LES POTINS DU TEMPS


KÉMIAS, 12ÈME TOURNÉE !



Nos oeufs sont garantis frais pondus de poules de Bresse
spécialement confinées, oeuf corse !




NOS BOUTIQUES

AVEC LES MEILLEURS Z'OEUFS DE L'ÉCHO D'ALGER







AU TELEMLY

LE BUSTE DE MARCELLO FABRI

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C'est à l'initiative de notre ami Yves Jalabert, que nous devons cette photo,
prise en 1959 devant le buste de ce vieux Marcello, par la famille Boukhalfa,
photo gentiment prêtée par Malika.
Bon, d'accord, elle est floue et les sujets sont tout petits,
mais en attendant mieux, c'est la seule photo de ce buste dont on dispose.





ÇÀ SE PASSAIT À "LA VILLE DANS LA VILLE"...

LE PATRON DONNE DES INTERVIEWS IMPOSSIBLES...
AU THÉ ROUGE, LA RAISIN EST EN VELOURS NOIR,
ET UN PLONGEUR ATTEINT DES SOMMETS...
C'ÉTAIT ÇA, L'ALETTI !


Pour lire "L'impossible interview de Joseph Aletti",
cliquez sur ce dessin qui le représente
(article paru dans "Paris-Alger" N°4, de janvier 1935).


   Pendant plus de trente ans (enfin, un peu moins, vu que dans les dernières années, la tendance n'était pas à la fête ni aux congrès), chaque jour il se passa quelque chose à la "Ville dans la Ville", et, chaque jour, nos quotidiens s'en firent l'écho. Nous avons sélectionné ces deux articles, parmi des milliers d'autres... Tous deux sont parus en janvier 1950.

   Le premier nous présente les petites femmes du gratin algérois à leurs frivoles divertissements, l'autre nous rappelle l'existence des soutiers qui faisaient fonctionner ce grand paquebot. Une sorte de parabole de ce qu'était notre Algérie, et, plus généralement, de ce qu'est toute société humaine, n'est-ce pas ?


Article du 14 janvier 1950

Cliquer ci-dessous pour lire l'article




Article du 3 janvier 1950
Cliquer pour lire l'article







NOS ARTISANS, 1953-1954

103, RUE SADI-CARNOT : LA S.A.L.S. ET L'AILE VOLANTE ALGÉROISE

Article de Jean-Claude CAILLOU dans "L'Écho d'Alger" du 24 mars 1954.



   L'Aile volante, qui devrait plus précisément être appelée "sans queue", a toujours tenté les nombreux techniciens de l'aéronautique du monde. En Angleterre, Avro, en Allemagne, Horten, aux États-Unis, Northrop, entre autres, ont donné à l'aviation des réalisations remarquables de ce type d'appareil, en s'appuyant chacun, toutefois, sur des formules différentes.

   La France, berceau de l'aviation, ne pouvait rester indifférente aux séduisantes perspectives que présente cette formule : avantages de finesse, légèreté, encombrement, etc...


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Le prototype Fauvel A.V. 36 "monobloc" vu de profil.
On remarque particulièrement la faible longueur du fuselage,
ce qui lui fait bien mériter son nom de "sans queue".


   Entièrement consacré au "sans queue" depuis déjà plusieurs années avant-guerre, Charles Fauvel présente au problème ardu que pose cette formule, des solutions aussi simple qu'originales. Le plus gros écueil qui sembla au premier abord handicaper l'Aile volante est la stabilité longitudinale, ou tangage. Sur un avion ordinaire, cette stabilité est obtenue grâce au concours de l'empennage horizontal par ailleurs appelé stabilisateur. L'absence de ce stabilisateur sur l'Aile volante a conduit Horten à construire des ailes en forte flèche, à extrémité vrillée, pour obtenir une bonne stabilité. Northrop utilise dans le même but des "élevons", sorte d'ailerons disposés en bouts d'ailes (1). Fauvel, par contre, préfère un profil d'aile autostable, allié à une forme en plan trapézoïdale rigoureusement sans flèche, ce qui est la caractéristique dominante de ses appareils.

   Après avoir conçu, avant la guerre, de nombreux modèles, dont plusieurs à moteur, Charles Fauvel construisait lui-même, il y a trois ans, avec l'aide de son fils, une nouvelle "aile", l'AV-36 Monobloc, qui devait se révéler immédiatement une réussite incontestable.

   Comparé en vol à de nombreux planeurs classiques de performance, le Monobloc, qui n'est en fait qu'un planeur d'entraînement, devait présenter des caractéristiques égales et même supérieures aux meilleurs, tant au point de vue de facilité de pilotage, stabilité, maniabilité, performances, etc...

   Et la plus belle consécration fut, en particulier, un magnifique vol de 460 kilomètres en ligne droite, effectué le 23 juillet 1952, par Eric Nessler, constituant le record International officieux de la catégorie.

   Toujours à la recherche de l'amélioration du matériel des centres de vol à voile algérois. le S.A.L.S. (Service de l'aviation légère et sportive) et en particulier M. Lucien Saucède, ne pouvaient rester indifférents, en technicien et pilote averti, à de pareils succès. Aussi ce service, qui possède au 103 de la rue Sadi-Carnot un atelier de réparations aéronautiques, entreprenait-il, fin septembre 1953, la construction d'une Aile volante Fauvel, AV-36 Monobloc.

   La saison de vol à voile approchant avec les beaux jours, nous avons voulu nous rendre compte de l'état d'avancement des travaux de ce planeur, qui sera, croyons-nous, le premier modèle de ce type à prendre l'air en Algérie.

   Un avion en construction ressemble à beaucoup de choses, sauf à un avion.




Notre collaborateur installé dans le cockpit de la future aile volante
écoute les explications que lui donne M. Lasserre,
le responsable de laconstruction de l'aile algéroise.


   Treillis de nervures, lignement des longerons, formes géométriques enchevêtrées, telle nous apparut au premier abord la future Aile volante. Quelques explications s'imposaient, et M. Lasserre, responsable de la construction, voulut bien répondre à nos questions :

   "II ne faut pas croire que grâce à la suppression des empennages, une aile volante est beaucoup plus simple à réaliser qu'un planeur classique. La difficulté réside, en effet, dans la mise au point et la réalisation de nombreux détails particuliers à ce genre d'avion. Les gouvernes de direction, par exemple, qui sont doubles, ont nécessité chacune, en raison de l'évolution compliquée de leur bord de fuite, une construction sur chantier spécial, particulièrement délicate. Nous en sommes évidemment à notre première expérience en matière de "sans queue" et je crois pouvoir dire que nous aurons finalement passé, aussi paradoxal que cela puisse paraître, autant de temps à construire une simple "aile", qu'un vulgaire Emouchet ou Nord 1.300.

   "Vous avez devant vous la carcasse terminée à 80 % environ de son achèvement, et non entoilée. La partie bois est pratiquement terminée et nous allons commencer le montage des ferrures. Nous comptons approximativement sur un total de 1.500 à 2.000 heures de travail pour réaliser cette "aile".

   Ce que M. Lasserre ne mentionne pas, c'est le fini et la perfection de la construction. Un avion entoilé et terminé ne permet pas de juger, sous son revêtement, de la qualité de sa construction.

   Squelette nu et sans apprêt, l'aile que nous avons sous les yeux nous a paru dans tous ses moindres détails fignolée, semble-t-il, avec un amour presque religieux : pas de goutte de colle superflue, bords de fuite affinés au maximum, surface soigneusement poncée, caractérisent la construction qui nous est présentée.

   Il n'est d'ailleurs besoin que de jeter les yeux autour de soi, par exemple sur le petit Minicab, avion léger de 65 CV, qui est également en construction dans cet atelier, pour juger du soin et du sérieux avec lesquels est menée ici la construction aéronautique.

   Mais évidemment la question qui nous préoccupait était la date de sortie de cet intéressant appareil. M. Rudel, directeur du S.A.L.S. n'a pu répondre avec précision à notre question. Les délais dépendent en effet maintenant d'une toute petite chose, en l'occurrence la livraison par un atelier en France des ferrures d'articulation des gouvernes. Dès leur date de réception, qui n'est, hélas ! pas encore précisée, la construction sera terminée.

   Et nous souhaitons vivement avoir le plaisir de voir évoluer, dans le ciel algérien, et peut-être algérois, l'Aile volante Fauvel Monobloc, planeur monoplace d'entraînement et de performance français, qui permettra peut-être, suivant le slogan de son constructeur, à de jeunes "vélivoles" d'aller "du premier lâcher à la couronne d'or, suprême récompense du pilote de vol sans moteur."

Jean-Claude CAILLOU.
L'Écho d'Alger, 24 mars 1954.

(1) Quant à Avro, qui a, lui, abouti à la formule Delta, il élargit amplement son aile, joignant en quelque sorte l'aile au stabilisateur horizontal.



L'Aile volante AV 36 une fois en vol...




L'article en (presque) entier







Un envoi de "Monsieur CHOC"
(dit "le CHOC des photos")


LE COIN DES MÉLOMANES

MERIEM FEKAÏ, "EL MAÂLMA"

Qui voudra bien nous parler
de celle qui fut une grande dame
de la chanson populaire algéroise ?






BLANCHAR-BRUA : SOIRÉE RUAÏSTE



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   C'était au début des années 50. L'acteur Pierre Blanchar, encore dans la force de ce charme romantique qui fit sa gloire cinématographique et théâtrale, avait fait tourner ce soir-là quelques têtes sur les gradins de la piscine du RUA où, profitant d'un passage des tournées Karsenty, il assistait à une réunion de natation en compagnie de son ami Edmond Brua. Les deux anciens condisciples philippevillois étaient restés très proches. Quelques années plus tard (exactement le 4 juin 1958), Blanchar viendrait même spécialement de Paris pour suivre le discours "historique" de De Gaulle au Forum, depuis le balcon des Brua. Une journée dont il ne fut pas le dernier à remâcher l'amertume...

(Coll. Jean Brua)




Un envoi de "Monsieur CHOC"
(dit "le CHOC des photos")


20 RUE D'ISLY

12 OCTOBRE 1949, 18 HEURES,
INAUGURATION DU PASSAGE DE L'ÉTOILE



Nous espérons que ces quelques réclames vous rappelleront cette galerie marchande,
située presqu'en face les Galeries de France (qui étaient au 25).

Selon l'annuaire des Postes, si plusieurs de ces boutiques avaient disparu en 1954
("SWEETS", "LEOCLAUDE", "Art et Musique", "Tonia", "Au sac basque"...),

d'autres étaient toujours bien là
("Children", "SOTEM", "Mary Christine", "Fleurs de l'Étoile").

C'est la vie, un un jour t'y es là, un jour t'y es plus là...






NOS PÉPÉS LES MOKOS

AVRIL 1952 : "ALGER N'EST PAS CHICAGO"
(dixit l'Écho d'Alger)

"TINO ROSSI" contre "MANU"


   Après "Pépé le Moko" (triomphe de l'année 1937), on aura peu parlé du milieu algérois. Sûrement qu'après un tel sommet de lyrisme, et un personnage tel que le campait Jean Gabin, la réalité dut-elle paraître bien fade, bien sordide, bien triviale. Le petit monde des souteneurs, des traficants en tous genres, et autres malfrats et demi-sels, était pourtant bien là. Évidemment. On n'imagine pas de communauté humaine, à fortiori dans un très grand port, sans cette vie parallèle et parasitaire. C'était l'Alger des bordels, des règlements de compte et des crimes crapuleux.

   Dans la presse de ce temps-là, on en trouve de temps à autre des remugles, comme des bulles qui viendraient crever à la surface d'une Alger la blanche pas si blanche que ça. En voici une, de bulle... Tremblez, bourgeois ! Surtout qu'y a ce gamate de Tino-Rossi que quand y vise y tire ailleurs, même que c'est le povre Ange Sastre qui s'est avalé la Bastos par le cou (mais à Mustapha, les docteurs y disent que c'est pas grave). Bon, je vous laisse lire ces 2 articles d'avril 1952, dans l'ordre...

Cliquer pour lire l'article


Cliquer pour lire l'article et voir la bobine à MANU !





Un envoi de "Monsieur CHOC"
(dit "le CHOC des photos")


6-7 AVRIL 1952


LA MARCHE DES FACTEURS





Article dans le quotidien du week-end des 6 et 7 avril 1952





La liste des vainqueurs (suite de l'article ci-dessus).





Le vainqueurs récompensés (article dans l'Écho des 13 et 14 avril 1952).






LE DENIER DU KILT

L'ÉGLISE ÉCOSSAISE DE MUSTAPHA SUPÉRIEUR
(1886-1937)

   Tout d'abord, joignez-vous à nous, pour une promenade chemin du Telemly. Par ce temps de printemps qui point, c'est un bonheur... Oui, nous sommes bien au Telemly... Toute cette verdure ? Ah, mais c'est que nous sommes au tout début du XXème siècle... Ici, c'est encore la campagne... Les immeubles, les buildings ne seront là que plus tard. Au fait, à quelle hauteur du Telemly nous trouvons-nous ? Vous donnez votre langue au chat ?


   Mais non, regardez bien, juste derrière ce petit pavillon de bois et de roseaux où il va faire bon s'arrêter pour profiter d'un peu d'ombre... Vous ne voyez pas ? Là, enfouie dans la végétation... On aperçoit juste le toit, enfin, le clocher...

   Oui, vous y êtes ? Vous la voyez ? Ce que c'est ? Mais l'Église écossaise, voyons ! Un peu en contrebas... Regardez sur cette autre carte, à peu-près contemporaine de la première :


   Oui, cette voie qui contourne l'église, avec les rails du tram menant jusqu'à la colonne Voirol (loin derrière nous), c'est la rue Michelet ! L'église se trouve au n°119, à l'angle avec la rue Francis Garnier. Entre ici et la petite église, enfin, sur notre gauche, ce sera un jour... le Parc de Galland (les travaux d'aménagement du Parc vont commencer dans pas bien longtemps, en 1914). Vous ne me croyez pas ? Laissons passer une petite trentaine d'années... Et voyons cette autre carte postale...


   Les voitures, le style des immeubles flambant neufs, celui de la carte elle-même, nous indiquent que nous sommes vers 1930. La végétation est maintenant confinée dans le parc, depuis lequel la photo a été prise... La légende de la carte, c'est d'ailleurs : "Rue Michelet, les nouveaux immeubles". La chapelle, elle, est toujours là. Elle est là depuis 1886, date de sa construction sur l'initiative du bienfaiteur Sir Peter Coats. Elle continue à ne rien vous dire ? Normal, si vous êtes né après 1930. La petite église écossaise n'a plus beaucoup de temps à exister, elle va être démolie (selon le bulletin des "Amis du Vieil Alger") en 1937. La quête du dimanche ne rendait-elle plus assez ? Le nombre des fidèles composant la "colonie anglaise" avait-il par trop diminué ? Et à fortiori le petit pourcentage, parmi eux, des dévôts calédoniens tendance presbytérienne ? On n'en sait encore rien... Mais on se renseigne, on va savoir, et on vous tiendra au courant.

   Pour ceux qui se poseraient la question, la rue qui part en rude pente en face (à la hauteur du 116 rue Michelet), c'est bien entendu la rue des Professeurs Curtillet (père et fils) qui aboutit là-haut à la rue Edith Cavell (autre anglaise bien connue). Les commerces dont on aperçoit les auvents sont, de gauche à droite, une épicerie, une pharmacie (s'agit-il de la pharmacie Salasc, qui sera au n°120 ?), et faisant l'angle, un bistrot. Dans le premier tournant de la rue, il y a encore l'entrée façon mauresque d'une belle propriété comme il ne va plus y en avoir beaucoup dans ce coin d'Alger. C'est ce que nous montre cette ultime vue prise en 1962, la petite église a été remplacée par l'immeuble à l'angle de la rue Francis Garnier et du bd Duclos, tout est maintenant comme aujourd'hui, en 2006.

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   Dernières visions pour aujourd'hui de la petite Église écossaise, avec les 2 photos ci-dessous, datant aussi des années 1900-1910. La première est prise en contre-plongée cette fois, de plus bas que la rue Michelet, depuis à peu près le début de la rue Francis Garnier, du côté de la dépression du "Pâté", ce quartier qui se trouvait au bout de la rue Horace Vernet à droite.

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RUE DE TANCRÈDE - RUE BERTHEZÈNE

QUAND VOUS DESCENDREZ,
MONTEZ DONC...

(Dépêche d'Alger, 20 décembre 1949)


   La "Dépêche d'Alger" fut l'un de nos quatre grands quotidiens. Dans les années 50, un plumitif y tenait une chronique qu'il signait du pseudonyme d'Oculus. C'était en première page, un encadré comme celui que vous voyez ci-dessous, dans lequel chaque jour Oculus rapportait des faits divers de notre ville, soit qu'il les ait vus de ses propres yeux, soit qu'on les lui ait rapportés. En ce cas, c'était beaucoup moins "Oculus" qu'annoncé, mais en fait, son pseudo voulait moins dire "je vais vous causer de ce que j'ai vu, de mes yeux vu", que : "je vais vous parler de ce qui me sort par les yeux". Car il était comme ça, l'ami Oculus, un peu mini-imprécateur pour chiens écrasés.

   C'est souvent avec pas mal de démagogie qu'Oculus y allait de ses sentencieuses admonestations et de ses récriminations contre les automobilistes, les administrations, et le tout venant et allant dans Alger. Disons à sa décharge que ce n'était pas un exercice aisé, il est difficile à ce rythme quotidien d'être bon tous les jours. Mais souvent Oculus savait en quelques lignes croquer une scène avec drôlerie, et celle que nous avons choisie ci-dessous rappellera à plus d'un, cet ascenseur qui joignait la petite rue Tancrède à la rue Berthezène, et son fantaisiste "liftier".

Pour les bizoutches : ils peuvent agrandir, pour mieux lire l'article.


Pour élagir au quartier, cliquer.

Le plan ci-dessus nous a été fourni par Jean-Paul, grâce à la bonne idée de sa maman d'être partie d'Alger avec l'impeccable plan de Pierre Vrillon. On peut voir ci-dessus la localisation de son studio, 4 rue Maréchal Bosquet.




LES FEUILLETONS DE NOS QUOTIDIENS

15 AVRIL 1947, DANS L'ÉCHO D'ALGER :

PAR PETER CHENAY



De temps en temps dans les kémias, on rappelera ce que furent les grands feuilletons qui se sont succédés dans nos quotidiens. Ainsi, peut-être, aurez-vous une chance de tomber sur celui qui vous aura plus particulièrement marqué, ou dont vos parents vous auront beaucoup parlé. Aujourd'hui, c'est "Un whisky de plus" de Peter Chenay, paru dans l'Écho d'Alger à partir du 15 avril 1947, après quelques annonces qui l'ont prédédé, comme celles ci-dessous. On vous propose ensuite de revoir la page 2 du quotidien, et de l'agrandir en cliquant dessus.


Dessin de Charles Brouty.





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Feuilletons à venir :
"Les Ponts de Toko-Ri", "Chasseurs d'Orchidées", etc...

Si vous vous souvenez d'un feuilleton ou d'une bande dessinée
qui vous ont marqué dans votre jeunesse,
dites-le nous, on essaiera de vous les retrouver !







UN AN DE KÉMIAS, ÇA DONNE SOIF...

Dessin de Jean Brua