauvres corps rachitiques) : avec sa dédicace de ce fascicule, nous pouvons découvrir son écriture, et avec un bon graphologue, on devrait en apprendre beaucoup sur lui...

   Nous avons aussi décidé de le ramener à la vie, grâce à son ADN retrouvée entre deux photos de lui en train d'éxécuter un mouvement de gym dans son bel institut des hauteurs du Telemly. Saisissant, non ?

   Enfin, peut-on espérer qu'on puisse lui redonner un jour sa voix, puisque lui-même nous apprend, dans "Défends-toi", qu'il animait sur RADIO-ALGER (en 1931, donc) une émission de "mise en forme" :

   "La vérité est une. Le cours d'éducation physique que j'enseigne à l'Institut Naturiste d'Alger est le même que celui que je diffuse par l'intermédiaire de Radio-Alger : qui que vous soyez, il vous rendra des services identiques.

   Les sans-filistes y trouveront des démonstrations par l'image et des explications qui leur rendront plus facilement intelligible la leçon parlée et invisible. Au professeur caché dans le mystère du studio, il n'est pas toujours aisé d'être clair : rendez-vous compte de la difficulté que présente l'entreprise de filmer dans l'imagination des auditeurs des gestes que l'on ne peut démontrer devant leurs yeux. Tel est pourtant mon désir d'être compris pendant la diffusion, que j'exécute au milieu du studio, malgré moi et comme si vous pouviez les voir, les exercices tout en les exposant".


Publicité dans "Défends-toi" pour un excellent fournisseur de postes de radio
à l'intention des sans-filistes de 1931 désirant suivre à distance les cours du Docteur.


   Retrouvera-t-on un jour les enregistrements de ces séances ? Hélas, non, nous dit-on, ce genre d'émission n'était pas enregistrée... Mais toute autre trouvaille sur le bon Docteur est la bienvenue, of course...



Pour agrandir sa dédicace, cliquez sur la photo.




Quoi qu'y'a sur la couverture de ce 3ème fascicule ?
Non, ce n'est pas un traité d'entomologie sur la vie du scarabée bousier géant,
mais une décomposition (si on peut dire) du mouvement exécuté
par le Dr Didier, mettant lui-même la main à la pâte.
CLIQUER POUR AGRANDIR.





Une publicité dans ce fascicule : pour lire les noms des boulangers d'Alger
qui distribuaient le pain "ROBUR" recommandé par le Dr Didier, CLIQUEZ.




...ET PAR DESSUS LE MARCHÉ, IL DESSINE !


   Toujours dans "Défends-toi", le Docteur Didier explique pourquoi :

   "Ayant été souvent scandalisé de voir des livres d'éducation physique, même parmi les plus hautement estimés, ornés de gravures entachées de fautes lourdes, je n'ai pas hésité à poser les gravures de celui-ci, pour éviter au moins ces erreurs grossières.

   D'un certain nombre de croquis, les bras ont été supprimés dans le but de mieux dégager la forme et la disposition du corps".


Vous aussi, exécutez quelques mouvements de gym,
ça vous fera le plus grand bien !
Rassurez-vous, un simple passage de la souris sur le dessin suffit...
Insistez si ça ne marche pas tout de suite ! Ensuite, ça va tout seul...





NOTRE RUBRIQUE PLOUF !

18-19 MARS 1954 : LE NAUFRAGE DE L'"EMPIRE WINDRUSH"





   Nous avons ici-même commencé à recenser les chutes d'automobiles dans le port d'Alger, et elles sont nombreuses ! Bien qu'elles nous permettent de nous familiariser avec les noms de nos quais et avec la géographie, nous concevons le côté un peu répétitif voire lancinant de cette obstination de lemmings de nos concitoyens à se foutre à la baille. Ceci peut présenter pour le lecteur un côté lassant, nous vous l'accordons.

   Aussi, ce mois-ci, Es'mma, ne reculant devant aucun budget aussi démesuré soit-il, a décidé de passer à l'échelon industriel, et vous offre un spectacle quasiment hollywoodien : un naufrage de 1500 personnes à la fois. Des anglais surtout... C'est plus classe, non ?





   En fait, pour la plupart, ils vont être sauvés. Tout commence au large du CAP CAXINE par une explosion ("inexplicable" écrit la presse) suivie d'un violent incendie à bord du paquebot britannique "Empire Windrush", en provenance du Japon via le canal de Suez (beau voyage) et faisant route pour Southampton via Gibraltar. Les passagers (moins les 4 hommes qui ont péri dans l'explosion) sont recueillis par 5 navires, accueillis au môle de France, et hébergés pendant 24 heures à Alger, en particulier à la caserne d'Orléans et au centre de Ben-Aknoun.

   Puis ils repartent le lundi 29 mars vers la Grande-Bretagne à bord du porte-avions "Triumph" et du destroyer "Saint-Kitt". Un autre destroyer s'est chargé, lui, de remorquer l'épave vers Gibraltar. Elle va couler au large de Ténès...

   C'est un évènement qui, pendant deux jours, fait les gros titres de nos quotidiens. Les occasions de recueillir 1500 anglais d'un coup se sont faites trop rares, et Alger a su se souvenir qu'il fut un temps où il n'était pas besoin de mettre le feu aux navires anglais de passage au large, pour que de nombreux touristes britanniques et fortunés trouvent tout seuls le chemin de notre ville où ils venaient hiverner !



On trouvera sur Es'mma d'excellentes photos de cet évènement,
ainsi que les courriers échangés par Jacques Chevallier, maire d'Alger,
et Harrey M. Wakefield, Consul de Grande-Bretagne à Alger.









DERNIÈRE HEURE !

CLAUDE ET CHRISTIAN DEPUIS LE MISSOURI !

(envois de Christian Ripoll)

Deux jeunes copains posent pour la photo sur le Missouri, lors de son passage à Alger, nous avons 10/11 ans...
C'était au printemps 1947. L'historique du navire nous apprend qu'il avait quitté Le Pirée le 25 avril, mouillé à Alger et à Tanger (sans autre précision de date), avant d'atteindre Norfolk le 9 mai. Un coup d'oeil à la collection d'un quotidien algérois nous donnera la date exacte.







Vos souvenirs de cette visite sont sur le Livre d'Or d'ES'MMA...




NOS CHAMEAUX

PLOUF, LES VAISSEAUX DU DÉSERT !

Compte-tenu de l'ambiance très maritime de cette fin de kémias, voici deux chameaux faisant trempette...



Oui, en général, ce sont les chameaux qui se remplissent d'eau,
ici, c"est l'eau qui se remplit de chameaux.
On retrouvera de beaux chameaux bientôt,
avec ceux qui regardaient passer la "Ligne du Hoggar",
ligne qui partait du 26 (bis) rue Sadi-Carnot.

Georges... Si tu as des infos sur cette ligne de légende, et tes voisins de la SATT ?





     Bon, on arrête là, et c'est pas parce que votre document, dont l'envoi remonte à un siècle ou deux, n'est pas encore cité ici, qu'on le néglige. On le traite avec soin, on le bichonne, soyez assuré qu'on vous le bâclera pas pour alimenter le site à tout prix, mais ça, vous l'avez compris... On vous remercie de vos participations, de votre amitié, de votre fidélité. Chers petits amis, au mois prochain !