(kemias13.htm)

LES POTINS DU TEMPS


KÉMIAS 13
(4 juillet 2006)


AH ! POUR LES SUPERSTITIEUX, ON A RAJOUTÉ LES MAINS DE FATMA ! PLEIN !

Alors, comme dit Fellag, "5 dans tes yeux !"
Et pour les vraiment très très très superstitieux, on rajoute un fer à cheval...

Ça va ? Maintenant vous pouvez y aller ? Alors bonne lecture de ces 13èmes kémias !








18 MARS 1958

PETIT RAT DEVIENDRA GRAND...




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Ah ! J'oubliais... Et qui nous donnera des nouvelles d'Annie ?





STATUES ET AUTRES BUSTES

MARCELLO


Dans notre précédente livraison de kémias,
nous avions un peu vite écrit que, du buste de Marcello Fabri au parc du Mont-Riant,
nous n'avions que celle confiée par Malika Boukhalfa. Que nenni !
Dans "lettre à Claude", Yves Jalabert nous avait déjà confié celle-ci
(où posent Patrice, Rachid, Marcel, Malik, des copains à lui)...




Lady X nous a envoyé ceci...




Et Betty Reybaud, lors de son retour à Alger en avril dernier,
a pu photographier le socle du buste (qui, lui, a été ramené en France).
Oilà... Merci à vous tous.







DIMANCHE 28 NOVEMBRE 1954 :
LES SOURDS-MUETS ALGÉROIS DIVISÉS :


SAINT-AUGUSTIN ET BRASSERIE
OU

CATHÉDRALE ET BANQUET ?


   Deux associations de sourds-muets ! Et qui font la même chose, une messe et un bon gueuleton, le même jour ! D'accord, le jour de la traditionnelle commémoration de l'Abbé de l'Épée, mais, quand même, il faut le faire !

   Les uns étaient-ils fromage et les autres plutôt dessert ? Choucroute plutôt que soupe de poisson ? Préféraient-ils les prêches de Mgr Dauzon à ceux du curé de Saint Augustin dont le journal il dit même pas son nom ? Les uns étaient-ils davantage sourds que muets et inversement ? Qui un jour nous parlera du grand schisme des sourds-muets d'Algérie ? En tout cas, ils s'entendaient au moins sur une chose, sur ce qu'ils devaient à l'Abbé de l'Épée, dont, rappelez-vous, une rue à Alger lui était consacrée. C'était une petite rue qui commençait rue Danton, juste derrière les Facs et finissait au Telemly, en face de là où partait le chemin Pouyanne. Oui, pas loin de Sainte Marcienne. Sur Internet, vous trouverez tout sur ce bienfaiteur qui a vécu à Paris au 18ème siècle.

   De notre temps, l'école des sourds-muets se trouvait Villa La Chimère, Bd du Telemly.



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POUR CEUX DU QUARTIER DU SACRÉ-COEUR

UN APPEL DE LADY X


Lady X a fait appel au garde champêtre d'Es'mma pour lancer son Avisss à la population des Es'mmaïens : qui sera capable de trouver les noms des magasins que nous désigne notre chère Milady ?


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Novembre 1954

APRÈS "L'INSPECTEUR PLUVIER",
(de M. Van den Pole)

VOICI "LE COMMISSAIRE GIRODON" !

(de Jean Simonet)



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Un envoi de "Monsieur CHOC"
(dit "le CHOC des photos")


LE COIN DES MÉLOMANES
Novembre 1954 : les spectacles de Music-Hall du dimanche matin
de Radio-Algérie


OMAR TANTAOUI, CHAMPION DE LUTH,
ET LA CHANTEUSE OUARDA



   Nous sommes fin 1954. Ils sont jeunes, ils sont beaux, ils ont un talent fou. La guerre, qui ne sait pas encore son nom, est déjà là. Depuis quelques semaines... Pour 8 ans... Elle va emporter bien des espoirs, bien des destins, bien des vies... Dans la tourmente, que sont devenus Ouarda et Omar, la ravissante chanteuse et le musicien si doué ? Vous souvenez-vous de les avoir écoutés sur les ondes de Radio-Alger ? Vous rappelez-vous le rôle que tenait Omar aux côtés de Fernandel dans "Ali-Baba et les 40 voleurs" ?




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Ceci N'EST PAS
un envoi de "Monsieur CHOC"
(dit "le CHOC des photos")


1960... Souvenez-vous !

LE CHOC DES MAGASINS CHOC DE MR KAPFERER !
(La Dépêche)




Les 4 premiers magasins CHOC à ouvrir :

- 166, rue de Lyon ;
- 2bis, bd du Telemly (aux "7 Merveilles") ;
- 30, ave Claude Debussy ;
- 22, rue Rovigo.

Au total, 35 ou 40 devaient encore s'ouvrir... Combien au final y seront parvenus ?









1958 :

LE SANG DES MÉTIERS, DES PROVINCES, ET DES SPORTIFS

   À Alger, le don du sang était l'affaire de tous... Même si, comme on a déjà pu le constater dans de précédentes kémias, le comité qui s'en occupait a mis le paquet en 1958, ce fut un appel auquel, toujours, répondaient avec empressement les Algérois. Les clubs sportifs, les associations des provinces de France, les syndicats corporatifs, tous se mobilisaient et mobilisaient leurs adhérents pour des dons collectifs... C'est ce que nous montrent ces trois coupures de quotidiens Algérois de 1958...


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Dessin de Jean Brua

   Quand un donnneur arrivait à son 100ème don, il avait droit à une médaille, et à son nom dans le journal. Comme par exemple Monsieur Bouttefah, photographié ici le 5 décembre 1954 dans la célèbre salle aux guichets de l'hôpital de Mustapha.


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   On peut supposer que la plupart des généreux donneurs étaient au dessus de cette vanité, mais avec cette coupure parue dans l'Écho d'Alger, on verra que certains tenaient à leur médaille, surtout quand sa légitime obtention se heurtait à la paperasserie administrative...







RUE D'ISLY : NOS PETITS MÉTIERS

RÈGLEMENT DE COMPTE À OK JOURNAL

OU

LE DUEL OCULUS-BASILE
(La Dépêche )


   À l'occasion du papier sur l'ascenseur de la rue Tancrède, nous avons fait la connaissance du personnage d'OCULUS, chroniqueur quotidien à la Dépêche. Voici un autre de ses billets, où il s'en prend (comme je vous l'ai dit, il y avait en OCULUS du Don Quichotte et de l'Alceste tout à la fois), non aux pauvres camelots, mais à la notabilité qui leur fourgue leur camelote, à leur pourvoyeur, on dirait aujourd'hui à leur dealer, en colifichets et bondieuseries (ce en quoi ils faisaient une concurrence déloyale à Tante Philomène, de la Librairie "À Nostre-Dame").




   Le jour même, dans un autre quotidien algérois, son alter-ego de chroniqueur, "vieux confrère qui sévit dans un journal du soir" (prend ça dans les dents), celui qu'Oculus dénomme "Basile", prend du tac au tac la défense du sieur Achille Joinard. Qu'Oculus et Basile y s'aimaient pas, ça se voit comme le nez au milieu de la figure... Voilà qu'à son tour, Oculus y lui répond à son confrère, et c'est pas gentil... Forcément, il s'agissait de sauver la face devant le Tout Alger qui devait se régaler de ces querelles, un peu puériles, il faut bien le dire !


Dessin de Jean Brua




DANS LA RUBRIQUE : ALORS, LES ALGÉROIS QUI FILMAIENT,
Y Z'ÉTAIENT RICHES OU PAS ?


2 MESSAGES REÇUS CES TEMPS DERNIERS DE BETTY...


Le premier, c'était :

   "À la barbe de la lutte des classes, version pieds-noirs, qui se déchaîne en ce moment sur le Livre d'Or, où tous font de leur mieux pour mettre en évidence leurs origines prolétaires, je t'envoie une photo de la fameuse caméra Paillard à remontoir mécanique que j'ai reçue pour mon 20ème anniversaire, grâce aussi, car il fallait le mériter, aux bons résultats obtenus aux examens à la fac. Une remarque : l'appareil fonctionne encore, mais on ne trouve plus de pellicules 8 mm."



  

   Les interventions sur le Livre d'Or qu'évoque Betty, c'était, rappelons-le, suite à cette émision diffusée le 16 mai sur M 6, pour laquelle avaient été rassemblés des films d'amateurs tournés par des Français d'Algérie qui pouvaient sembler, vu certains sujets (sports d'hiver à Chrea, par exemple), assez fortunés. L'émission avait été jugée, de l'avis général, assez nuancée et équilibrée, mais... du coup, ces caméras devenaient les signes extérieurs d'une aisance bien minoritaire, "faudrait quand même pas qu'on aille s'imaginer qu'on était tous des rupins avec des grands domaines... et des caméras !". C'est oublier qu'il y avait des fondus de cinéma, prêts à sacrifier bien des choses pour s'offrir la petite Paillard 8mm de leurs rêves, des passionnés pas forcément bien riches, comme devaient l'être certains des membres du Caméra Club d'Alger, "Les Cinéastes Amateurs d'Algérie", dont ces quelques articles, recueillis au fil des pages de nos quotidiens, nous rappellent l'existence... Qui nous racontera l'histoire de ce club de passionnés qui se réunissait à deux pas de chez nous, rue Valentin ?



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Dernière nouvelle !
Comme quoi, il suffit de parler... Alors qu'on "boucle" ces kémias 13, voilà que nous parviennent
des infos épatantes sur ces cinéastes amateurs !
Comme on n'a pas trop envie de remettre sur le chantier ce qui précède...
c'est dans les prochaines kémias que vous trouverez un article de fond
avec plein de photos et de détails sur le club algérois des "Cinéastes Amateurs d'Algérie".





Le deuxième message de Betty, il a rien à voir avec les caméras :

"Bonjour les Esmmaïens.
Est-ce que quelqu'un se rappelle, ou connait,
ce monument où sont photographiées ma grand-mère et ma mère vers 1934 ?
Peut-être à Notre Dame d'Afrique ?
Merci. Betty"








LE COIN DES MÉLOMANES

"L'ÉCOLE LIBRE DE MUSIQUE"
du 14 Boulevard Victor Hugo


Jacqueline Simon s'est souvenue de l'école de musique qu'elle avait fréquentée dans ses jeunes années...
Elle nous en a confié le "Livret Scolaire" de l'année 1955-56, que voilà son dehors et son dedans...



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Et pour mémoire, voici les messages échangés sur le Livre d'Or et qui auront réveillés les souvenirs de Monsieur et Mademoiselle Wannier et de leur "École Libre de Musique" du 14 boulevard Victor Hugo...

Jacqueline (1948) (ALGER ROME)
16/02/2006 11:50

Musique et douceurs : le menu d'aujourd'hui. Qui a le souvenir, qui parmi vous a fréquenté l'Ecole Libre de Musique du 14 Boulevard Victor Hugo ? Elle était animée, gérée par le frère et la soeur. Cette dernière nous enseignait le piano, son frère le solfège et je crois bien le violon aussi. Nous étions des petits (moi j'avais 6 ans quand j'ai commencé !!) et nous suions sur les dictées musicales et autres merveilles de l'harmonie !! Qui parmi vous a eu la patience de m'entendre massacrer une sonate de Beethoven, puisque les cours étaient communs ? S'il vous plait rappelez moi le nom de ces deux malheureux professeurs !

Andrée Cabrera-Garguilo (Monaco)
22/05/2006 09:29

À Danièle ROUSSEL-STERKERS. Je viens de lire votre message dans le Livre dOr d'Es'mma. Avant d'élire domicilée 4, rue Barbès, j'habitais au 14 Bd V. Hugo. Tous les commerçants cités, je les ai connus aussi. Dans mon immeuble, à l'entresol, il y avait l'école de musique tenue par les frère et soeur Wannier.

Jacqueline (1948) (ROME) (1948)
22/05/2006 10:50

Andrée !!!! Ça y est quelqu'un a répondu à mon message sur l'École de Musique du Bd. Victor Hugo ! Mais c'est bien sûr... Mr et Melle Wannier ! Votre indication de l'entresol m'a fait avoir tout de suite un flash... et je revois très bien l'entrée de votre immeuble : un autre morceau de puzzle a été mis en place dans ma petite tête... N'y a-t-il donc personne parmi vous qui ait suivi leurs cours ?? Merci encore Andrée d'avoir empêché mes neurones de se bloquer.. Bonne journée.

Balaguer Lucien - 1935 (HdeS)
22/05/2006 15:45

Oui Jacqueline, j'ai appris le solfège et le piano dans cette École de Musique, dirigée par M. et Melle WANIER. Lui me fait encore penser à Louis Jouvet (doct. Knock), il me semble qu'il portait des bésicles et toujours en costume 3 pièces, l'air sévère, très exigeant pour le solfège. Les cours étaient dispensés avec sa soeur, une vieille demoiselle. De très bons professeurs. Ils étaient installés dans un appartement bd Victor Hugo, en entresol. Une très grande salle en entrant, avec ses fenêtres sur rue. Nous nous installions pour le solfège et il y avait des pièces attenantes pour les cours de piano et de violon. C'était pour moi les années 1950/52. Ils m'ont appris à aimer la musique et ce sont de très bons souvenirs. Amitiés.






Un envoi de "Monsieur CHOC"
(dit "le CHOC des photos")


RUBRIQUE "ES'MMA IMMOBILIER"

QUAND LE "TURIDDU" APPORTE SA PIERRE AU MAURÉTANIA


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   C'est un joyeux deux mâts (Hisseho !) qui, après un cabotage de six jours, voire davantage, depuis le port italien de Savone, est venu s'arrimer à nos quais (quai de Calvi cette fois-ci). On en débarque une cargaison de marbre de Vérone, 524 tonnes exactement aujourd'hui. Une fois débité et poncé dans les ateliers de la société Viatill (du nom de son fondateur, Monsieur Tilli) ce beau marbre rouge fera parfois penser à une coulée de lave.

   Dans les ateliers sur le bas-port, soixante ouvriers vont s'affairer à la transformation de ce marbre en dalles, en carrelages, qui iront revêtir les grands immeubles en construction : le Maurétania, le Lafayette... Voyageurs du XXIème siècle, quand vous foulerez les dallages de ces immeubles, ayez une pensée pour Monsieur Tilli et pour le Turiddu, vieux raffiot courageux.






LES FEUILLETONS DE NOS QUOTIDIENS




   Ce feuilleton de James A. Michener parait dans l'Echo d'Alger à partir du week-end des 16 et 17 mai 1954. Il succède au "Mystère de la Commanderie" de Annie Achard, qui s'est achevé le samedi 15 mai.

   "Les ponts de Toko-Ri" est adapté au cinéma la même année. À l'instar du roman, ce fut un film de guerre triste, crépusculaire, et douloureux. Le nom de code "banshee", donné aux chasseurs de l'US Air Force McDonnell F2H, donne le ton : les banshees étaient, dans le folklore celte, des génies féminins qui parcourent la campagne pendant la nuit, en hurlant leurs plaintes pour annoncer aux familles les décès prochains. Sobre et efficace, la réalisation de Mark Robson s'appuyait sur quelques grandes vedettes jouant dans un registre tout en retenue, comme Fredric March dans le rôle de l'amiral, ou même Mickey Rooney, pour une fois clown triste, en fantasque pilote d'hélicoptère.


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   Le film sortira dans 3 salles algéroises (ABC, Paris, La Perle) le jeudi 26 juillet 1956, et "tournera" ensuite dans plusieurs autres. Sûrement que ceux de nos parents qui avaient lu le feuilleton dans l'Écho d'Alger en constituèrent le gros du public. Et qu'ils ne furent pas déçus.

 

   Le feuilleton se termine le samedi 19 juin 1954. Pour le héros (celui qu'incarnera William Holden à l'écran), ça se finit mal. Sa veuve (Grace Kelly, pas encore "de Monaco"), va pleurer.

   "Il n'eut pas le temps de pousser plus avant cette évocation, car le communiste qui avait lancé les grenades était resté caché tout près du fossé, et d'un coup soigneusement ajusté, il envoya une balle en plein dans la main droite de l'Américain qui s'en couvrait le visage. Pendant ce millième de seconde, au moment où dix "banshees" arrivaient de la mer en grondant pour reprendre la maîtrise du ciel, Harry Brubaker entrevit en un éclair la raison de sa présence en Corée. Mais cette connaissance trop brève ne lui servit en rien, car, dans le même instant, il s'abattit en avant, au fond du fossé."

   À la Une de l'Écho d'Alger, ce même 19 juin, Pierre Mendès-France présentait son gouvernement au Président de la République. Notre maire, Pierre Chevallier, en était le secrétaire d'État aux Forces armées.

   Le lendemain, dans l'Écho des 20-21 juin, commençait le feuilleton suivant : "Pas de main morte", de Franck Bunce.

   En couverture du "Film Complet" du 15 décembre 1955, Grace Kelly, avec pour une fois une moue sensuelle, et pas son sempiternel air d'oie blanche qui agace les dents...



Pour davantage de moue sensuelle, cliquer sur Grace






CAMUS : LE JOUR LE PLUS TRISTE





   Nous sommes le 6 janvier 1960, deux jours après l'accident d'auto de Villeblevin qui a fauché en pleine gloire Albert Camus, l'écolier de Belcourt parvenu au faîte des honneurs littéraires : le prix Nobel. La première page du Journal d'Alger affiche en forme d'hommage le dernier message * - datant de quelques semaines - du grand écrivain à son vieil ami Edmond Brua, rédacteur en chef du quotidien. Camus y répondait (en laissant espérer une visite à Alger) à une invitation à s'exprimer dans les colonnes du journal, pour répondre à ceux qui lui reprochaient son "silence".

   L'accident a brisé cet espoir, comme un signe de mauvais sort. La mort de Camus, c'est encore un chemin qui se ferme à la paix. Et, comme en écho à ce mauvais présage, 18 jours plus tard, ce seront les journées sanglantes des Barricades.



* "Cher Brua,
Je ne dis pas non. Mais il faut attendre. J'espère être cet hiver à Alger et m'informer mieux. Nous bavarderons alors. Sois sûr en tout cas que si je devais parler à nouveau, ce serait à tes côtés et dans ton journal."



   Sous le message à Edmond Brua, la photo de l'accident où Camus a trouvé la mort, alors qu'il regagnait Paris en compagnie de son éditeur et ami Michel Gallimard, tué lui-même au volant de la voiture, une puissante Facel-Vega.






   Bon, on arrête là, et c'est pas parce que votre document, dont l'envoi remonte à un siècle ou deux, n'est pas encore cité ici, qu'on le néglige. On le traite avec soin, on le bichonne, soyez assuré qu'on vous le bâclera pas pour alimenter le site à tout prix, mais ça, vous l'avez compris... On vous remercie de vos participations, de votre amitié, de votre fidélité. Chers petits amis, au mois prochain !