LE COIN DES MÉLOMANES (1)

GLORIA LASSO, ALGER, ET NOUS
Gloria Lasso est décédée le 4 décembre 2005. Elle avait commencé sa carrière en 1954, en Espagne, puis à Paris. Elle allait connaître une popularité fulgurante, immense, jusqu'au début des années 60. Entretemps, une autre chanteuse, latine elle aussi, venant d'Italie via Le Caire, lui avait ravi son rôle d'interprète des passions méditerrannéennes... Même s'ils étaient plutôt les chanteurs de nos parents, les vedettes dans le style "latin" de ce temps (Dalida, Tino, Rudi, Dario...) colorèrent nos années de jeunesse, et le parfum de leurs chansons entre intimement dans la compostion de nos nostalgies. Gloria lasso en fait partie. Sa biographie, vous pouvez la trouver sur Internet... Ce qui nous a intéressés ici, c'est ce qui sembla sa proximité avec notre ville. L'article du 14 janvier 58 rappelle que c'est à l'ALETTI qu'elle fit ses premiers vrais débuts en public. Elle triomphe au MAJESTIC, elle dédicace ses disques chez EDEN, elle pose en novembre 1959 dans les locaux de la SAVA, rue Michelet, sur l'ARIANE-SIMCA qui va l'emmener chanter à la base de Réghaïa... Était-elle si proche d'Alger que les journaux et ses fréquents séjours voulaient bien le laisser supposer ? Ou bien n'était-ce que subterfuge et marketing ? On ne sait... En tout cas, Gloria Lasso sembla se trouver bien dans notre ville. Alors, bienvenue, bon retour parmi nous...
14 janvier 1958 - Cliquer sur l'image pour lire l'article.
15 janvier 1958
8-9 novembre 1959
15-16 novembre 1959
19 novembre 1959
QUELQUES POCHETTES DE SES DISQUES...
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Un envoi de "Monsieur CHOC" (dit "le CHOC des photos")
LE COIN DES MÉLOMANES (2)
MERCREDI 26 JANVIER 1950 : WILLIE "THE LION" SMITH AU "PARIS"
Pour le compte-rendu de cette "matinée, cliquez sur l'image.
Émouvant souvenir, sûrement, pour certains d'entre nous, que ce pavé dans l'Écho d'Alger annonçant le récital unique que Willie Smith allait donner le mercredi 26 janvier 1950 à 18 heures au cinéma "Le Paris". Il venait d'enregistrer à Paris, sous le label "Royal Jazz", quelques nouveaux disques. Le dessin qui le représente en majesté léonine, est de Jean Brune. Enfin, juste sous l'article, on apprend la mort accidentelle de André Féménias, employé de l'E.G.A. Il avait 30 ans, et il habitait 15 rue Richelieu. Un voisin... Était-il parent avec notre ami Jean-Louis Féménias ?
La pochette du disque ci-dessus, ainsi que la musique que vous entendez sont des envois de J.L. Jacquemin
LE COIN DES BONNES CHOSES
FÉVRIER 1935 : AU 37 RUE D'ISLY, "SAM" SUFFIT... À LA CRÈME DES GOURMANDS D'ALGER
Il y a peu, les Es'mmaiens évoquaient leurs souvenirs de quelques patisseries (gateaux ou boutiques) dans les années 50... Remontons encore de 20 ans en arrière...
Feuilletons la revue "PARIS-ALGER" qui fut un peu le "Vogue" algérois entre 1934 et 1940. (1)
Dans son numéro de février 1935, on y apprend l'ouverture "à l'élite de la sociéte algéroise" (pauvres s'abstenir) de la patisserie-salon de thé "SAM", au 37 rue d'Isly (2). Une halte-repos idéale pour ces dames dans leur trotte-shopping de l'axe lèche-vitrines rue Michelet-rue d'Isly. Le "chef" de SAM n'est autre que l'ancien chef-pâtissier de la cour impériale d'Autriche, secondé d'un assistant de Rumpelmayer ("c'est tout dire !", ainsi que le souligne le magazine) (3). "PARIS-ALGER" consacre une page à l'inauguration, qu'honorèrent de leurs présences gourmandes Monsieur Tremel, consul d'Autriche et Madame (cautions indispensable pour des viennoiseries de qualité ! À quoi servirait sinon un consul d'Autriche ?), S.A. la princesse Marie de Ligne, la Princesse Galitzine et la Princesse Galitzine (oui, double ration), Monsieur et Madame Didier de Saint-Quentin, Madame de Vesinne-Larue, etc. Enfin, la crème, quoi ! Les publicités de "SAM" allaient se succéder régulièrement dans "Paris-Alger"...
Jean Brua n'a pas voulu manquer cette inauguration...
Qui d'entre nous se souviendra de cette patisserie de grand'luxe ? Et surtout, qui était SAM lui-même, intrépide initiateur de ce temple du sucré classieux ? Enfin, quand disparut cette patisserie qui n'existait déjà plus en 1954 ?
Une autre réclame de SAM dans
"PARIS-ALGER"
(1) Un prochain article sur Es'mma devrait vous faire un topo édifiant sur ce mensuel suprêmement insouciant, scandaleusement frivole, causant mode, beauté, vacances à Chrea, sports de luxe, galas à l'Aletti, soirées costumées, rallyes automobiles (punaise, qu'est-ce qu'elles sont belles !), magazine destiné au gratin féminin de la belle société algéroise de l'entre-deux guerres.
(2) Le 37 rue d'Isly est sur le trottoir de gauche en allant vers les Galeries de France, en partant de la Grande Poste, un peu avant la place Bugeaud. C'est une adresse bien connue des Algérois, en particulier des petits Algérois que nous fûmes. Pour nous faire photographier le popotin, à plat ventre sur une peau de bête, puis plus tard en communiants (sérieux comme des papes), nos parents nous amenaient chez "Paris-Photo", le studio de Charles Moll. En redescendant de chez Moll avec leur bébé, les mamans pouvaient dans les années 50 faire un tour chez Materna, dont une boutique ouvrira ici en avril 1952 (voir les kémias de septembre 2005). Le 37 fut aussi l'adresse du "Bonheur des Dames" des frères Benaiche, et celle du "Café-Restaurant Mondial" de Fernand Poulet (c'était le patron, pas une spécialité). Ce fut aussi l'adresse du chausseur "À l'Ideal", ou de la "Teinturerie Dauphinoise" (la lavandière du gratin ?).
(3) Rumpelmayer : pour ceux qui ne sont pas abonnés à "Paris-Alger", c'est l'ancien nom de la célèbre patisserie "Angelina", sous les arcades de la rue de Rivoli à Paris.
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Tout a commencé par une poignée de coupures de l'Echo d'Alger que m'avait fourrée dans une enveloppe notre ami Monsieur Choc. Il me la glissa lors de la fête de la galette des Rois chez les Esmmaïens de Paris... "Si tu ne trouves pas ton bonheur là-dedans...", avait-il ajouté, un brin nonchalant... Monsieur Choc, des fois tu ne te rends pas compte... Nos vieilleries, juste en elles-mêmes, ça n'est pas forcément susceptible d'intéresser nos Esmmaiens ! En tout cas pas telles quelles ! Il faut souvent du temps.. Pour établir des rapprochements avec d'autres infos, les croiser, les illustrer, rendre tout ça un peu "champagne", quoi ! Bon donc, j'ai commencé à éplucher ces reliques...
Et voilà que je tombe sur un titre et une photo : "Karima, une Actrice qui fut algéroise"... Rien que dans ce titre, il y a déjà comme un reproche... Tout est dans le passé simple. Ça veut dire quelque chose comme "c'est fini entre nous"... La photo représente une jeune-femme au visage qui a l'air plutôt beau, malgré les gros points de la grossière trame typographique du quotidien, à travers laquelle toute photo semble passée au crible vague d'une écumoire. Visage sévère et beau... L'article précise : "Elle se destinait à la médecine (traduction : elle a failli être une jeune-fille comme il faut)... Elle abandonna la médecine à Paris (perdition de la petite provinciale dans la capitale cosmopolite)... Mariée à un acteur grec (bonjour les moeurs !), elle a tourné à Rome son premier film, "La Terre des Pharaons", et au Congo son nouveau film, elle y tient le premier rôle, celui d'une danseuse "de couleur" (on imagine bien que c'était pas celui d'une Schtroumpfette ! Ça me rappelle les blagues dans le magazine LUI des années 70 : ne dites pas "un crayon noir", dites "un crayon de couleur"). Bon, et comme ce nouveau film s'appelle "Tam Tam Mayumba", sur la photo, elle bat du tam-tam, normal... L'article date du week-end du 27 et 28 février 1955.
Vite, flairant là une possible candidate à la rubrique "Pipole" de nos kémias, j'enfourche Google, je sillonne les vastes étendues de l'Internet, mais bernique ! Pas plus de Karima que de beurre en broche... Heureusement, il y avait le deuxième indice : deux titres de ses films. Je reviens en deuxième semaine... Google one more time... Et là, surprise : l'actrice au tam-tam ne s'appelle pas Karima, mais Kerima (et on devine bien qu'elle devait s'appeler encore autrement avant de se choisir ce nom de cinéma, ou du moins, qu'en plus de ce prénom, elle devait bien avoir eu un nom de famille). Surtout, les quelques écrans qu'on trouve sur elle, s'ils sont hélas muets sur sa bio et ses jeunes années en particulier, nous révèlent une filmographie plus qu'honorable.
Eh oui, car Kerima, tout au long des années 50 fut une star, une vraie, une grande, pas seulement à Cinecitta (lieu de production des premiers peplums où elle joua), mais aussi à Hollywood et dans le monde entier. Elle a tourné dans des super-productions, et sous la direction de grands metteurs en scène. Je viens en ce jeudi 2 février 2006 de revoir à la télé le superbe "Guêpier pour 3 abeilles" de Mankievicz (titre français assez idiot, mais film fascinant) et je me dis que Kerima ne devait pas être une mauvaise pour avoir fait l'actrice pour ce réalisateur-là.
Seule, ou en compagnie de partenaires masculins célèbres, Kerima fait la "Une" de nombreuses revues de cinéma de l'époque, mais aussi de grands magazines d'actualité (voyez ce LIFE du 19 mai 1952 !). On vous livre sur le présent écran quelques unes de ces couvertures (françaises, allemandes, américaines) qu'on a trouvées au gré de l'Internet et d'achats sur e-bay. Elle se débrouillait pas mal, la petite Algéroise ! Ah, oui, car ce sur quoi s'entendent les rares notices qu'on a trouvées sur Kerima, c'est qu'elle naquit à Alger, le 10 février 1925 (mais restons prudents, il suffit qu'on écrive une bêtise pour que tout le monde lui emboîte la plume !).
Il semble que Kerima tourna de 1952, année de "La louve de Calabre", son premier film (connu tout au moins), jusqu'à 1962 (année de "Jessica", film dans lequel jouaient aussi Angie Dickinson, Maurice Chevalier, Noël-Noël, Sylva Kocsina, que du beau linge). Oui, juste10 ans...
Avant et après : rien. Ou presque... Toutefois, on apprend, au hasard d'un site, je ne sais plus lequel, qu'à une date non précisée elle épousa Guy Hamilton (elle avait dû divorcer d'avec l'acteur grec ? Ou il était mort ?). Guy Hamilton, vous le connaissez, même si vous croyez le contraire : c'est lui qui, de 1964 à 1974, réalisa quatre des James Bond de la grande cuvée ("Goldfinger", "Les Diamants sont éternels", toujours avec Sean Connery, "Vivre et laisser mourir" (oui, déjà Roger Moore), "L'homme au pistolet d'or" (oui, encore Roger Moore). Guy Hamilton, lui, était divorcé de sa première femme, l'actrice Naomi Chance.
 Le très francophile et francophone Guy Hamilton.
Enfin sur le site IMDb (Earth's Biggest Movie Database), qui se targue d'être la plus grosse banque au Monde de données sur le cinéma, on ne trouve pas grand'chose, si ce n'est tout de même deux infos : l'une concerne ses tout débuts, et une autre, plus étonnante, la période après 1962 (par contre, pas un mot sur un éventuel mariage avec Guy Hamilton).
 D'abord, on apprend le nom de l'obscur comédien grec qui fut son premier mari : Alex Revidis. De ce dernier, il y a aussi la maigre filmographie, saupoudrée sur les années 50 et 60. Mais surtout, la seconde info nous apprend que 10 ans après ce qu'on croyait être son dernier rôle, Kerima a tourné au moins une fois, en 1972, dans un épisode, et un seul, de la série TV anglaise "The Adventurer", dont le héros était Gene Bradley (rôle tenu par l'acteur Gene Barry). Sous le nom de "L'Aventurier" cette série passa relativement inaperçue sur les télés françaises.
C'était dans le 7ème épisode (intitulé "Love Always, Magda") de la première saison de cette série. L'action se déroule à Beyrouth... Et c'était quoi, son rôle ? En face des noms des autres comédiens est indiqué le nom du personnage qu'ils incarnent. En face de celui de Kerima, il est juste mentionné : "Belly Dancer", c'est à dire "danseuse du ventre". Voilà, telle est la dernière apparition connue de Kerima... Elle a alors 47 ans. C'était il y a 35 ans. Ou était-ce une homonyme ?
Alors ? Qu'est devenue Kerima ? Est-elle toujours Mrs Hamilton ? A-t-elle renoncé à sa carrière pour se consacrer à son foyer ? Mais alors, pourquoi ce rôle de 1972 qui ressemble fort à un sinistre expédient ? Après 1962, a t-elle "couru le cacheton" ? A-t-elle enfilé les petits rôles qui permettent d'essayer de survivre, mais qui ne prennent plus place dans les "vraies" filmographies ? Est-elle vraiment devenue danseuse du ventre dans le Londres des 70's ? Si elle est toujours parmi nous, où, en ce moment, respire, rêve, se souvient et sourit cette dame de 81 ans ? Je suis sûr que des Es'mmaïens curieux vont dénicher les infos qui nous manquent... Rendre à Kerima toute sa vie, et nous redonner l'enfance de cette petite soeur algéroise... Allez allez, en piste, les Sherlocks ! (Pour ceux qui ont accès à l'Écho d'Alger du 11 ou du 12 février 1925, merci de bien vouloir jeter un coup d'oeil à la rubrique "naissances", on ne sait jamais !).
Et pour finir, agrandissez ce très beau portrait de Kerima, il date de 1952...
DERNIÈRES NOUVELLES : PATATRA ! (QUAND ON VOUS DISAIT...) ON VIENT DE NOUS COMMUNIQUER L'ADRESSE DE KERIMA, ELLE HABITERAIT LONDRES, ET S'APPELERAIT TOUJOURS MRS KERIMA HAMILTON ! LA SUITE, AVEC SA FILMOGRAPHIE, AU PROCHAIN NUMÉRO !
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SPORTS DE GLISSE À ALGER
CHEMIN JOSEPH PICARD : DE L'IMMOBILIER PAS TRÉS IMMOBILE !
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Où ne pas acheter une coquette petite maison à Alger ? Question curieuse, mais précaution élémentaire si l'on ne veut pas risquer de se retrouver du même coup propriétaire d'une luge de taille XXL, qui n'en fait qu'à sa tête, avec des perspectives bien moins grisantes que nos dévalages de pente à dos de cariole... Es'mma aujourd'hui, avec cet article paru dans l'Écho d'Alger du 24 janvier 1955, enrichit sa rubrique immobilière, ce qui est une façon de parler, vu que justement il n'y a rien de bien immobile dans cet immeuble qui porte bien mal son nom !
Donc, si on vous propose un "Sam'suffit", même à prix bradé (surtout à prix bradé !) dans ce quartier que l'article désigne comme "la côte en glaise" (rien à voir avec nos "hiverneurs" british), entre Telemly et boulevard Gallieni, précisément là où le chemin Picard traînant ses méandres escalade la pente, surtout regardez-y à deux fois ! Question subsidiaire : qui était ce Joseph Picard pour qu'on ait donné son nom à pareil tobogan ?
Vous avez le dos tourné à El-Biar (la "frontière" avec Alger, ce sont les grosses croix noires le long du Bd Gallieni). Repérez le carrefour Telemly-Saint-Saëns (signalé par une croix rouge). Puis agrandissez le plan en cliquant dessus, vous aurez alors comme repères supplémentaires l'église du Sacré-Coeur et le parc de Galland à droite. Vous n'avez plus qu'à vous laisser glisser... Tout schuss ! Les lignes composés de gros tirets - - - indiquent des projets de transformation des voies ; les lignes en pointillés correspondent à des chemins.
Dessin de Jean Brua
UN JOLI P'TIT CADEAU PAS CHER
LE GOÛT D'ALGER C'est un livre de format modeste, paru récemment au "Mercure de France", dans la collection "Le goût de...". Il n'y a pas d'illustrations, mais un très joli, éclectique, judicieux choix de 32 textes sur Alger, d'écrivains, passés et présents. L'absence d'illustrations justifie la douceur du prix : 5,40 euros. Si vous faites des cadeaux pour Pâques, c'était notre rubrique "quoi d'n'oeuf"...
LES SCHMILBLICS QUI AVANCENT !
HONNEUR À PAPA LÉON !
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De Jacques Dupont, nous avons reçu ceci :
"Bonjour,
je viens de faire un tour sur Es'mma, où j'ai découvert un article
sur papa Léon. C'est amusant car c'était un ami de la famille. Mon
grand-père Émile Robin était propriétaire à El Achour. Quand papa
Léon avait eu la légion d'honneur, une fête avait été organisée au
village. Je vous envoie cette photo pour compléter vos infos.
Amicalement"
Nous remercions ce correspondant grâce à qui Papa Léon reprend encore un peu plus sa place dans notre Alger.
QUIZZ
LA "MAISON LANGOUËT", C'ÉTAIT OÙ ?
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Regardez bien, il y a un indice qui ne trompe pas ! Pour certains d'entre nous, des centaines de fois nous avons dû passer devant ! Enfin, devant les boutiques qui lui ont succédé...
ET CET ENDROIT DE LA RUE CLAUZEL, VERS 1900-1910, OÙ SE TROUVAIT-IL EXACTEMENT ?
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UN PEU DE MOUVEMENT !
LE DR DIDIER NOUS SERT UN JEU DE POMME !

Mais si mais si, il bouge ! Passez la souris sur n'importe lequel des bords de la photo, et vous verrez s'il ne bouge pas ! Au besoin insistez en passant et repassant dessus, ça DOIT marcher !
Bon, on arrête là, et c'est pas parce que votre document, dont l'envoi remonte à un siècle ou deux, n'est pas encore cité ici, qu'on le néglige. On le traite avec soin, on le bichonne, soyez assuré qu'on vous le bâclera pas pour alimenter le site à tout prix, mais ça, vous l'avez compris... On vous remercie de vos participations, de votre amitié, de votre fidélité. Chers petits amis, au mois prochain !
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